Amours de Laure et Muriel. Le week end qui fait date

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Proposée le 9/10/2010 par laure95

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Ce récit fait suite à ma première fois avec Muriel.

J'ai revu Muriel dès le lendemain ; je voulais être sûre que c'était plus qu'un simple désir d'un jour entre nous. Elle m'a fait entrer et à peine la porte fermée, m'a embrassée d'une manière qui m'a totalement rassurée quant à ses sentiments... Nous nous sommes aimées sur le canapé une première fois, puis elle m'a entrainée dans sa chambre pour des caresses plus averties. En fin d'après midi, épuisée, blottie contre elle, on a commencé à parler. Nous n'avions guère échangé jusqu'alors que des invitations à se caliner, à se goûter et à se dire notre plaisir...
- Heureusement que je t'ai monté cette histoire de manteau...
Elle se met à rire, m'embrasse.
- Pourquoi ? c'était quoi, le plan manteau ?
Je rougis, avoue la désirer depuis des mois, et avoir saisi ce prétexte pour qu'on se retrouve dans sa chambre. Elle m'embrasse à nouveau.
- Et une fois dans la chambre ?
- Là je ne sais pas ; place à l'improvisation. Je crois que je t'aurais sautée dessus à un moment ou un autre.
Elle rit encore.
- Et tu crois vraiment que je range mes manteaux avec mes culottes ? Ils sont dans la penderie de l'entrée, les manteaux. Moi aussi j'ai envie de toi depuis des lustres. Et ne sais pas comment te l'avouer. J'ai eu cette idée de te faire essayer des sous-vêtements il y a quelques jours... Et j'ai saisi cette opportunité. Tu m'en veux ?
- Oui, d'avoir attendu si longtemps, et tu vas le payer. Je vais te faire exploser de plaisir pour ce retard.
Je me retourne, suce ses mamelons, lui lèche le ventre, descends sur sa toison, et prend possession de son sexe. Je la fouille de ma langue, la pénètre ainsi, et elle ne tarde pas à venir, criant son plaisir dans l'oreiller.

Elle continue, très machiavélique :
- En fait, mon ceur, je t'aime depuis toujours... Et j'ai envie d'aller plus loin depuis presque un an, depuis que nous dansons ensemble exactement...

Petite parenthèse. L'an dernier, nous avons fréquenté un cours de danse de salon Muriel et moi. On s'est inscrit en couple, mais nos maris, un peu forcés au début, ont vite abandonné l'activité. Et comme il y a plus de femmes que d'hommes dans le cours, c'est vrai qu'on a beaucoup dansé ensemble, Muriel et moi... Et maintenant qu'elle en parle, je me souviens être aussi rentrée souvent très excitée du cours, sans avoir vraiment identifié la cause de cet émoi... Ou me l'être avouée...
- Et depuis quelques semaines, j'en ai très envie... Au point que je me caresse souvent en pensant à toi... Je te choque ?

Non, et je lui avoue faire la même chose... Elle continue.
- Donc, plan A, sous vêtements. En cas de naufrage retentissant du plan A, abandon de la partie. En cas de semi échec, plan B
Je ris encore, heureuse d'être l'objet de tant de réflexions...
- Et le plan B, c'était quoi ?
- Un week end séduction en tête à tête à la maison de campagne...
- Le week end séduction, on peut le faire quand même ? Finalement, je ne suis pas très sûre de mes sentiments pour toi...
- Salope, me dit-elle en m'embrassant. Très bien ; je ne te connais plus jusqu'à ce que tu répondes à mon invitation. D'ailleurs moi aussi je pense qu'il s'agit d'une passade sans lendemain.
Je reçus l'invitation le jour même. Puis plus rien.
Nous restâmes ainsi deux longues semaines sans nous voir. Après quelques jours, je ne savais plus très bien où j'en étais, où nous en étions toutes les deux... Etais-je un simple jeu pour elle ? Etait-elle déjà passée à autre chose ? Elle ne répondait plus au téléphone, ni aux mails. Je laissais des messages à son répondeur, tantôt câlins, tantôt colère, allant jusqu'à menacer de ne pas répondre à son invitation. Silence...

Arrive le vendredi tant attendu. Je quitte la maison en jean ; baskets et pull, afin de donner à mon mari toute crédibilité en ce week-end campagnard. Le train n'en finit pas... A quelques minutes de la gare, je m'enferme dans les toilettes pour me rendre plus désirable. J'échange le jean pour une jupe très courte, les baskets pour des escarpins ; mon pull cache un chemisier blanc très transparent, sous lequel je ne porte rien... Je l'enlèverai au dernier moment. Je retourne m'assoir et m'aperçois que mon voisin me regarde d'un autre oeil.. Bon signe. Je fantasme déjà sur l'arrivée. Bisous doux sur le quai, puis sa bouche toute à moi dès la voiture, ses mains remontant ma jupe... Je retourne aux toilettes oter ma culotte.

Muriel m'attend à la gare et m'accompagne à la voiture. Sa jupe longue, largement fendue, dévoile ses jambes très haut tandis qu'elle se met au volant. Je suis déjà sous le charme, ote mon pull et remonte un peu ma jupe. Je m'offre à son regard, lui tend mes lèvres. Pas de réaction. Elle écarte gentiment ma main de sa cuisse.
- Comme tu ne m'as pas donné de nouvelles, j'ai compris que tu voulais mettre un terme à notre relation. Tu as raisons je crois. J'ai donc pris la liberté d'inviter d'autres amis.
La douche froide... Salope, c'est elle qui n'a pas donné trace de vie...
Puis une caresse sur le visage, un baiser rapide dans le cou
- Tu es fâchée ? Ils n'arrivent que demain tu sais...

Dans le salon, nous nous asseyons face à face. Champagne et petits canapés, jambes croisées et décroisées, jupe relevée dans le fauteuil, seins offerts, je l'invite muettement à me rejoindre, à m'embrasser, me caresser, en tentant de suivre tant bien que mal sa conversation... Elle m'ignore superbement, j'ai envie à la fois de la battre et de la supplier...
Après quelques minutes de ce supplice, je lui demande de me montrer ma chambre. Enfin, nous y voilà... Je la précède dans l'escalier, ondulant des fesses, cambrée, au possible, et pousse la porte. Un lit immense, à barreaux, voilé de tulle jusqu'au plafond ; quelques livres sur le chevet, un fauteuil sur lequel est posée une nuisette transparente, un miroir immense...
- Mets toi à l'aise, je vais te chercher des draps
Vite, je me déshabille et enfile la nuisette. Coup d'oeil dans le miroir, je suis plus nue que nue. Les seins dressés, les cuisses ruisselantes, folle de désir. Elle tarde. Pour tromper mon impatience, je prends un livre. Histoire d'aphrodite illustrée... Des dessins magnifiques de filles qui s'aiment dans toutes les positions, fesses offertes aux langues tendues. Machinalement, ma main trouve mon sexe et je me caresse en contemplant les dessins
- Tu as trouvé mes livres de chevet ? Je pensais que nous pourrions les lire ensemble, demain... c'est bête que j'ai invité tout ce monde...
Muriel s'est changée aussi ; sous la nuisette, elle a gardé un string qui ne cache guère ses superbes formes, et un soutien gorge seins nus.
Nos mains se touchent, nos corps se frolent tandis que nous faisons le lit. A plusieurs reprises, elle se presse contre moi beaucoup plus que nécessaire... Je suis trempée, j'ai envie de sa bouche, de froisser avec elle ces draps, mais je ne ferai pas le premier pas.
Le lit fait, je me couche et attends, offerte, qu'elle me rejoigne.
- Je t'ai fait couler un bain... Vas-y, je t'apporte des serviettes.
Docile, je gagne la salle de bain, ote la nuisette et me plonge dans le bain, couverte de mousse. Je me caresse en l'attendant, persuadée cette fois d'arriver au bout de mon attente...
Muriel entre et pose sa pile de serviette. Elle s'approche et passe sa main dans l'eau, sous la mousse, qui me recouvre... Enfin... Je veux lui attraper le poignet et poser cette main sur mon sexe, goûter la douceur de ses doigts en moi. Trop tard, elle s'est retirée.

Elle me tourne le dos et s'installe devant la vasque ; m'ignorant superbement, elle se démaquille... Je me redresse de manière à ce que mes seins émergent de toute cette mousse, prend un peu de gel et me caresse doucement la poitrine des deux mains... Mes mamelons durcissent sous la caresse, ma respiration s'accélère... et il me semble dans la glace saisir un regard brillant qui n'ignore rien de mon jeu. Je me relève entièrement, et poursuis mon manège... Ma main gauche glisse sur mon ventre, se pose sur ma toison, et je me caresse ostensiblement... Dans la glace, je vois que ses yeux n'en perdent pas une miette ; elle a fini de se démaquiller mais reste rivée au miroir... Puis finis par éclater de rire en se retournant vers moi.
- Je te demande pardon, Laure, j'ai été une peu salope. Mais je voulais tellement que tu me désires que j'ai imaginé ce manège... J'ai trop envie de toi pour continuer...
Elle me prend dans ses bras et nos bouches se trouvent, nos langues se mêlent... Sa main prend enfin possession de moi et je ne tarde pas à venir sous sa caresse. Encore, encore... Elle me sèche doucement, ou plutôt me caresse partout avec une serviette chaude, sans quitter ma bouche. Puis m'entraîne dans la chambre, m'invite à m'assoir sur le fauteuil s'agenouille à mes pieds. Sa langue me parcourt tout entière, ses mains relèvent mes jambes sur ses épaules, elle me lèche doucement l'intérieur des cuisses et vient enfin me goûter. Des mains, je l'invite à se faire plus pressante, à me fouiller de sa langue, à me posséder tout entière ainsi, et sous la caresse, je jouis à nouveau. Encore, fais le encore.
Sur le lit, je lui ôte sa nuisette et ses sous-vêtements, lèche ses lèvres qui sentent l'amour. Ses mains m'explorent à nouveau, pétrissent mes fesses, m'invitent à me caresser contre sa cuisse ferme... Nouveau plaisir.
Je lui effleure la pointe du sein d'un doigt négligent ; ce simple contact suffit à la faire gémir.
- Tu as peut-être envie que je te caresse ? que je joue avec ton petit bouton, que j'enfouisse ma tête entre tes cuisses, que je te lèche et te fasse jouir ? Une fois, deux fois, plus peut être ?
Elle gémit encore, ses yeux brillant de désir.

- Non, ce serait trop facile, mon amour. Montre moi à ton tour, caresse toi en m'attendant, en m'implorant. Va dans le fauteuil, montre moi comme tu me veux

Elle s'assied dans le fauteuil, jambes croisées. Les décroise et les ouvre lentement, dévoilant sa toison brune et son sexe luisant de mouille. Elle met deux doigts à sa bouche, les suce langoureusement, descend tout doucement vers son sexe, et commence à se caresser, la tête penchée en arière, les yeux rivés sur moi. Se donner ainsi la sublime ; elle s'abandonne totalement à ses caresses, sa main libre caresse ses seins, ses mouvements s'accélèrent et elle jouit, les cuisses largement offertes.
- Tu veux encore me voir ? Ou tu veux bien de moi maintenant ?

Je l'invite à me rejoindre, et tête bêche, nous connaissons enfin un premier plaisir commun, puis une douce nuit de plaisirs partagés, violents, doux et ardents à la fois...