Prise d'otage au bureau - Partie 1

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Proposée le 24/10/2010 par Bidibulle

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Présence de sexe non consensuel au premier abord


Catherine était une jeune cadre dynamique, employée dans une petite entreprise de services informatique, d'une quinzaine de personnes. Sa vie était assez bien cadrée, entre ses week-ends entre amis, et ses semaines de boulot interminables, où elle rentrait régulièrement tard chez elle.
Son mari était employé au Conseil régional, et pouvait s'occuper de son petit garçon de 5 ans, ce qui lui donnait moins de remords à rentrer après 21h, ou à voyager aux quatre coins de la France, voire certaines fois à l'étranger?
Catherine était mariée depuis 7 ans, et toujours aussi amoureuse de son mari, même si ce dernier avait tendance à trop souvent rentrer dans son rôle de « fonctionnaire » pépère, ce qui avait l'art de la rendre folle? Jolie brune avec les cheveux mi-longs, 1m65, 53kg, une jolie petite poitrine (90B), Catherine avait beaucoup de succès auprès des hommes en général, y compris ses collègues de bureau, qui lui faisaient régulièrement du « rentre-dedans ». Elle prenait toujours cela à la rigolade, et n'avait jamais franchi le pas, même si après certaines soirées arrosées entre collègues, elle avait été à deux doigts de le faire?
Les bureaux de Catherine se trouvaient dans une zone commerciale, entre une banque privée et un salon de coiffure. Un bâtiment tout neuf, avec salle de réunions, bureaux individuels, cafétéria, que son patron venait de louer 3 mois auparavant? Au bureau, Catherine s'entendait à merveille avec Sophie, la comptable, jolie blonde aux yeux bleus pétillants, Domi, la responsable Marketing, un peu fo-folle, une grande brune qui faisait craquer tous les employés avec son 95C et son corps à la Pamela Anderson, et enfin Frédérique, timide petite stagiaire, que Catherine avait prise sous son aile?
Ce matin là, une réunion générale était prévue au bureau pour préparer la fin de l'année, qui s'annonçait difficile. Tout le monde était réuni dans la salle de réunion dès 07h30, car la journée s'annoncerait longue pour préparer les actions à venir? Tout à coup, la porte d'entrée s'ouvrit, et 5 hommes en cagoule entrèrent, revolvers aux poings, tout habillés de noir : « Personne ne bouge ! On ne vous veut pas de mal, on veut juste squatter ici quelques heures ! ».
Un homme, le plus grand et plus baraqué, qui semblait être le chef, s'avança et prit la parole.
- « Ecoutez-moi, on ne vous veut pas de mal, mais ça peut très vite se transformer en boucherie si vous n'obéissez pas ! On va s'installer ici, le temps de vider le coffre de vos voisins qui se situe derrière ce mur ? Il pointa l'écran de la salle de réunion - et on s'en ira gentiment. C'est compris ?! »
On se regarda tous les uns les autres, et on comprit rapidement que cette journée serait vraiment très longue?
Les hommes commencèrent leur travail de démolition méticuleuse. 2 grands gaillards se chargeaient de percer le mur de façon très précise, tandis que les 3 autres nous surveillaient. L'un des trois dit alors à ses collègues : « Et les gars, c'est sympa cette boite, tu crois qu'ils recrutent sur le physique ? Mate un peu les deux blondes là-bas' Et la brunette? Ca me donne une idée, si on jouait au jeu de la dernière fois ? »
A ces mots, Catherine, Sophie et Frédérique comprirent que le danger commençait à arriver?
Le grand gaillard enleva alors sa cagoule. C'était un grand brun, pas très beau, le visage marqué par le stress et la fatigue : « Bon, les filles, le jeu est très simple : mon copain Patrick va vous prendre une par une, et le but du jeu est de vous faire jouir? Pas mal non ! » Et il explosa dans un grand rire qui nous glaça le sang?
Un homme sorti alors du lot, pas très grand, plutôt trapu, il enleva sa cagoule, et son visage, noir ébène, balafré, ne fit qu'augmenter notre peur? Il devait être Sénégalais ou Congolais, et ses dents blanches ressortaient par rapport à sa peau très noire?
« Vas-y Marcel, sort le crayon ! »
Le troisième homme sorti un stylo Bic de sa poche, tandis que René (le premier des trois) nous plaça toutes les 4 contre un mur. Ils firent passer les autres employés dans un bureau où ils les enfermèrent à double tour, en prenant soin de fermer les fenêtres et de couper les lignes téléphoniques'
Marcel fit tourner le crayon, qui pointa Sophie? Il l'emmena aussitôt dans un bureau en compagnie de Patrick, qui commençait à se déshabiller...
« Le jeu est très simple ma poulette, Patrick va te faire jouir, que tu le veuilles ou pas. En général, les filles résistent, mais au final, elles perdent toujours ! ah, ah ,ah ! ».
Sophie, sure d'elle, fit face à Patrick, ses grands yeux bleus le fixant droit dans les siens : « Pour que je jouisse, il faut encore que j'aime ca et que je sois consentante, et votre bodybuilder ne m'excite pas du tout ! »
Patrick prit Sophie par les épaules, et la tourna violemment, lui remonta sa jupe en jean, et lui arracha littéralement son string? Sophie prit son courage à deux main, n'ayant pas le choix, son seul et unique but étant de se forcer à ne rien ressentir, afin d'essayer d'humilier la virilité prétendue de l'homme. Elle n'avait pas vu Patrick se déshabiller dans son dos' il commença à la lécher, donnant de violents et profonds coups de langue, râpeuse, qui mécaniquement, faisaient mouiller Sophie, même si elle arrivait à se contenir et à ne rien ressentir. Une fois qu'elle fut bien mouillée, Patrick se décida à passer à l'action'
Sophie eut alors comme un électrochoc : elle n'avait jamais ressenti cela dans toute sa vie de femme, pourtant expérimentée : elle sentit que Patrick avait une verge d'une vingtaine de centimètres de long, mais surtout de plus de 5cm de large, et il savait s'en servir !
La première pénétration fut terrible, et Patrick commençait son va-et ?vient de façon lente et balancée : on était très loin du gros « bourrin », et Sophie, luttant contre le plaisir, commençait sérieusement à mouiller, et son vagin, son clitoris, lui envoyaient des signaux qu'elle avait du mal à refuser?
« Alors, combien de temps vas-tu tenir, jolie poupée ? » lui rétorqua Marcel, qui était juste à côté ?
« Ca.. Ca ne me fait rien du tout? » Mais en finissant sa phrase, Sophie se trahit par un petit cri étouffé « aaahhhh » : le processus était en marche, et ne s'arrêterait plus' Sophie était réellement emportée au fur et à mesure des pénétrations de Patrick, et désormais, ne pouvait plus étouffer son plaisir? A tel point, que les trois autres, de l'autre côté du fin mur en placo-platre, entendaient désormais les cris de jouissance de leur collègue.
Sophie finit par jouir dans un dernier râle, comme elle n'avait jamais joui de sa vie? Ce Patrick, en plus de lui avoir donné un plaisir vaginal comme jamais, était capable, par la grosseur et les veines de son sexe, de plus procurer en même temps un plaisir clitoridien comme elle n'en n'avait jamais eu, même en se masturbant elle-même?
Marcel sorti de la salle, avec Sophie à ses côtés, rhabillé, mais le visage encore rougie par le plaisir?
« Patrick 1, les filles 0 », à la prochaine !
Catherine et ses amies se regardèrent, terrorisées, pendant que les deux autres continuaient de percer le mur méticuleusement?