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Proposée le 1/11/2010 par Marc Paul
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Lire le chapitre 3 au gala de danse.
En ce début Juillet, Coralie et ses camarades de classe avait décidé de faire une petite fête pour arroser leur bac. Cela avait été organisé chez Damien, car il habitait dans une maison avec sa mère et que le garage et le jardin se prêtaient bien à ce que la joyeuse bande voulait faire.
Hélène, la mère de Damien avait accepté avec plaisir de prêter sa maison et elle avait été jusqu'à faire quelques tartes, quiches et autres pizzas pour nourrir tout ce joli monde. Elle était ravie d'avoir enfin un peu de gaîté et d'agitation autour d'elle. En effet, elle vivait seule depuis le décès accidentel du père de Damien dix ans auparavant et la vie lui semblait un peu pesante. Elle avait bien tenté de refaire sa vie mais aucun des hommes qu'elle avait eu l'occasion de rencontrer ne lui avait convenu. Les relations, qu'elle avait eues avec eux, n'avaient jamais duré plus de quelques mois, un an peut-être. Depuis deux ans, Hélène vivait donc seule avec Damien et n'avait pas fait de rencontres intéressantes.
Les jeunes gens commencèrent à arriver en fin d'après-midi et aussitôt la chaîne stéréo de Damien se mit à jouer des musiques à la mode. Vers vingt heures la fête battait son plein. Des couples dansaient au milieu du garage pendant que sur la terrasse, un petit groupe discutait en grignotant et en buvant des bières et autres boissons plus ou moins alcoolisées. D'ailleurs certains d'entre eux commençaient d'être dans un état d'ébriété un peu avancé. Cela faisait faire un peu de soucis à Hélène mais elle se rassura un peu en constatant que ceux qui avait des voitures et avaient convoyé leurs amis s'appliquaient à rester sobres. Elle sentait aussi des effluves de cannabis qui flottaient ça et là mais là encore elle remarqua que les conducteurs ne consommaient pas ce genre de choses.
Un peu plus tard alors qu'Hélène traversait le garage où les jeunes dansaient, un camarade de classe de Damien lui proposa de danser. Et sans attendre sa réponse, il la prit par la taille, l'enlaça fermement et l'entraîna dans un slow langoureux. Le jeune homme s'appelait Kévin et il avait la carrure impressionnante du joueur de rugby qu'il était. Kévin était un peu plus âgé que ses camarades car il redoublait sa terminale mais avait quand-même réussi à décrocher son bac. Dès les premières mesures du slow, il se colla à Hélène et commença à lui caresser le dos. Il empestait la bière mais n'était pas réellement ivre, il avait seulement bu assez pour que l'alcool fasse disparaître ses inhibitions. Hélène sentait contre son ventre la bosse dure que faisait le sexe du jeune homme. Elle éprouvait à ce contact intime, une gêne de se donner en spectacle ainsi mais aussi le trouble de se sentir désirée. Elle tentait bien de s'écarter le plus possible du jeune homme, de ne pas se montrer trop avenante, de ne pas remarquer que ses mains se baladaient dans son dos mais Kévin la maintenant de ses bras puissants.
Elle accueillit la fin du slow avec soulagement car Kévin avait entrepris de lui peloter les fesses à travers sa fine robe d'été. Elle se détacha prestement de lui dès que la musique cessa et prétextant qu'il fallait qu'elle aille chercher des victuailles, elle s'enfuit vers la cuisine.
Kévin la suivit sans qu'elle ne le remarque et il entra dans la cuisine alors qu'Hélène s'apprêtait à ranger de la vaisselle sale dans le lave-vaisselle. Kévin s'approcha d'Hélène, la saisit par la taille et l'embrassa dans le cou. Elle poussa un cri de surprise et se retourna brutalement sans que Kévin ne la lâche. Il cherchait sa bouche et Hélène se débattait tant bien que mal en tournant la tête pour éviter le baiser que Kévin tentait de lui imposer.
- Non, non, Kévin, je ne veux pas'
- Tu es vachement belle, j'ai envie de toi. Laisses-toi faire.
- Non, laisses moi, tu es saoul et je ne veux pas.
- Tu es trop bonne et je suis sur que tu ne t'es pas faite sauter depuis longtemps.
Il tenait Hélène par la taille d'un seul bras, indifférent aux protestations de sa victime, insensible aux coups de poing qu'elle lui donnait sur la poitrine, il avait soulevé sa robe jusqu'à la taille et tentait de lui arracher sa culotte.
C'est à ce moment que Coralie entra dans la cuisine. Elle comprit immédiatement ce qui ce passait. Un rapide coup d'oeil lui permit de voir un saladier plein de glaçons et d'eau glacée. Elle le prit et vida le contenu sur la tête de Kévin qui, surpris, lâcha sa proie qui lui envoya aussitôt une claque à pleine volée.
Totalement dégrisé par l'eau froide et la gifle qu'il venait de prendre, Kévin bredouilla quelques excuses. Hélène lui répondit :
- Mettons cela sur le compte de l'alcool. Ce n'est pas comme ça que ça se passe. Que cela ne se reproduise pas. Bon, on oublie. OK ?
- D'accord. Je? Je suis désolé. Excusez-moi?
Kévin tourna les talon et penaud, quitta la cuisine.
En baissant sa robe toute froissée, Hélène remercia chaleureusement Coralie pour son intervention.
- Ouf, quel con, j'ai bien cru qu'il allait me violer, cet imbécile. Heureusement que tu es arrivée. C'était sympa de ta part de m'avoir sortie de ce mauvais pas.
- Je t'en prie, c'est normal. Entre filles'
- Qu'est ce qui lui a prit ? Il a dû picoler pour se laisser aller comme ça.
- Mouais, c'est vrai qu'il a pas mal bu' Et fumé aussi. Mais, je ne veux pas lui trouver des excuses mais'
- Mais ?
- Ben, tu es vachement jolie et je comprends que les mecs soient attirés par toi.
Hélène rougit un peu de ce compliment. C'est vrai qu'elle était plutôt jolie malgré ses quarante deux ans. Elle était de taille moyenne et son corps était resté fin, grâce en particulier à l'exercice qu'elle faisait tous les jours en allant à son travail. Elle allait au boulot en vélo et parcourait ainsi matin et soir les sept kilomètres qui séparaient sa maison de son bureau. De plus, elle allait à la piscine une ou deux fois par semaine. Elle avait donc un corps fin, musclé juste comme il fallait. Sa poitrine était belle et ronde sans être trop grosse, son corps fin et harmonieux était complété par des jambes fines et sans traces de cellulite. Coralie avait pu les entrevoir avant qu'Hélène ne les cache de sa robe. Le joli ovale de son visage, agrémenté d'une coiffure mi longue, faisait ressortir ses grands yeux verts.
- Merci, tu es trop gentille. Mais au fait que voulais-tu ?
- Rien de particulier. Je voulais juste te dire au revoir car je dois prendre le dernier bus si je veux rentrer chez moi.
- Ahh, tu pars déjà ! Tu ne vas pas en boite avec les autres.
- Non, je dois rentrer?
- Ecoutes, profites encore un peu de la soirée. Je te ramènerai chez toi ensuite. Je te dois bien cela. Ça te convient ?
- Ouais, c'est super gentil.
Coralie quitta la cuisine en remerciant encore Hélène et partit rejoindre ses camarades.
Vers onze heures trente, la joyeuse bande décida de partir en boite. Tout le monde s'entassa dans les voitures. Hélène vérifia que les conducteurs étaient ceux qui étaient restés sobres et que les voitures n'étaient pas surchargées. Damien vint embrasser sa mère et lui dit qu'il coucherait chez Mélanie, sa copine.
Les voitures démarrèrent, laissant Hélène et Coralie seules qui faisaient de grands signes aux voitures qui s'éloignaient.
- Je vais te raccompagner chez toi maintenant. Proposa Hélène à Coralie.
- Je ne suis pas à la minute, je vais t'aider à ranger un peu avant.
- D'accord. C'est très gentil. Il n'y a pas grand-chose car j'ai lavé et rangé la vaisselle au fur et à mesure.
Les deux femmes se dirigèrent vers le garage. Les chaises qui traînaient furent vite rangées et elles allèrent ensuite dans la cuisine ou le lave-vaisselle ronronnait. Il y avait quelques verres et des plats qui restaient dans l'évier.
Hélène se mit à la vaisselle et Coralie se saisit d'un torchon pour essuyer. En quelques minutes, toute la vaisselle fut propre et la cuisine retrouva son aspect habituel. Hélène termina de nettoyer l'évier et se retourna vers Coralie qui se tenait juste derrière elle. Elle dit sur un ton enjoué :
- Voilà, c'est terminé. Je te remercie de m'avoir aidé et puis aussi pour tout à l'heure?
- De rien et oublies ça, Kévin n'est pas méchant, il ne savait plus ce qu'il faisait. Sans doute l'alcool et le shit?
- Ouais, mais j'ai vraiment eu peur.
- Je m'en doute. Et c'est vrai que tu es très jolie et très attirante. Ta beauté lui a complètement tourné la tête.
Tout en disant cela, Coralie s'était approchée d'Hélène. Elle posa sa main sur la joue de la jeune femme, repoussa de ses doigts machinalement une mèche de ses cheveux en regardant Hélène droit dans les yeux.
Hélène se sentit transpercée par le regard de Coralie, elle lisait le désir dans les yeux noirs de la jeune fille. La tentative de Kévin l'avait effrayé bien plus qu'elle ne veuille le laisser paraître et maintenant Coralie, à son tour, semblait vouloir la séduire. Elle avait su résister à la brutalité du jeune homme mais elle ne pouvait pas résister à la douceur de cette jeune fille. Le regard appuyé de Coralie, les compliments qu'elle lui adressait faisaient monter en elle, malgré elle, un désir fou, insoupçonné, impérieux. Une envie folle, déraisonnable de se soumettre au désir de cette jeune femme. A cet instant, Hélène se sentit devenir l'objet de cette fille.
Hélène inclina la tête, augmentant la pression de la main de Coralie sur sa joue. Elle était maintenant totalement soumise, elle ne chercha pas à repousser Coralie qui s'avançait vers elle, elle entrouvrit sa bouche quand Coralie y posa ses lèvres. Elle laissa sa langue agile la pénétrer, fouiller les moindres recoins de sa bouche, jouer avec sa langue. Les deux femmes s'embrassèrent longuement.
Coralie jubilait intérieurement. Elle avait eu envie d'Hélène dès qu'elle l'avait vue aujourd'hui et l'épisode avec Kévin lui avait donné l'occasion de la séduire. Hélène ne semblait pas effarouchée par ce baiser. Elle se laissait faire, mieux même, sa langue fouillait maintenant la bouche de la jeune fille.
Quand leurs lèvres se séparèrent Hélène se cacha le visage dans les mains, un flot de honte monta en elle. Elle venait d'embrasser une fille et? Elle avait aimé ce contact saphique. La chaleur dans son bas ventre ne la trompait pas. Elle murmura :
- Mon Dieu, qu'est ce que je fais ?
- On s'est embrassé et moi, j'ai aimé cela, pas toi ?
- Non'Si? Enfin je ne sais plus, je deviens folle, je n'ai jamais'
- Tu n'as jamais fait l'amour avec une fille ?
- Non, jamais. Ça ne se fait pas.
- Si ça se fait ! Et je veux faire l'amour avec toi.
Coralie l'embrassa à nouveau et à nouveau la jeune femme se laissa faire. Coralie poussa son avantage et lui caressa les hanches, remonta ensuite sous son aisselle et lui caressa la poitrine.
Puis se dégageant à nouveau et fixant Hélène droit dans les yeux, Coralie lui dit simplement :
- Tournes toi !
Vaincue, Hélène fit demi-tour. Coralie fit glisser le zip de sa robe qui tomba à ses pieds et dégrafa le soutien-gorge. Elle fit ensuite pivoter Hélène et lui quitta sa culotte en s'accroupissant devant elle. En libérant ses chevilles de la fine dentelle du sous-vêtement, elle lui écarta les jambes. Elle avait maintenant l'objet de sa convoitise à portée de bouche. La chatte d'Hélène était brune, soigneusement taillée en un triangle parfait. Coralie admirait les grandes lèvres charnues, un peu ouvertes qui laissaient dépasser les petites lèvres violacées, qui semblaient gonflées de désir.
Elle posa sa bouche doucement sur cette fente, serra délicatement ce fruit charnu entre ses lèvres, huma l'odeur musquée qui s'en dégageait. Puis sa langue se faufila dans la fente humide d'Hélène, lui arrachant un gémissement. Elle était trempée, Coralie goûta la saveur salée de sa liqueur intime. Elle faisait monter et descendre sa langue dans la fente de sa partenaire, en prenant soin de ne pas trop toucher le petit bourgeon de chair qui la terminait. Elle s'appliquait à faire augmenter doucement le plaisir d'Hélène, à la frustrer de ce contact intense. Hélène se laissait envahir par le plaisir qui montait de sa chatte, faisait se durcir ses tétons et se contracter son ventre. Les deux mains agrippées au rebord de l'évier, elle ondulait cherchant à provoquer le contact de cette langue agile qui fouillait son intimité sur son clitoris turgescent. Elle gémissait en continu, submergée de plaisir.
Coralie lui caressait l'intérieur des cuisses qu'elle ouvrait le plus qu'elle le pouvait sans perdre l'équilibre. Quand les doigts de la jeune fille entrèrent en contact avec sa chatte, écartèrent ses petites lèvres, elle s'affaissa un peu pour les faire pénétrer dans son con brûlant. Cette pénétration, les deux doigts qui s'agitaient dans son ventre lui firent perdre toute retenue. Elle cria :
- Oui, ouiii, ouiiiii, fais moi jouir, c'est bon, encore, encore?
Coralie, la sentant au bord de la jouissance, choisit ce moment pour mettre fin au supplice de sa partenaire. Sa langue atteignit le petit bourgeon de chair, le titilla pendant que sa bouche l'aspirait violemment. Le résultat fut immédiat, Hélène fut immédiatement secouée violemment, ses jambes tremblèrent et elle donna de violent coups de reins en criant son plaisir.
Coralie se releva et embrassa à nouveau Hélène qui lui rendit son baiser. Elle trouva dans sa bouche le goût de son propre sexe qu'elle avait maintes fois trouvé sur les lèvres ou les queues des hommes à qui elle s'était donnée. D'une voix alanguie et un peu cassée, Hélène soupira :
- Mon Dieu, que c'était bon. Ça fait longtemps que je n'avais pas joui comme cela.
Puis reprenant totalement ses esprits et réalisant que c'était une fille qui venait de la faire jouir de cette façon, elle rougit et murmura :
- Avec une fille? Je n'aurais jamais pensé que ce soit possible.
- Tu as aimé ? Lui demanda Coralie.
- Quelle question, c'était vachement bon.
- Maintenant c'est à ton tour de me donner du plaisir.
- Moi, mais je ne sais pas, je ne l'ai jamais fait.
- Je vais t'apprendre. Viens allons dans ta chambre, nous serons plus à l'aise.
Les deux femmes enlacées se dirigèrent vers la chambre d'Hélène. A peine entrée, Coralie demanda à Hélène de la déshabiller. Hélène s'exécuta. Les deux femmes s'embrassèrent encore longuement avant de s'allonger cote à cote sur le lit. Pendant une bonne partie de la nuit, leurs corps s'enlacèrent, s'enchevêtrèrent dans un pugilat intime. Leurs mains parcouraient le corps de l'autre, leurs bouches avides suçaient leur chatte inondée de plaisir avant de se rejoindre dans des baisers parfumés de leur mouille. Leurs cris d'orgasme se mêlaient avant que leurs corps assouvis ne retombent enlacés.
Le soleil les réveilla au milieu de la matinée. Hélène raccompagna Coralie chez elle peu avant midi.
Le dimanche qui suivit, Damien, le fils d'Hélène, partit pour son job d'été, une place de gardien de nuit dans un camping du midi de la France. Les parents de Coralie étaient en vacances dans leur Riad au Maroc. Les deux femmes se retrouvaient donc seules et Coralie exigea d'Hélène qu'elle s'installe chez elle pendant trois semaines. Elle en profita pour augmenter l'emprise qu'elle avait initiée sur la jeune femme.
En fin d'après-midi, après avoir emmené Damien à la gare, Hélène se rendit chez Coralie. Elle la trouva en train de bronzer totalement nue au bord de sa piscine. Coralie lui ouvrit le portail avec juste un paréo noué au dessus de ses seins. Hélène s'installa dans la chambre de Coralie et celle-ci lui proposa de venir la rejoindre au bord de la piscine.
Hélène passa un maillot de bain et retrouva Coralie allongée sur un matelas.
- Pourquoi tu as mis un maillot ?
- Ben je ne sais pas, l'habitude, tu veux que je l'enlève ?
- Oui, tu verras comme c'est agréable.
Hélène enleva son maillot et s'allongea sur le matelas à coté de Coralie. Elles s'enduirent d'huile de bronzage, se retournèrent plusieurs fois pour changer l'exposition de leur corps.
Au bout d'un long moment de bronzette, elles décidèrent d'aller se rafraîchir dans la piscine. Elles nagèrent ensemble, jouant dans l'eau, prétexte à se caresser et à s'embrasser puis, fatiguées retournèrent s'allonger sur le matelas pour profiter encore du soleil.
Alors qu'Hélène était couchée sur le dos, appuyée sur ses coudes, le buste relevé, elle se recoucha et se tourna prestement sur le ventre. Coralie, déjà sur le ventre, la regarda d'un air surpris.
- Qu'est ce qui t'arrive, une bestiole t'a piquée ?
- Non, j'ai l'impression que quelqu'un nous regarde à travers la haie.
- Ahh, oui, je sais, c'est mon voisin, il n'arrête pas de me mater quand je me fais bronzer.
- Et c'est tout l'effet que ça te fait.
- Ben si ça lui fait plaisir, moi ça ne me dérange pas. Je suis sure que des fois il se branle en me regardant. Tu sais, il est divorcé, sa femme s'est barrée avec un autre alors' Tiens j'y pense il est à peu près de ton age, un peu plus vieux, la cinquantaine, ça pourrait coller avec toi.
- Tu es complètement folle. Je vais m'habiller.
- Non reste comme ça. Je veux qu'il te voit.
- Tu es vraiment dingue.
- Tournes toi sur le dos et écartes tes cuisses.
- Non, tu es cinglée.
- Fais ce que je te dis. Tu vas voir on va bien s'amuser.
- Bon d'accord.
- Bien maintenant caresses-toi.
- Quoi ? tu veux que je me?
- Que tu te masturbes, que tu te branles, oui? Allez fait ça pour moi. Je vais me caresser moi aussi, il va en avoir pour son argent le salaud. Je lui ais déjà fait ce numéro, je crois qu'il a apprécié.
- Pour qui va-t'il nous prendre ?
- Hummmm, pour deux belles salopes, probablement !
Coralie éclata d'un rire clair et Hélène vaincue la rejoignit dans son fou rire. Les deux filles s'installèrent bien en face du voyeur, les jambes repliées et largement ouvertes et commencèrent à se caresser.
Antoine, le voisin en question n'en revenait pas. Il avait constaté depuis quelques temps que sa jeune voisine prenait des bains de soleil dans le jardin d'à coté. Seul, en manque de sexe depuis que sa femme l'avait quitté, il ne manquait pas une occasion de mater Coralie. Quand il la voyait dans le jardin, il s'introduisait dans la haie de thuyas et pouvait ainsi la regarder à son aise. Plusieurs fois, il avait eu peur d'être vu, mais jamais elle n'avait semblé remarquer sa présence. Cette petite salope se caressait même devant lui, inconsciente de sa présence. Il se munissait à chaque fois de son caméscope qu'il fixait sur un pied pour la filmer tout en se branlant.
Ce dimanche, cela avait plutôt bien commencé, Coralie était nue et il avait fait des gros plan sur l'ensemble de son corps quand il avait vue une femme un peu plus mure arriver. Ce n'était pas la mère de Coralie, bien qu'elle devait être à peu près du même age que sa voisine médecin qu'il connaissait pour l'avoir croisée plusieurs fois.
Mais il sourit quand il vit l'arrivante se livrer elle aussi au bronzage intégral. Pourtant un peu plus tard, il avait bien cru être découvert. La femme s'était penchée vers Coralie et elles avaient parlé à voix basse sans qu'il puisse comprendre ce qu'elles se disaient. Il s'était reculé, se cachant derrière sa haie, mais très vite il avait pu constater que les deux femelles se caressaient l'une et l'autre, elles ne l'avaient pas vu. N'y tenant plus, il avait extrait son sexe de son pantalon, sa bite était dure comme une barre de fer, il avait craché dans sa paume et se branlait frénétiquement de sa main ainsi lubrifiée. Il fantasmait sur ces deux salopes rêvant de les baiser l'une et l'autre.
Hélène était un peu crispée mais ses doigts sur sa chatte la détendirent rapidement. Sa pudeur et ses tabous avaient été balayés par l'emprise que Coralie avait maintenant sur elle. Elle oublia complètement le voisin voyeur quand elle entendit à coté d'elle, les soupirs de plaisir qui s'échappaient de la bouche entr'ouverte de Coralie. Elle fut même la première à atteindre l'extase, ses doigts s'agitant sur sa chatte. Coralie l'a rejoignit très vite et un concert de gémissement et de râles de plaisir envahit le jardin.
Les cris d'orgasme des deux filles provoquèrent celui d'Antoine, de puissants jets de sperme jaillirent de sa queue, arrosant les feuilles des thuyas devant lui.
Ce soir-là, Hélène eut du mal à s'endormir. Bien qu'elle ait succombé au plaisir sous les assauts de Coralie, malgré les orgasmes à répétition que la jeune fille lui avait donné de ses doigts et de sa langue, elle ne cessait de penser à ces deux derniers jours et à ce qu'elle était devenue. Elle était consciente qu'elle se livrait corps et âme aux exigences de Coralie. Cet après-midi, elle s'était totalement exhibée devant le voisin alors que sa pudeur le lui aurait interdit quelques jours plutôt. Elle n'avait jamais eu envie de relations saphiques et n'imaginait même pas en avoir et depuis deux jours son corps vibrait sous les caresses de la jeune fille. Elle se rendait compte qu'elle était prête à accepter n'importe quoi pourvu que Coralie le lui demande, et cela l'effrayait, mais elle n'envisageait même plus de refuser.
Les jours suivants, Hélène découvrit et expérimenta l'ensemble des nombreux jouets sexuel de Coralie. Celle-ci avait, en effet, une collection impressionnante de vibromasseurs, quatre en tout, un gode ceinture, un vibromasseur à télécommande et des boules de Geisha.
Coralie lui demanda de porter les boules de Geisha pendant son trajet de retour. Et chaque fin d'après-midi, juste avant de quitter son bureau, Hélène allait aux toilettes pour introduire les deux boules dans son vagin. Ensuite tout son trajet de retour était un délicieux supplice. Dès qu'elle commençait à descendre les deux étages, les boules commençaient à danser et à s'entrechoquer dans son ventre, excitant son sexe de leurs infimes vibrations. Elle arrivait à sa voiture déjà en feu, la chatte gonflée et toute mouillée. Ensuite, pendant le quart d'heure de trajet pour rejoindre son amante, chaque chaos, chaque aspérité de la route, augmentaient encore son excitation. Quand elle arrivait enfin, ses seins étaient douloureusement gonflés, sa culotte inondée, et c'est une chienne en chaleur qui se ruait sur Coralie, quémandait ses baisers, ses caresses afin d'obtenir cette explosion de plaisir qui la libérait de toute cette excitation contenue.
Parfois, Coralie la prévenait dans l'après-midi pour aller flâner en ville avec elle. Ces jours là, elle ne mettait pas les boules de Geisha mais le vibromasseur à télécommande. Et Coralie s'amusait à le mettre en route et à la faire jouir dans les lieux les plus incongrus : Dans la cabine d'essayage d'une boutique de vêtements, à la terrasse du café ou elle se rafraîchissaient, ou encore sur un banc d'un jardin public. A chaque fois, Hélène devait retenir ses gémissements, se mordant les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Il est même arrivé qu'un passant lui propose son aide, croyant à un malaise.
Hélène se trouva vite épuisée. Elle s'endormait tard chaque soir, Coralie lui imposait des veillées torrides, exigeant d'elle toujours plus, la faisant jouir plusieurs fois jusqu'à des heures tardives. Les week-ends n'étaient guère plus reposant même si les deux jeunes femmes faisaient la grasse matinée et ne quittaient leur lit qu'au début de l'après-midi. La perversité de Coralie lui semblait sans limites et il lui tardait parfois que tout cela prenne fin.
Hélène accueillit le vendredi de la dernière semaine de juillet avec soulagement. Elle n'avait pas pu se soustraire à l'emprise de Coralie, cette jeune fille avait réussi à faire d'elle l'objet de tous ses désirs pervers. Mais elle lui savait gré de lui avoir fait découvrir un plaisir intense, inconnu pour elle jusqu'alors et elle en voulait encore, toujours plus. En plaisantant, Coralie lui disait parfois :
- Tu es devenue une très grande salope, ma chérie, aussi salope que moi.
Hélène riait à cette plaisanterie mais au fond d'elle-même elle savait que c'était vrai.
Hélène savait que cette soirée serait la dernière de ce mois de juillet totalement fou qu'elle venait de passer avec Coralie. Ses parents devaient rentrer du Maroc tard dans la nuit de samedi et elle devait être partie avant qu'ils ne rentrent.
Alors qu'elle garait sa voiture dans le jardin, la chatte en feu comme à chaque fois qu'elle portait les boules de Geisha, Coralie vint à sa rencontre. Après que les deux filles se soient données un long baiser passionné, Coralie lui dit :
- J'ai une petite surprise pour toi, ma chérie.
- Ah, oui et c'est quoi, je peux savoir ?
- Un mec'
- Un mec ?
- Ouais, j'ai pensé que tu aurais envie de te faire baiser par un beau mâle. Qu'en penses-tu ?
- Hummm, tu me gates. C'est un cadeau d'adieu que tu me fais ?
- D'adieu non parce que j'espère bien que l'on se reverra mais quelque part c'est une sorte de cadeau. Ça te plait ?
- A priori oui mais j'attends de voir le beau mâle en question. Il est comment ?
- Jeune, bien bâti, bref pas mal du tout.
- Tu as déjà couché avec lui ?
- Oui, plusieurs fois, il baise bien mais ce n'est pas pour cela que je l'ai choisi.
Devant l'air étonné d'Hélène, Coralie ajouta :
- Tu comprendras quand tu sauras qui c'est.
- Ah bon. Et qui c'est ? Je le connais ?
- Oui, tu le connais. Tu te rappelles de Kévin ?
- Kévin ? le mec qui?
- Exact, le mec qui a faillit te violer le jour de notre petite fête.
- Tu es folle, après ce qu'il a fait, je ne veux pas'
- Il était saoul et puis tu pourrais peux être en profiter pour te venger un peu, qu'en penses-tu ?
- Boff, je ne suis pas très emballée mais bon après tout si ça te fait plaisir? Il est au courant de ton plan ?
- Plus ou moins. Je lui ai dit que ce soir il aurait une de mes copines en plus de moi à satisfaire, c'est tout.
- OK, bon allons y.
- Tu portes tes boules de Geisha ?
- Oui, comme chaque jour.
- Enlèves-les et viens nous rejoindre dans le salon.
Hélène monta discrètement dans la chambre de Coralie et prit une douche pour se rafraîchir. Plus elle y pensait et plus l'idée de baiser avec Kévin lui plaisait. Elle emprisonna ses seins dans un soutien-gorge balconnet qui avantageait sa poitrine et mit le boxer en dentelle coordonné. Elle passa une robe croisée qui tenait fermée par une large ceinture. Cette robe avait la particularité de découvrir ses cuisses à chaque fois qu'elle s'asseyait et ses seins si elle se penchait en avant. De hauts escarpins découpés, un petit raccord de maquillage et un voile de parfum complétaient le tout.
En se regardant dans le miroir, Hélène se trouva belle et se sourit à elle-même.
Kévin et Coralie bavardaient dans le salon. Kévin était un peu tendu car cette salope de Coralie lui avait proposé de baiser avec elle et une de ses copines. Elle n'avait pas voulu en dire plus. Il avait déjà couché avec Coralie plusieurs fois et à chaque fois elle s'était montrée insatiable. Si sa copine était comme elle, il s'inquiétait de ne pouvoir les satisfaire toutes les deux. En revanche, avoir à sa disposition, deux belles garces comme sa camarade de classe, l'excitait beaucoup et un début d'érection faisait gonfler sa queue.
Coralie se leva et vint à sa rencontre quand Hélène entra dans le salon et l'entraîna vers le centre :
- Ahh, te voilà, ma chérie, je ne vous présente pas, tu connais Kévin.
- Bonjour Kévin, comment vas-tu ?
Kévin eut l'impression que le ciel lui tombait sur la tête et resta figé dans son fauteuil. Il s'attendait à rencontrer une fille de son age et voila que Coralie accueillait Hélène, la mère de Damien, une femme de plus de quarante ans. De plus, même si il était ivre et dans les brumes du cannabis, il se rappelait nettement avoir essayé de la baiser et avoir prit un saladier d'eau glacée sur la tête suivi d'une gifle magistrale. Sa joue s'en rappelait encore. Ce n'était pas possible, c'est un hasard qu'Hélène soit là, ce n'était pas elle.
Malgré son trouble, il trouvait Hélène plutôt belle et bandante. Son corps parfait recouvert de cette robe légère qui découvrait ses belles cuisses bronzées à chaque mouvement, ce profond décolleté plein de promesses, ce visage charmant maquillé avec soin, ces effluves de parfum, tout cela créait un tableau terriblement excitant.
Il se leva, malgré tout, en balbutiant :
- B.. Bon' Bonjour Hélène. Je? Je.. Ne pensais pas te? Te? Vous trouver ici? Je m'excuse pour la? Dernière fois, je ne savais pas ce que je faisais.
- Oublions ça ! Il ne faudrait pas gâcher cette soirée avec ce malentendu. Et s'il te plait pas de « vous » entre nous !
Hélène s'approcha de lui en roulant des hanches, et l'embrassa affectueusement sur les joues en se haussant sur la pointe des pieds. Kévin qui dépassait Hélène d'une bonne tête eut une vue plongeante sur son décolleté et vit l'espace d'un instant, ses deux globes de ses seins bronzés et gonflés par le balconnet. Sa queue gonfla instantanément dans son boxer.
Coralie proposa des boisons, apéritif, jus d'orange ou coca. Kévin répondit en souriant « Heuu, pas d'alcool, un coca ». Les deux filles prirent un jus d'orange. Kévin avait repris sa place dans le fauteuil, alors qu'Hélène et Coralie s'étaient installées cote à cote dans le canapé en face de lui. Hélène avait passé son bras sur les épaules de la jeune fille et celle-ci avait posé sa main sur la cuisse dénudée de sa voisine. La robe d'Hélène s'était largement ouverte dès qu'elle s'était assise et elle n'avait rien fait pour recouvrir ses cuisses.
La conversation s'engagea, sans aucune allusion à ce qui allait se passer. L'atmosphère se détendit peu à peu, bien que Kévin ne puisse détacher ses yeux des deux femelles assises en face de lui. Son érection ne faisait que s'amplifier et sa queue, à l'étroit dans son jean, le gênait beaucoup.
Hélène s'amusait beaucoup du rôle de garce qu'elle jouait, et elle suivait avec attention l'augmentation du volume du jean du jeune homme. Elle écartait ses jambes, ouvrant le passage à la main de Coralie qui la caressait. Elle était sure que Kévin avait une vue imprenable sur son entrejambe. De son coté, ses doigts caressaient la naissance des seins de Coralie en suivant négligemment le contour du bustier de sa voisine.
Les deux filles profitèrent d'un trou dans la conversation pour s'embrasser à pleine bouche. Coralie caressant la chatte d'Hélène pendant que celle-ci avait fait glisser son bustier, libérant ses seins nus qu'elle pelotait à pleine paume.
Kévin n'en pouvait plus, son jean allait exploser, il ouvrit son pantalon et sortit son chibre pour se branler. Les deux filles constatant que leur man'uvre obtenait l'effet attendu se ruèrent comme deux affamées sur Kévin. Tout en le branlant, le suçant, elles le déshabillèrent en un rien de temps. Hélène fit se lever Kévin. Elle se colla à lui et, tout en faisant courir ses doigts sur ses pectoraux, lui susurra à l'oreille :
- Alors, Kévin, il me semble que, la dernière fois, tu voulais me poser ma culotte. Qu'est-ce que tu attends, vas-y ne te gène pas, tu peux maintenant.
Kévin, qui était resté figé, ne se le fit pas dire deux fois. Il fit voler la robe et s'agenouilla pour faire glisser la fine culotte de dentelle jusqu'aux chevilles d'Hélène. Il avait son visage à hauteur de sa chatte et Hélène avança, posa une de ses jambes sur son épaule et plaqua son visage sur son pubis offert. Kévin comprenant ce qu'Hélène attendait de lui, se mit à la sucer fiévreusement, lui arrachant quelques gloussements de plaisir. Hélène, après quelques aller et retour de la langue de Kévin sur sa chatte, le fit se relever. Elle caressa sa queue dure comme de l'acier en l'excitant de la voix :
- Hummm, tu es plutôt bien monté, mon joli. J'aimerais bien profiter aussi de cette belle queue.
Kevin la souleva sans effort et l'empala sur sa queue qui pointait vers le plafond. Hélène eut un râle de plaisir de sentir pénétrée profondément par ce chibre conquérant. Elle s'agrippa au cou de Kévin qui la faisait monter et descendre sur sa queue. C'est lui qui donnait la cadence et elle ne pouvait que subir ce coït brutal qui la ravissait.
Il la transporta sur le canapé où Coralie se caressait, la main à l'intérieur de son minishort ouvert. Hélène utilisait la cuisse de la jeune fille comme oreiller, Coralie de sa main libre lui caressait les seins. Kévin défonçait brutalement Hélène qui gémissait de plaisir à chaque fois que sa queue grosse et dure percutait le fond de son con. Elle était arrivée dans un état de très forte excitation due aux boules de geisha, la douche ne l'avait pas calmé et maintenant ce chibre qui coulissait dans son ventre faisait monter rapidement et inexorablement son plaisir. Elle jouit rapidement, serrant ses jambes sur les reins de Kévin, le forçant à la baiser encore plus profond, encore plus fort. Elle cria en plantant ses ongles dans ses omoplates. Kévin se vida en elle presque aussitôt et avant que l'orgasme d'Hélène n'est pris fin. Elle sentit les jets puissants de sperme la perforer, la verge se gonfler frénétiquement dans son ventre pendant qu'il lui assénait des coups de reins incontrôlés. Coralie se fit jouir aussi de sa main, l'orgasme de Kévin et Hélène provoqua le sien.
Après un peu de repos, les trois amants reprirent un peu de forces en engloutissant un plat de pâtes bolognaise. Après le café, ils montèrent dans la chambre de Coralie. Après un premier orgasme, Kévin était devenu beaucoup plus résistant et les deux filles beaucoup plus sensibles. Il les prit en levrette, en même temps. Hélène et Coralie à quatre pattes sur le lit, cote à cote, s'embrassaient et se caressait mutuellement en tendant leurs deux jolies paires de fesses à leur amant. Celui-ci enfonçait avec délice son dard alternativement dans ses deux chattes ouvertes et ses deux culs offerts. L'orgasme des deux filles fut rapide à venir et Kévin les combla avant même que son plaisir ne devienne incontrôlable.
Coralie exigea de Kévin qu'il la suce. Elle maintenait sa tête plaquée sur son sexe. Hélène caressait la queue de Kevin qui se mit à quatre pattes pour lui faciliter la tache. Elle faisait glisser sa main sur son pieu, palpait doucement les boules poilues, introduisait son doigt dans sa raie culière. Kévin gémissait de ses attouchements qui, trop légers pour le faire partir, n'en augmentait pas moins son excitation.
Coralie faisait de petits signes de la main à Hélène en riant silencieusement, un éclair de vice dans les yeux. Hélène mit quelques secondes avant de comprendre ce que Coralie lui indiquait. Elle quitta la couche et se alla prendre le gode ceinture qu'elle ajusta sur ses hanches. Coralie lui fit un signe du pouce, avec un clin d'oeil. Hélène enduit le gode de gel lubrifiant et un posa une noisette sur sa main. Revenant près de Kévin, elle lui enduit la rosette de gel et enfonçant son doigt dans son petit trou lui lubrifia abondamment les sphincters. Puis se mettant derrière lui, elle guida le gode vers son petit trou. Kévin gémit et tenta de se débattre un peu mais Coralie assura sa prise sur sa tête. Hélène poussa doucement d'une pression de ses reins, les mains cramponnées sur les hanches du jeune homme, le gode s'enfonça dans le cul de Kévin qui poussa un râle étouffé par la chatte de Coralie. Le gode était maintenant bien planté dans le cul de Kévin et coulissait doucement sous les va-et-vient que lui imprimait Hélène. Kévin réussit à libérer sa bouche, prit une profonde inspiration et dit d'une voix cassée.
- Elle m'encule cette garce. Putain c'est bon. Encule-moi encore, salope.
Avant de replonger sa langue dans la fente dégoulinante de Coralie.
Hélène sodomisa comme cela Kévin tout en le branlant d'une main. Il jouit violemment, vidant son sperme dans la main d'Hélène.
Les trois amants refirent plusieurs fois l'amour, jouissant à tour de rôle des caresses des deux autres avant de s'endormir tard dans la nuit.
Le lendemain, Kévin et Hélène quittèrent Coralie avant que ses parents n'arrivent et après avoir fait un peu de ménage et de rangement dans la maison.