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Proposée le 2/11/2010 par Zoltan
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Moi c'est Michael, elle c'est Léa mon jouet, mon sextoy préféré. Elle aime me faire plaisir, j'aime l'humilier et la dominer. Je demande, elle s'exécute, ça marche comme ça et pas autrement. Une petite chienne obéissante croyez vous, cela n'a pas toujours été le cas. J'ai tout simplement réussi à la briser pour mieux la contrôler, aujourd'hui elle est très docile.
Le déroulement de ce récit sera suivi de nombreuses suites, toutes les révélations sont tirées de faits réels et vécus. Cependant pour vous permettre une lecture plus jouissive, quelques éléments seront ajoutés et fictifs. Néanmoins la réalité des faits restera inchangées en terme des lieux et des situations, simplement quelques éléments viendront se greffer pour augmenter votre plaisir. Notamment sur les sensations éprouvées par Léa, je ne suis pas dans sa peau donc je suppose ses ressentis. Les prénoms diffères également, par respect pour ma femme mais aussi pour mes amis. J'espères que mon récit vous plaira, il est toujours difficile d'écrire une histoire, même vécue. Je n'ai aucune expérience en rédaction de roman, soyez indulgents si mes propos vous paressent mal tournés ou mal écrits. J'espère pouvoir améliorer mes vers au fil de ce récit, si vous avez des conseils d'écriture ou si vous souhaitez m'encourager à poursuivre, je suis preneur, merci.
Léa: jolie petite brune "1m65" les cheveux aux épaules "à l'époque", des yeux noisette, une taille fine "un petit 38", le teint légèrement halé, des lèvres veloutées pas trop épaisses, une jolie petite poitrine "90B" aux mamelons roses, son triangle intime légèrement pileux en ticket de métro "à l'époque", ses fesses bien ronde, petites et fermes.
Pour commencer je sais que vous attendez avec impatience des propos torrides, mais je pense qu'une petite présentation en guise de préliminaire vous permettra de mieux la connaitre, de mieux nous connaitre. Je suis parti de zéro avec elle, Léa etait une jeune femme de 25 ans à l'époque sans prédisposition à l'exhibition ainsi que dans les pratiques sexuelles disons non conventionnelles. Cependant, Léa n'était pas une femme timide loin de la. Invités chez un couple d'amis, c'est là que la magie a eu lieu. Léa était et est toujours l'amie d'Eva la femme de mon pote Olivier. Elle aussi sort d'une relation houleuse, célibataire depuis 3 mois Léa ne recherchait pas une relation amoureuse. Au fil de la soirée, soit disant au passage les amis qui arrangent des rencontres entre leurs amis célibataires me fait toujours autant sourire, Un ressenti réciproque s'est créé entre moi et Léa, c'est justement cette situation ambigüe qui nous a rapprochés "comme quoi". Au fil de la soirée donc, nous discutions tous ensemble sur quelques banalités de l'actualité. Puis de fil en aiguille, nos propos vinrent plus personnels avec Léa. Nous parlons de nos vies respectives, de nos émois amoureux puis de nos attentes en amour. Léa était vraiment ravissante, elle portait une petite robe de soirée noire. Un modèle classique assez courant, des fines brettelles, un léger décolleté, le tissu lui arrivant à ses genoux et une paire de sandalle élégante couleur perle, maintenue par deux ficelles tournant autour de ses chevilles. Sans aucune provoquation elle se tenait face à moi, souriante et amusée. Les yeux pétillant sous l'eclairage de la pièce, et très certainement par l'alcool consommé. Plus je la regarde dans ses yeux noisette, plus je craque pour elle. Olivier mon ami me connait depuis le lycée, il me donne un léger coup de coude puis ce lève. Il me propose de venir avec lui pour servir les desserts à ces jeunes dames, je le suis dans la cuisine. Il me demande mes premières impressions sur Léa, je lui raconte alors le plaisir d'avoir fait la rencontre de cette jeune femme. Olivier sourit, il me connait que trop bien. Il me dit qu'il savait qu'elle me plairait, une jolie petite brune douce et souriante. Je rougis un peu, c'est vraie qu'elle est craquante. Il me donne une crème brulée et me dit que Léa est une fille bien, que nous ferions un beau couple. Olivier passe la porte et se dirige vers Eva, il dépose le petit pôt de crème brulée et embrasse tendrement sa femme. Moi je le précède de quelques pas et me dirige en direction de Léa, elle me suit du regard, je suis un peut perdu. Je dépose alors ce fameux pôt de crème devant elle, ses yeux dans les miens elle sourit et me remercie. Léa pose délicatement sa main sur mon avant bras caressant distraitement celui-ci du bout des doigts, un geste anodin certes mais qui me perturbe. Le contact de sa peau sur mon bras me fait frissonner, je souris à mon tour puis retourne dans la cuisine. Olivier me tend un autre pôt, je le regarde puis discrètement je lui demande si il pense que j'ai une chance avec elle. Il me rétorque que Léa doit être également intéressée par moi, il me dit pour me conforter que sa femme lui a sussurée à l'oreille que la jeune femme m'apprécie également. Sur ces mots nous retournons auprès de la gente féminine, les filles bavardent entre elles. Je reprends place sur ma chaise, Léa a déjà terminé sont dessert. Je mange le mien, je sens le regard de Léa sur moi. je relève la tête, les yeux pétillant elle me dit que j'ai de la crème aux coins des lèvres. Elle sourit tendrement, je me sens bête. Mon expression du visage la fait rire, elle prend sa serviette de table et me la tend. Olivier lui rétorque l'air amusé, "Eponge lui donc la bouche tu ne vois pas que tu le trouble..." (le salaud). Léa sourit puis me dit, "Viens voir maman mon petit" puis un fourire général éclate. Léa me fait un clin d'oeil l'air de dire "Je plaisante.", je lui souris à mon tour. La soirée touche à sa fin, nous quittons tous deux l'appartement sous l'oeil amusé de nos convives. Sur le trottoir nous rejoignons nos voitures, Léa me dit qu'elle a passé une bonne soirée. Je lui répond que pour moi cette soirée passée à ses cotés était très agréable, elle sourit. Nous arrivons à hauteur de ma voiture, j'actionne le deverouillage automatique des portes pour lui faire savoir que ma route s'arrête ici. Nous nous faisons la bise, je lui demande si elle accepterait de diner avec moi un soir. Elle me répond d'un regard puis fouille dans sont sac à main, elle griffonne sont numéro de portable sur un morceau de papier. Léa me tend celui-ci et me dit qu'elle est libre dans la semaine, je lui dis que je l'appelerai dans ce cas. Un dernier regard, un dernier sourire puis Léa traverse la route et rejoint sa voiture.
Voilà pour la petite anecdote, il s'en suit un coup de téléphone suivi d'un diner puis d'un autre. Nous avons beaucoup échangés de texto entre nous, et les choses se sont faites naturellement. Pour le reste cela reste la naissance d'un couple, avec toutes les banalités que cela suscite.
La description très subtile que j'ai fait de Léa est volontaire, je vous raconte comment j'ai ressenti cette rencontre. Ainsi fait ce que j'ai retenu d'elle pour ce soir là, sa tenue, son regard, son sourire et la douceur de sa peau. Comme je vous le disais, une jeune femme en rien provoquante même lors de nos sorties suivante en tête à tête. Je vais vous épargner toutes ces fois où nous avons fait l'amour comme d'autres lors de ces moments d'intimité, c'est à dire avec tendresse et beaucoup de sentiments. Je vais vous racontez la première exhibition de ma femme, celle qui a entraîné de nombreuses autres situations coquines et peu conventionnelles. Je vous souhaite une agréable lecture...
Léa sur notre terrasse
Un soir, il devait être vers les 23h je pense. J'ai eu envie de la prendre mais pas seulement, j'avais le désir de l'exposer à la vue des autres. J'étais tout exité à l'idée que l'on puisse la voir nue et gémissante, cependant nous vivons tous deux au 4ème étage dans un immeuble redonnant sur un squat (petit jardin) puis sur une partie de la rue. La prendre sur le balcon reste l'option la plus évidente, par conséquent les lumières allumées sur notre petite terrasse nous pouvons êtres vues sans problème. Léa est sur le sofa, regardant la télévision, une série américaine à succès "les experts". Moi j'ai d'autres projets pour elle, une enquête special qu'elle devra mener avec doigté. Les genoux collés à son menton, elle ronge ses ongles, son petit carré plongeant cache une partie de son visage. Je m'approche, elle tourne sa tête et me regarde à présent. Un sourire aux lèvres, elle avance sont visage et me tend sa bouche en plissant ses lèvres dans l'attente d'un petit bisous. Je l'embrasse, dans les yeux l'un de l'autre, elle est magnifique, nous nous embrassons langoureusement cette fois-ci. Elle me caresse tendrement la nuque, moi je lui caresse son sein nu sous son pyjama. Son sein est tendre sous mes doigts, je lui agripe le mamelon. Je sent son téton durcir, tout comme moi Léa ne serait pas contre une petite partie de jambes en l'air. Je lui murmure à l'oreille de ce mettre nue devant moi. Elle commence par vouloir retirer son sweet-shirt, je lui demande alors de ce mettre debout face à moi pour faire cela. Les pieds nues en pyjama gris souris, Léa me fait face, elle retire élégamment sont sweet. Ses petits seins pointent vers moi, un petit 90B mais néanmoins très exitant. Ses petits tétons bien roses pointent joyeusement, elle se caresse le ventre pour venir sur l'elastique de son pentalon en coton. Le tissu glisse sur sa peau, le pentalon à ses chevilles je vois le triangle de sa culotte blanche en satin. Elle retire le tissu à ses pieds nues et plonge la main dans sa culotte, Léa se caresse un court instant. Je la contemple silencieusement, ses doigts dansant à l'intérieur de sa culotte. Elle se retourne m'offant ainsi la vue sur ses petites fesses bien rondes. Elle place ses pouces à l'intérieur de sa culotte, de chaque côtés de celle-ci. Léa fait glisser lentement le tissu se penchant en avant, la courbe de sa croupe se dessine devant moi laissant percevoir un bout de son vagin. Je bande bien dur à présent, le fait de savoir où je vais la prendre m'exite d'avantage. Léa me fait face sa culotte à la main, je me lève et prend son sous-vêtement que je mets dans la poche de mon short. Elle m'embrasse à nouveau, je lui prends la main et me dirige avec elle en direction de la porte fenêtre. Léa me regarde et me demande ce que je fais, j'ouvre la fenêtre et lui rétorque qu'elle prendra du plaisir sur le balcon. Quelques peu surprise, elle me suit sans un mot, entièrement nue elle regarde un peu partout à l'extérieur. En effet pratiquement rien ne la dissimule, le garde corps est composé de barreaux en fer bien espacés entre eux. Les lumieres de notre salon éclaire parfaitement la petite terrasse, je baisse mon short. Ma queue est bien raide, Léa regarde mon membre pointant vers elle. Je lui montre celui-ci avec ma main pour qu'elle le prenne en bouche, elle lance un dernier regard sur la rue et sur le squat. Léa s'accroupit les jambes un peu trop serrées à mon goût, Je lui demande d'écarter ses cuisses au maximum, elle ouvre généreusement ses cuisses et commence à me sucer. Elle prend bien mon membre en bouche, ses vas-et-viens sont lents, prenant soin de l'introduire le plus profondement possible. Léa me pompe fortement, le rhythme s'accélère, elle commence à se chauffer. Elle s'active à présent, sa langue s'attarde sur mon gland. Elle me lèche longuement, elle plaque ma queue contre mon ventre et prend mes testicules dans sa bouche. Léa aspire mes boules et les lèche avant de remonter de sa langue le long de ma verge, elle reprend ma queue en bouche. Je regarde un peu partout pour voir si quelqu'un nous espionne. Un petit groupe de jeunes nous mate discrètement derrière un petit muret dans le squat, je sens mon exitation redoublé. Léa se masturbe avec fougue, jouant frénétiquement avec sont clitoris, mon membre dans sa bouche. Les caresses de sa langue sur celui-ci me fait gémir. Je prends la tête de Léa à deux mains et commence à faire des vas-et-viens agressifs, ses petits seins s'agitent sous le rhytme de mes coups de reins. Elle suce encore et encore toussant de temps à autres quand ma queue pénètre trop profondement, je me retire de sa bouche. Le petit groupe ne se dissimule plus à présent, ils sont cinq assis sur le banc en pierre face à notre balcon. Léa reprend son souffle, elle se relève encore haletante. Je la retourne pour qu'elle soit de face à la rue et à la vue des jeunes, elle pose ses mains sur le garde corps attendant la pénétration. Absorbée par l'envie, Léa n'a pas encore remarquée son jeune public aisément voyant pourtant. Je lui enfonce sèchement ma queue dans son vagin, elle gémit fortement. Je lui mets des coups ravageurs, Léa se lâche en oubliant quelque peu où elle se trouve. Chaque coups de reins provoque ses gémissements féminins. Les jeunes ne ratent rien du spectacle qui leur est offert, voyant les seins de ma femme qui s'agitent avec elle, toute gémissante de plaisir. Subitement un des jeunes siffle, Léa prend alors connaissance de son public. La respiration saccadée, elle me fait part de sa découverte. Je lui réponds que ces jeunes nous matent depuis qu'elle me suce, Léa n'étant pas une habituée de l'exhib me fait part de sa gêne envers ces voyeurs. Je lui tire les cheveux en arrière et accélère mes vas-et-viens, elle gémit de plus belle ne pouvant se contenir. Un jeune lance discrètement "Prends lui l'cul...!", suivi par des rires approbateurs. Je tape encore quelques fois dans sa chatte humide, je me retire puis ordonne à Léa de se mettre a quattre pattes. Elle me regarde, je lis dans ses yeux la honte qu'elle éprouve. Je lui demande une seconde fois, elle s'agenouille puis adopte la positiion. Je lui indique le sens à prendre, la tête face à la porte fenêtre offrant sa croupe à la vue des jeunes. Une petite clameur d'aprobation nous arrivent aux oreilles, le petit groupe lance quelques commentaires. "La ptite pute" "Vas-y casse lui l'cul"... Je caresse doucement l'anus de Léa, mon doigt entre facilement, je fais des petits allés retours rapide. Elle soupire, je lui plaque le visage sur le sol tout en lui maintenant les mains derrière son dos. Je la chevauche, ma queue se présente face à son petit trou. Elle me dit qu'elle ne veut pas par le cul, je lui dis que pour cette fois elle fera une exeption. Je pénètre difficilement dans l'orifice, Léa est très serrée. Je lui demande de se détendre, que de toute manière je vais la sodomiser devant ces jeunes qu'elle le veuille ou non. Léa détend son anus difficilement, je commence à frapper lentement au départ puis plus fortement. Les mains dans le dos Léa ne peut plus bouger, heureuse victime de mon désir. Les claquements de mes cuisses sur ses fesses résonnent dans la pénombre environnante. Les jeunes commentent nos ébats entre eux, difficile d'entendre se qu'ils disent. Léa gémit encore et encore, à chaque entrée de ma verge elle prend d'avantage de plaisir. La position est suggestive, offrant sa chatte bien visible aux jeunes. Ses fesses bien remontées, pour une pénétration plongeante. Je tape dans son cul le plus violemment possible, je prends mon plaisir. Je me retire pour lui prendre à nouveau le vagin, Léa le visage plaqué au sol gémit de plus belle. Les vas-et-viens sont puissant, le contact de nos deux corps est bruyant. Je continue encore un instant dans sa chatte, puis je reprends d'assaut son petit cul. Son gémissement, lors de cette pénétration était puissant, les jeunes continuent de débatte en nous regardant. Je frappe encore et encore, grimassante sur le sol Léa déguste. Je sent ma jouissance proche. Je me retire lâchant les mains de Léa, elle se redresse sur ses genoux. Je lui prend une mèche de cheveux l'obligeant à ouvrir la bouche, je me masturbe énergiquement devant devant celle-ci. Quelques commentaires nous parviennent encore, "Quand tu veux bébé", "Avale salope"... Elle me regarde attendant le jus, je gémis puis la première giclée arrose la bouche de Léa ainsi que sa joue. Les jets suivants atteingnent leur objectif, les grosses giclées entrent dans sa bouche. Je dis à Léa qu'elle doit avaler mon sperme, elle me fait un petit signe de refus de la tête. Je lui demande si elle m'aime, ses yeux brillent, elle ferme ses paupières puis déglutit. Léa avale tout le sperme en bouche, grimassante une petite larme perle sur sa joue une larme de honte probablement. Elle ouvre à nouveau ses yeux, je lui dis que je l'aime. Léa baisse les yeux puis regarde les jeunes à travers les barreaux, je lui caresse les cheveux en lui disant "Tu as était parfaite mon c'ur". Sur ces mots je fais un signe en direction des jeunes, puis rentre dans l'appartement suivi de Léa.
Voilà pour la petite histoire, la véritable première exhibition "forcée" de ma femme. Peu farouche me direz vous, certes mais cela est le fruit d'un long travail basé sur la confiance mutuelle.
Pour information, le petit groupe de jeunes n'étaient pas des ados de 15 ans. Je ne suis pas un inconcient, ils devaient avoir entre 17 et 20 ans. Par ailleurs à 23h 23h30 les plus jeunes sont déjà au lit. A ces âges là, ils savent très bien ce qu'est le sexe. Veuillez garder vos chients en laisse... lol
À suivre donc...