Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 9/01/2011 par Berndubo
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Lire le chapitre 1.
Chapitre 2
Arrivé chez moi je fais un rapide déjeuner avant de m'attaquer à finir ce rapport que je dois rendre lundi matin. Difficile de me concentrer, ces images folles me reviennent sans arrêt dans la tête. En milieu d'après midi le téléphone sonne : Une seconde mon coeur bat la chamade, et si c'était Laurence qui m'appelle. Non c'était ma mère qui venait prendre de mes nouvelles, n'ayant pas réussi à me joindre hier après midi samedi, ni ce matin. J'invente que j'étais parti chez un ami.
Je finis mon rapport, me fais à diner en écoutant les nouvelles à la radio. Il est déjà 21h passées et suis un peu fatigué. Je suis en train de me coucher quand le téléphone sonne. Je reconnais tout de suite sa voix si suave.
- Mon jeune amant est bien rentré ? Je pensais à toi cet après midi quand je bronzais nue au bord de la piscine et me caressait doucement. Je t'imaginais près de moi en train de me faire plein de bonnes choses. A propos, ma nièce est venue me rendre visite. Elle en a profité pour prendre un bain de soleil. Je lui ai parlé de toi, dit que tu m'avais appris à mieux nager la brasse. Elle qui ne sait pas nager, mais voudrait bien apprendre, m'a posé beaucoup de questions sur toi, et visiblement avait l'air très intéressée et envie de découvrir ce jeune séducteur. Il y a plein d'autres choses qu'elle aimerait apprendre.
Je lui dis :
- Tu exagères, mais je ne vois pas comment je peux lui apprendre à nager, moi à Paris et elle à Évreux.
- Oui bien-sûr, mais je vais y réfléchir.
Notre conversation se poursuit un peu avec plein de mots doux et on se quitte.
La semaine se passe sans autre événement notoire et le vendredi soir le téléphone sonne. C'est Laurence qui dans une conversation très brève, sans doute parce que Jean n'est pas très loin, me dit :
- Il faut absolument que tu viennes ce weekend, j'ai une envie folle de te voir et j'ai une surprise pour toi. Jean est rentré des Etats Unis, mais il va passer le weekend en Bretagne auprès de sa mère qui s'est fait opérer cette semaine.
Interloqué par une convocation aussi soudaine, je réfléchis.
- Je peux annuler certaines choses que j'avais prévues pour samedi, mais dimanche midi j'ai promis à mes parents de venir déjeuner et je ne peux pas m'y soustraire.
- Arrives dans ce cas demain matin pour déjeuner et tu peux repartir de bonne heure dimanche matin, je te conduirai à la gare. Je te rappelle demain matin pour que tu me dises à quelle heure tu arrives à la gare. Je te quitte maintenant car Jean m'appelle. Bisous coquins pour cette nuit, à demain.
Heureusement j'avais gardé les horaires des trains, et donc pas besoin d'aller à la gare à l'avance. J'étais sûr qu'il y aurait de la place un samedi dans le train qui arrive à 11h30 à Évreux.
Comme convenu Laurence m'appelle vers 9h.
- Jean est parti de bonne heure ce matin et ne reviendra que dimanche soir. J'ai encore rêvé cette nuit à nos étreintes de l'autre jour.
- J'arrive à 11h30.
- Ok je viens te chercher. N'oublies pas ton maillot de bain, il fait un temps magnifique.
Et elle raccroche.
Pendant tout le voyage, j'essaie d'imaginer quelle peut être cette fameuse surprise dont Laurence m'a parlé. Mais aucune idée plausible ne me vient.
Elle est bien là, elle m'attend devant la gare, toujours aussi belle et désirable. Un poignée de main suffit, on ne sait jamais qui est dans le voisinage et nous voilà arrivés à la maison.
Je lui demande :
- Et cette surprise ?
- Je te le dirai après déjeuner. Viens, montes tes affaires.
Je monte avec elle, me dirige naturellement vers la chambre où j'ai couché le weekend précédent.
- Non pas cette chambre, vas dans l'autre cette fois ci pour changer.
Bon après tout pourquoi pas, elle est aussi bien que l'autre. Elle a vue sur la piscine et la salle de bain est commune aux deux chambres. Cette fois ci il y a déjà des serviettes en place.
Le temps que je range mes quelques affaires, que je regarde la piscine et le jardin par la fenêtre, Laurence n'est plus là et je l'entends qui m'appelle, visiblement depuis sa chambre.
- Tu peux venir m'aider ?
- Oui bien sûr j'arrive.
Je rentre dans la chambre, je ne vois personne. Elle surgit derrière moi :
- Fermes les yeux.
Elle me met un bandeau sur les yeux.
- Ne bouges pas. Gardes les mains dans le dos.
Je l'entends qui se déplace doucement dans la pièce.
- Vas y avance maintenant. Tu gèles, tu brûles.
Evidemment elle se déplace au fur et à mesure que je bouge lentement. Je finis par me cogner au lit
- Tu brûles de plus en plus ;
Je comprends qu'elle est sur le lit. Avec les mains dans le dos difficile de me pencher en avant sans risquer de basculer. Je décide de me mettre à genoux au bord du lit, c'est moins périlleux. Oui je brûles de plus en plus au fur et à mesure que je me penche. Et soudain je reconnais l'odeur de sa chatte déjà mouillée que ma bouche touche maintenant. Je retrouve toutes ces sensations de ma langue explorant cette grotte d'amour et j'entends ses petits gémissements de plaisir. Impossible de garder les mains dans le dos, elle s'emparent de son corps entièrement nu qu'elle offre sans pudeur. Je retrouve le contact de ses seins si fermes, si biens dessinés, mes mains n'en finissent pas de parcourir ce si beau corps sensuel. Elle plaque sa bouche sur la mienne dans un baiser passionné, me susurrant que je vais faire l'amour avec une femme que je n'ai pas le droit de voir, mais seulement de deviner, de toucher et de sentir.
Un instant je crois avoir compris la surprise : Je pense faire l'amour avec elle, mais une autre femme va se substituer à elle, que je ne verrai jamais. Non c'est bien elle Laurence qui est là, sa voix, son parfum, la douceur de ses mains et de sa peau.
J'ai toujours les yeux bandés et elle me déshabille complètement. Excitée sans doute à la vue de ce sexe tendu, qui jaillit comme un ressort de mon slip quand elle me l'enlève, elle se précipite dessus avec sa bouche et commence une fellation et des caresses sublimes. Si elle continue, je ne vais pas résister très longtemps. Elle me couche sur le dos et vient s'empaler dessus d'un seul coup, avant de me chevaucher avec fougue. Elle me fait face et je peux pétrir ses seins et son corps.
Elle sent mes réactions et s'arrête, pivote, vient poser son sexe humide sur ma bouche pour que je l'explore complètement, pendant qu'elle recommence une fellation et une masturbation qu'on n'oublie pas.
Sa vulve est trempée, elle s'écarte de plus en plus, ma langue fouille sans relâche entre ses petites lèvres et ma bouche aspire et masse son clitoris. Sa respiration s'accélère, elle arrête de me sucer, son corps se raidit, elle commence à se concentrer sur son plaisir et se lâche d'un seul coup inondant ma bouche de sa jouissance.
Mais elle n'est pas complètement satisfaite pour autant et recommence la fellation, avant de se retirer. Je ne sais plus où elle est.
- Enlèves ton bandeau, viens me baiser comme une chienne.
Elle est en levrette, toute écartée, la chatte toute luisante, elle se caresse vigoureusement le clitoris. Je plonge en elle instantanément, la prend avec fougue. Elle se tortille et crie de plaisir avec un nouvel orgasme qui dure un peu plus que le précédent et, au moment où je lui dis que je vais jouir, elle se retourne d'un seul coup pour que je lui déverse tout dans la bouche. Elle aime cela, me dit-elle, gouter mon sperme chaud. Quelques gouttes ont giclé sur sa joue, je les ramasse avec mon doigt que je porte à sa bouche et qu'elle lèche pour ne rien perdre.
Ayant repris ses esprits, elle passe rapidement à la salle de bain, s'habille et descend, m'invitant à la rejoindre pour déjeuner.
- Comme il fait chaud, j'ai préparé un repas froid dit elle, j'espère que cela te convient.
- Oui très bien.
Mais tu m'as parlé d'une surprise et tu ne m'as toujours rien dit. Et elle commence à m'expliquer pendant le déjeuner.
- Tu te souviens je t'ai parlé de ma nièce Anne, qui a 18 ans et qui vient de passer son bac. Elle est venue me voir cette semaine, on a bavardé. Je lui ai parlé de toi.
- Oui tu me l'as dit au téléphone, mais tu ne m'avais pas dit son prénom.
Eh bien, ses parents s'absentent pour le weekend et sa mère m'a demandé si Anne pouvait venir chez nous passer le weekend, ne voulant pas la laisser seule à la maison. J'ai bien entendu accepté et pensé que ce serait une occasion de la faire te rencontrer. Comme en plus Jean n'est pas là cela tombe à pic.
Je lui ai parlé de toi en des termes flatteurs et elle a manifesté de l'intérêt pour apprendre à nager.
On a évoqué aussi des sujets plus intimes, qu'elle ne peut pas ou n'ose pas aborder avec ses parents. Tu sais qu'on est assez proche et qu'elle me fait confiance pour ne pas trahir ses confidences. Comme toutes les filles de son age, elle se caresse bien sûr de temps en temps et trouve cela agréable. Mais elle s'interroge beaucoup sur le plaisir sexuel, comment s'y prendre pour faire l'amour avec un garçon. Elle a bien dans sa classe des camarades garçons, mais elle les trouve un peu gamin. Elle a bien eu un petit flirt cette année avec un, mais cela n'est pas allé très loin, quelques baisers maladroits du garçon, ne lui ont pas donner envie d'aller plus loin. Et bien sûr cela aurait été très mal vu de ses parents.
Mercredi après midi, cette semaine quand elle est venue, on a parlé un peu plus. Je lui ai expliqué un peu le corps de la femme, de l'homme. J'ai un livre avec quelques illustrations, mais je te rassure ce n'est pas le Kama Soutra, c'est beaucoup plus sage. Elle l'a emporté, pour le lire le soir en cachette dans son lit. Je l'ai revue depuis et elle m'a dit avoir beaucoup appris et avoir très envie d'essayer, et bien compris qu'il fallait que les deux se plaisent et aient une attirance mutuelle.
Ses parents vont la déposer ici en voiture tout à l'heure vers 15h. J'espère qu'elle te plaira et que si c'est réciproque, tu trouveras le moyen de lui faire découvrir en douceur le plaisir.
Voilà la surprise, voilà ton challenge si tu en es d'accord.
Apprends lui d'abord à vaincre son appréhension de l'eau. Apprends lui à nager. Ce soir après le diner je lui ai promis de vous emmener à la discothèque où elle rêve d'aller.
Je serai surprise que tu ne sois pas son type de garçon.
- Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
Après un moment de réflexion, j'accepte. Mais je ne veux pas risquer de gâcher sa première expérience.
- Pour te faire plaisir, et à elle aussi, je ferai de mon mieux, mais ne m'en tiens pas rigueur, si pour une raison ou une autre cela ne marche pas.
- Oh, je ne suis pas inquiète, tu as suffisamment d'expérience, même si tu n'es pas encore pleinement conscient du succès que tu pourras avoir auprès des femmes.
Je suis tout troublé. Comment ne pas faire d'impair ? Va t'elle me plaire ?
Laurence m'abandonne un moment dans le salon.
15h approchent, la tension monte en moi. Vais je être à la hauteur ? Vais-je décevoir Laurence ?
La sonnette retentit. Laurence me dit :
- Montes vite dans ta chambre et ne te montres pas, il faut que les parents croient que je suis seule à la maison, car j'ai dit que Jean est parti voir sa mère tout le weekend.
Je me précipite en haut dans ma chambre. J'entends plusieurs voix d'adultes, plus une voix plus jeune.
- Bon on ne s'attarde pas plus longtemps, on a de la route à faire dit sa mère. Anne, j'espère que tu seras gentille et que tu aideras un peu Laurence.
- Oui maman, promis.
- On revient te chercher dimanche en fin d'après midi.
Un bruit de porte, des pas qui s'éloignent. Plus rien. Si, au bout de quelques minutes, j'entends Laurence :
- Alain où es-tu, viens, ma nièce Anne est arrivée, descends.
Mon coeur bat à 100 à l'heure. J'arrive en haut de l'escalier en chemisette et pantalon d'été, et découvre en bas Laurence et à coté d'elle Anne qui regarde un grand escogriffe qui descend lentement l'escalier. Pendant cette descente, je n'ai d'yeux que pour Anne. Elle doit mesurer environ 1m70, mince, des jambes fines et bien proportionnées, des cheveux bruns, mi longs qui lui arrivent aux épaules, un joli visage de jeune fille.
- Voici Alain et voici Anne.
- Bonjour, lui dis-je en fixant ses yeux noisettes et sa jolie bouche bien dessinée.
- Bonjour Alain, me répond-elle avec un charmant sourire.
- Anne est ma nièce, la fille de ma soeur. Ses parents l'abandonnent le temps d'un weekend, dit Laurence en riant, et m'en confient la garde. Anne a besoin de se détendre un peu, car elle vient de passer l'écrit du bac. Les résultats c'est dans 15 jours tu m'as dit.
- Oui ma tante.
- Je vous laisse un instant, il faut que je range un peu la cuisine.
Laurence s'éclipse et me voici seul avec Anne, un peu intimidée par ce garçon un peu plus grand qu'elle, qu'elle dévisage avec curiosité.
- Alors ce bac comment cela s'est passé ? Vous avez le sentiment que ça a marché ?
Et elle commence à me parler des épreuves. Elle semble, à l'écouter, assez confiante, sauf peut être en philo où le sujet était : "Le bonheur peut-il se construire ?"
On est en pleine discussion quand Laurence sort de la cuisine.
- Vous n'allez quand même pas repasser tous les deux le bac ! Alain, aide Anne à monter ses affaires dans la chambre bleue.
- La chambre bleue, c'est laquelle ?
- Celle où tu as dormi la dernière fois.
- Oui je connais la maison dit Anne.
- Ensuite je vous suggère de profiter du beau temps et de la piscine. Vous devriez trouver chacun une grande serviette de bain dans vos chambres. Alain toi qui sais si bien nager, tu devrais apprendre à Anne. Qu'en dis tu Anne ?
- Oui j'ai un peu peur de l'eau, mais je veux bien essayer.
Je monte, accompagne Anne, qui se dirige sans hésiter vers la chambre bleue. Entre la chambre bleue et la mienne, il y a la salle de bains, à laquelle on peut accéder directement depuis les deux chambres. Je me met rapidement en maillot de bain, impatient à l'idée de donner une leçon de natation à la belle Anne.
Je redescend avant Anne, et Laurence me demande d'aller regarder dans l'appentis si le moteur de la pompe de circulation de l'eau de la piscine fonctionne bien. Je lui glisse à l'oreille :
- Ta nièce me paraît très mignonne.
De retour au salon, Anne est là en maillot deux pièces jaune avec des petites nuances de vert très sexy. Son soutien gorge révèle une poitrine bien haute, un tout petit peu moins volumineuse que celle de Laurence, mais avec un galbe tout aussi coquin. Son ventre tout plat et sa taille fine sont à l'image de celles d'une jeune fille de son age.
- Oui la pompe marche bien, dis-je.
- Parfait, je vous laisse il faut que j'aille faire quelques courses pour le diner de ce soir, Alain tu veilles à ce que Anne ne se noie pas.
- Oui sois sans crainte.
On se dirige vers la piscine et je plonge directement dans cette eau chaude. A peine suis je ressorti de l'eau que j'entends Laurence dire.
- Alain tu n'es pas raisonnable, tu vas attraper des coups de soleil. Mettez tous les deux de la crème. Anne va chercher le flacon qui est dans l'armoire de la cuisine. Je m'en vais. A tout à l'heure.
Et elle nous abandonne tous les deux.
Anne ressort de la maison et arrive au bord de la piscine avec le flacon d'huile solaire.
- Ma tante a raison, vous n'êtes pas encore très bronzé il faut vous protéger.
Elle me tend le flacon et je commence à essayer de m'en mettre sur les épaules et ensuite maladroitement dans le dos sans vraiment y arriver. Anne ne peut s'empêcher de rire en voyant mes contorsions et me dit :
- Vous n'allez pas y arriver, donnez moi le flacon je vais le faire. Allongez vous sur le ventre sur le transat.
J'obtempère avec un plaisir non dissimulé, et elle commence avec beaucoup de douceur à enduire mes épaules, mon cou, mon dos, mes reins avec des mouvements qui s'apparentent presque à des caresses. Est ce la première fois qu'elle parcourt comme cela un corps masculin, je ne peux le dire, mais elle a visiblement plaisir à repasser ses mains plusieurs fois au même endroit, comme si elle avait peur de ne pas avoir bien fait du premier coup.
Ses doigts appuient un peu plus fort sur mes cuisses et mes mollets, durs parce qu'un peu contractés.
- Voilà, de l'autre coté maintenant.
- Non vous êtes gentille, je vais le faire moi-même.
- Pourquoi tu ne veux pas, je t'ai fait mal.
Spontanément elle vient de me tutoyer, comme si on se connaissait déjà depuis longtemps.
- Non tu ne m'as du tout fait mal, tu le faisais très bien, tout en douceur, mais je ne veux pas te laisser seule à travailler.
- Eh bien pour être à égalité, tu me mettras de l'huile solaire après à ton tour quand j'aurais fini avec toi.
Je me mets sur le dos et elle continue avec autant de délicatesse à parcourir mon torse, mes bras et mes abdominaux. Son regard recoupe le mien de temps en temps, elle me sourit doucement.
- Alain tu fais beaucoup de sport ?
- Oui je nage souvent et je fais aussi un peu de course à pied.
- Ca se voit car tu es bien musclé, tu as un beau corps.
Elle a sans aucun doute remarqué une certaine bosse au niveau de mon maillot de bain, mais, soit par pudeur soit par peur, ne s'en est a aucun moment approché, ni n'a fait de remarque ou geste ambigu.
- Voilà c'est fini dit elle avec un grand sourire de satisfaction.
- Tu as les mains très douces, tu dois être experte en massage, on dirait que tu as fait cela toute ta vie ?
Elle pouffe de rire un peu rougissante, et sans doute flattée.
- Non pas du tout.
- Alors à toi maintenant ?
- Oui comme promis.
Elle s'allonge sur le ventre à son tour, et je commence à faire glisser mes mains sans effort sur son corps ferme. Elle se laisse visiblement aller. Contrairement à ce que j'avais osé huit jours avant avec Laurence, je ne passe pas mes mains sous la bretelle de son soutien gorge, ni ne lui demande de soulever son ventre pour bien enduire l'intérieur de ses cuisses. Tout reste très sage, très pudique, plein de réserve. Néanmoins j'ai pétri un peu doucement son dos et ses hanches, ce qui visiblement ne l'a pas laissée insensible.
- Retournes toi maintenant.
Depuis son cou, je descends très doucement sur le haut de ses seins. Je la vois fermer les yeux et légèrement se cambrer. Pas de geste déplacé de ma part, je fais attention, mais je ne peux m'empêcher de m'attarder sur son petit ventre plat, tout ferme, et de prendre ses hanches dans mes deux mains en pressant un peu plus au fur et à mesure que je suis ses courbes délicieuses. Sa bouche s'entrouvre à peine, et je devine qu'elle ne doit pas trouver tout cela désagréable, bien au contraire.
Elle écarte spontanément très légèrement ses cuisses pour me permettre de bien les enduire. Je glisse longuement sur ses jambes, chaque main en sens inverse de l'autre comme pour faire un étirement des muscles de sa jambe.
Elle a gardé les yeux fermés et sursaute un peu quand je lui dis :
- C'est fini jeune beauté. Prête à venir nager maintenant ?
Et je la prends par la main et tire pour la relever.
- Viens n'aies pas peur, on va aller là où tu as pied.
On descend trois marches et nous avons de l'eau à la taille.
- Viens un peu plus loin, il n'y a pas assez d'eau, on sera mieux là.
Elle me suit, hésitante jusqu'à avoir de l'eau au niveau de la poitrine.
- Là c'est parfait. N'aies pas peur tu vois bien que tu as pied. Fais moi confiance. Je vais d'abord te montrer qu'on flotte sans effort.
Et ce faisant, je m'allonge sur le dos, bien tendu, en faisant des tout petits mouvement avec les mains et avec les pieds. Je flotte évidemment sans problème.
- A toi maintenant. Ne t'inquiètes pas je te tiens, je mets ma main pour te soutenir le dos.
Elle est un peu crispée.
- Allonges toi bien.
Je la soulève, ma main sous ses reins pour bien lui montrer qu'elle ne risque pas de couler ; Elle finit par bien s'allonger dans l'eau, fait des petits mouvements comme je faisais et petit à petit je diminue la poussée de ma main sur son dos, et elle s'aperçoit qu'elle flotte.
- Tu vois ce n'est pas difficile, il faut surtout bien rester allongée et ne pas se recroqueviller, sinon on coule.
En se redressant, elle oublie qu'elle est à un endroit où elle a pied et s'accroche à mon cou, jusqu'à ce qu'elle réalise qu'elle a pied. Je l'invite à recommencer la manoeuvre deux ou trois fois. Elle prend de de plus en plus confiance en elle même, mais chaque fois qu'elle se redresse, elle s'accroche à moi, se serre contre moi pour reprendre pied. Le contact avec son joli corps est des plus agréables, le jeu lui plait sans doute.
- Viens maintenant que tu vois que tu peux facilement flotter, il faut que tu essaies de mettre la tête sous l'eau. Tiens toi au bord de la piscine, regardes moi.
Je respire une bonne fois, je m'enfonce sous l'eau en soufflant doucement par la bouche, en gardant les yeux ouverts. Je reste quelques secondes et je remonte.
Elle me regarde, hésite.
- Vas-y, ne crains rien, je suis là derrière toi pour te repêcher.
Finalement elle se lance, et remonte presque aussitôt à peine deux secondes.
- C'est bien tu vois, tu n'es pas morte, n'aies pas peur, tu te laisses aller et tu souffles lentement dans l'eau.
A ma grande surprise, elle se laisse convaincre, sans doute pour avoir fière allure devant moi, et elle reste quelques secondes sous l'eau. Je la félicite et lui dit que nous allons le faire ensemble et qu'on se regardera sous l'eau. Le challenge aiguillonne son courage, et nous voici tous les deux, nos deux visages près l'un de l'autre, à nous regarder sous l'eau. Elle remonte la première, je ressort quelques secondes après et je vois dans son regard un sourire radieux.
- Tu vois j'y arrive, c'est vrai que c'était idiot, j'avais de l'appréhension.
Tout en me disant cela elle s'approche de moi, passe ses bras autour de mon cou et s'appuie contre mon épaule. Nos visages sont tout près à se toucher, je meure d'envie de lui donner un baiser, elle sans doute aussi. Doucement je lui dis en la regardant tendrement dans les yeux:
- Tu peux être fière de toi, tu vois comme tu es courageuse.
Son visage est rayonnant.
- Viens tu veux maintenant essayer la brasse ? Tu vas voir, l'autre jour j'ai appris à ta tante à perfectionner ses mouvements. Regardes, remontes sur le bord de la piscine et regarde les mouvements que je fais. Tu as vu, viens redescends dans l'eau, tu vas commencer les mouvements de bras. Restes debout pour le moment et fais comme moi les mouvements. Tu vois que cela t'entraines en avant. Bon, maintenant tu vas t'allonger dans l'eau et je vais te soutenir. Ne fais rien avec tes jambes et tes pieds pour le moment, seulement avec tes bras.
Je la soutiens avec une main au niveau du ventre, la soulève un peu pour lui montrer qu'elle ne risque pas de couler et lui demande de commencer les mouvements de bras.
- Vas doucement, pas trop vite, appuies bien tes mains sur l'eau quand tu les ramènes. Tu vois que tu avances, je suis obligé de te suivre.
Et nous avançons petit à petit en restant dans la zone où elle a pied.
Comme tous les débutants elle fait beaucoup d'effort, avec un peu de crispation au début. Au bout de quelques mètres elle éprouve le besoin de reprendre pied et de souffler un peu.
Je la félicite, elle me sourit, fière de ce qu'elle vient de découvrir.
- Maintenant on va essayer les mouvements des jambes. C'est un peu plus difficile.
Je m'accroche au bord de le piscine à coté d'elle et lui montre comment fléchir, détendre et le fouetté de jambe et ramenant vers la position fléchie.
- Je vais t'aider et te guider au début. Fais comme moi accroches toi au bord, allonges toi bien, je te tiens.
Je suis de coté et la soutien par le ventre et lui fais bien décomposer le mouvement. Je me mets ensuite derrière elle, en lui tenant les pieds et accompagne, en le guidant, le mouvement de ses jambes. Au bout d'une dizaine de mouvements, je lui propose de reprendre pied et d'essayer cette fois bras et jambes et même temps, sans s'aider du mur.
On se met au milieu de la piscine.
- Allonges toi bien, je te tiens, vas y.
Elle commence.
- C'est bien, synchronises bien bras et jambes.
Elle avance un peu, je la soutiens de moins en moins, mais soudain une petite vaguelette lui fait boire un peu d'eau et là crispation, elle cherche à se redresser, je plonge ma main pour la rattraper et je ne sais comment je me retrouve avec ma main sur son maillot entre ses cuisses, en train de la soulever. J'ai eu le temps de sentir brièvement à travers l'étoffe, le dessin de sa fente. Aussi vite, une fois redressée, j'ai retiré ma main et une fois après avoir toussé un peu du fait de l'eau qu'elle avait bu, elle s'est accroché à moi, cette fois en plaquant bien son corps et son ventre contre le mien. Est ce le contact involontaire de ma main sur sa partie intime qui a crée ce besoin de venir se plaquer contre moi, je ne sais pas, mais j'étais très troublé, et sans doute sentait elle cette bosse contre laquelle elle venait appuyer son ventre.
Visiblement elle se sentait bien comme cela, mon visage penché sur le sien, et je crois qu'elle avait envie d'un baiser. J'étais prêt à l'embrasser quand on entend Laurence rentrant de faire ses courses.
Je repousse Anne, pour qu'il y ait un peu de distance entre nous.
- Alors cette leçon de natation ?
Et Anne de raconter tout ce qu'elle a appris, qu'elle n'a plus peur grâce à moi. Anne est visiblement radieuse et tous les deux nous sortons de la piscine.
- Si vous voulez il y a du jus de fruit et du coca cola dans le frigidaire, servez-vous pendant que je débarrasse la voiture.
Ces exercices et la chaleur ambiante nous ont donnés soif et on revient chacun avec notre verre et la bouteille de jus de fruit au bord de la piscine. On n'éprouve pas le besoin de s'essuyer avec une serviette et on s'allonge chacun sur un transat. très vite le soleil nous sèche et Laurence vient nous rejoindre avec quelques biscuits sur une assiette.
Ce goûter est le bien venu et au bout d'un moment Laurence suggère que nous fassions une promenade à vélo.
- Anne, pourquoi ne montrerais-tu pas à Alain la campagne autour. C'est très joli, c'est un peu vallonné, et vous avez un peu de temps avant diner. Anne, toi qui fais beaucoup de vélo, tu connais les chemins où nous allons parfois ensemble.
- Bonne idée, dis-je.
voyant que Anne ne manifestait pas de refus face à la proposition de sa tante.
- Prenez les deux vélos dans le garage, peut être qu'il sera un peu petit pour Alain qui est grand.
- Je me débrouillerai, ce n'est pas grave.
Nous voilà parti, le vélo est en effet un peu petit, mais nous ne sommes pas en train de faire le tour de France. Je suis Anne qui connait le coin visiblement comme sa poche. On est sur un petit chemin vicinal loin de la circulation des voitures. Il monte régulièrement, j'accélère comme pour faire la course et on arrive au sommet. Un petit bosquet s'étend de chaque coté du chemin et Anne un peu essoufflée décide de s'arrêter. On pose les vélos et elle m'entraine à la suivre à travers le bosquet.
- Viens tu vas voir comme la vue sur la vallée est belle.
Effectivement le bosquet n'est pas très large et on débouche sur une prairie d'où on peut admirer le panorama sur 180 degrés. Anne s'assied pour finir de reprendre son souffle et je m'assieds à coté d'elle. Elle laisse sa tête lentement pencher sur mon épaule et je ne peux m'empêcher de passer mon bras autour d'elle. Elle me décrit les villages qu'on aperçoit au loin, la petite rivière en bas. Elle me dit qu'elle vient de temps en temps ici avec des amis de sa classe. Elle trouve l'endroit joli, surtout quand il fait beau comme aujourd'hui. Difficile en effet de ne pas trouver le paysage reposant et varié. Certainement un lieu d'inspiration pour les peintres.
Elle me dit qu'elle se sent bien, se laisse tomber en arrière, mais, comme mon bras est passé derrière son dos, en voulant la retenir elle m'entraine aussi malgré moi. Je me retrouve le bras coincé sous son dos et donc à me pencher sur elle. Ses yeux me fixent intensément et brillent de désir visiblement. Avec mon bras sous elle je sens de légers frissonnements de son corps. C'est à l'évidence à moi de faire le premier pas. Je rapproche doucement mon visage du sien et mes lèvres se posent lentement sur les siennes. Elle ne fuit pas, au contraire elle se laisse faire. Elle est encore un peu crispée, mais je fais glisser progressivement ma langue entre ses lèvres. Je sens sa bouche qui s'ouvre petit à petit, nos langues se touchent. Ses bras s'accrochent à mon cou. C'est elle qui maintenant me tire à elle. Elle s'abandonne complètement au plaisir de ce baiser qui nous semble durer une éternité. On reprend notre souffle et elle me dit que c'est la première fois qu'un garçon l'embrasse comme cela.
- C'est agréable. Pourquoi ne m'as tu pas embrassé tout à l'heure dans la piscine ?
- J'avais envie bien-sûr, mais j'avais peur que tu sois choquée et que tu penses que je voulais profiter de la situation. Et puis si ta tante était arrivée et nous avait vus ? Regardes comme tu es belle, tes yeux, tes cheveux, la douceur de ta peau quand je te passais l'huile solaire et que je te soutenais dans l'eau. J'ai envie encore de t'embrasser.
Et joignant le geste à la parole, avant même qu'elle ait eu le temps de prononcer un mot, nos bouches se fusionnaient à nouveau. Cette fois elle était détendue, offerte, réalisant qu'elle n'était plus une petite fille sage.
- Tu es beau, tu es doux, je suis bien ici avec toi.
On est resté tout un moment, seuls au monde échangeant des baisers passionnés.
Prenant soudain conscience de l'heure qui avançait, on décide de se dépêcher de rentrer. Il était déjà 19h45 et Laurence devait se demander ce que nous faisions. Anne et moi décidons de ne rien lui dire de ce que nous avions réellement fait, mais plutôt de dire que nous avions fait un très grand tour.
On arrive environ un quart d'heure plus tard un peu essoufflés, car nous avons fait vite.
- Mais où êtes vous donc allés ? Il est déjà 8h.
- On a fait au moins 25km dit Anne. C'était super comme promenade. Il faisait moins chaud qu'en début d'après midi et il y avait un petit peu de vent sur les coteaux, ce qui ralentissait notre progression.
Pendant que Anne inventait notre circuit, Laurence me jetait un regard de temps en temps et a vite compris que nous n'étions pas allé aussi loin et n'avions pas pédalé tout le temps. Mais elle a fait semblant de nous croire, ravie sans doute que quelque chose se soit bien passé entre Anne et moi.
Le diner était prêt et le temps de nous laver les mains, nous passons à table. La conversation passe du bac, à la séance de natation, aux projets de vacances d'Anne, si elle est reçue. Anne a l'air particulièrement enjouée et gaie. Elle n'arrête pas de me regarder et de poser des questions sur ce que je fais comme métier et en dehors de la vie professionnelle.
Laurence nous a servi un bon bordeaux et un vin sucré pour le dessert, qui rendent Anne encore plus guillerette et très volubile. Le diner se prolonge, il est déjà 21h passées.
- Si vous voulez aller un peu en discothèque, allez vous habiller, car il ne faudra pas rentrer trop tard Alain doit prendre un train de bonne heure demain matin.
Anne monte rapidement pour se préparer et je finis de débarrasser la table avec Laurence, qui m'interroge sur ce que nous avons fait. Je lui raconte brièvement notre vraie promenade à vélo, et Laurence semble toute heureuse devant ce début prometteur.
- Je trouve Anne toute excitée, pleine de vie, beaucoup plus enjouée que d'habitude. Je l'observais à table et je voyais bien la façon dont elle t'écoutait et te regardait. A toi d'avoir les bonnes initiatives, au bon moment ce soir.
Elle ne m'en dit pas plus et je monte rapidement me changer. Je suis déjà redescendu, retrouve Laurence en bas qui appelle Anne :
- Que fais tu Anne ? Alain est prêt.
Anne apparaît enfin, dans une robe bustier assez courte qui lui sied à merveille ( c'était la mode des mini-jupes). Elle porte des petits talons de jeune fille sage et un léger maquillage discret qui met en valeur son joli visage.
- J'arrive me voilà.
- Tu es toute belle.
Et elle rougit un peu de ce compliment devant sa tante.
Laurence nous dépose environ un quart d'heure plus tard à l'entrée de la discothèque.
- Amusez vous bien, mais je reviens vous chercher à minuit et demi dernier carat. Ok? A tout à l'heure.
Il est environ 22h et il y a déjà beaucoup de monde. Anne retrouve évidemment quelques connaissances de son lycée. Certaines de ses amies sont un peu surprises de la voir avec un garçon qui leur paraît beaucoup plus âgé. Je les vois discuter entre elles en me dévisageant. Je ne sais pas ce que Anne peut bien leur dire sur moi. Par courtoise j'invite deux ou trois de ses amies à danser, ce qu'elles ne refusent pas, bien au contraire. L'une d'elle est visiblement très attirée par moi et aimerait bien s'abandonner dans mes bras et plus. Mais je dois garder une certaine distance au risque de rendre jalouse Anne, qui malgré tout surveille du coin de l'oeil. Justement lorsque je reviens vers Anne et l'emmène pour un slow, elle se plaque contre moi et me serre en me disant de me méfier de sa copine Carole qui court après tous les garçons. Je rassure Anne, sur mon absence d'intention avec sa copine. Anne se laisse aller de plus en plus tendrement dans mes bras. Elle me dévore des yeux et sa bouche légèrement entrouverte est une invitation au baiser. Discrètement je l'entraine dans un coin plus sombre de la discothèque, loin des regards de ses amies et la prend dans mes bras. Nos bouches se trouvent sans effort et mes mains caressent la peau douce de son dos que sa robe échancrée derrière laisse accessible.
- Tu es superbe ce soir, j'aime beaucoup danser avec toi, lui dis-je.
Elle sourit et m'offre à nouveau ses lèvres sur lesquelles je dépose un baiser.
On danse encore, on discute avec ses amies, et je réalise soudain qu'il est presque minuit et demi.
Anne voudrait rester, mais je lui rappelle que Laurence doit nous attendre et qu'on a promis d'être à l'heure.
A contre-coeur on sort, après avoir dit au revoir à ses amies. Laurence est là qui nous attend.
- Alors vous vous êtes bien amusés ? Vous avez bien dansé ?
- Oui, oui c'était très bien.
Et on s'installe tous les deux à l'arrière de la voiture, le siège avant du passager étant encombré d'un gros paquet. Sans doute Laurence avait mis exprès ce paquet pour nous amener logiquement à être l'un à coté de l'autre derrière.
Anne rapidement pose sa tête sur mon épaule, se serre contre moi, et je vois Laurence qui nous observe dans le rétroviseur.
Au bout d'un quart d'heure de route silencieuse nous arrivons à la maison.
- Vous devez être fatigués après la piscine, le vélo et maintenant la discothèque. Il est tard et Alain tu dois te lever à 8h pour ne pas rater ton train de 9h. Je viendrai te réveiller. Il est temps pour tout le monde d'aller dormir après cette bonne soirée.
Nous montons tous les trois, et Laurence nous accompagne du regard un bref instant tandis que nous nous dirigeons vers nos chambres respectives. Celle d'Anne est la première, la mienne est un peu plus loin, juste après la salle de bain qui sépare nos deux chambres. Anne ouvre sa porte et entre à moitié. Je suis là sur le pas de la porte et je lui dit :
- Bonsoir.
- Mieux que ça.
et elle m'entoure le cou de ses bras et nos bouches se fondent dans un baiser passionné.
- Tu reviendras ? Tu m'écriras ?
- Oui j'appellerai Laurence dés que je suis rentré à Paris et elle me dira comment on pourra communiquer.
Je la sens brûlante de désir, mais je la quitte, referme sa porte.
Je rentre dans ma chambre, me déshabille rapidement et ne met que mon pantalon de pyjama, car il fait très chaud. La salle de bain est libre. Je ferme la porte donnant sur la chambre d'Anne et me lave les dents. Soudain Anne frappe à la porte de la salle de bains, car elle a du m'entendre.
- Alain tu es là ? Tu peux venir m'aider ?
- Oui.
et j'ouvre la porte donnant dans la chambre d'Anne. Je la vois se tordant les bras pour essayer de tirer sur la fermeture éclair de sa robe dans le dos.
- Je ne sais pas ce que j'ai fait quand je l'ai mise tout à l'heure, mais j'ai du coincer bêtement la fermeture éclair. Tu peux m'aider ?
- Oui tournes toi vers la lumière.
Je me penche, effectivement elle est bien coincée depuis le haut, et c'est centimètre par centimètre, en tirant à chaque fois le tissu qui s'est coincé dans la glissière, que je commence à ouvrir sa robe dans le dos. Arrivé au milieu du dos je réalise qu'elle n'a pas mis de soutien gorge. Elle a chaud. Plutôt que de me plier en deux, je me mets à genoux pour débloquer les derniers centimètres qui arrivent au niveau de ses reins.
- Ca y est, enfin j'y suis arrivé.
Je n'ai pas le temps de me relever qu'elle se retourne, en me disant merci, sans avoir le temps de retenir sa robe qui tombe d'un seul coup. Anne est là, debout devant moi, ma tête au niveau de son nombril. Elle n'a que sa petite culotte. Je me relève et je l'entoure de mes bras, la serre doucement contre moi. Ses seins parfaitement dessinés avec de tout petits tétons viennent se plaquer contre mon torse.
Elle me regarde sans un mot, ses yeux brillant de désir. Lentement nos visages se rapprochent nos lèvres s'effleurent, nos bouches s'entrouvrent et commence un baiser tendre, profond. Mes mains parcourent son dos moite. Elle aussi parcourt mon dos, mon cou, de ses mains. Je sens sa peau qui frissonne, la chair de poule comme on dit.
Je la soulève, l'emporte vers le lit, elle se laisse complètement faire.
- Viens je vais te coucher et te border dans ton lit.
J'ouvre le lit d'une main ; il n'y a que le drap comme il fait chaud. Je la dépose doucement sur le lit, et comme je m'apprête à tirer le drap pour recouvrir son corps, elle repousse cette main et au contraire me tire vers elle avec ses deux mains. Je bascule, tombe sur elle et roule sur le lit à son coté.
- Restes avec moi, je veux sentir ton corps près de moi. Embrasses moi.
Elle vient se blottir dans mes bras. Je la couvre de baisers dans le cou, je mordille doucement le lobe de son oreille, pendant que ma main libre caresse ses seins fermes et dont la peau est si douce.
Avec mon doigt je fais le tour de son aréole et titille son petit téton qui devient tout dur. Elle se cambre un peu en avant comme pour me les offrir davantage et je prends ses deux globes à pleine main en les pétrissant à peine. Elle laisse échapper un léger soupir tout en fermant les yeux.
- Je t'ai fait mal ?
- Non au contraire, tes mains sont douces, j'aime quand tu prends mes seins.
Je me redresse et la contemple. Je prends chacun de ses bras et les dispose le long de son corps en les écartant légèrement, afin de pouvoir glisser mes mains sous ses aisselles. Ainsi je peux la soulever légèrement en position un peu cambrée, mettant sa poitrine complètement en valeur.
- Regardes comme tes seins sont beaux quand tu es cambrée comme ça. Regardes comme ils sont bien ronds et fermes. Tu peux être fière de tes seins et tous les garçons rêveraient de les voir.
Elle peut voir dans mon regard fixé sur ses seins, combien je la désire.
Je me penche vers elle, pose ma bouche sur ses lèvres entrouvertes et commence à baiser doucement son cou, le haut de ses épaules, en continuant à déplacer mes lèvres en direction de sa poitrine. Après de petites pressions de ma bouche autour de ses seins, je laisse ma langue explorer doucement les petites aréoles toutes roses et donner des petits coups sur ses tétons tout durcis, avant de les aspirer encore plus doucement.
Je la sens qui tremble un peu, qui soupire pendant qu'elle tire de ses deux mains ma tête, pour que ma bouche et mes lèvres s'impriment un peu plus dans ces globes si doux. Ses mains restent accrochées à ma tête, mais se laissent accompagner quand je commence à parcourir le haut de son ventre et son nombril avec ma langue et mes lèvres.
Lorsque ma bouche atteint la limite de son bas ventre et atteint le bord de sa petite culotte, en même temps que je fais remonter mes deux mains tout le long de son corps en l'effleurant, je remonte ma tête jusqu'à venir reposer mes lèvres sur les siennes et me perdre dans un baiser tout humide. Elle me serre fort contre elle et nos deux corps sont comme collés l'un à l'autre.
Reprenant notre souffle je lui dis :
- Comme tu es belle, j'aime tellement faire glisser mes mains le long de ton corps sur ta peau douce.
- Moi aussi j'aime tellement ce que tu me fais, c'est la première fois qu'un garçon caresse mon corps.
- C'est vrai ? Tu n'as encore jamais été dans les bras d'un garçon comme cela ? Tu n'as jamais fait l'amour ?
- Non je suis encore vierge.
- Tu aurais envie ?
- Oui mais j'ai un peu peur ?
- Non n'aies pas peur, fais moi confiance, je ne veux pas te forcer.
Je recommence à caresser doucement son corps et je glisse progressivement ma main en bas de son ventre. Je masse doucement son pubis à travers sa petite culotte, puis glisse mes doigts sur la partie haute des ses cuisses. Je remonte ma main et commence à glisser mes doigts sous sa petite culotte, jusqu'à toucher la hampe du clitoris et le début des grandes lèvres. Sa main s'agrippe à la mienne comme pour la retenir d'aller plus loin et je lui dis doucement dans l'oreille :
- Laisses toi faire, détends toi, je vais te caresser doucement comme tu le fais sans doute quand tu es toute seule. J'ai envie de te voir complètement nue, que tu offres tout ton corps en pleine lumière. Oublies ta pudeur et sois fière au contraire de me montrer tout ton corps. On n'est que tous les deux, toi et moi pour le voir.
Lentement je fais glisser sa culotte, sa main restant posée sur son pubis et cachant dans un dernier réflexe de pudeur sa plus secrète intimité. Avec ma main je guide son index et son majeur à caresser son clitoris. Je sens chez elle un mélange d'anxiété et d'envie d'aller plus loin.
Repoussant un peu ses doigts je glisse mon index à la place et lui dit :
- Guides mon doigt là où tu as envie, comme si c'était le tien quand tu le fais toute seule.
Elle se laisse prendre au jeu et je lui masse doucement le clitoris. Je la vois qui ferme les yeux et progressivement laisse mon doigt se déplacer tout seul. J'explore un peu plus loin en écartant légèrement les grandes lèvres pour toucher ses petites lèvres, que je sens déjà humides, mais sans chercher à pénétrer. Elle se raidit et retient ma main.
- N'aies pas peur je ne vais pas te pénétrer maintenant. Tu vois j'ai retiré mes doigts. Détends toi, laisses moi faire.
Je reviens lui donner un baiser sur la bouche.
- Avoues moi, c'était bon quand je caressais ton clitoris avec mon doigt.
- Oui, j'étais contractée, mais tu es tellement doux.
- Maintenant tu vas voir cela va être encore plus doux, fais moi confiance.
Et ma bouche vient se poser à hauteur de son sexe. Je commence par déposer des baisers avec mes lèvres tout autour, depuis le pubis, l'intérieur de ses cuisses, que j'ai un petit peu écartées pour me frayer plus facilement un chemin. Ce n'est pas aussi doux que chez Laurence qui elle est épilée. Elle se laisse faire, et ma langue commence à toucher son clitoris, par petites touches de plus en plus appuyées. Je le décalotte, le masse doucement et le contact de cette langue lui arrache quelques soupirs de plaisir. Avec mes doigts j'écarte ses grandes lèvres encore toutes serrées pour fouiller partout, autour et entre ses petites lèvres toutes mouillées.
Je reste tout un moment à parfaire cette exploration et au fur et à mesure je sens sa peau qui frissonne, les premiers tressaillements de tout son corps, sa peau qui devient de plus en plus chaude, moite de désir.
Ayant crée l'envie chez elle, je pense qu'il est temps de l'amener à découvrir mon corps avant d'aller plus loin et d'envisager la défloration.
Je remonte mon visage à toucher le sien :
- Tu as aimé ? Qu'est que c'est doux sous ma langue de sentir cette partie la plus secrète de ton corps. J'aime le goût de ta mouille.
- Oui je ne pensais pas que ce serait si bon avec la langue.
Et je l'embrasse encore une fois en la serrant dans mes bras. Impossible de masquer l'effet que son corps nu et ce cunnilingus me font sur mon pyjama. Sans dire un mot pendant notre baiser, je guide sa main le long de mon ventre pour lui faire toucher mon sexe tendu à travers mon pyjama. Elle le prend complètement dans sa main.
- Tu sens mon sexe comme il est tendu de désir. Enlèves mon pantalon de pyjama, pour le voir et le toucher.
Elle hésite un peu, doit soulever le pantalon pour laisser mon membre jaillir en liberté. Elle a un petit mouvement de recul.
- Ah, qu'est ce que c'est gros, jamais il ne pourra pénétrer.
- Non il est de taille normale, mais tout dur, car lors de l'érection, il se gorge de sang et devient plus gros et plus long qu'en temps normal. N'aies pas peur touches le, prends le dans ta main.
Elle voit également les deux testicules gonflés et un peu moins durs. Elle hésite un peu, et le prend avec ses doigts avec précaution, comme si c'était un objet fragile.
Elle commence à laisser glisser ses doigts pour mieux découvrir cette chair de forme bizarre.
- Regardes, c'est comme chez la femme avec le clitoris qui a un petit capuchon qui le protège, le prépuce recouvre le gland. Tires doucement avec tes doigts sur le prépuce et tu vas voir le gland apparaître et en remontant tu le recouvres à nouveau.
Et je guide ses deux doigts pour lui montrer le mouvement.
- Tu vois la peau du gland est plus sensible, et il faut que le gland soit décalotté pour bien pénétrer et c'est ce mouvement d'aller retour qui procure du plaisir chez l'homme.
Une fois ce bref cours d'anatomie terminé, pas question, de peur de tout gâcher, de parler de fellation. Non je la prends doucement dans mes bras de façon à ce que nos deux cops nus se touchent. On ne résiste pas au plaisir d'un long baiser, pendant lequel elle et moi laissons nos mains glisser, effleurer nos dos respectifs.
- C'est tellement bon de sentir ton corps nu collé contre le mien. Et toi tu aimes ? J'ai envie de toi comme un fou, de t'embrasser partout avec ma bouche. J'ai envie de te faire complètement l'amour, de te prendre. Laisses moi faire, n'aies pas peur.
- Oui mais la première fois on dit que cela fait mal. J'ai envie aussi, mais j'ai peur.
- Laisses toi aller, je ferai tout doucement. Je ne veux pas que tu aies mal.
Et sans plus attendre je recommence à descendre avec ma bouche le long de son ventre pour rapidement reprendre avec ma langue l'exploration minutieuse de sa chatte. Mes coups de langue se font plus précis, alternant doucement et plus appuyés. Elle commence à se détendre. Mon index se fait de plus en plus précis en parcourant de haut en bas la fente entre ses petites lèvres. Il glisse tout seul, déjà tout lubrifié. Doucement, lentement il progresse jusqu'à cette ouverture étroite encore fermée par son hymen. Elle a une respiration de plus en plus saccadée, et en même temps elle devine que l'instant fatidique est proche. Je pousse mon index un peu plus fort, sent une petite résistance qui finit par céder, ce qui lui arrache un petit cri et provoque un resserrement de ses cuisses.
Je laisse mon index immobile, pour que les muscles de son vagin s'habituent à sa présence. Très doucement je commence un très lent mouvement de va et vient, et ma langue recommence à masser son clitoris.
A part son petit cri, la défloration n'a pas été trop douloureuse, son hymen devait être très fin. Mes coups de langue et le mouvement de mon doigt commencent visiblement à lui procurer un certain plaisir, à voir comment elle laisse son corps bouger et poser ses mains sur ma tête. Je décide d'interrompre momentanément cette première pénétration, ressort mon doigt qui a très peu finalement de trace de sang.
Je lui montre mon doigt et lui dit :
- Maintenant tu es une femme.
Elle est heureuse, me sourit et je pose mes lèvres sur les siennes tout en douceur, tout en serrant son corps dans mes bras le plus fort possible. Dans cette position mon sexe touche le sien et elle le sent. Je lui murmure à l'oreille :
- Viens j'ai envie qu'on se prenne maintenant complètement, j'ai envie de me donner à toi.
- Oui viens, prends moi, fais moi l'amour, je n'ai plus peur, je t'aime.
Je laisse glisser mes mains le long de son cou, pétris doucement ses seins tout un moment avant de glisser sur son ventre et d'écarter petit à petit ses cuisses. Elle devance même mes attentes et s'offre d'elle même en s'écartant. Lentement je m'approche, mon sexe tendu, le gland turgescent déjà décalotté. J'écarte délicatement ses grandes lèvres et commence à faire glisser le gland le long de ses petites lèvres toutes humides pour qu'il soit bien humecté. Son regard fixe cette préparation progressive et tout doucement mes reins poussent en avant, pour que le gland commence à pénétrer cette vulve déjà ouverte et franchir l'ouverture du vagin. Elle a encore un petit cri, mais je poursuis la pénétration sans problème. Un fois pénétré au maximum, je reste quelques secondes immobile et lui murmure :
- Ca y est je suis complètement en toi, je sens tes muscles qui enserrent mon sexe, c'est divinement bon. Et toi tu n'as plus peur ? Tu aimes ?
- Oui je n'aurais jamais imaginé cette sensation de ton sexe au fond de moi.
Et en même temps je commence le va et vient de l'acte sexuel, doucement, puis plus vite. Elle commence visiblement à éprouver du plaisir. Je guide son doigt et l'invite à se caresser en même temps, et là il ne faut pas longtemps pour que la conjugaison de la pénétration et de la masturbation l'amène à son premier orgasme. Ce n'est plus un cri de douleur mais un cri syncopé de bonheur. Son corps transpire ; il est tout moite, elle ne contrôle plus ses mouvements pendant quelques secondes. Je sens quelque chose qui coule tout autour de mon sexe qui reste dur au fond d'elle. Une fois son souffle repris, je l'embrasse sur la bouche comme un fou et lui dit
- Viens j'ai encore envie de te faire jouir.
- Oui fais ce que tu veux, oui encore je t'en supplie, je t'aime.
Et je recommence doucement, puis de plus en plus fort à la pénétrer. Elle relève d'elle même ses cuisses pour mieux s'écarter encore et sentir la pénétration. Le contact de ce vagin si étroit mais tellement lubrifié par son orgasme, m'excite comme un fou :
- Oui encore, encore, ne t'arrêtes pas, continues, j'aime ça, oui, oui.
et elle n'a pas le temps de finir, qu'elle jouit à nouveau et que dans l'instant qui suit ne pouvant plus résister je me retire précipitamment, à temps pour faire gicler tout mon sperme sur ses seins et sur son ventre en poussant moi aussi un cri de plaisir.
Je m'écroule à coté d'elle sur le lit, mets quelques secondes à reprendre mon souffle et vient poser mes lèvres sur les siennes.
- Je ne pensais pas que ce serait si beau de faire l'amour.
- Tu ne regrettes pas, tu ne m'en veux pas ?
- Non j'avais envie depuis quelques temps, je voulais essayer. Mais déjà tout à l'heure dans la piscine j'ai commencé à avoir envie que ce soit avec toi. Tu es beau, tu es tellement doux. Tu as été tellement merveilleux. Je n'oublierai jamais cette première fois.
- Tu le diras à Laurence ?
- Non je n'en parlerai à personne, c'est un secret entre nous.
Pendant cet échange je caressais doucement sa peau et, passant mes doigts sur ses seins que j'avais en partie aspergé, je lui dis :
- Regardes, touches ce liquide un peu blanchâtre, il est encore tout chaud. Je me suis retenu, car je ne voulais pas rester et jouir en toi.
Elle le touchait avec ses mains, les frottait pour l'étaler un peu sur son ventre et ses seins.
- Je vais chercher un gant de toilette à la salle de bain pour t'enlever toute ma jouissance.
Avec le gant imprégné d'eau chaude, j'entreprends d'enlever toutes ces traces et je l'essuie avec une serviette toute propre.
- Je suis si bien.
- Anne sois raisonnable, il faut qu'on dorme maintenant, il est bientôt 2h du matin et je dois me lever à 8h. Je vais retourner dans ma chambre, car Laurence doit venir me réveiller.
- Non restes avec moi, je t'en supplie, je veux dormir dans tes bras.
- Mais qu'est ce qu'elle va dire demain matin, si elle me trouve dans ton lit ?
- Je m'en fiche, restes avec moi, embrasses moi.
- Ok mais maintenant j'éteins la lumière et on dort. Bonne nuit.
Et Anne s'endort la première, toute heureuse de sa première nuit d'amour, et je ne tarde pas a tomber aussi dans les bras de Morphée, moi aussi plein de cette ivresse de lui avoir procurer du plaisir.
Dans mon sommeil, je sens comme une main qui caresse mon sexe et finit par me réveiller. Je remue la tête et une main se plaque sur ma bouche et une voix me murmure à l'oreille "Chuut". Non ce n'est pas Anne qui me réveille, je l'entends qui dort à poings fermés, mais Laurence qui est entrée dans la chambre et me tire du lit sans faire de bruit.
- Viens avec moi dans ma chambre, fermes doucement la porte pour ne pas réveiller Anne.
A moitié réveillé je ne réalise pas encore complètement ce qui m'arrive, mais je suis Laurence qui me tire par la main. Je la suis, nu, dans le couloir sombre, et arrivé dans la chambre, elle ferme la porte, enlève sa chemise de nuit transparente, s'allonge sur le lit, s'écarte complètement et dit :
- Viens, baises moi, baises moi comme une chienne, comme une salope, fais moi jouir.
Je me souviens de nos étreintes, mais pas de ce langage cru, nouveau, mais qui traduit un désir animal, immensément physique. Je ne peux lui refuser cette demande et plonge ma langue dans sa chatte qui ruisselle complètement. Je pétris ses seins, tout en dévorant sa chatte et sa jouissance, en mordillant son clitoris tout excité, pour rapidement lui arracher un premier orgasme. A peine remise, elle m'allonge sur le dos, colle à nouveau sa vulve sur ma bouche et comme l'autre fois, entreprend une fellation à réveiller un mort. Difficile de ne pas retrouver rapidement de la vigueur avec un tel traitement et, quand elle juge mon sexe suffisamment dur, elle se redresse, se décale et m'invite à la baiser en levrette. Pas de problème pour rentrer dans sa chatte trempée, et très vite elle atteint encore un premier orgasme, suivi peu après d'un second, car j'ai continué à la pilonner sans répit. Je m'arrête sans avoir joui.
- J'aime tellement quand tu me baises comme cela. Tu me fais tellement jouir, je ne peux pas résister à ton corps et au plaisir que tu me donnes. J'étais tellement excitée, car je vous ai regardés, toi et Anne depuis que tu es rentré dans sa chambre, jusqu'à ce que tu la fasses jouir. Tu te souviens du miroir sans tain que je t'ai montré la dernière fois. Je vous ai regardé et je me suis caressée comme une folle en vous regardant.
Je comprenais maintenant pourquoi elle avait voulu que Anne dorme dans cette chambre, faisant le pari que si je devais faire l'amour avec elle, cela se passerait dans la chambre d'Anne.
- Tu as été parfait, et je suis tellement contente qu'elle ait joui pour son premier acte sexuel. Tu es un amant et un professeur merveilleux. Elle qui avait envie et m'en parler depuis quelques temps, elle doit être comblée. Maintenant tu vas retourner te coucher avec elle, et comme tu as su te retenir et ne pas jouir avec moi, tu as gardé des forces pour demain matin. Je viendrai discrètement te réveiller à 7h, pour que tu la réveilles en douceur et lui refasses l'amour. Arranges toi pour qu'un peu avant 8h tu retournes dans ta chambre et que je viennes officiellement te réveiller dans ta chambre. Autrement si tu la laisses dormir et que tu pars sans lui avoir dit au revoir, elle sera surement très déçue.
Sur ce elle me serre dans ses bras, me laisse encore caresser ses seins superbes et elle prend encore une fois dans sa bouche mon sexe qui vient de la faire jouir. Je la quitte, me recouche à coté d'Anne, dont je sens le corps tout chaud, et qui doit être plongée dans je ne sais quel rêve coquin. Et je m'endors très vite.
Je ne sais pas quelle heure il est, la chambre est encore plongée dans l'obscurité, seule la porte de la chambre est entrebâillée et apporte un peu de la lumière du couloir. Encore tout engourdi, je me réveille petit à petit avec la bouche de Laurence qui s'occupe sur mon sexe, pour lui donner de la vigueur. Dès qu'elle sent qu'elle l'a réveillé, elle me glisse à l'oreille :
- Il est 7h, occupes toi d'Anne, je reviens à 8h dans ta chambre cette fois ci.
Elle s'éclipse, referme la porte et me laisse dans le noir. Anne dort sur le coté paisiblement sous le drap. Je le soulève et commence à caresser son corps. Doucement je lui glisse plusieurs baisers dans le cou, derrière l'oreille, en même temps que j'effleure le mamelon si doux de son sein.
Elle s'étire, se retourne sur le dos et commence à réaliser que je suis à coté d'elle.
- Oh Alain, c'est bon, embrasses moi, prends moi dans tes bras, j'ai envie de toi, fais moi l'amour, c'était tellement bon hier soir.
Elle n'a plus peur, et au contraire se prend au jeu, commence aussi à caresser mon corps.
- J'aime quand tu m'embrasses les seins et aussi ta langue sur ma vulve. Fais moi comme hier, j'ai envie.
Je ne peux qu'accéder à ses désirs, d'autant qu'elle s'offre totalement, libérée de cette appréhension qu'elle avait encore hier soir la première fois, et au contraire cette fois ci impatiente de ressentir le plaisir. Dans le noir c'est encore plus excitant, car on ne voit pas ce que l'autre va faire, on imagine, on devine. Je la couche sur le ventre, caresse son dos, ses fesses et ses cuisses que j'écartes bien, tout en l'amenant à soulever son bassin et à bien se cambrer. Dans cette position, je peux explorer à ma guise et donner des petits coups de langue autour de l'anus et tout le long de sa fente qui commence à être toute mouillée. Elle commence à gémir et s'écarte d'elle même un peu plus pour que je la pénètre davantage avec ma langue. Je glisse sa main sous son ventre et elle commence à se caresser. Elle mouille de plus en plus. Je m'allonge le long d'elle, tête bêche, soulève sa jambe pour la faire passer par dessus ma tête. Elle se retrouve allongée sur moi et j'enfouis mon visage et ma bouche entre ses cuisses, pour que ma langue continue facilement à fouiller entre ses petites lèvres.
Je ne dis rien et attends ce qu'elle va éventuellement faire. Va t'elle oser seule toucher, prendre mon sexe avec ses doigts. Je sens ses mains qui se posent doucement sur mon ventre et qui s'avancent progressivement le long de mes hanches et sur mes cuisses. A t'elle peur, n'ose t'elle pas ? Non elle voulait sans doute se repérer dans cette obscurité, car de mes cuisses elle remonte sur mes testicules et finalement trouve mon sexe tendu plaqué sur mon ventre. Elle le soulève délicatement avec sa main droite en le prenant par le milieu et commence à faire glisser ses doigts comme je lui montrais hier soir. Il se décalotte tout seul et je sens en même temps son souffle chaud tout près. Elle vient de poser sa bouche sur mon nombril et commence à embrasser mon ventre. Va-t'elle oser aller plus loin ?
Je continue à gouter son nectar avec ma langue et ma bouche et, alors que je ne m'y attendais pas, sa langue vient au contact de mon gland, suivie par ses lèvres qu'elle fait glisser de chaque coté.
Je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement de plaisir.
- Anne tu es folle.
Sans doute se sentant mise au défi devant ma réaction, elle commence une fellation un peu maladroite.
- Ne serre pas tes dents, c'est sensible, juste avec tes lèvres et ta langue. Ah oui comme ça maintenant c'est bon.
J'arrête de m'occuper de sa chatte, pour me concentrer sur ce qu'elle me fait.
- Ah oui continues, c'est bon, vas un peu plus loin avec ta bouche, oui doucement comme ça.
Heureuse sans doute d'avoir pris l'initiative et de découvrir qu'elle peut me procurer du plaisir, elle continue avec application. Je me laisse faire complètement, et elle le sent bien.
- Oh c'est bon mon amour, je te le donne, il est pour toi. Tu m'excites comme un fou, j'ai envie de toi, de te prendre maintenant. Il faut que tu arrêtes sinon tu vas me faire jouir. Viens sur moi. Retournes toi et tu vas le guider en toi comme si tu voulais t'empaler sur lui.
Je l'aide à pivoter et tenant mon sexe pour le redresser, je laisse Anne se reculer jusqu'à ce qu'elle sente qu'il touche sa vulve. Je frotte un peu le gland entre ses lèvres, à la fois pour les écarter un peu et le lubrifier. Je sens à ses soupirs qu'elle est toute excitée à l'idée de venir sur moi.
- Vas y enfonces toi doucement, c'est toi qui dirige comment tu veux que je te pénètre.
Et elle commence à s'empaler doucement de plus en plus loin, jusqu'au bout. Tout son corps frémit, elle s'est redressé un peu, ce qui me permet de prendre ses seins, et de les pétrir doucement. J'entends un soupir de plaisir quand elle reste immobile, mon sexe ayant pénétré en elle le plus loin qu'il pouvait. Je la tire par les épaules et le cou vers moi, jusqu'à écraser sa bouche contre la mienne. Nos langues jouent ensemble pendant ce baiser interminable, tandis que je reste immobile planté au fond de son intimité. Lentement je commence à bouger mes reins et elle m'accompagne dans ce mouvement, peu à peu en parfaite osmose. Je ne sais combien de temps on se pénètre dans cette position, mais je sens à sa peau qui transpire et aux frissons de son corps que le plaisir monte petit à petit. D'elle même elle accélère le rythme, et je sens que si on continue, je n'aurais pas le temps de me retirer et que je ne pourrai pas me retenir très longtemps.
Sans la prévenir je la retourne d'un seul coup tout en restant en elle et c'est moi maintenant qui suis sur elle et peut contrôler la situation. Elle s'abandonne totalement, se trahissant par ses râles de plaisir et l'agitation de tout son corps. Je ne peux plus résister à la pénétrer de plus en plus fort devant cet orgasme qui se libère en elle, ses cris de plaisir ; je vais exploser moi aussi, et je me retire juste à temps pour faire gicler une fois de plus ma semence sur son corps et m'écrouler de tout mon poids sur elle, au risque de l'étouffer.
On reste tout les deux comme inanimés un bon moment, avant que je l'embrasse doucement dans le cou, sur son front, ses joues et finalement sa bouche.
Tout s'est passé dans le noir. J'allume la lampe de chevet, n'ayant aucune idée de l'heure. Il est 7h45, cela fait presque trois quart d'heure que nous faisons l'amour. Maintenant elle peut voir mon visage au dessus du sien, tout près. Ses yeux rayonnent de bonheur.
- Oh Alain, je t'aime à la folie ; c'était bon, tellement fort.
- Pour moi aussi c'était merveilleux. Je n'aurai jamais imaginé que tu oses prendre mon sexe dans ta bouche. Tu l'aurais fait si on n'avait pas été dans le noir ?
- Peut-être pas, car comme ça, je ne voulais pas que tu me vois, et puis j'ai pensé que avec ta langue c'est si doux quand tu me lèches, que peut être cela te ferait la même chose.
- Oui c'est effectivement la plus belle des caresses qu'une femme puisse faire à un homme. Le gland est tellement sensible que cela crée une excitation immédiate chez l'homme. C'était fabuleux dans le noir comme ça. Tu as aimé toi aussi ?
- Oui c'était très doux dans ma bouche. Prends moi encore dans tes bras, j'ai pas envie que tu partes.
- Regardes l'heure il est bientôt moins 10, il faut que j'aille dans ma chambre dans mon lit, Laurence va arriver pour me réveiller.
Je lui donne un dernier baiser et me lève.
- Oh regarde on a fait plein de tâches sur le drap. Essaies de passer un peu d'eau tout à l'heure quand tu te lèveras, sinon que va dire Laurence, elle le verra forcément.
- Oui je le ferai. Mais tu m'appelleras, tu m'écriras ?
- Oui promis, Laurence a mes coordonnées, tu lui demanderas. Je me sauve. Je passe par la salle de bains. Eteins la lampe dès que je suis dans la salle de bains.
Quelques minutes après m'être couché dans mon lit, j'entends Laurence marcher dans le couloir et frapper à ma porte. Sans aucun doute Anne a aussi du l'entendre, car elle n'a pas encore du se rendormir déjà.
- Alain il est 8h. prépares toi.
- Ok merci je me lève.
Je prends rapidement une douche, m'habille, fait mon sac et je descends. Laurence est déjà en bas dans la cuisine, avec le petit déjeuner prêt.
- Alors les coquins, vous avez fait ça dans le noir. Je n'ai pas pu vous voir, mais j'ai entendu des bruits correspondant à un grand plaisir pour tous les deux visiblement. Alain, je suis content de toi et ne sais comment te remercier de lui avoir fait découvrir le plaisir. Je vais voir ce qu'elle va me dire quand elle se réveillera. Je vais la laisser se reposer.
- Laurence, je lui ai promis de lui écrire ou de lui téléphoner, mais je comprends que ce n'est pas possible chez ses parents. Comment faire ? Elle peut m'écrire ou me téléphoner, mais dans l'autre sens ?
- J'ai une idée : Si tu veux lui envoyer une lettre, mets la dans une enveloppe que tu cachètes, et tu la glisses dans une autre enveloppe à mon nom et mon adresse. C'est moi qui relève le courrier, car il arrive quand Jean est au travail, donc pas de risque. Je peux alors l'appeler, elle peut venir à la maison chercher ta lettre, sans éveiller de soupçon chez ses parents. Pour le téléphone, c'est plus compliqué, je réfléchirai.
- Laurence tu es super. J'ai passé un weekend court, mais fabuleux, dommage que je doive rentrer si tôt.
Le petit déjeuner terminé, on se prépare à partir pour la gare. C'est bon, il est 8h35 et il faut au plus un quart d'heure. Avant de monter en voiture, je prends Laurence encore une fois dans mes bras, caresse son corps et l'embrasse passionnément sur la bouche.
- Tu es belle, tu es une femme merveilleuse, je t'adore.
- Moi aussi je t'adore
Nous ne dirons plus un mot jusqu'à la gare.
- Rentres bien. Sois sage à Paris. Je t'appellerai.