Buccolique

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Proposée le 31/10/2010 par Ludwig

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Louise aime la nature, presque autant que faire l'amour.

Nous nous baladons souvent dans les forêts qui bordent notre ville, c'est l'occasion de discuter, de prendre l'air, et parfois même de s'abandonner à quelque plaisir charnel, mais cela, elle ne le savait pas encore.

J'avais garé ma voiture à l'orée d'un bois, l'été prenait fin mais nous jouissions d'un mois de septembre plus que clément et c'est vêtue d'une jupe et d'un débardeur que ma belle coquine entamait ce bel après-midi. Les feuilles ne tombaient pas encore, mais le sol était jonché de feuilles mortes, nous marchions, croisant de temps à autre un couple, un coureur, un vététiste et même des cavaliers. Je prenais ma chère et tendre par la taille, nous discutions de tout, de nous, de sexe aussi.

Je ne sais pourquoi nous nous sommes écartés du chemin, mais nous nous sommes assis sur une souche et nous nous sommes embrassés. Les baisers se sont faits plus torrides et je sentais que sa respiration s'amplifiait. Je passai une main sur ses hanches, dans son dos. Sa jambe passa sur la mienne et je passai une main dans ses cheveux. Je descendis ma main vers sa cuisse, sa peau douce s'offrait à mes doigts.

- J'ai envie que tu me prennes, ici, contre cet arbre, me souffla-t-elle.

- Tu crois que c'est une bonne idée, lui demandai-je, et si on nous surprend ?

- Je vais te faire passer cette peur, me répondit-t-elle avec beaucoup de malice dans son regard

Je bandais déjà depuis un petit moment quand elle se mit à genoux sur mon pull, sortit mon membre de mon pantalon et se mit à me sucer avec envie. Elle suçait ma queue, léchait mon gland, caressait mes couilles. Elle humectait et suçait avec application, mon gland ressentait sa langue me pétrir d'amour dans sa bouche. Elle savait l'effet qu'elle me faisait puisqu'elle me regardait droit dans les yeux. Elle me regardait fixement de ses deux noisettes, en avalant mon chibre tout gonflé. Elle me branlait fermement en mettant mes couilles dans sa bouche. J'étais au paradis, jamais on ne m'avait fait autant de plaisir. Elle semblait aimer ça puisque ses seins pointaient. Elle faisait ça comme une experte, mieux même. Sa langue douce et délicate excitait mon méat, et recouvrait mon gland de mille douceurs. Elle me branlait et me regarda dans les yeux.

- Prends-moi, prends-moi fort et tout de suite.

Nous nous levâmes, je l'amenai contre un arbre, levai sa jupe, écartai son string en dentelle et constatai qu'elle était trempée. Elle soupirait de plaisir quand mon doigt entra dans son intimité. Sans autre forme de procès, je lui enfonçai mon membre surexcité jusqu'à la garde alors qu'elle lâchait un petit cri. Je commençai à la ramoner doucement, puis j'accélérai le mouvement. Ses hanches entre mes mains, elle se cambra et je la pilonnais avec force. Elle criait presque, elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler mais elle se retournait pour me faire voir son visage rongé par le plaisir.

Sa peau était pivoine, sa respiration frénétique, elle empoigna ma main et la serra fort, elle allait jouir. Je passai une main devant et titillai son clitoris. Elle jouit fort en serrant ma main très fort. Je l'embrassais dans le cou, sa peau brûlait, transpirait. J'avais envie de la prendre encore. Je continuai à ce rythme. Je la retournai et la posai face à moi, debout, comme les premiers hommes, je sortis ses seins de son débardeur, en jolie coquine, elle ne portait pas de soutien-gorge et je les suçais de mon mieux.

Je m'assis sur la souche et elle vint s'empaler sur moi, frottant son clitoris contre moi, je lui suçais les seins, prenais ses fesses entre mes mains, elle m'embrassait avec envie. Son souffle s'accéléra et elle devait jouir une seconde fois, elle tordait ses fesses, son corps se consumait de plaisir et elle me mordit le cou alors qu'elle jouissait.

- C'est trop bon mon coeur, me souffla-t-elle, jouis, jouis en moi.

- Je veux jouir sur ta langue, lui dis-je coquin

- Tout ce que tu voudras, prends-moi encore.

Je la prenais encore fort en levrette contre la souche, ses fesses offertes, sa croupe gonflée de désir, sa chatte trempée d'excitation. Ma queue limait son trou d'amour avec force, comme elle l'aimait. Je sentais l'orgasme monter en moi, je me retenais, je voulais encore lui donner du plaisir.

Je glissais un doigt dans son petit trou, ce qui la surprit, mais elle apprécia. Je la limais encore, sur ses cuisses, son nectar de désir coulait, elle respirait fort encore, j'avais ma main sur sa hanche, l'autre dans son petit trou. Elle jouit encore une fois mais ne put s'empêcher de lâcher un petit cri.

- Jouis en moi, je t'en prie, jouis en moi.

Elle s'écarta, et prit mon membre suintant sa mouille et le mit dans sa bouche, elle me suçait avec envie, frénétiquement. Quand elle lécha mon gland avec sa langue, je lâchais tout mon jus, elle tira la langue pour me montrer et je lâchais un jet sur sa figure, en travers de ses lunettes, un autre directement dans sa bouche. Elle me suça encore, pour tout essuyer, jusqu'à la dernière goutte. Elle enleva le sperme sur ses lunettes avec son doigt et le lécha avidement.

En partant, nous aperçûmes un coureur, le short au genoux qui se masturbait en nous regardant. Un clin d'oeil de ma chérie et un signe de main et nous quittâmes les lieux.

J'irai en forêt bien plus souvent à l'avenir?