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Proposée le 17/10/2010 par laure95
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Après ce week end, nous ne nous sommes guère plus quittées. Nous passions beaucoup de temps l'une chez l'autre, ayant envie de tout partager. Et nous parlions beaucoup de nos amours passés, présents et futurs... Elle voulait tout savoir de mon couple.
Si Jean me prenait souvent, qui provoquait les rapports, où on le faisait, si je prenais plaisir à le caresser, le sucer, s'il m'avait déjà prise par derrière...
Et je me renseignais en retour sur les mêmes sujets, le tout entrecoupé de caresses très intimes des mains et de la langue...
Titillant mon bouton, elle demandait "Il te caresse comme ça ? Aussi bien ? Il te fait jouir avec ses doigts ?"
Et plongeant ma tête entre ses cuisses, je répondais :
- Ma langue est elle aussi bonne que la sienne ? Il te trouve aussi facilement ? Tu pars aussi vite ?
Les questions se sont faites de plus en plus précises jusqu'au jour où elle m'avoue avoir très envie de me voir faire l'amour avec Jean, de faire l'amour avec lui, de savoir ce que je ressens quand il me prend.
De prime abord, je reste interloquée. Voilà des semaines que je fais de mon mieux pour cloisonner ces deux univers, et il faudrait maintenant n'en faire plus qu'un ! Muriel adore son mari, moi le mien. Cela n'empêche en rien les petits jeux entre amies, au contraire, ça rompt la monotonie, et provoque un surcroit de désir dont nos maris se réjouissent... Mais je ne souhaite pas rompre cette belle harmonie... Jean a certainement des relations de son côté, mais c'est son jardin secret. Nous faisons l'amour régulièrement, de manière plutôt bourgeoise, et n'avons jamais évoqué ne serait ce que la possibilité de faire l'amour à plusieurs...
Je m'ouvre à Muriel de toutes ces questions.
- Je sais bien, je pense la même chose que toi. Entièrement. Raisonnablement. Mais ça n'empêche pas que j'ai cette envie. Déraisonnable.
Nous avons abandonné le sujet, mais il faisait son chemin dans ma tête. Jusqu'à m'obséder. Le soir venu, Jean me prit et je m'imaginais Muriel à mes côtés, me caressant, m'embrassant tandis qu'il me baisait. C'était son sexe à lui qui me pénétrait, sa langue à elle qui goutait mes lèvres, ses mains sur mes seins... Il me fit jouir à plusieurs reprises, et crier comme je crois ne l'avoir jamais fait auparavant.
Chaque nuit, je m'endormais avec cette envie au ventre, et tentais de trouver un moyen d'arriver à nos fins en préservant notre équilibre. Et je finis par trouver une solution ; je la peaufinais jusqu'à me convaincre ; je m'excitais une longue semaine, seule sur lit, à l'idée de passer à l'acte...
Je ne voulais rien expliquer, désireuse de rester maîtresse du jeu. Un vendredi, dans l'intimité du lit de Muriel, toutes deux nues et enlacées, je m'ouvre à elle.
- J'ai trouvé comment te faire partager mon plaisir avec Jean. Demain, tu viens à la maison à 14 heures. La porte sera ouverte. Sans bruit, tu iras à la salle de bain et te mettra en petite tenue. J'irai te chercher. A aucun moment, tu ne parleras. Ou bien je ne te revois plus jamais
J'ai muré ses lèvres de baisers pour éviter les questions. Puis l'ai caressée d'une main ferme en lui répétant "Demain, tu verras demain."...
Le samedi, à l'heure du café, je me fais caline, prends Jean dans mes bras, et lui propose une petite sieste - c'est l'expression consacrée. La tête dans son cou, rougissante, je lui murmure :
- J'ai lu un truc dans un magazine pour femmes...
Pas top le début, il déteste ça ; mais je n'ai rien trouvé d'autre... Je poursuis vaillament.
- Une expérience qui, paraît-il décuple le plaisir du partenaire masculin... Et ce faisant de sa compagne.
Un blanc, j'avale ma salive.
- Tu veux bien essayer ? tu me fais confiance ?
Après quelques instants de silence, il accepte... Silence de façade, je sens bien à son érection contre moi que la nouvauté le stimule...
Je l'entraîne dans la chambre, et le déshabille doucement en lui donnant ma bouche. Je lutte avec la ceinture, dégraffe son pantalon... Erection très prometteuse... Je fais glisser son slip, me dévet à mon tour... Je ne garde que le body maille que Muriel m'a offert.
- J'aime bien l'expérience, dit-il, le regard en feu.
- Non ça n'est pas ça mon coeur, allonge toi sur le lit.
J'entends les pas de Muriel dans le couloir... Vite...
J'ouvre la penderie, et attrape quelques foulards. Je lui attache fermement les bras à la tête de lit, les pieds au bas du lit, jambes bien écartées. Puis l'embrassant, je lui bande les yeux avec le dernier foulard. Il semble à la fois inquiet et très excité. Je l'embrasse ; il me dévore.
- Tu me vois, là ? Comme je pose la question, je dégraffe le body et me caresse longuement devant lui. Mes doigts glissent sur ma toison, s'insinuent entre les lèvres, je me caresse, toute mouillée... Ça ne m'est jamais arrivé devant lui. Pas de signe d'excitation apparent. Il ne doit rien voir...
Je quitte la pièce sans bruit et vais rejoindre Muriel dans la salle de bain. En guêpière, les seins nus, elle me dévore la bouche. Je lui caresse les seins, le sexe déjà humide, puis un doigt sur la bouche, lui prend la main, l'amène dans la chambre et lui montre le fauteuil du doigt. Elle s'assied docile. Je retourne à mon seigneur et maître, l'embrasse à nouveau, le goût de Muriel encore dans la bouche ; lui suce les têtons, descend doucement sur son ventre, lui lèche le sexe tendu et tremblant de désir.
- Tu aimes ? Je lance à la cantonnade ; Jean me jure adorer, et je le crois volontiers tant son excitation est grande. Muriel aussi, qui écarte les jambes, et se caresse par la fente de la guêpière.
J'ote le body, tourne mes fesses vers Muriel et entrepend de sucer Jean. Je sens deux mains se poser sur mes fesses, les écarter, une langue qui furète, s'insinue entre mes cuisses, me prend et vient à son tour me donner du plaisir... Je jouis très vite, la repousse, et abandonne le sexe de Jean qui me semble proche d'éclater aussi. La situation l'excite terriblement... Trop peut-être, pour mes plans.
On se calme un peu, baisers, caresses. Il semble pleinement apprécier la nouveauté... Muriel aussi, qui se touche encore et encore en nous regardant...
Après quelques instants, je me mets à califourchon sur Jean, me caresse lentement sur son ventre, descend encore... Je branle un peu son sexe durci, puis le prends en main et l'invite à me pénétrer. Je me penche en avant pour que Muriel ne perde rien du spectacle, et me caresse en lents vas et viens... Jean secoue la tête dans tous les sens, et tente d'accélérer la cadence. Muriel mate, deux doigts dans sa grotte. Je sens un premier plaisir me gagner, je jouis et abandonne Jean brutalement. Il rale un peu et je lui explique en lui caressant doucement la queue d'un doigt...
- Deuxième partie du programme... Je vais mettre une autre tenue, un autre parfum... Te caresser différemment, te faire l'amour différemment... Et tu vas te croire avec une autre femme...
Je vais rejoindre Muriel sur son fauteuil, agitant la porte au passage. On s'embrasse et se caresse un peu, puis je l'invite à se diriger vers le lit ; pendant ce temps, je repousse la porte en disant "Me voilà", et je gagne le fauteuil...
Agenouillée au côté de Jean, Muriel lui lèche les cuisses, puis la tige d'une langue gourmande.
Je la rejoins, et entreprends de lécher cette bite à mon tour. Nos langues se touchent par dessus le membre, courent ensemble, se retrouvent sur le gland. Muriel me repousse et prend Jean en bouche, le suce doucement. Je lui prend la tête et guide ses mouvements, décidant d'accélérer ou de ralentir le ryhtme. Jean est sur le point d'exploser, elle se retire et nous caressons doucement l'objet du désir, nos doigts alternant sur le sexe durci...
Je m'écarte, et invite Muriel à chevaucher Jean, en me faisant face. Je l'embrasse, puis dirige la queue de Jean sur laquelle elle s'empale violemment. Je regarde sa chatte aller et venir, engloutissant le membre... Je la rejoins, l'embrasse en lui caressant les seins... Elle enfonce ses ongles dans mes fesses, accélère encore... Jean crie et jouis en même temps qu'elle, agité de spasmes violents... Elle se retire et s'enfuit sans bruit dans la salle de bain ; je la rejoins et lui lèche le sexe ruisselant, encore plein de l'odeur de Jean et de son foutre... Puis la quitte et l'invite à partir.
Je rejoins alors la chambre pour de petits baisers au mâle épuisé, qui semble avoir goûté les conseils de la presse féminine...