Laurence une femme de 40 ans (Chapitre 3)

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Proposée le 26/01/2011 par Berndubo

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Laurence une femme de 40 ans, lire le chapitre 2.
Histoire pour donner des idées aux femmes de 40 ans.

Chapitre 3

Il est bientôt 11 heures et Anne n'est toujours pas réveillée. Laurence décide de monter pour la réveiller. Elle entre dans la chambre, ouvre les rideaux pour laisser le soleil pénétrer dans la pièce. Anne encore engourdie, s'étire, un peu surprise par cette lumière vive qui inonde la chambre.
- Quelle heure est-il ? Où est Alain ?
- Il est 11 heures. Alain est parti, il devait prendre son train ce matin à 9h. Tu devais être très fatiguée hier soir, pour dormir si tard ce matin.

Anne commence à se redresser et s'apercevant qu'elle est toute nue, essaie de s'enrouler dans le drap pour masquer son état. Laurence s'en aperçoit et dit :

- Mais tu as dormi toute nue ! Il faisait si chaud ? Et je pensais pourtant avoir mis des draps propres hier matin, mais je vois qu'il y a quelques tâches. Bizarre !

Anne se souvient soudain du conseil que lui a donné Alain de passer un peu d'eau sur le drap pour enlever les tâches de sperme, et elle se met à rougir, réalisant que Laurence vient de découvrir les tâches.
- Pourquoi rougis-tu ? Qu'est ce que tu me caches ?
- Tu me promets de ne rien dire à mes parents ?
- Oui je te promets. Tu as dormi avec Alain et vous avez fait l'amour, c'est cela ?
- Oui on a fait l'amour, et c'était merveilleux.
- Racontes moi tout.

Et Anne commence à raconter comment elle avait tout de suite flashé sur Alain, son beau corps musclé, ses mains si douces quand il lui passait l'huile solaire sur le corps et bien sûr son contact dans la piscine pendant sa première leçon de natation. Elle avoua ce qui s'était réellement passé pendant la promenade à bicyclette, comment elle avait déjà eu envie de ce premier baiser dans la piscine, et qu'elle l'avait enfin obtenu, allongée dans l'herbe, lors de la promenade. La suite elle n'avait pas arrêté d'y penser pendant le diner et surtout en dansant dans la discothèque, car elle se sentait enlacée par les bras d'Alain, toute serrée contre son corps.

Une fois rentrée, pour se dire bonsoir sur le pas de la porte de sa chambre, c'est elle qui s'était accrochée au cou d'Alain, comme pour le retenir. Alain parti dans sa chambre, seul, elle restait sur une déception, une envie frustrée, mais tout a basculé involontairement à cause de cette fermeture éclair coincée. Elle avait une envie folle, mais en même temps la peur de la première fois.

- Oui mais alors c'est lui ou toi qui a pris l'initiative ?
- C'est lui, mais il a été si doux si progressif, tu ne peux pas imaginer. Ses caresses, ses baisers, j'avais envie de m'abandonner de plus en plus, je lui faisais confiance.
- Et tu as eu mal quand il t'a pénétrée ?
- Il m'a bien préparée avec sa langue sur ma vulve, mon clitoris, c'était incroyablement doux et excitant. Et puis très lentement il a enfoncé son doigt. J'ai senti comme une petite déchirure et il a retiré son doigt et me l'a montré avec un peu de sang.
- Mais alors il ne t'a pas pénétré avec son sexe.
Laurence était excitée d'entendre ce récit et voulait plus de détails. Elle s'imaginait assister en gros plan à ce premier acte sexuel, alors qu'elle avait vu, mais de loin, ce qui se passait grâce au miroir sans tain.
- Non pas tout de suite. Non il m'avait fait voir et toucher son sexe tout dur avant. Il m'a montré comment décalotter le gland tout gonflé et dit que ce va et vient avec mes doigts le long de cette colonne de chair procurait du plaisir aux hommes.
- Et tu l'as pris aussi dans ta bouche ?
- Non, même si une copine m'avait dit que les garçons aiment cela, je trouvais ce sexe déjà très gros et pensais qu'il ne pourrait jamais rentrer en moi. Il m'a dit qu'il était de taille normale et a fait ensuite très doucement. J'avais un peu peur à vrai dire.
- Et tu as senti quoi quand il t'a pénétré ?
- Je crois que j'ai poussé un petit cri, mais il s'est immobilisé au fond de moi. Là j'ai senti, comme si mon sexe venait épouser parfaitement la forme du sien. Cela commençait à être plus agréable, surtout quand il s'est mis à aller et venir doucement. Rapidement c'est devenu une sensation complètement nouvelle, merveilleuse. Ca montait dans tout mon ventre, je ne contrôlais rien, je m'abandonnais totalement. Rien à voir, avec quand je me caresse toute seule. C'était son corps dans le mien et le mien dans le sien.
- Et alors tu as joui ?
- C'est venu d'un seul coup. J'ai senti que mon sexe coulait tout autour du sien. C'était fort. On ne sait plus où on est.
- Oui c'est fou, c'est merveilleux d'avoir un orgasme, je sais ce que c'est. Et lui il a joui ?
- Non il avait encore envie et il a recommencer à me pénétrer plus fort. Son sexe glissait tout seul, tellement j'étais mouillée à l'intérieur de ma chatte. J'ai fini par jouir une deuxième fois, peut être plus fort que la première, car je n'avais plus peur de rien, qu'une seule envie le sentir me posséder complètement. Et lui a joui aussitôt. J'ai vu sa jouissance sortir par saccades de son sexe sur mon corps. C'était beau.
- Mais tu te rends compte, vous étiez inconscients, imagines qu'il ait joui en toi, tu pouvais tomber enceinte. Vous n'aviez même pas mis de préservatif ?
- C'est vrai, mais on avait tellement envie l'un et l'autre.
- Oui cela n'est pas grave si tu es dans la bonne période de ton cycle, sinon tu risques de tomber enceinte. Et puis, si le garçon a une maladie, il peut te la transmettre et cela peut devenir grave pour toi. Mais Alain me paraît un garçon parfaitement sain.
- C'était tellement bon, au delà de ce que j'imaginais. Je ne voulais plus qu'il me quitte.
- Pourtant il est parti dans sa chambre dormir, puisque je suis allé le réveiller ce matin dans son lit !
- Non je me suis endormie dans ses bras.

Laurence ne voulait pas lui révéler la vraie suite, de peur que Anne tombe brutalement de son petit nuage.
- Mais alors il est retourné dans sa chambre pendant que tu dormais ?
- Non il m'a réveillé par des caresses, des baisers partout, et on a refait l'amour dans le noir. C'était fabuleux. J'ai joui à nouveau comme une folle. Je ne peux pas oublier ces moments. Je voudrais tellement qu'Alain soit encore là et qu'il me serre dans ses bras et me fasse encore l'amour. Je l'aime. Quand vais-je pouvoir le revoir ?

- Tu peux lui écrire je te donnerai son adresse. A l'inverse je suggère qu'il t'écrive ici chez moi dans un premier temps.
- Oui mais comment ce sera possible ?
- Il mettra ta lettre dans une enveloppe à ton nom, qu'il glissera dans une enveloppe avec mon nom et mon adresse. Comme cela, ni vu ni connu si tu as peur que ta mère découvre ta correspondance. Tu viendras chercher ton courrier chez moi. Qu'en penses-tu ?
- Oui ce serait bien. Par contre ce sera plus difficile pour se téléphoner.
- Là je n'ai pas d'idée immédiatement, car dans la journée en semaine il travaille et tu ne pourras le joindre que le soir chez lui. On va réfléchir. Pendant ce temps, laves toi, habilles toi et viens déjeuner.

Dimanche le déjeuner chez mes parents s'est bien passé. Heureusement ils ne m'ont pas trop harcelé de questions sur mes activités en dehors de mon travail. Je suis rentré chez moi depuis quelques temps et me suis mis à écrire une lettre pour Anne, pour qu'elle parte demain matin lundi et qu'elle la reçoive, chez sa tante comme convenu, dans le milieu de la semaine. Je lui dis oh combien j'ai aimé notre rencontre, que je suis si heureux qu'elle ait découvert le plaisir, et que j'ai hâte de la revoir, malheureusement sans savoir quand. Je sais qu'elle attend les résultats du bac et que si elle est reçue, elle a envie de venir à la fac à Paris, pour préparer une licence en droit. Ce serait alors surement un moyen de pouvoir se revoir souvent. Mais dans l'immédiat je repense à ces instants merveilleux passés ensemble samedi.

Je suis en pleine rêverie sur cette lettre quand le téléphone sonne. C'est Laurence, dont je reconnais la voix immédiatement.

- Jean n'est pas encore rentré, c'est pour cela que je peux t'appeler. J'ai du aller réveiller Anne à 11h, car elle n'avait toujours pas émergé. Je pensais bien que vos galipettes nocturnes justifiaient un sommeil réparateur. Anne m'a tout raconté, car j'ai vu les tâches que vous avez laissées sur le drap. Elle a rougi comme une écrevisse et m'a tout décrit en détails, ce que vous avez fait. Elle est très en confiance avec moi et sait que je ne dirai rien à ses parents. Elle rayonnait de bonheur, complètement épanouie de se sentir devenue femme. Je te félicite d'avoir si bien réussi cette initiation, mais en même temps tu n'as pas été raisonnable, car imagines que tu ne te sois pas retiré à temps. La prochaine fois prends un préservatif, sauf si tu es sûr qu'elle est dans la bonne partie de son cycle. Indépendamment de cela penses aussi aux maladies éventuelles, mais je crois que tu es parfaitement sain.

- Oui, mais tu sais, on avait tellement envie tous les deux. Et puis je sais quand-même me contrôler et je sens le moment où je vais jouir.

- Oui, mais on ne sait jamais. Non je ne veux pas te faire une leçon de morale et tout gâcher ton plaisir. Elle est folle amoureuse de toi, elle n'a pas arrêté de me demander comment faire pour te revoir et refaire l'amour avec toi. Après déjeuner, nous avons bronzé au bord de la piscine. On s'est passé mutuellement de l'huile solaire, et je lui ai suggéré de bronzer toute nue comme moi, ce qu'elle a accepté et aimé. En voyant que j'étais épilée, elle a été intriguée. Elle pensait que cela faisait un peu petite fille, mais je lui ai dit que cela était très excitant pour un homme de voir une chatte toute lisse et que c'était beaucoup plus doux quand un homme parcourt cette zone avec ses doigts ou sa langue, que cela permet de mieux voir le sexe de l'homme pendant la pénétration. J'en ai profité pour lui dire que j'avais fait l'amour avec toi, quand tu es venu le weekend dernier, mais je ne lui ai rien dit pour hier et ce matin.

- Comment a-t'elle réagi ?

- J'ai été surprise de sa réaction. Je m'attendais à ce qu'elle soit jalouse, choquée, et m'en veuille. Je lui ai dit que je t'avais fait découvrir plein de choses et que tu m'avais fait jouir plein de fois. C'est elle qui a voulu en savoir plus, que je lui donne des détails, tout ce qu'elle ne connaissait pas encore. Elle voulait découvrir plein de nouvelles choses sur les jeux de l' amour. Je l'ai alors emmenée dans ma chambre et ai commencé à lui parler plus en détails des zones érogènes chez l'homme et la femme. Je lui ai expliqué le rôle de la fellation, comment repérer que l'homme est sur le point d'éjaculer et l'aider à se retenir. Egalement comment apprendre à exercer les muscles de son périnée pendant la pénétration. Pour cela je lui ai fait essayer le godemiché vibrateur, que j'ai depuis plusieurs années et dont je me sers parfois quand je suis toute seule. Elle a joui avec et a voulu me l'emprunter pour chez elle, mais lui ai dit que ce serait risqué si sa mère le trouvait. Il valait mieux qu'elle vienne chez moi pour l'utiliser.

- Eh bien je vois que vous vous êtes bien amusées et que tu as dévergondé Anne.
- Oui mais c'était pour qu'elle soit mieux préparée pour votre prochaine rencontre. En effet elle n'arrêtait pas de me demander quand elle pourrait te revoir. Dis moi est ce que mercredi soir tu peux être chez toi vers 18h ? J'ai proposé à Anne de venir chez moi et qu'elle te téléphone. Qu'en dis tu ?
- Oui d'accord cela me fera plaisir.
- Parfait. Dans ce cas je te fais plein de bisous coquins partout et te dis à Mercredi.
- Bisous à toi aussi.
Et elle raccroche.

Mercredi soir je m'organise et rentre de bonne heure. Il est juste après 18h et le téléphone sonne. Je reconnais la voix d'Anne.
- Anne comment vas tu ? Tu me téléphones d'où ?
- Je suis chez Laurence, je profite de ce que ma mère fait des courses et mon père n'est pas rentré. Laurence est partie dans le garage. Alain je n'ai pas arrêté de penser à toi depuis ce weekend. C'était tellement merveilleux ce que tu m'as fait découvrir. Quand est ce que tu reviens ?
- Je ne sais pas, cela dépend si Laurence peut organiser quelque chose comme samedi dernier. A moins que tu viennes à Paris. As tu eu tes résultats du bac ?
- Non je les aurai vendredi. Je pense à toi. Tu m'écriras ?
- Oui promis.
- Je te laisse car Laurence revient. Je t'embrasse partout.

Et elle raccroche. Jeudi soir, le lendemain, je trouve en rentrant un message de Laurence sur mon répondeur. Elle me demande si je peux venir ce weekend, car Jean retourne en Bretagne pour s'occuper de sa mère et les parents d'Anne s'absentent à nouveau pour les deux jours. Laurence propose que ce soit un weekend « leçon d'amour ». Anne est bien-sur d'accord pour venir.

Laurence me rappelle le lendemain soir vendredi, alors que Jean vient de partir, et je lui confirme que je peux venir et qu'elle vienne me chercher à 14h à la gare, car je ne peux pas arriver plus tôt. Je suis tout excité à l'idée de retrouver Anne et Laurence et m'interroge sur le programme concocté par Laurence. Laurence ne me dit pas d'apporter mon maillot de bain, mais je le prépare quand même pour ne pas l'oublier.

Je déjeune rapidement avant d'aller prendre mon train et arrivé à Évreux, Laurence et Anne m'attendent toutes les deux à la gare. Je serre la main de Laurence, tandis que Anne ne peut s'empêcher de me sauter au cou et de m'embrasser. Arrivés à la maison, Laurence dit :

- Vu ce que vous avez fait ensemble le weekend dernier, j'ai pensé que ce n'était pas la peine de vous faire dormir dans des chambres séparées. Donc Alain tu peux poser tes affaires dans la chambre où Anne était la dernière fois. Elle y a déjà installé ses affaires. Ah, je voulais vous dire que, comme il fait beau et très chaud, et que nous ne sommes que tous les trois, ce n'est pas la peine de mettre de maillot pour aller à la piscine et que vous pouvez vous promener nus dans la maison. Et si vous êtes d'accord pour que ce soit une leçon d'amour, promettez de vous livrer sans réserve aux désirs des autres. Anne m'a donné son accord et toi Alain que dis-tu ?
- Après un instant d'hésitation : Je ne peux qu'être d'accord.
- Bon alors montez vous débarrasser de vos affaires en haut.

Nous montons tous les trois, Laurence dans sa chambre, Anne et moi dans la notre. Tandis que je pose mon sac et range ma veste dans l'armoire, Anne s'est déjà déshabillée et en me retournant je la vois entièrement nue, superbe.

- Mais tu as rasé ton pubis ?
Elle s'approche, m'enlace avec ses deux bras autour de mon cou, et nos bouches se trouvent spontanément pour un premier baiser.
- Oui c'est Laurence qui me l'a fait avant que tu arrives. C'est pour qu'on fasse encore mieux l'amour, car elle m'a dit que tu avais trouvé cela plus excitant.

Je ne résiste pas à caresser sa petite chatte toute lisse avec mes doigts, pendant qu'elle enlève ma chemise et commence à embrasser mon torse. Je finis en vitesse d'enlever le reste et nous voilà tous les deux nus comme des vers. Laurence arrive dans la chambre, nue aussi, et dit :

- Eh bien si vous êtes prêts venez en bas.
Mais voyant ma pilosité, elle ajoute :
- Oh mais Alain cela ne va pas. Venez tous les deux dans ma chambre.
A peine entrés, Laurence dit à Anne :
- Il faut que tu m'aides à préparer Alain. Tous ces poils il faut les raser, comme on l'a fait pour toutes les deux. Alain allonges toi sur cette serviette sur le lit et laisses toi faire. Anne vas chercher la mousse à raser et le rasoir là où tu les a rangés tout à l'heure.
Je réalise que je n'ai pas le choix, car j'ai fait la promesse tout à l'heure de me soumettre sans réserve aux désirs des autres. Ces deux superbes corps nus autour de moi ont pour effet immédiat de déployer mon organe à la verticale.
- Alain relèves bien tes cuisses pour que Anne puisse bien enduire toute la zone de mousse.
Le contact de la main d'Anne enduite de mousse sur mon sexe et dans la raie entre mes fesses, m'excite follement et je bande comme un fou.
- Maintenant Anne passes moi le rasoir. Je vais te montrer comment on fait délicatement.

Laurence commence à faire glisser le rasoir et la peau toute rose apparaît, là où auparavant il y avait de la toison noire.

- A toi Anne, tu fais doucement, mais cela va être facile, car regarde comme Alain bande bien.
Au fur et à mesure Anne prend de l'assurance et a le geste plus sur. Laurence lui dit :
- Anne tu ne trouves pas que c'est excitant de voir un sexe d'homme tout lisse ?
- Oui je le voyais dans le livre, mais maintenant c'est en vrai.
- Bon maintenant Alain viens dans la salle de bains pour qu'Anne t'enlève les quelques restes de mousse avec la douche. Anne tu passes bien ta main partout pour vérifier qu'il ne reste rien, et profites en pour caresser doucement tout son sexe. Bien, prends la serviette, essuies bien Alain partout et Alain viens t'allonger à nouveau sur le lit. Anne tu vas passer ta langue et ta bouche partout sur la zone que tu viens de raser et tu me diras si c'est doux, si c'est mieux comme cela tout lisse qu'avec des poils.

Anne, trop heureuse de cette demande, commence à parcourir avec sa langue toute ma tige, mes testicules et la raie de mes fesses.

- Alors qu'en dis tu ?
- Oui c'est super doux. J'aime.
- Tu vois l'effet sur Alain ? son sexe me paraît tendu et tout dur, tu devrais le lubrifier un peu en le prenant avec ta bouche.

Et Anne commence une fellation superbe, tandis que Laurence la guide avec des conseils. Anne fait déjà beaucoup mieux que la dernière fois le matin dans le noir. Sans dire un mot, Laurence amène Anne à pivoter doucement et à se mettre tête bêche en 69, pour offrir à mon regard sa chatte toute lisse. Avec ses deux mains Laurence écarte les fesses d'Anne et même ses petites lèvres, pour être sure que je vois bien la petite ouverture de sa vulve. Anne se laisse complètement faire.
- Alain, commences à l'explorer avec tes lèvres et ta langue, décalottes bien son clitoris et aspire le dans ta bouche.

Le visage de Laurence est à coté du mien pour bien voir comment ma langue opère. Anne qui suce mon gland et toute ma bite avec application, commence déjà à mouiller et je dis à Laurence.

- Passes ton doigt, regardes comme elle mouille déjà, lui dis-je.
Et Laurence répond :
- C'est bien, continues à bien la préparer comme cela.

Anne commence à pousser des petits gémissements et ses reins ondulent doucement, tandis que mes mains caressent ses reins, ses fesses. En voulant atteindre ses seins, je sens les mains de Laurence qui s'en sont déjà emparés. Je laisse Laurence faire et au contraire tend ma main pour la glisser entre les cuisses de Laurence. Elle aussi est toute mouillée. Comment ne pas l'être quand on est aussi près de deux corps qui font l'amour.

- Maintenant laissez moi faire, dit Laurence. Anne retournes toi et embrasses Alain.

Nos bouches se cherchent et se fondent, tandis que Laurence aide Anne à se mettre en position pour venir s'empaler sur mon sexe. Pendant que nos langues s'entremêlent Laurence prend ma bite et commence une fellation, puis avec sa langue parcourt la vulve d'Anne déjà écartée. Ensuite avec sa main elle guide mon gland pour le faire glisser plusieurs fois de haut en bas entre les petites lèvres, qui s'écartent sans problème, tellement elles sont déjà mouillées. Une fois cette ultime préparation effectuée, Laurence tenant ma bite avec deux doigts, la guide pour la faire pénétrer doucement dans Anne. Anne est détendue et se livre totalement, plus rien à voir avec la première fois samedi dernier, où elle était si contractée. Maintenant que la pénétration a eu lieu, Laurence nous laisse faire et peut se contenter de contempler en gros plan ces deux sexes qui vont et viennent doucement, puis de plus en plus vite, mais bien en rythme. Anne mouille de plus en plus, gémit :

- Oui, encore, oui plus fort, t'arrêtes pas, tu vas me faire jouir, continues.

En touchant mes testicules et la racine de ma bite, Laurence surveille le moment où je vais éjaculer. Anne se cambre d'un seul coup et, dans un ultime tressaillement, exulte de plaisir et se tord dans tous les sens, pour retomber sur moi juste avant que je jouisse aussi. Laurence retire mon sexe, le masturbe une ou deux fois et je jouis enfin. Laurence oriente ma bite pour qu'elle gicle entre les fesses d'Anne et sur sa chatte. Anne et moi laissons nos bouches se fondre dans un baiser passionné, pendant que Laurence lèche avec application tout ce sperme répandu sur Anne. Elle suce aussi mon sexe en pressant sur le gland pour faire sortir les dernières gouttes et ne rien perdre. En se rapprochant de nos visages encore collés l'un à l'autre elle dit :
- Anne regardes tout ce que Alain t'a donné.
Et elle tire la langue pour nous montrer tout ce liquide blanc qu'elle vient de récupérer.

- C'était magnifique de vous voir tous les deux faire l'amour et surtout quand vous avez joui.

On reste un long moment Anne et moi collés l'un à l'autre sans bouger, pendant que Laurence est partie dans la salle de bains. Une fois ressortie elle dit :
- Allez vous rafraichir sous la douche et je vous attends en bas pour boire quelque chose au bord de la piscine.

On est tout heureux, Anne et moi, de sentir l'eau couler sur nos corps nus qui avaient chauds d'avoir fait l'amour. On s'embrasse, on se caresse, on se sent bien.

- Anne tu as aimé que Laurence s'occupe de nous, nous guide ?
- Oui je m'en fichais qu'elle nous regarde et nous touche. J'ai même trouvé cela excitant. Depuis qu'elle m'a dit que tu lui avais fait l'amour pour t'apprendre des choses, je ne suis pas jalouse. Même j'aimerais te regarder comment tu fais l'amour avec elle. Je ne sais pas si elle oserait ? Si cela peut nous permettre de faire encore mieux l'amour, toi et moi ensemble, alors pourquoi pas. J'aime tellement être dans tes bras et quand tu viens en moi.
- Moi aussi. Après tout on verra bien ce que Laurence a en tête pour la suite de cette leçon d'amour. Viens on va descendre, j'ai soif, et on va pouvoir se laisser aller dans la piscine. Tu vas essayer de nager un peu.

On descend, et on aperçoit Laurence déjà allongée nue au bord de la piscine en train de bronzer.

- Tenez les jeunes, je vous ai mis deux verres sur la petite table et servez vous.
Je remplis les deux verres.
- C'est du cidre ?
- Non cela y ressemble, mais c'est très bon. Mettez-y quelques glaçons ce sera plus rafraichissant.
Effectivement au goût cela est proche du cidre, mais sans pétiller.
- Anne, tu en as déjà bu ?
- Non c'est la première fois. C'est bon. Comment ça s'appelle ?
- C'est une recette de ma composition. C'est fait maison.
- Je n'arrive pas à identifier les ingrédients, mais peu importe, cela désaltère bien, dis-je.

Je plonge ensuite dans la piscine, fais quelques longueurs et invite Anne à me rejoindre. Elle s'assied au bord, n'osant pas plonger. Je la prends par la taille et elle s'accroche à mon cou. La sensation de nos corps nus au contact l'un de l'autre dans l'eau est délicieuse. Elle se serre contre moi pendant que je caresse son dos ses fesses sous l'eau.

- Eh les tourtereaux, ressortez vous allez attraper des coups de soleil. Venez mettre de l'huile solaire. Et puis on va tous s'en mettre. Alain prends le flacon sur la table et vous allez Anne et toi m'en mettre.
Laurence se met sur le ventre et je verse un peu d'huile au milieu du dos de Laurence.
- Allez-y passez m'en partout avec vos quatre mains.
Anne et moi on est de chaque coté de Laurence et on commence à faire glisser nos mains sur son corps de façon symétrique. Et en regardant Anne avec un sourire coquin je dis :
- Anne, on va lui faire un petit massage en même temps qu'en dis tu ?
- Oui bonne idée répond Anne.
Laurence ne dit rien, se laisse faire. On lui masse les épaules, le cou. On laisse glisser sur le dos en appuyant un peu sur ses reins, avant de s'attaquer à ses mollets et de remonter progressivement le long de ses cuisses.
- C'est agréable, vous me faites du bien.

Je fais un petit signe du doigt à Anne pour montrer par quelle partie du corps de Laurence on poursuit. Il n'y a que ses fesses qui n'ont pas encore eu d'huile. Sans se concerter, on commence à pétrir doucement ses fesses, on les écarte bien pour voir apparaître l'anus et le bas de sa chatte. On écartes un peu ses cuisses pour pouvoir glisser nos doigts sur le bords de sa chatte. Visiblement Laurence apprécie.

- Laurence retournes-toi maintenant.

Et après un rapide passage sur le haut du cou, on commence à pétrir doucement ses seins. Laurence gémit doucement quand je montre à Anne comment pincer un peu ses tétons tout durs. Son ventre et ses jambes sont vite enduits. Il ne reste plus que le haut des cuisses et Laurence les écarte d'elle même.

- Anne regarde comme sa chatte est belle toute lisse. Décalottes son clitoris pendant que j'écartes ses petites lèvres.
Laurence se cambre un peu, son clitoris est tout gonflé de désir. Pour finir je décide de passer ma langue tout le long de sa fente en terminant par le clitoris que Anne tient bien décalotté. Laurence frissonne et gémit doucement. Elle mouille déjà.
- A toi Anne fais pareil pour terminer ce massage en beauté.
Et Anne sans se faire prier, fait de même. J'ai l'impression qu'elle enfonce encore plus sa langue dans la vulve. Laurence ne peut s'empêcher de dire :
- Ah c'est divin. Allez Anne c'est à toi maintenant.

Même scénario pour Anne qui se prête au jeu de la même manière, sauf que quand elle se retourne pour se mettre sur le dos, je lui donne un baiser sur la bouche et dit à Laurence :

- Regarde comme elle est belle.

Anne s'abandonne bien au massage et pour terminer Laurence et moi passons deux fois notre langue dans sa fente et sur son clitoris, pour bien gouter sa mouille. Anne est toute excitée. C'est elle qui prend l'initiative et dit :

- Allez à toi Alain maintenant.
Chacune rivalise de douceur et de sensualité pour enduire mon corps d'huile et être sure qu'aucune surface de ma peau ne risque de brûler. Une fois sur le dos le membre viril est dressé comme un i. Quoi d'autre peut-il faire quand on est livré aux mains de deux odalisques nues. Pour finir Laurence dit à Anne :

- Vas-y décalottes le lentement pour bien voir le gland apparaître et ensuite passes ta langue tout autour et le long de toute la verge.

Anne le fait sans hésiter et finit par prendre mon sexe complètement dans sa bouche. Et pendant que Laurence fait de même, Anne vient me rendre le baiser sur la bouche que je lui ai donné tout à l'heure.

- Ca y est c'est fini, on ne craint plus le soleil. Venez boire encore un peu avant de replonger dans la piscine.

Cette boisson est très désaltérante. Tous les trois on se met à l'eau. On joue un peu à s'attraper dans la zone où on a pied. Anne et Laurence essayent bien, mais je m'échappe avant qu'elles m'atteignent, soit en nageant soit en plongeant sous l'eau. Finalement elles se mettent de chaque coté et moi au milieu de la piscine et je les laisse m'attraper. Elles me serrent comme pour un prisonnier et je commence à caresser leurs dos. Anne cherche ma bouche et la trouve et je trouve ensuite celle de Laurence. Je suggère alors de réviser les mouvements de brasse.

- Qui veut commencer la première, Anne ?
- Oui.
- Alors accroches toi les mains au mur comme l'autre fois et tu vas faire les mouvements de jambe si tu te souviens. Laurence soutiens là un peu avec ta main sous son ventre pendant que je m'occupe de ses jambes.

Je me mets derrière Anne, entre se jambes et commence à la guider. Elle se débrouille bien. Laurence se rapproche de moi, retire sa main qui était sous le ventre d'Anne et prends mon sexe qu'elle commence à caresser.

- Viens, tu vas la prendre comme cela.

Anne a entendu et ne dit rien. Elle s'écarte même pour que je puisse m'avancer entre ses cuisses et Laurence guide mon sexe pour qu'il pénètre la vulve d'Anne. Anne les mains toujours accrochées au mur flotte en partie et il est très facile de la pénétrer dans cette position. Laurence est derrière moi et pousse mes reins en avant à chaque fois, comme pour me forcer à pénétrer plus loin. Le mouvement s'accélère. C'est une sensation complètement nouvelle de faire l'amour dans l'eau. Anne commence à gémir.

- Alain tu te retiens ? Me dit Laurence.
- Oui promis.
Au bout d'un moment Laurence dit :
- Anne, prends ma place, moi aussi j'ai envie.

Et on permute et je pénètre Laurence qui est un petit peu moins étroite qu'Anne, mais toute aussi mouillée et qui commence elle aussi à gémir. Au bout d'un moment je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps et elles décident de me faire sortir de l'eau et de m'allonger sur le matelas où se passait le massage. L'une après l'autre viennent s'empaler sur ma bite et se retirent avant que j'explose. L'une comme l'autre ont la chatte trempée et gémissent de plaisir.

- Anne, viens on va le faire éjaculer. Prends son sexe avec moi, on va le masturber.
Rapidement je commence à supplier :
- Arrêtez, vous allez me faire jouir.
Ce qui les excite encore plus à continuer.
- Anne touches bien sa bite là à la base, tu vas sentir quand l'éjaculation arrive et, si tu veux, tu peux au moment où il va jouir tout prendre dans ta bouche.

A peine Laurence a t' elle dit cela à Anne, que je sens que je vais gicler.

- Ah oui, oui, oui je vais jouir.

Et Anne a juste le temps de mettre sa bouche au dessus de mon gland, qu'il en sort un jet puissant en trois ou quatre fois.

- N'avales pas, finis de bien sucer son gland et montres-moi ta bouche dit Laurence. Montres-la aussi à Alain.

Anne est fière de nous montrer sa bouche pleine de sperme et finit par avaler.

- Comment trouves-tu ? demande Laurence.
- C'est un peu bizarre comme consistance, c'est tout chaud, mais c'est n'est pas mauvais.

Cet exercice en plein soleil nous a donné très soif. Anne et moi buvons deux verres du pseudo cidre, ce qui au bout d'un moment nous redonne des forces. J'ai l'impression que plus on en boit plus on a soif. Le soleil tape fort et je demande à Laurence si elle a un parasol ou quelque chose pour faire un peu d'ombre.

- Oui tu peux aller chercher le parasol dans le garage. La porte est ouverte, tu le trouveras au fond.
Je reviens avec le parasol et il est facile à monter.

- Si vous permettez je me mets un peu à l'ombre, car malgré l'huile solaire j'ai peur d'attraper des coups de soleil.

Au bout d'un moment je me replonge dans la piscine pour nager un peu. Anne est seule au bord, je ne sais pas où est partie Laurence. Anne me rejoint dans l'eau, dans la zone où elle a pied. Je m'assied sur le bord de la piscine et dit à Anne.

- Essaies pour voir de nager toute seule.

Elle essaie mais vite reprend pied après avoir failli boire la tasse.

- Viens plutôt à coté de moi et aides moi.

Je descends pour la soutenir un peu et la tiens de moins en moins. En la tenant elle nage un peu. Je remonte m'asseoir sur le bord et lui dit.

- Allez à toi toute seule.

Non elle n'y arrive pas vraiment et vient vers moi au bord. Assis j'ai les jambes légèrement écartées et le sexe un peu dressé. Là où je suis assis elle a pied, mais sa tête est un peu au dessus de mes genoux. Elle s'avance encore et dit :

- Plutôt que de nager je vais m'occuper de lui.

Et elle commence à prendre mon sexe délicatement avec une main et se met à lécher et sucer tout ce membre viril. On est seuls, Laurence n'est toujours pas là.

- Viens me prendre dans l'eau, j'ai envie.

Difficile de résister à cet appel après une fellation qui a donné une nouvelle vigueur au membre masculin.

- Oui mais avant assieds toi à ma place et je vais m'occuper de ton minou.

Elle s'assied et sans que je lui dise s'écartes complètement. Je suis debout, juste à bonne hauteur pour ne pas avoir le cou cassé en deux et je prépare longuement sa grotte d'amour et son clito.

- Oh c'est bon comme ça Alain. Tu m'excites bien.

Elle mouille en effet de plus en plus.
- Ah j'ai envie que tu me prennes maintenant.

Sans un mot je la soulève du bord de la piscine et la fait glisser dans l'eau face à moi pour planter ma bite dans sa chatte qui n'attendait que cela. Elle pénètre sans effort dans sa vulve, à la fois parce que Anne est moins lourde à soulever dans l'eau et qu'elle est déjà lubrifiée. Dans cette position, moi debout et Anne accrochée à mon cou et empalée, le coït est plus facile dans l'eau.

- Ah c'est encore meilleur dans cette position que tout à l'heure dit Anne.

En même temps que je ramone sa chatte, nos deux bouches sont fusionnées et nos langues comme folles. Laurence arrive à ce moment là en pleine action.

- Vraiment infatigables tous les deux ! Alain, une seule chose, tu ne jouis pas dans l'eau, mais dehors tant que tu veux.
- Oui promis Laurence.

Et on continue un peu dans cette position sous le regard de Laurence qui s'est allongée à quelques mètres. Au bout d'un moment sentant que Anne est proche de l'orgasme, je lui murmure dans l'oreille :

- Viens on va finir de jouir dehors.

Je la porte toujours empalée sur moi et remonte les trois marches pour sortir de la piscine. On continue debout dans cette même position juste devant Laurence qui, allongée, peut idéalement voir par en dessous le spectacle de la pénétration.

- Oui c'est bien Anne, empales toi bien sur sa belle bite. Il va te faire bien jouir.

On continue un peu encore et on finit par s'allonger tous les deux, tête bêche, Anne au dessus de moi. Chacun suce l'autre. Anne remue ses reins et ses fesses de plus en plus. Je sens avec ma langue les premières contractions des muscles de sa vulve. Elle halète. Il est temps que je la retourne sur le dos, car je sens que je vais bientôt venir aussi. Laurence s'est rapprochée tout près et commence à nous encourager de la voix, comme des sportifs dans une compétition.

- Oui Alain baises la bien, plus fort. Anne écartes toi pour qu'il aille plus profond. Vas y plus vite, fais la jouir. Ca y est elle vient, elle va tout te donner.

Anne commence à gémir plus fort, à remuer dans tous les sens. Elle ne se contrôle plus, elle vient de partir dans son orgasme en criant, et au même moment je me retire pour éclabousser de mon foutre ses seins et son ventre, en poussant un grognement sourd et en me cambrant sous l'effet du plaisir. Je replonge ma bite dans sa chatte dégoulinante et m'écroule sur Anne pour ne plus bouger un long moment.

- Vous étiez magnifiques à voir, en parfaite osmose. Tous les deux vous commencez à bien savoir faire l'amour. Alain étales bien tout sur ses seins et son ventre, on dit que c'est bon pour la peau.

Anne et moi avec nos mains, on enduit bien son corps avec ma jouissance.
- Vous avez bien mérité de vous désaltérer avant d'aller prendre une douche dit Laurence en nous apportant deux grands verres de sa boisson, ce pseudo cidre comme je l'appelle.

On monte rapidement se doucher et on redescend pour se reposer à l'ombre du parasol. L'après midi est déjà bien avancé et Laurence nous dit :

- Et si vous alliez faire un tour en vélo ?
- Ah oui Alain tu viens comme la dernière fois, c'était sympa.
- Si tu veux, mais je te suis car je ne connais pas la région.
Nous voilà partis et Anne me dit :
- J'aimerais retourner sur la hauteur derrière le petit bois où tu m'as donné mon premier baiser l'autre fois. Tu te souviens ?
- Oui pourquoi pas, mais je ne me rappelles plus le chemin, je sais seulement qu'on avait une grande descente quand on est reparti.
- Ne t'en fais pas je sais y aller.

Sur le plat on pédale l'un à coté de l'autre en se tenant par la main. Dans un virage on manque de tomber en freinant brusquement, car on a failli se télescoper avec deux autres vélos qui arrivaient en sens inverse. En fait ce sont deux amis de classe d'Anne, Daniel et sa copine Claire. On s'arrête et Anne fait les présentations :

- Je vous présente Alain un ami.
Daniel et Claire ont l'age d'Anne et je dois leur paraître plus vieux.
- On se balade, je veux montrer à Alain la superbe vue depuis le haut de la colline.
- Et vous ? On vient de chez la grand mère de Claire et on rentre.
- Et ce soir vous allez fêter les résultats à la discothèque ?
- Claire dit : Oui moi j'irai surement, mais Daniel ne peut pas venir.
- C'est dommage dit Anne. Dans ce cas peut-être à ce soir.

Et nous voilà repartis. Arrivés au bosquet on pose les vélos un peu à l'abri des regards et on le traverse comme la dernière fois pour arriver en haut de la prairie. On est dans un recoin plus discret que la dernière fois et Anne n'attends pas qu'on ait fini de s'allonger dans l'herbe pour m'embrasser.

- Tu sais Alain, j'ai tellement repensé depuis à ce premier baiser que tu m'as donné ici et qui a tout déclenché. Et puis avec tout ce que j'ai appris avec toi et Laurence, je n'ai plus peur maintenant. Je me sens libérée. Heureusement que ma mère ne sait rien, sinon elle serait folle de rage après moi. J'espère que pour mon inscription en fac à Paris cela va marcher, comme cela on pourra se voir plus facilement. Il faudra que je me trouve une chambre, à moins que je puisse partager un logement avec Carole. Il faut qu'elle en parle à ses parents et moi aux miens. Sinon j'aimerais tellement venir m'installer chez toi, mais mes parents diront non. Chez toi on pourrait faire l'amour quand on veut. Tu aimerais ?
- Oui bien-sur.
- Et là maintenant tu as envie ? J'ai encore envie Alain, fais-moi l'amour là au soleil, on est bien tous les deux tranquilles.
- Tu es insatiable.

Et Anne commence à déboutonner ma chemise. Elle est allongée sur le dos dans l'herbe, moi à genoux au dessus d'elle. Elle m'a enlevé ma chemise et je déboutonne la sienne pour faire apparaître ses seins, car elle n'a pas mis de soutien gorge, vu la chaleur. Nos langues s'entremêlent dans un baiser mouillé, tandis que je glisse ma main pour lui retirer sa mini jupe sous laquelle elle ne porte rien. La voilà complètement nue.

- C'est si bon d'être nue au soleil et de sentir cette petite brise chaude sur mon corps. Allez mets toi complètement nu aussi, j'aime tellement voir ton sexe quand il est tout dur et tout dressé, comme tout à l'heure à la piscine.
On se caresse, on s'embrasse, Anne s'abandonne dans mes bras.
- Oh viens prends moi comme tout à l'heure. Embrasses ma chatte pendant que je suce ta bite.

Anne vient sur moi, le dos au soleil et la tête face à la pente. Les rayons du soleil déclinant éclairent en plein sur sa chatte écartée.

- C'est beau, le soleil illumine ta chatte. Je vois tout et elle est toute chaude sous ma langue. Tu aimes ?
Elle s'interrompt de sucer juste quelques secondes pour me dire :
- Oui c'est bon continues avec ta langue partout.

Et elle replonge goulument sur ma bite qu'elle lèche et suce de mieux en mieux. Je suis toujours aussi en érection et au bout d'un moment je ne peux plus résister à l'envie de la pénétrer.

- Anne viens, j'ai envie de te prendre, là maintenant. Mets toi sur le dos et écartes toi bien. Tu vas voir comment je vais bien te pénétrer. Il va rentrer tout seul tellement tu mouilles bien. Tu as envie ?
- Oui baises moi, fais moi tout.
Elle s'allonge en tournant le dos au bosquet et au soleil en remontant bien ses cuisses le plus écartées possible.
- Prends le avec ta main, c'est toi qui va le faire entrer dans ta chatte comme tu veux.

Je suis à genoux, penché en avant et elle se caresse les petites lèvres avec ma bite tout un moment avant de finir par la faire pénétrer. Elle pousse un léger cri de plaisir au moment où ma bite pénètre toute dure. Je me redresse un peu pour prendre une position pour bien limer sa vulve. Et je devine, presque complètement caché dans le bosquet derrière nous, un visage qui nous regarde. Le vent déplace un peu les feuilles et je reconnais la jeune Claire à son chemiser jaune, elle qu'on a croisée tout à l'heure.

Elle est visiblement seule, sans son copain. Elle a du revenir seule, poussée par la curiosité. Je fais comme si je n'avais rien vu et continue à faire l'amour. Je trouve même cela très excitant, surtout quand Anne, sous mes coups de reins, commence à gémir de plus en plus. Claire est à 3 ou 4 mètres au plus. On ne l'a pas entendu arriver avec le bruit du vent dans les feuilles. Quel spectacle cela doit être pour elle. Je ne sais pas si elle a déjà couché avec un garçon, mais là elle peut tout voir en vrai. Anne commence à se trémousser dans tous les sens. Sa respiration est haletante.

- Alain, mon chéri, encore, continues, ne t'arrêtes pas je t'en supplie. Prends moi fort, oui encore comme ça, fais moi jouir.

Et elle finit par atteindre l'orgasme et jeter son cri de plaisir en se cambrant comme un arc et je sens qu'elle coule sur ma bite, tandis que les contractions de son vagin me font un massage merveilleux. Je retombe sur elle immobile. Je n'arrive plus à jouir bien que toujours en érection, comme si quelque chose se bloquait. J'ai joui déjà trois fois cet après midi. Ceci explique cela, mais je ne devrais pas avoir une telle érection.

- Oh Alain c'était tellement bon au soleil dans la nature. Je t'aime à la folie.

On reste encore un long moment nus entrelacés au soleil. Je me redresse et n'aperçoit plus Claire qui a du s'éclipser sans faire de bruit. Je ne dis rien à Anne bien-sûr, et on décide de se rhabiller et de rentrer, car cela va bientôt être l'heure de diner.

En arrivant on a chaud et on se désaltère en prenant un grand verre de la décoction qui ressemble à du cidre. On met le couvert pendant que Laurence finit de préparer le diner à la cuisine. Pendant le diner Anne raconte à Laurence qu'on a fait l'amour dans la prairie au soleil et que c'était agréable avec cette petite brise chaude qui soufflait. Il n'y a rien d'autre à boire que la décoction préparée par Laurence. On reparle des projets d'Anne d'aller en fac de droit à la rentrée prochaine et Laurence trouve que ce serait une bonne idée qu'Anne et son amie Carole partagent un local, plutôt que de louer séparément chacune un studio ou une chambre. Cela leur couterait moins cher et elles ne seraient pas aussi isolées à Paris. A la fin du diner Laurence propose :

- Est ce que cela vous dirait d'aller à la discothèque ce soir ?
Un oui unanime jaillit en guise de réponse.
- Dans ce cas je vous y emmène à 22h30. Il est 20h30, donc vous avez le temps de vous baigner, de lire ou de regarder la télévision ou de vous reposer un peu.

Anne décide de lire au bord de la piscine, moi j'ai envie de nager un peu et Laurence veut faire un peu de rangement dans sa chambre. Il fait délicieusement bon dehors et surtout dans l'eau. Nager, qui plus est nu, c'est une bonne détente, même si je n'arrive pas à me débarrasser de cette érection. Je sors de l'eau et dis à Anne :

- Je vais prendre une douche et je redescends.
Je monte l'escalier en sifflotant et Laurence sort de sa chambre et me dit :
- Alain où vas-tu ?
- Je viens de nager et je vais prendre une douche.
- Viens plutôt dans ma salle de bains.
Et regardant mon sexe tendu :

- Tu bandes toujours petit cochon.
- Oui je ne se sais pas comment cela se fait. C'est peut être le truc qu'on boit depuis tout à l'heure qui me met en forme !
- Viens tu m'excites, je vais te doucher et m'occuper de toi.

Elle me rejoint nue sous la douche et commence à me passer du savon sur tout le corps.
- Savonnes moi aussi cela me fera du bien.
On arrête l'eau et on fait glisser nos deux corps au contact l'un de l'autre. Sensation voluptueuse de chercher à étreindre l'autre et de sentir qu'il glisse entre les bras comme une anguille.
- Tu m'excites Alain quand tu bandes comme ça.

Et elle entreprend avec sa main une caresse délicieuse de ma bite pleine de savon. De mon coté je parcours sa fente et tout autour. Mes doigts glissent en douceur.

- Oh Alain, baises moi comme l'autre jour, prends moi partout, fais moi jouir encore plus fort.

Pendant que je remets l'eau pour rincer nos deux corps, Laurence plaque sa bouche sur la mienne, me fouille avec sa langue et pétrit mon corps avec ses mains. Je sens un désir, comme bestial, qui monte en elle.

- Prends moi là maintenant dans la douche.

D'un seul coup je la soulève face à moi par ses cuisses, en écartant sa vulve avec mes doigts et la fait s'empaler sur ma bite d'un seul coup. Un grognement un peu rauque lui vient du fond de la gorge au moment de cette pénétration brutale, mais elle était déjà suffisamment mouillée pour que ma bite aille directement sans effort jusqu'au fond. Ses bras sont accrochés à mon cou et je lui soulève les fesses pour qu'elle retombe ensuite sur ce pieu qui glisse en elle. Elle s'offre sans retenue aucune, gémit de plus en plus, commence à employer des mots crus.

- Oui continues, je suis une salope, j'aime ta bite, baises moi plus fort. Encules moi maintenant, prends moi par tous mes trous comme une chienne, comme ton esclave.

Tout en la pilonnant debout, je commence avec mon index à ouvrir son autre orifice. Je lui fait lécher mon doigt à deux ou trois reprises avant de le replonger dans son anus pour le lubrifier. Sans ménagement je me détache, la fait se retourner et pencher en avant.

- Tu veux être baisée comme une salope et bien tu vas voir. Ecartes tes fesses avec tes mains que je t'enfile ma bite dans ton petit cul. Dis-le que tu as envie salope.
- Oui encules-moi, je suis une salope qui doit être baisée.
Et je m'enfonce en elle le plus loin possible, ce qui lui arrache un râle de plaisir.
- Ah c'est bon aussi quand tu me baises comme ça.

J'alterne la pénétration devant et derrière pendant qu'elle est penchée en levrette. On entend Anne qui demande :

- Où êtes vous ?

Guidée par les râles de plaisir de plus en plus fort poussés par Laurence, Anne arrive dans la chambre et nous aperçoit dans la salle de bains. Elle contemple le spectacle sans rien dire, mais commence à se caresser, excitée à la vue si proche de ce couple en furie. J'alterne plusieurs fois encore la pénétration devant et derrière.
- Hein que tu aimes te faire baiser comme ça ?
Entre deux gémissements elle répond :
- Oui, je suis une chienne, t'arrêtes pas je vais jouir.

Et d'un seul coup Laurence pousse un cri, comme un son guttural, qui surprend Anne par son ampleur. Laurence couvre totalement ma bite de jouissance, pendant que je continue encore un peu à la limer, jusqu'à ce que je sente moi aussi le basculement inexorable venir. Je dis :

- Tournes toi vite chienne, je vais te donner tout mon foutre. Je vais le faire gicler sur ton visage et sur tes seins.

Elle a à peine le temps de se retourner que je lui inonde le visage et le cou de sperme . Anne s'est rapprochée, sans dire un mot, tout près pour mieux voir les dernières pénétrations et cette éjaculation. Je l'entends soupirer comme d'admiration ou d'envie devant cette scène finale.

- Laurence ne bouges pas. Anne va s'occuper de toi. Anne, avec ton doigt tu vas ramasser toute ma jouissance sur le visage de Laurence et partout où il y en a, et Laurence te léchera le doigt pour tout récolter dans sa bouche.

Mais avant, Anne, toute excitée, ne résiste pas au plaisir de sucer mon gland pour récupérer les quelques gouttes qui restent à sortir. Ensuite elle récupère toute la crème blanche sur le visage d'Anne qui la déguste avec bonheur. Une fois fini, Laurence suce une dernière fois ma bite pour la remercier de l'avoir fait jouir. Et Anne nous rejoint sous la douche pour un rinçage collectif. Pendant qu'on se sèche, Laurence demande à Anne :

- Tu as vu comme c'est beau quand une femme jouit ? Tu voyais bien comment il me pénétrait ? Tu vois ce que c'est quand un homme sait bien te faire l'amour.
- Oui c'était super excitant de vous regarder tous les deux.
On redescend et pour se ressourcer avant d'aller en discothèque, on se prend une grande rasade de la fameuse boisson. On remonte pour s'habiller légèrement car il fait chaud, et on ne peut quand-même pas aller nus dans la discothèque, même si ici dans la maison cela ne posait plus de problème.

Laurence nous laisse à l'entrée de la discothèque :
- Amusez vous bien, je reviens vous chercher à 01h30 au plus tard. A tout à l'heure.
Comme la semaine précédente Anne retrouve des camarades de classe venus fêter les résultats du bac. Je reconnais certaines des filles et des garçons. En particulier, il y a Claire qui nous a observés cet après midi cachée dans le bois, et je remarque tout de suite Carole avec qui j'avais dansé, et dont Anne avait dit de me méfier. Carole me regarde fixement et s'empresse de venir me dire bonjour, ainsi qu'une autre de ses amies. Il fait vraiment très chaud dans cette boite et heureusement j'ai juste une chemisette et un pantalon léger. Mon sexe est toujours en érection, mais cela ne se voit pas trop dans la pénombre, sauf si on s'approche un peu près. Mais je ne peux rien y faire.

La soirée se passe bien. Je danse bien sur beaucoup avec Anne, qui me serre tant qu'elle peut, sans doute pour montrer à ses copines qu'elle est amoureuse d'un grand garçon. Mais je vois Carole qui me jette des regards appuyés chaque fois qu'elle le peut. Un moment Anne et moi allons nous asseoir pour souffler un peu, et un des copains d'Anne l'invite à danser. J'en profite pour faire un tour aux toilettes et en ressortant je me trouve nez à nez avec Carole qui me fait comprendre qu'elle a envie de danser avec moi. J'accepte bien sûr, et il se trouve que c'est le moment où la musique bascule des rocks pour enchainer sur plusieurs slows. Je ne sais pas où est passé Anne, mais peu importe. Carole se love contre moi et je lui demande :

- Alors ce bac, quel résultat ?
- J'ai eu la mention Bien.
- Bravo, félicitations. Et l'année prochaine quel est le programme ?
- Je voudrais faire médecine et m'inscrire en fac à Paris. Et toi Anne m'a dit que tu es ingénieur et que tu travailles à Paris ?
- Oui c'est cela, je suis dans une société qui fabrique des emballages en plastique.
- Et tu viens souvent à Évreux ?
- Non c'est seulement depuis que l'oncle et la tante d'Anne m'ont invité à venir le weekend il y a 15 jours.
- Et tu es venu le weekend dernier aussi. Tu étais déjà avec Anne. C'est elle qui t'a dragué ou bien c'est toi ?
- Tu es bien curieuse !
- Comment ne pas l'être avec un beau garçon comme toi ! Et puis Anne m'a raconté plein de choses sur toi cette semaine.

Ah ce moment là coupure d'électricité, on est plongé soudain dans le noir. Au milieu de quelques cris dans la foule, Carole se colle encore plus contre moi les bras pendus autour de mon cou. Elle me susurre :
- Et il paraît que tu embrasses très bien.
Et elle plaque sa bouche sur la mienne. Cette fille est très sensuelle visiblement et je me laisse prendre au jeu. La panne d'électricité dure toujours. Carole me dit :

- J'aime la façon dont tu m'embrasses. Je commence à comprendre ce qu'Anne m'a dit. Embrasses moi encore, serres moi fort.

Nos bouches se retrouvent encore dans ce noir, et je caresses doucement la poitrine de Carole à travers son chemisier. Elle appuie son ventre contre mon bassin, sans doute car elle doit sentir quelque chose de dur et de gonflé à travers mon pantalon de toile. Je caresses son dos et je la sens qui ondule en se frottant contre moi. La lumière revient et on est encore quelques secondes nos deux bouches entrelacées. Heureusement Anne n'est pas dans les parages immédiats et n'a pas pu voir cette étreinte entre Carole et moi. La musique est repartie, et pendant toute la fin du morceau, les yeux de Carole sont plongés dans les miens. Elle brûle de désir sans aucun doute, tellement elle cherche à épouser les mouvements de mon corps avec le sien. A la fin du morceau Carole me glisse :

- Jamais je n'oublierai ce baiser. Tu dois rendre folles toutes les filles.

Je me rassieds un moment à coté de Carole et de son amie Claire, et j'aperçois Anne qui danse langoureusement avec un des garçons. Elle me regarde de temps en temps, peut-être pour susciter de la jalousie chez moi. Carole se penche vers moi et me glisse :

- Le garçon, je le connais, il a déjà essayé de me draguer, mais il n'a aucune chance avec Anne maintenant qu'elle te connait.
- Je ne m'inquiète pas pour Anne, sois rassurée. Elle a le droit de s'amuser.

Carole murmure quelque chose à sa copine Claire assise à coté de moi et je comprends qu'elle a envie de danser. Gentiment je l'invite et je la sens encore toute timide, moins à l'aise que Carole avec un garçon. Je sais qu'elle nous a observés Anne et moi cet après-midi en train de faire l'amour, et c'est sans doute pour cela qu'elle a très envie de danser avec moi. Mais je fais comme si Anne et moi on ne s'était aperçu de rien.

- C'était un temps idéal pour se promener en vélo cet après midi. En plus la vue est superbe depuis le haut de la colline. Je suppose que vous connaissez l'endroit, car Anne m'a dit qu'elle y était déjà allée avec des amies de classe.
- Oui je connais bien, on y est allé ensemble souvent.
Je lui demande si sa promenade en vélo avec son copain s'était bien terminée. Elle est visiblement gênée par cette question. Tout en bavardant de tout et de rien, je l'amène à se serrer un peu plus et je plonge mes yeux dans les siens en lui souriant. Je sens un trouble chez elle, car elle a du deviner aussi cette bosse dans mon pantalon et se remémore sans aucun doute mes ébats avec Anne et ce plaisir qu'Anne a connu et qu'elle aimerait sans doute aussi connaître.
- Anne a de la chance d'avoir un ami comme vous.
Anne s'approche et me demande en riant si je drague toutes ses copines. Je la rassure et je laisse ma jeune cavalière encore toute troublée rejoindre sa copine Carole et les voit se raconter je ne sais quoi entre elles; sans doute ce qu'elle a vu sur la colline cet après-midi. La soirée se termine pour nous. Il est temps de partir car Laurence doit nous attendre dehors. Anne et moi disons au revoir aux uns et aux autres. Seule Carole ose m'embrasser sur la joue et elle me dit dans le creux de l'oreille :
- Anne a de la chance, car je suppose que tu vas lui faire l'amour :
- Oui si elle a envie.
Et on part. Laurence est bien là, très gentille de venir nous chercher si tard. Arrivés à la maison nous buvons une dernière rasade de ce pseudo cidre et montons directement nous coucher. Laurence nous dit :
- Dormez bien. Si vous n'êtes pas déjà levés, je viendrai vous réveiller à 11h.
Il est presque 2h du matin et Anne n'a visiblement pas envie de dormir. Elle enlève ses chaussures et vient s'accrocher à mon cou.
- Alain j'ai vu que tu es resté longtemps avec Carole. Qu'est ce qu'elle t'a dit sur moi ?
- D'abord elle m'a dit qu'elle avait eu la mention bien et qu'elle veut aller en fac de médecine à Paris. Ensuite elle m'a dit que cette semaine tu lui avais raconté plein de choses sur moi, mais sans me dire lesquelles. Elle te trouvait beaucoup changée depuis le dernier weekend.
- Oui je lui ai dit que j'avais fait l'amour avec toi, et que j'avais découvert le plaisir. Elle ne veut pas me croire et est un peu jalouse je pense. Je la regardais ce soir et elle voulait te draguer. Avoues qu'elle a essayé, puisqu'elle t'a embrassé sur la joue en partant ?
- Non Anne tu vois bien que c'est avec toi que j'ai envie de faire l'amour maintenant. Vas y déshabilles moi.
Et Anne rassurée se jette à mon cou et écrase sa bouche contre la mienne, tandis que chacun déshabille l'autre. Très vite nous sommes nus et Anne ne peut s'empêcher de dévorer du regard ce sexe toujours en érection. Plus rien ne nous retient et Laurence n'est pas là pour observer nos ébats. On se livre l'un à l'autre dans un érotisme débridé. Impossible de calmer enfin cette érection en faisant venir une éjaculation libératrice, malgré les multiples pénétrations. Anne a joui encore 3 fois et je rend les armes d'épuisement sans avoir encore pu jouir. Cela fait une heure qu'on n'arrête pas de faire l'amour. Cette érection permanente finit par me faire mal. Il est presque 3h du matin et il est plus raisonnable de dormir maintenant. Décidément ce breuvage est redoutable. Il rend les femmes insatiables et l'homme devient comme une machine sexuelle pour satisfaire l'appétit constant de ces dames. Je suis devenu un objet de plaisir.
- Anne je n'en peux plus, je t'en supplie il faut arrêter. Laisses moi dormir et reprendre des forces.
Je m'écroule sur le lit, tire le drap sur nous et j'éteins la lampe.

Quelle heure peut-il bien être ? J'émerge doucement pour découvrir Laurence et Anne toutes les deux à l'ouvrage. Leurs langues et leur bouches explorent tout mon membre et mes testicules. Très vite il reprend de la vigueur et se dresse fièrement à la grande satisfaction de ces dames. Chacune à tour de rôle vient poser sa chatte sur ma bouche pour que je l'explore en détail avec ma langue. L'une et l'autre mouillent de plus en plus. Et puis pour en profiter davantage l'une s'empale sur moi, pendant que je fouille l'autre avec ma langue. Elles se distribuent les rôles pour profiter un maximum de ce jouet sexuel que je suis devenu entre leurs mains. Laurence décide alors :
- Maintenant on va se mettre toutes les deux tête bêche en 69 et tu vas pénétrer celle qui est en levrette comme tu veux.
Je n'arrives toujours pas à me libérer de cette érection forcée et je lime tant que je peux en espérant faire enfin cracher cette bite qui commence à me faire mal. Chaque fois qu'elles permutent, je permute aussi pour pénétrer celle qui m'offre son orifice en levrette. Au moins trois fois on change et je n'arrives toujours pas à jouir. Laurence demande alors à Anne de bien humecter son anus et d'enfoncer son doigt pour préparer ce conduit étroit à recevoir ma bite. Je me tiens prêt à enculer Laurence. Je n'ai même pas besoin de masturber mon sexe pour le garder tout raide; il bande tout seul. Laurence n'en peut plus d'attendre et me demande de la prendre par son petit trou, pendant que Anne lui suce la chatte et mordille son clitoris. L'étroitesse du passage diminue au fur et à mesure de mes coups de reins. Laurence commence à jouir sous l'effet combiné du cunnilingus d'Anne et de la sodomie. Je sens que moi aussi je vais enfin venir. Laurence se cambre d'un seul coup et pousse comme un rugissement, tellement son orgasme est fort et je vois qu'elle coule complètement dans la bouche d'Anne. Je me retire prestement et plonge ma bite dans la chatte d'Anne qui ne tarde pas non plus à crier son plaisir.
- Ca y est je vais enfin jouir les filles, dis-je, ça vient, ça vient, oh c'est fort.
Toutes les deux se précipitent pour voir ce sexe qui va se décharger.
- Ouvrez vos bouches que je vous donne tout.
Et je décharge une quantité incroyable de sperme, comme cela ne m'était jamais arrivé, dans leurs bouches l'une à coté de l'autre pour se partager cette récompense libératoire. C'est comme si il y avait eu une accumulation maximum depuis hier fin d'après-midi que je n'avais pas éjaculé. Ensemble elle me sucent jusqu'à ce que l'érection finisse enfin par retomber. Elles fondent leurs bouches pour mieux se partager ma liqueur, tandis que je retombe épuisé, mais heureux d'être libéré du supplice de cette forme de priapisme, qui finissait par devenir presque douloureux. Elles aussi sont épuisées d'avoir autant joui depuis hier.
- Tu es un merveilleux étalon Alain. Anne et moi on a pu jouir comme des dingues.
Et pendant que Laurence me donne encore un bisou coquin sur mon sexe flétri je lui dis :
- Je soupçonne que c'est ton breuvage qui y est pour quelque chose. Avoues ? Qu'est ce qu'il y a dedans ?
- C'est un secret que j'ai trouvé dans des lettres que mon grand-père avait écrit à un ami alors qu'il séjournait en Chine. Il le tenait d'un chinois. Le breuvage a deux vertus : il permet à la femme d'amplifier son appétit sexuel et à l'homme de garder une érection quasi permanente, afin de devenir comme un objet de plaisir disponible à tout moment pour satisfaire la femme sexuellement.
Quelque part c'était l'ancêtre du Viagra.
- Décidément ces chinois connaissaient énormément de choses. Et tu l'avais déjà testé ce breuvage avant, demandais-je à Laurence.
- Non c'est la première fois, et je vois que cela est pas mal réussi.
- Tu es incroyable Laurence, qu'en dis-tu Anne ?
- Oui comme leçon d'amour cela valait la peine. C'était merveilleux tout ce que vous m'avez fait découvrir. C'est tellement bien avec toi Alain.
Fatigués, on se lave, on s'habille pour aller déjeuner de bon appétit. Ces efforts m'ont franchement épuisé et il faut que je reprenne des forces avant de rentrer à Paris. Il est bientôt l'heure de me conduire à la gare. Laurence me laisse gentiment seul un moment avec Anne. Baisers, gestes de tendresse, on n'est plus dans le désir sexuel presque bestial.
- Quand viens-tu à Paris pour t'inscrire à la fac ?
- Je ne sais pas encore, il faut que je vois avec mes parents. J'ai tellement envie qu'on se revoit quand je serai à Paris. Et toi ?
- Moi aussi.
- Alain je t'aime encore plus que la semaine dernière. Tu penseras à moi ? Tu m'écriras ?
- Oui promis mon amour.
Il est temps de repartir après ce weekend court, mais complètement déchainé. Devant la gare je remercie Laurence et lui dis combien elle a été fabuleuse d'organiser cette leçon d'amour. Et je prends Anne dans mes bras et nos bouches s'entremêlent jusqu'à perdre haleine.
- Au revoir Anne chérie.
- Au revoir Alain adoré.

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