Notre première fois

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Proposée le 18/10/2010 par Ludwig

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Il est minuit passé, Louise me parle par clavier interposé, la distance entre nous est importante, géographique uniquement pour le moment mais nous devrions nous voir dans quelques temps, entre temps, internet nous aide à cacher notre timidité et nous nous révélons peu à peu. La complicité naît, les rapports deviennent carrément ambigus, nous parlons de nous, de sexe, toujours sous couvert de sentiments, l'un ne pouvant aller sans l'autre.

Les jours passent, je suis toujours heureux de parler à Louise tous les soirs ou presque dès que je le peux. Elle est là, me domine et ne rêve que de me voir pour savoir si ça ira plus loin. En attendant, elle me sonde, me cherche, titille mon célibat forcé assez conséquent. Elle se dévoile par des photos sensuelles prises à mon intention, je découvre chaque jour le corps de celle qui désormais peuple mes nuits. Le jour où nous devons nous voir pour la première fois approche. Nous habitons assez loin et pour nous faciliter la tâche, nous coupons la poire en deux et pour lieu de rencontre, quoi de mieux que les Champs Elysées. Je lui donne rendez-vous devant chez Fouquet's en espérant ne pas devoir y boire un verre. J'attends, transi dans le froid qu'elle pointe le bout de son nez. Après une attente réglementaire, une petite voix m'interpèle dans le dos.

-Ludwig ?

C'est elle, je l'ai vue mille fois par webcam interposée mais elle est devant moi, enfin devant moi. Sous les feux des décorations de Noël qui scintillent, elle brûle de beauté. Elle est beaucoup plus petite que moi mais elle respire une grâce qui me laisse sans voix. Je la contemple sans trop le montrer et ses vêtements chauds masquent bien des choses. Nous allons dîner dans un petit restaurant et je prends plaisir à me noyer dans ses yeux noisette. Elle me parle de sa voix si douce, la glace se brise alors que nous l'avions brisée cent fois sur internet. Il était entendu que si l'un d'entre nous ne le sentait pas, il pouvait partir mais que si l'on restait, on devrait partager le lit de la chambre d'hôtel.

En chemin, je fais de mon mieux pour lui plaire et elle me donne sa petite main à chauffer. Arrivés Avenue des Gobelins dans le XV, je la conduis dans un hôtel trois étoiles que j'avais réservé. Je voulais lui sortir le grand jeu. Elle monte avec moi et nous nous installons pour voir un film. A la fin du film, elle se retrouve blottie contre moi.

- S'il te plait, me demande-t-elle, j'ai un peu mal au dos, tu veux bien me masser ?

Je ne sais quoi dire, dans la relative pénombre de la chambre, elle enlève son pull, son débardeur et je la vis. Une jolie brune aux cheveux longs, une vingtaine d'années, les yeux noisette, les lèvres fines et roses, la peau douce, des formes de rêve et elle exhibe de dos la finesse de la dentelle de son soutien-gorge. Elle se met sur le ventre, dégrafe l'attache dans le dos et m'appèle pour un massage. J'ai déjà beaucoup de mal à réfréner mon érection mais je le mets de telle sorte qu'elle se voit le moins possible. Au lieu de la masser, je la couvre de baisers, sa peau est douce comme du cachemire, chaude, je place mes mains dessus et je la caresse avant de commencer.

Sa respiration s'amplifie un peu, elle lâche des petits gémissements de plaisir, mais ça reste contenu. J'enduis mes mains d'huile et je la masse, de la nuque au bas des reins, je m'attarde sur ses épaules, je fais de mon mieux, tentant de descendre vers ses fesses rebondies et sur les côtés pour toucher ses flancs. Je ne sais si elle s'endormait ou si elle savourait. L'huile absorbée par sa peau, je me tiens près d'elle, posant une main sur son dos. La pièce embaume l'huile de massage et surtout son parfum délicat. C'est là qu'elle se retourne me donnant une vue sur ses seins. Je détourne mon regard et je contemple sa poitrine, un merveilleux 90D, des tétons roses comme des boutons pointés déjà, fermes et qui m'engagent à les prendre. Elle se penche vers moi et m'embrasse tendrement, je n'ose mettre mes mains sur ses seins alors elle en prend une qu'elle glisse de son dos vers sa poitrine.

Nous nous allongeons et elle me déshabille, elle remarque mon érection et caresse mon sexe par-dessus mon caleçon.

- Mmmmh, gémit-elle, impressionnant, et c'est pour moi tout ça ?

Je ne sais que répondre, elle me regarde dans les yeux, sort mon engin turgescent et le branle doucement de sa petite main. Elle ne quitte pas mes yeux quand elle embrasse mon ventre, mes cuisses, se rapprochant sans cesse alors qu'elle manie avec dextérité mon sexe gonflé à mort. Elle repousse sa mèche de cheveux et elle l'avale entier. Je n'en peux plus tellement c'est bon. Louise a mon chibre dans sa bouche et joue avec sa langue, elle caresse mon gland avec amour, lèche mes couilles pleines, me branle avec doigté. Il est luisant de sa salive, elle le lèche de haut en bas, et l'avale à nouveau, elle a une petite bouche mais en rentre une bonne partie. Je suis au bord de l'orgasme et je crois hurler quand elle se met à le sucer plus fort encore.

- Donne-moi tout, m'ordonne-t-elle, je te veux dans ma bouche.

Elle me lèche, me suce, m'avale et me regarde dans les yeux. Je la vois, elle se caresse un sein et je lâche un jet fort sur sa langue de velours. Je vois des étoiles et ses yeux alors qu'elle nettoie mon gland de ses dernières gouttes.

- Maintenant me dit-elle, tu vas devoir me faire jouir, et pas qu'un peu.

Je la tourne, lui enlève sa jupe et je découvre sa lingerie de dentelle et ses bas. Dieu qu'elle est belle, son shorty rouge et noir sublime ses courbes, ses fesses, ses hanches, ses jambes. Je couvre chaque centimètre de sa peau de baisers, ses mamelons fondent sous ma langue. Elle respire plus fort et gémit quand je suce ses tétons. Je joue avec l'un ou l'autre de ses seins. Je descends sur son ventre, titille son nombril et par-dessus sa lingerie, je tâte le terrain, c'est chaud et déjà mouillé. Je lui enlève son shorty en dentelle de mes dents, j'enduis ses jambes d'attentions, je masse ses pieds et je remonte vers cette chatte brûlante qui n'attend que moi. Elle est lisse et ma langue se promène à l'envi sur sa peau surchauffée.

- Lèche-moi je t'en prie, me soupire-t-elle.

Je glisse un doigt juste pour caresser ses lèvres et j'écarte légèrement pour que le passage se fasse. C'est trempé, chaud, je n'ai rien à faire sinon attiser le feu. Ma langue descend doucement vers ce bouton rose luisant, je le lèche de loin, elle se cambre, agrippe les draps. Je glisse ma langue à l'orée de sa chatte et je remonte vers son clitoris qui se gonfle. Je maintiens ses lèvres écartées et je m'emploie à lécher son clitoris, sa mouille emplit mes narines, mes papilles et j'adore ça. Je le suce, je le prends dans ma bouche, je le lèche avec application, je guette le moindre de ses mouvements. Ses gros seins se lèvent avec frénésie au rythme de sa respiration. Elle gémit, souffle, râle.

Elle commence à crier quand je caresse l'entrée avec un doigt en ayant ma bouche sur son bouton d'amour. Elle gémit alors que je l'enfonce d'un coup et commence à jouer avec sa chatte si serrée. c'est chaud et trempé. Elle jouit sous ma langue. J'ose un deuxième doigt, elle mord les draps.

- Prends-moi, souffle-t-elle, prends-moi tout de suite, prends-moi fort, comme une chienne.

Je n'en fais rien, je continue de plus belle, mes doigts farfouillent cette chatte brûlante, ses tétons pointent comme jamais, je les lèche avec application avant de redescendre vers sa chatte.

- Prends-moi, prends-moi, je veux ta queue.

Je change de main et elle lèche ses doigts pleins de sa mouille quand j'introduis deux doigts de l'autre main dans son intimité. Mon sexe est très dur, j'ai joui dans sa bouche et j'ai envie de lui faire l'amour, fort comme elle le désire.

- J'ai envie de ta queue, je t'en prie, je t'en supplie.

Pour toute réponse, je me déplace et je lui mets mon chibre tendu contre ses lèvres. Elle ne se fait pas prier et le suce avec frénésie. Elle me branle fort, aussi distinctement que le lui permet sa conscience altérée par le plaisir.

- Alors, petite coquine, t'as joui ?

- Oui, et j'en veux encore, pénètre-moi, baise-moi, je t'en supplie.

Elle se met à quatre pattes et cambre son dos pour me présenter ses fesses roses et sa chatte dégoulinante de mouille. J'enfile un préservatif et je la pénètre jusqu'à la garde. Elle lâche un cri de plaisir. Elle est serrée et je me sens au paradis en elle.

- Baise-moi, fort, me glisse-t-elle entre deux soupirs.

Je lui fais l'amour, j'y vais tantôt fort, tantôt doucement, je la prends par ses hanches, ses fesses rebondissent contre moi et elle est véritablement trempée. Je la prends en levrette, sur le côté en lui malaxant les seins et en titillant son clitoris, elle gémit, me griffe, mord les draps. Elle veut venir sur moi mais elle est trop désorientée pour pouvoir bouger alors je la prends assise sur la table de la chambre, elle ne me regarde plus, ses yeux sont ailleurs. Nous sommes en sueur, je regarde ses lourds seins bouger au rythme de mes coups en elle. Je l'embrasse, elle en veut.

- C'est trop bon, je t'assure, continue, fais-moi jouir encore.

- Tu n'as pas encore eu ton compte ? Tu en veux encore ?

- Baise-moi, je t'en prie. Baise-moi encore.

- Je veux jouir sur toi.

- Jouis sur mes seins, tu aimes mes seins ?

Je me retire et j'enlève la capote, elle le prend dans ses mains alors qu'elle s'agenouille en me présentant ses seins. Elle le suce et me branle et je lâche un jet de crème sur sa poitrine luisante de sueur.

- Pour une première rencontre, tu as assuré mon étalon.

- Je ne savais pas que tu aimais le sexe à ce point.

- J'ai joui au moins trois fois avec toi, je crois que ce ne seront pas les dernières. Je suis ta petite coquine à toi maintenant.

En effet, nous n'étions que vendredi soir et le weekend ne faisait que commencer.