Une petite salope-Chapitre 7 : Coralie trouve du travail.

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 5/11/2010 par Marc Paul

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Lire le chapitre 6.

Coralie avait un entretien pour un job à onze heures. Elle se leva donc vers huit heures, passa une bonne demi-heure devant son armoire pour choisir une tenue. Le choix était difficile car elle avait auparavant commis des erreurs en pareille situation. Elle s'était laissée aller à son penchant naturel pour des tenues très sexy, terriblement provocantes et à chaque fois, elle n'avait pas eu le poste. Même si les personnes qu'elle avait rencontrées alors lui avaient paru très coincées, elle ne voulait pas refaire la même erreur cette fois-ci. On lui avait même laissé entendre une fois que sa présentation ne correspondait pas au profil recherché. On ne l'avait pas qualifié de salope mais la remarque avait été suffisamment claire et explicite.

Elle opta donc pour un tailleur pantalon de grande marque, très élégant, un sage chemisier rose pale et des chaussures noires à petit talons. Elle consacra ensuite un long moment à se maquiller avec toujours le même souci de se faire remarquer mais sans provoquer. Elle compléta le tout de quelques bijoux discrets.

La société qui proposait ce job d'assistante de direction était un grosse PME spécialisée dans la chaudronnerie industrielle de haute technologie. Outre le siège social à Paris, elle avait un centre d'étude en banlieue et deux usines de fabrication, l'une en Espagne et l'autre en Suède.

Un peu avant onze heures, elle se présenta à l'accueil du siège social. L'hôtesse la fit entrer dans une salle d'attente où patientait une autre fille, à peu près du même âge que Coralie. Elle avait à peine saisie un dépliant publicitaire de la société en question que quelqu'un appela l'autre fille qui patientait.

Elle attendit une petite demi-heure avant que la porte ne s'ouvre à nouveau. « Bon signe » pensa-t'elle, la fille ne devait pas faire l'affaire.

La femme qui la conduisait à travers les couloirs était plutôt âgée, une bonne cinquantaine mais encore très bien conservée, vêtue avec goût et élégance, on lui aurait donné dix ans de moins. Coralie se félicita de son choix vestimentaire car il correspondait parfaitement à celui de celle qu'elle pensait être l'assistante du patron.

La femme entra dans son bureau, se saisit d'un dossier et frappa à une porte. Une voix répondit :
- Oui, entrez.
Elle ouvrit la porte et s'effaça pour laisser entrer Coralie. Le patron était assis à son bureau, c'était un homme d'une quarantaine d'années, très brun, avec des yeux noirs. Il semblait très athlétique et son visage était régulier. Coralie se dit qu'il n'aurait pas besoin de la pousser beaucoup pour la mettre dans son lit. Mais l'importance de l'enjeu lui fit vite oublier cette pensée. La femme présenta Coralie, en lui tendant le dossier :
- Eric, voici Coralie pour le poste d'assistante. C'est ton dernier rendez-vous pour ce matin.
- Merci, Martine. Asseyez-vous, Mademoiselle.
Martine se retira.

Eric, puisque tel était le prénom du patron commença à présenter son entreprise en quelques mots. Comme Coralie disait dans son CV qu'elle parlait parfaitement l'anglais et l'espagnol, il commença à la questionner sur elle en alternant ses deux langues. Coralie lui répondait dans la même langue que la question, remarquant au passage qu'il semblait plus à l'aise avec la langue latine. Eric semblait assez satisfait. Il lui décrivit le poste qu'il proposait. En fait il s'agissait de remplacer Martine qui partait à la retraite dans quelques semaines. Il lui demanda si elle était disponible et si elle acceptait en cas d'embauche de faire des déplacements professionnels avec lui en Espagne, en Suède quand il visitait ses usines ou bien n'importe où ailleurs quand il contactait des clients. Quand Coralie lui répondit que, étant célibataire, elle n'avait aucune contrainte, il reçut sa réponse avec un sourire charmeur.

L'entretien se poursuivit pendant une bonne heure et il libéra Coralie en lui promettant une réponse avant la fin de la semaine.

Effectivement, deux jours plus tard, Martine l'appela pour lui dire de se présenter le lundi suivant. Elle était embauchée pour une période d'essai de quatre mois.

Pendant les premières semaines, Coralie fit connaissance avec l'entreprise et avec ses collègues. Martine était plutôt sympa et faisait tout pour l'aider. Coralie apprenait vite. Martine lui parla aussi d'Eric. Elle le décrivit comme quelqu'un d'agréable, parfois un peu pénible quand il était stressé. Mais quand elle ajouta que son patron aimait les jolies femmes et que si elle savait s'y prendre elle trouverait vite d'elle-même ce qu'il fallait faire pour le détendre quand il en aurait besoin, Coralie comprit vite ce que voulait dire cette allusion à peine voilée. Elle en éprouva une petite excitation à se dire que si il fallait payer de sa personne pour satisfaire son patron, elle y était prête d'autant plus qu'Eric était tout à fait à son goût.

Au bout des quatre mois, elle fut embauchée définitivement et Martine partit à la retraite. Elle organisa un pot de départ et à la fin de celui-ci, elle embrassa affectueusement Coralie et lui souffla à l'oreille « A toi de jouer, ma belle, tu as tout ce qu'il faut pour réussir et donner satisfaction à Eric. Il va me manquer. ».

Elle ne tarda pas à passer à l'?uvre. Quelques jours plus tard, une mauvaise nouvelle arriva. Un problème dans l'usine Espagnole avait obligé d'interrompre la production et la livraison d'un gros client serait retardée de trois semaines.

Le téléphone sonnait sans arrêt, Eric était sur les dents. Il rouspétait sans arrêt après ses collaborateurs. A la fin de la journée, il devait prévenir son client du retard et était dans un état de stress incroyable. Evidemment Coralie faisait les frais de sa mauvaise humeur. Eric appela Coralie dans son bureau juste avant d'appeler son client sur la cote ouest du Canada. Il demanda l'aide de Coralie car comme elle possédait parfaitement l'anglais, il souhaitait qu'elle écoute la conversation et le conseille. Coralie resta debout à coté d'Eric, elle lui faisait face, les fesses appuyées sur le rebord du bureau.

Le début de la conversation fut un peu houleux, le client protesta contre ce retard qui le mettait en difficulté. Eric tentait bien de s'expliquer mais rien n'y faisait. A un moment, Coralie lui fit un signe, elle avait quelque chose à lui dire. Eric coupa le micro en s'excusant auprès de son correspondant.
- Qu'est ce que tu veux me dire ?
- Je crois comprendre qu'il te demande un rabais.
- Tu crois ?
- Mouais, il ne l'a pas dit franchement mais je pense que c'est ce qu'il veut.
- OK, on va essayer.
Eric feuilleta le dossier, tournant nerveusement les pages, tapota sur sa calculette, puis repris la communication. Il proposa un rabais important qui annulait quasiment son bénéfice. Le client accepta et l'atmosphère se détendit d'un coup. La conversation se prolongea alors pendant quelques minutes sur un ton plus serein.
Après avoir raccroché, Eric se détendit d'un coup.
- Ouf, c'est fait. Je ne ferai pas de benef mais au moins je garde le client. C'est l'essentiel. Je te remercie de ton aide.
Puis il ajouta avec un large sourire, en posant sa main sur le genou de Coralie.
- Tu as été d'une aide précieuse grâce à ton intuition.
Coralie ne repoussa pas la main qui lui massait doucement le haut du genou. Elle se contenta de remercier Eric d'un sourire et écarta un peu ses jambes. Sans dire un mot, Eric se leva et alla verrouiller la porte. En s'asseyant de nouveau, il reposa sa main sur la cuisse de Coralie en lui disant :
- Maintenant que cette affaire est réglée, je crois que j'ai besoin d'un moment de détente. Qu'en penses-tu ?
- Je crois que c'est mérité, en effet.
Et Coralie ouvrit un peu ses cuisses. Eric en profita pour faire glisser sa main sur le nylon qui gainait les jambes de son assistante. Il atteignit ensuite la lisière des bas et continua sa caresse sur la peau nue, douce et tendre à cet endroit.

Coralie ne protesta pas de cette caresse intime, elle se contenta de sourire et d'ouvrir un peu plus ses cuisses, libérant le passage à la main d'Eric. Il atteint l'objet de son désir, la chatte gonflée et ruisselante de Coralie. Entre ses doigts et le fruit mur de sa secrétaire, il n'y avait plus que le mince rempart de son string en dentelle qui commençait à se gorger d'humidité. Coralie manifestait son plaisir par des gémissements. Eric interrompit sa caresse et ouvrit son pantalon, libérant son sexe gonflé. Sans qu'il ait eu besoin de lui demander, Coralie s'accroupit et commença à le pomper doucement. Eric en profita pour poser sa chemise, Coralie lui posa son pantalon et son boxer. Eric fit ensuite glisser le zip de sa robe et quand Coralie l'eut fait glisser sur ses pieds, il dégrafa le soutien-gorge et entreprit de palper ses seins, faisant rouler sous ses doigts les tétons durcis de plaisir. Coralie se caressait lentement à travers l'étoffe de son string tout en fixant Eric droit dans les yeux. Elle était accroupie, les genoux largement écartés. La vision de son assistante qui se branlait tout en le suçant décupla son désir. Il fit relever Coralie en la tirant par les cheveux et la jeta brutalement sur le bureau. Il arracha son string inondé d'un seul coup en le déchirant et la pénétra brutalement. Coralie, qui s'était bien chauffée elle-même, jouit presque instantanément de cette pénétration sauvage. Eric la rejoint dans l'orgasme après seulement deux ou trois aller retour dans sa chatte dégoulinante de mouille, il se vida en elle en poussant un râle du fond de la gorge.

Après avoir fait surface, Eric dit à Coralie en lui tendant son soutien-gorge :
- Merci, pour cet instant de détente. Je crois qu'on en avait besoin tout les deux. Désolé, pour ta culotte, je peux être parfois un peu vif mais tu es franchement bonne.
- C'est vraiment que j'en avais besoin moi aussi. Et pour la culotte, ne t'inquiètes pas, j'en ai toujours une de rechange dans mon sac' Pour des occasions comme celle là.
- OK, je vois. Je suis vraiment content de t'avoir choisie comme assistante. Non seulement tu es très compétente mais en plus tu' Tu' Tu n'es pas' Farouche.
- Et Martine, elle était comment ?
- Heuu, comme toi, aussi compétente et aussi peu farouche. Vu son age, c'était assez étonnant mais elle n'hésitait pas à payer de sa personne. C'était une sacrée coquine, j'espère qu'elle ne s'ennuie pas trop maintenant.

A partir de ce jour, il ne passait pas une semaine sans qu'Eric baise son assistante dans son bureau.
Quelques semaines, plus tard, Sandra l'épouse d'Eric passa au bureau. Coralie fut surprise de cette visite. Elle avait fait la connaissance de Sandra alors qu'elle était encore en période d'essai et Martine lui avait présenté l'épouse de leur patron. Coralie était surprise car habituellement Sandra passait en fin de matinée pour déjeuner avec Eric et surtout parce que ce jour là, Eric était parti en déplacement pour rencontrer un nouveau client. Elle ne savait pas trop quelle attitude prendre car elle imaginait qu'Eric n'avait pas prévenu sa femme de son absence.
- Bonjour Sandra, comment allez-vous ?
- Bonjour Coralie, bien, merci. Ne soyez pas surprise de ma visite, c'est vous que je viens voir. J'ai à vous parler. On peut aller quelque part pour discuter.
- J'allais sortir. J'en ai pour quelques minutes pour ranger mon bureau et je suis à vous.
- Très bien, nous serons mieux dans un bar à coté pour discuter.
Coralie se posait des questions. Pourquoi et de quoi Sandra voulait elle lui parler ? Est-ce qu'elle avait découvert que son mari la sautait sur son bureau ? Coralie craignait pour son job.

Les deux femmes quittèrent la société et firent quelques pas jusqu'à un bar cossu. Pendant tout le trajet, elles parlèrent peu, échangeant quelques banalités. Coralie se rassura un peu car Sandra n'avait pas l'air hostile.

Le bar où elles étaient entrées avait des sortes d'alcôves qui donnaient une ambiance feutrée au lieu et permettait aux clients de parler en toute quiétude. Sandra et Coralie s'installèrent dans l'une d'entre elle et continuèrent leur bavardage jusqu'à ce que le serveur apporte ce qu'elles avaient commandé.

Sandra trempa ses lèvres dans son rhum coca puis s'adressa à Coralie :
- Coralie, si je voulais vous rencontrer ce soir, c'était pour parler de mon mari.
- Votre mari ? Répondit Coralie qui n'en menait pas large. Elle supposait que Sandra avait eu vent de ses relations avec son patron.
- Oui, mon mari, Eric, votre patron.
- Je vous écoute.
- Eric est un homme plein de charme et à beaucoup de qualités, vous avez du vous en rendre compte. Mais il a un gros défaut : Il est incapable de résister à l'envie de mettre dans son lit les jolies femmes qui passent à sa portée. Je suis certaine qu'il vous a déjà fait des avances et vous y avez probablement répondu favorablement.
Alors que Coralie ouvrait la bouche pour protester, Sandra l'arrêta d'un geste de la main et continua :
- Inutile de mentir, je connais mon mari et je sais que très peu de filles lui ont résisté. Alors, dites-moi la vérité, est-ce qu'Eric vous baise ?
- Oui, c'est vrai. Je suis vraiment désolée que vous soyez au courant. Est-ce que vous voulez que je démissionne ? Acquiesça Coralie, se disant qu'elle n'avait plus grand-chose à perdre. Elle ne s'attendait pas à la réponse que lui fit Sandra.
- Surtout pas, bien au contraire, je veux que vous continuiez.
- Je suis désolée mais je ne comprends plus rien. Lui répondit Coralie complètement abasourdie par ce qu'elle venait d'entendre.
- Vous allez comprendre. Eric est un séducteur. Je ne peux pas le surveiller en permanence, ni être derrière lui. Je ne suis pas réellement jalouse mais je ne veux surtout pas le perdre. Je ne veux pas qu'une autre fille prenne suffisamment d'emprise sur lui pour le convaincre de se séparer de moi, vous comprenez ?
- Pas vraiment, mais continuez.
- Au début, j'avais demandé à son assistante ? celle avant Martine - de le surveiller de prêt, de l'empêcher de faire des bêtises, mais comme elle ne voulait pas céder à ses avances (c'est bien la seule), il a réussi à s'en débarrasser en lui proposant un poste au centre d'étude. C'était plus près de chez elle, elle a accepté. Et donc, il a embauché Martine qu'il a séduit rapidement. Je l'ai appris et j'ai changé alors de tactique. J'ai fait à Martine la proposition que je vais vous faire et qu'elle a accepté.
- Je vous écoute.
Coralie ne voyait pas où Sandra voulait en venir.
- Ce que je vous propose, c'est de continuer à baiser avec mon séducteur de mari mais surtout à être le plus possible près de lui. Il faut qu'il ait le moins possible l'occasion de rencontrer d'autres femmes que vous. En fait ce que je vous demande, c'est d'occuper le terrain quand je ne peux pas le faire moi-même. Est-ce que vous comprenez mieux maintenant ?
- D'accord, effectivement je comprends mieux maintenant. Je ne m'attendais pas à cela mais si cela vous convient?
- C'est la seule solution que j'ai trouvée. Qu'est-ce que vous en pensez ?
- C'est un peu gênant comme situation mais est-ce que je peux refuser une pareille proposition. Je suppose que si je le faisais, je perdrais mon travail, non ?
- Vous avez tout compris, j'ai suffisamment d'influence sur Eric pour le contraindre à cela. Mais, si vous acceptez, je vous verserais une rente de cinq cents euros par mois sur mes revenus personnels. Eric n'en saura rien.
Coralie réfléchit quelques secondes et accepta cette proposition pour le moins inattendue. Elle demanda si Martine avait accepté facilement.
- Oui, ma chère. J'avais attendu quelques semaines comme pour vous. Le temps pour Eric de vous séduire. Après les choses sont plus simples. En fait Martine et moi sommes devenues amies et nous nous voyons très souvent. C'est elle qui m'a prévenue qu'elle prenait sa retraite bien avant que mon mari ne le sache. Nous avons choisis ensemble les candidates, vous étiez notre préférée à toutes les deux : Jeune, très jolie, sexy et célibataire. Le profil idéal. Et Martine a fait en sorte que votre candidature soit retenue.
Coralie sourit à l'évocation de ce plan machiavélique. Elle trouvait la situation cocasse. Elle était la maîtresse de son patron, jusque là rien d'extraordinaire, mais avec la bénédiction de sa femme. A partir de ce jour, Coralie s'arrangea pour qu'Eric l'emmène avec lui à chaque fois qu'il se déplaçait ou bien quand il avait des repas d'affaire. Elle fit tout pour le satisfaire allant jusqu'à payer de sa personne pour l'aider à convaincre un client réticent ou bien un fournisseur trop gourmant.