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Proposée le 7/02/2011 par Eros-Ion
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Lire le chapitre 1.
Carnet de Myriam : 7 janvier
Le réveil sonne à sept heures. Autour de moi, je vois les instruments de torture d'hier soir : Le réveil en premier, le godemichet ensuite puis mon corps, nu et rasé. Une douleur aussi, mon anus tire mais moins que prévu. Les crèmes ont fait leur office. Les voix de mes trois bourreaux résonnent encore.
Je reste longtemps sous la douche, la sensation de l'eau sur mon sexe nu me fait fondre en larmes. Je n'arrive pas à savoir si j'ai été violée ou si je participais à un jeu. Après tout j'avais le choix de crier la phrase libératrice. Jusqu'à présent, le sexe ne signifiait rien pour moi, aucune émotion dévorante, aucune envie déchirante, aucune pulsion violente.
Avec Nicolas, c'était une simple étape après les câlins et les baisers. Quelques minutes où je pensais que c'était ce qu'il attendait et que je devais faire.
L'eau chaude fait disparaître les larmes. Je me regarde dans la glace. Le miroir me fit relever la tête : En une soirée, j'étais passé de la gamine à couette en quête de bons points à? Une autre, une jeune fille peut-être. Je suis nue, je perçois mon corps, des douleurs, des sources de plaisir. La force remonte. Je me trouve belle.
Je m'habille? Lance le jean loin de moi et enfile une jupe au dessus du genou, des talons, un corsage serré. J'ai envie de renouveler ma garde robe?
La journée passe, je trouve enfantine la plupart des discussions de ma promo. Après les cours, je partage un verre avec mon petit groupe d'amis, je repère qu'Alexandre me regarde différemment, un soupçon de désir sans doute. Lucie aussi, une pointe de jalousie peut-être.
En poussant la porte de ma chambre, aucune enveloppe. Je suis partagée entre le soulagement et la frustration. Les travaux à rendre pour l'école sont évacués en une heure. Ils sont bons, je le sais.
Il est 23h, je m'endors sur ce journal.
Carnet de Myriam : 8 janvier
Je me réveille à 4h, à 5h, à 6h? Vendredi est là et la première ronde de l'initiation m'attend.
J'ai peur mais je veux y être. Je veux être dans le SC, je veux continuer ma mue. Les mots de Laetitia reviennent dans ma tête. Depuis lundi, je ne l'ai pas croisée. Je n'arrive pas à savoir qui elle est et si elle joue un rôle dans cette initiation. Elle et moi sommes à l'opposé : Elle est grande, fine, brune, une allure de danseuse? Et moi je suis de taille moyenne, des formes, blonde et des manières de gamine.
En sortant de la douche, je vois une enveloppe posée sur mon bureau, appuyée sur une espèce de colis portant le blason du Club. Le sentiment d'être observée et vulnérable me saisit. Mais l'envie monte. Je déchire l'enveloppe et trouve le message.
Aspirante truie, voici les consignes pour danser la ronde première, celle du don :
1. Tu seras prête à 21h
2. Tu seras propre
3. Tu trouveras la tenue à porter dans le colis, rien de plus
4. Tu attendras tes préparatrices dans la position dans laquelle elles t'ont laissée mercredi
SC
Pas le temps d'ouvrir le colis, je file en cours. A 18h je prétexte une soirée avec des cousins pour m'éclipser et rejoindre la chambre et m'accorde une longue sieste. Une heure plus tard, je sors de mon sommeil et vérifie le réveil de peur d'être en retard. La douche me permet encore de repousser l'ouverture du colis.
Je me pose sur le lit, nue et fixe la boîte. Elle semble me narguer et me disant « Ouvre-moi ! »
Je déchire le papier et ouvre le carton : Une paire talons aiguilles de douze centimètres couleur chaire tirant sur le rose? Rose truie sans doute ; des bas et un bustier gainé assortis aux souliers ; un collier de chien et sa laisse toujours rose ; un masque de truie? comme pour le carnaval mais sans orifice pour les yeux.
Je suis donc une truie?
Je m'habille doucement : Le bustier seins-nus est tout juste à ma taille. Il donne l'illusion que j'ai une taille de guêpe et une poitrine très opulente. J'enfile puis fixe les bas. C'est la première fois que je fais ça ; la man'uvre prend du temps. Je passe le collier et choisis de faire pendre la laisse dans mon dos. Je monte sur les stileitos et trouve étrangement mon équilibre.
Un passage devant le miroir m'indique clairement qu'une prostituée bas de gamme me trouverait vulgaire mais je me trouve assez sexy. Il est 20h45.
Je noue le masque de truie derrière ma tête, me mets à genoux sur mon lit, plonge vers le mur, sort les fesses et pose mes mains dessus pour les écarter légèrement. Je sens le courant d'air de la porte me caresser : Les trois voix sont là, j'en suis sûre.
« Tu es vraiment très obéissante, aspirante truie, plaisante voix 3. On dirait même que tu réclames.
- Non, réponds-je mécaniquement.
Une claque magistrale s'abat sur ma fesse gauche et me fais tomber sur le côté.
« Première chose petite conne, rugit voix deux, tu ne nous réponds jamais sans que l'on t'en donne l'ordre. Seconde chose, ce soir tu es une truie donc tu ne parle pas, tu grouines. Et reprends ta position rapidement, on doit finir ton costume. »
Je hoche la tête et me remets à genoux. L'une des voix se positionne à ma droite et m'attrape le téton. Une pince vient mordre cette extrémité sensible. Elle reproduit l'opération avec le téton gauche et je ne peux réprimer un grognement de douleur.
« Dis moi, minaude voix trois, il maque encore un élément du costume, non ?
- Je l'ai, réponds voix une. Que serait une truie sans sa queue ?
- Tu ne peux pas voir, petite truie, dit voix deux en me caressant les fesses, mais on va te faire goûter ! »
Des mains me saisissent la tête et me la tourne sur le côté.
« Ouvre la bouche en très grand, rit voix trois, tu vas comprendre avec a langue. »
Je sens alors dans ma bouche une matière douce et molle, une tige fine, roulée en tire bouchon' c'est donc la queue?
« Ca, reprend voix trois en retirant le latex de ma bouche, c'est la partie que l'on doit voir. Et ça, poursuit-elle en m'enfonçant un cône énorme au fond de la gorge, c'est rien que pour toi ! Allez, écarte bien ton cul, ça fera moins mal ! »
Je viens seulement de comprendre comment la queue en tire-bouchon allait tenir et la peur commence à grimper. J'écarte doucement mes fesses et sens un liquide tiède se rependre sur moi puis une main commence à l'étaler. Un doigt glisse d'un seul coup dans mon anus. La résistance est très faible et je sens que deux autres doigts s'invitent en moi puis se retirent. La queue de truie est pressée contre mon cul' à côté de ce plug, trois doigts étaient une aiguille à tricoter. Par réflexe, je tire sur mes fesses et le plug glisse d'un seul coup en moi, me coupant le souffle. Mes sphincters se resserrent d'un seul coup sur la base de l'objet qui est plus étroite. J'imagine que seule la queue est visible hors de moi. En moi, l'objet prend tellement de place que je ne sais même pas si je vais tenir sur mes jambes.
« Ne soyons pas en retard, grogne la voix une ».
Un coup sur la laisse me fait remonter le buste puis je tente de poser les pieds au sol. Entre les talons de douze centimètre, le masque et le plug qui me déchire en deux, je ne sais pas comment je tiens debout mais je marche. On m'attache les mains dans le dos et me glisse un long manteau autour des épaules' La soirée ne fait que commencer.
Carnet de Myriam : 8 janvier II ? Ronde Première, apprendre à donner
Je suis guidée sur le chemin habituel. Les portes lourdes, le froid de dehors pendant quelques secondes, l'escalier qui descend, la chaleur de la salle du Sow Club et les murmures des voix. Je suis encore une fois partagée entre une excitation folle et une peur qui me pétrifie. Pour la première fois, je me sens forte.
Le plug a trouvé sa place même s'il pèse sur mon bas ventre. Les pinces qui me mordent les tétons sont encore douloureuses mais la peine s'estompe. Mon corps s'habitue et moi avec.
On m'enlève le manteau qui me couvrait des épaules jusqu'aux chevilles. Je sens que mes préparatrices s'écartent et la chaleur des lumières caressent mon corps. Le silence se fait.
« Aspirante truie, débute la voix sur le siège central, nous avons toutes remarqué que ta préparation a été un succès. Nous allons maintenant pouvoir commencer ta véritable initiation. Comme tu le sais, elle s'articule en trois rondes réparties sur deux semaines d'obéissance. La Première Ronde, celle de ce soir, elle la ronde du don. Nous allons t'apprendre à donner du plaisir, à faire jouir et à t'oublier. La Ronde deuxième est celle de l'acceptation : Tu recevras le plaisir de différentes manières. La Ronde Finale est connue sous le nom de Dîner où l'aspirante Truie que tu es sera livrée au Club pour son admission. Ne te leurre pas. Ce sont des étapes éprouvantes physiquement et moralement. De plus, après la Ronde Première, tu découvriras nos visages. Cela signifie que si, tu tiens jusqu'au bout, tu sauras qui nous sommes. Durant les deux semaines qui vont venir, tu devras le respect et l'obéissance à chacune d'entre nous, à tout instant. Tu pourras être utilisée à notre guise quelque soit le lieu ou l'heure. Tout cela est-il clair ? »
Je hoche machinalement la tête en guise de compréhension.
« Bien, reprend-elle. Mets toi à genoux et avance vers ma voix. »
En me baissant, le plug se rappelle à mon souvenir, je dois tortiller les fesses pour arranger sa position. J'entends quelques gloussements à mesure que j'avance. Mes seins s'étirent sous le poids des pinces et mes tétons me font mal. Je continue à avancer. Mes mains arrivent à une marche, je m'arrête. Une main m'empoigne les cheveux et me lève la tête. Je sens une source de chaleur face à mon visage.
« Tu es au pied du trône, aspirante Truie, souffle la voix. Ton rôle, ce soir est de nous faire plaisir et tu vas commencer par moi. Tu sais te servir de ta langue pour autre chose que gémir et grogner ?
- Je ne sais pas, dis-je sans réfléchir.
- Tu réponds encore, hurle la voix ! Si j'entends encore un seul mot sortir de ta bouche, ta soirée se transformera en enfer, petite truie. Ce soir, tu couines pour dire oui. Compris ?
- Grouik, grogne-je complètement humiliée.
- C'est nettement mieux, soupire la voix. »
J'entends un léger bruit métallique puis une douleur me saisit les tétons' ils sont attachés par une chaîne. Forcée, par la douleur j'avance et me retrouve la tête coincée entre les cuisses de la voix.
« Lèche moi petite truie, lèche bien petite truie, souffle-t-elle. »
Sans même réfléchir, je commence à laper. Je sens son sexe épilé comme le mien contre ma langue, je sens ses lèvres s'écarter progressivement à mesure que ma langue les frôle. Elle presse ma tête plus fortement contre sa fente.
« Ne sois pas timide, grogne-t-elle, je veux que tu me goûtes jusqu'à l'intérieur »
L'odeur est douce et le parfum enivrant, je plonge ma langue en elle et tourne. Un petit gémissement lui échappe et j'accélère. Son liquide coule dans ma bouche, sur mes lèvres, sur mon menton, je la bois. Ses cuisses se serrent autour de ma tête, une vibration parcourt son sexe. Elle m'attrape les cheveux et me soulève la tête puis me souffle à l'oreille :
« Tu apprends vite et peu de personnes portent aussi bien que toi le qualificatif d'aspirante ! Maintenant, tu vas montrer ta dévotion et ta gratitude à tes préparatrices. »
Quelqu'un tire la chainette qui relie mes seins. La traction et la douleur me forcent à me relever. Les jambes ankylosées et le plug me font tituber. On m'enlève le masque? Mes yeux s'habituent à la lumière de la salle. La pièce doit faire dix mètres de long sur cinq de large. Des murs en briques, un parquet ancien, un immense buffet, le trône tout au fond de la salle. Je compte une bonne vingtaine de membres. Elles portent toutes le masque de truie mais les yeux dégagées. Elles ont les yeux braqués sur moi. Face à moi, une potence, comme dans les films de moyen-âge mais avec une plateforme pour s'allonger devant. Mes préparatrices ouvrent le carcan : Deux trous pour les mains, un pour la tête, elles referment le tout sur moi. Elles installent le reste de mon corps : mon dos est sur une planche molletonnée, le cul relevé par une espèce de coussin et les jambes largement écartées et maintenues par des montants en bois auxquels mes cuisses sont fixées par des liens en cuir. La posture ne laisse aucune place à l'imagination et encore moins pour une quelconque rébellion.
Mes trois préparatrices sont autour de moi. La voix un est grande et fine. Les cheveux roux et bouclés tombent sur son masque. Son corps blanc comme l'albâtre est joliment pris dans un bustier vert émeraude et noir. Elle passe derrière moi. La voix deux est plus petite et brune avec une peau magnifiquement halée. Son bustier est rouge sang et noir. Elle se place à côté de moi. La voix trois qui a toujours été la plus dure est blonde, grande et sa poitrine opulente peine à rester dans son bustier bleu électrique et blanc. Elle se met au dessus mon visage, me tournant le dos. Elle m'attrape fermement les cheveux et me plaque la tête dans son entre-jambes.
« C'est moi qui commence avec ta bouche petite truie, glapit la voix trois. Tu va me lécher le cul en glissant bien ta langue dedans.
- C'est moi qui commence avec tes seins, aspirante, glousse la voix deux. Je vais me masturber sur ta poitrine.
- C'est moi qui commence avec tes orifices, dit doucement la voix une. Ils serviront de support pour que tu apprennes à donner ».
Le nez enfoui dans la chatte de la voix trois, je commence à laper son anus qui vibre de plaisir. Elle me maintient fermement par les cheveux. La voix deux monte sur mon corps et je sens son sexe déjà humide commencer à se frotter sur mes seins. La dernière m'arrache le plug-queue de cochon du cul. Le cri que je pousse est étouffé par les chairs que je lèche. J'ai l'impression que mon trou, encore vierge il y a quelques jours, est béant. Elle remplace le plug par un autre jouet. Plus mou, plus long. Elle l'enfonce si loin en moi que j'ai l'impression d'être sciée en deux. Puis je sens qu'il s'enfonce encore un peu jusqu'à la chair de ma tortionnaire touche la mienne. Je comprends qu'elle vient de m'enfoncer un immense gode au fond de moi et s'en sert pour se baiser dessus. Je ne suis effectivement qu'un support pour leur plaisir.
Au bout de cinq minutes, la blonde se recule un peu et me force à lécher son sexe ruisselant. J'avale autant que je lèche avec une frénésie et un abandon total. Mes tétons sont durs à hurler de douleur à mesure que la brune se frotte et commence à gémir. Mon cul se couvre de la cyprine de la rousse qui accélère en me martelant les entrailles.
La blonde pousse un râle de plaisir et dégage ma tête. Elle se penche vers moi et je vois sa bouche sourire. Elle m'embrasse à pleine bouche. La brune descend de mon buste et me mord le téton. La pression dans mon cul se calme doucement, la rousse a arrêté son va et vient et je sens le gode pendre entre mes fesses. Elles changent de place : La blonde prend mon cul avec une frénésie qui me déchire, la rousse étale son sexe déjà excité sur tout mon corps et la brune m'offre ses lèvres poivrées. Le manège recommence cinq minutes plus tard et s'arrête après ce dernier échange.
Mon anus est en feu, ma bouche est sèche, mes tétons semblent vouloir sortir de mes seins et ma chatte ruisselle. On me retire le gode d'un coup sec. Je pousse un long cri qui fait rire toute l'assemblée. La voix du trône est au-dessus de moi.
« Tu as été très bien, sourit-elle. Tu as mérité une récompense pour cette première ronde réussie. »
Elle passe sa main sur mes cheveux, caresse ma bouche puis passe de l'autre côté de la potence. Sa main court sur ma poitrine et apaise mes tétons brûlants ; descend sur mon ventre et calme ma respiration hachée ; elle touche mon sexe et caresse mon clitoris. Je ferme les yeux et en quelques secondes un orgasme total m'emporte. Je me cambre dans la potence comme si j'allais arracher les poutres de mon carcan puis retombe lourdement.
Les préparatrices me détachent, m'enrobent d'un drap blanc et m'installe sur un fauteuil face au trône.
Plus personne ne porte de masque, je commence à reconnaître les visages. Celui sur le trône n'est autre que celui de Laetitia? La reine des truies.
« Dorénavant, commence Laetitia, tu es aspirante premier niveau. Cela signifie que tu as passé avec succès la première ronde. Tu n'es pas encore membre du club mais tu as le droit de voir qui nous sommes. C'est d'autant plus utile que pendant les deux semaines à venir, tu seras notre esclave. Si en plein milieu d'un couloir l'une de nous te demande de te mettre à quatre pattes, tu le feras, si l'une te demande de ranger sa chambre, cela devient ta priorité. Je pense que tu saisis le concept. Qui plus est, le port d'une culotte est interdit pendant deux semaines et la jupe est obligatoire. Au bout d'une semaine, tu seras soumise à la ronde deuxième. Une semaine plus tard, ce sera la ronde finale et ton admission définitive si tu réussis toutes ces étapes. Maintenant, fais le tour de la pièce et embrasse chacune d'entre nous. Tu retourneras ensuite dans ta chambre pour te reposer. Compris ? »
Je hoche la tête puis fais le tour de la pièce. Chacune des membres m'embrasse tendrement. Sophie, la préparatrice brune qui est en deuxième année me montre encore une fois son antipathie. Au moment de m'embrasser, elle m'enlace et en profite pour me glisser sans ménagement deux doigts dans le cul déjà déchiré. Sa bouche fait bâillon et mon cri reste pour elle. Elle me regarde dans les yeux avec un éclair de haine.
J'attrape le manteau qui me couvrait à l'aller et la préparatrice rousse ?Carole de troisième année-, me raccompagne à la chambre.
« Tu as fait ce qu'il fallait ce soir, me glisse-t-elle. Les deux semaines à venir vont être dures mais je suis sûre que tu vas y arriver.
- Merci, lui réponds-je sincèrement tant ces paroles gentilles me font du bien. Pourquoi Soph?
- Sophie, m'interrompt-elle? Elle n'a jamais aimé les nouvelles, surtout les aussi jolies que toi et encore moins celles qui sont repérées par Laetitia. C'est un honneur d'être choisie par la chef. Sophie ne l'a pas eu.
- Je dois m'en faire ?
- Elle risque d'utiliser les deux semaines de manière? Personnelle. Rassure-toi, il y a des règles strictes et les dépasser lui nuirait plus qu'à toi. L'exclusion d'un club aussi prestigieux que le SC pour ce genre de faute serait synonyme de fin d'études très dure et de nombreux blocages après.
- Le Club est donc si puissant que ça, avançais-je ?
- Tu n'imagines même pas, sourit Carole. Mais j'en ai trop dit et nous sommes déjà devant ta porte. »
Elle me saisit le visage et m'embrassa tendrement sur les lèvres. Ses lèvres mimèrent un « Bonne nuit » et je pus rejoindre mon lit. Le manteau encore sur le dos, l'odeur des filles encore collée au corps, l'anus meurtri, je m'écroule et m'endors.