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Proposée le 4/10/2010 par laure95
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Je me réfugiais souvent chez Muriel, que je trouvais de plus en plus agréable : attentionnée, prévenante, rieuse... Je me pris alors à m'imaginer avec elle.. Un peu forte, certes, mais douce, tendre, délicate... Et ses formes rondes, ses seins lourds et ses fesses rebondies devaient être bien agréables à caresser, lécher, pétrir... Je me caressais parfois le matin, seule, en m'imaginant avec elle...
Un après midi où nous prenions le thé ensemble, je lui demandais de me prêter un manteau que je lui avais vu porter, pour une soirée. Nous montons dans sa chambre, elle ouvre sa penderie pour le chercher ; mon regard se porte alors sur une collection importante de dessous assez osés... bustiers, body, guêpières...
J'hésite et je me lance, la voix un peu rauque d'émotion
- Tu as de la lingerie superbe
- Oui, Marc aime bien (c'est son mari, pilote de ligne) ; moi aussi, j'ai l'air un peu pute avec, mais j'aime bien ça... et j'aime être regardée ainsi...
- Tu veux bien me montrer ? j'aimerais bien te regarder aussi
Elle rit et rougit un peu aussi de la demande, laisse passer un blanc et se lance à son tour.
- Je veux bien le faire pour toi. si tu le fais pour moi ; j'en ai d'anciens qui me sont trop justes...
Elle farfouille un peu et me tend un body, tandis qu'elle sort une guêpière transparente à lacets ; le body, rouge, s'avère être une sorte de filet ne masquant rien du tout... Je rougis un peu plus..
- Change toi dans la salle de bain, je reste dans la chambre.
Je passe dans la salle de bain, surexcitée, mais anxieuse aussi de me tromper et de briser notre amitié. Je laisse tomber mon tailleur, ôte mon chemiser, et passe le body par dessus mes sous-vêtements... Nul, on ne voit qu'eux... j'ôte le body, dégrafe mon soutien gorge, enlève ma culotte, repasse le body. C'est pire que si j'étais nue... mes seins dressés par le désir luttent avec la maille... ma toison est plus exposée qu'en vitrine... J'opte pour un compromis, défais une pression - pratique, cette chose - et enfile ma culotte... De cette façon, je reste très provocante, et pas complètement prête à lui sauter dessus... Je suis mouillée comme je ne l'ai jamais été, les seins au garde à vous. Je crois que si rien ne se passe, je deviens folle... J'emprunte un bâton de rouge et me fais les lèvres, pour provoquer un peu plus. Oui ? non ? j'hésite... Et ne le fais pas.
Gênée, je toque à la porte de la chambre
- Entre ma puce, je suis prête.
J'entre, et reste sur le pas de la porte, les bras ballant, les seins offerts à son regard brillant. Je n'ai jamais vu une femme plus désirable. Elle remplit admirablement sa guêpiere, ses seins lourds s'offrent à mes yeux sous le tissu transparent. Des bas recouvrent ses jambes, fixés par des porte jarretelles du plus bel effet. Elle ne porte rien d'autre, et m'offre une vue agréable sur sa toison brune, sa peau blanche et ses fesses rebondies... J'en ai du mal à avaler ma salive
- Tu triches, ça se porte sans culotte, le body.
Elle a l'air passablement excitée aussi par la situation... Du coup, je me lance, défait la pression, et ote lentement ma culotte, dans ce que je veux être un numéro de striptease propre à la faire craquer... Je lance ma culotte sur le lit.
- Comme ça c'est plus à ton goût ?
Je m'avance vers elle, les seins dressés, la toison bien en évidence sous les mailles, offerte ; elle vient à moi de la même manière, et nous échangeons un baiser de folie qui en dit long sur nos désirs respectifs. Nous restons debout longtemps, serrées l'une contre l'autre, échangeant baisers et caresses. Ses fesses et ses seins m'obsèdent, je ne peux me lasser de les caresser... Sa main se glisse sous le body, en dégrafe la pression, et se pose sur mon sexe... Ses doigts se font plus inquisiteurs, me trouvent très vite ; je lui rends la pareille, et nous explosons ensemble une première fois, debout. Je l'invite à s'assoir sur le lit, me glisse entre ses jambes, et ma langue vient prendre possession d'elle... Elle gémit, roule, mes mains pétrissent ses merveilleuses fesses, et jouit une nouvelle fois très rapidement. Elle me relève et m'invite à prendre sa place ; d'une voix un peu frémissante, elle m'avoue son inexpérience des rapports féminins, et me demande de la guider un peu, au début ; elle s'agenouille, glisse sa langue sur l'intérieur de mes cuisses, remonte, écarte mes lèvres et trouve rapidement avec sa langue le chemin du paradis. Pas besoin de conseil, elle s'y prend de manière divine, me titille le bouton et ne tarde pas à m'amener au plaisir... Elle vient ensuite sur moi, et se caresse contre ma cuisse tandis que nos seins se cajolent, et connait ainsi un nouveau plaisir...
Nous nous sommes ainsi aimées toute l'après midi, tout en douceur et en tendresse, apprenant à nous connaître et à nous donner du plaisir. J'avais du mal à la laisser pour rentrer à la maison...
J'ai fini par partir ; elle m'a laissé le body en souvenir et a conservé la culotte qui, dit-elle, avait failli nous gâcher l'après-midi en la faisant douter de mes intentions... Nous nous sommes quittées sur un dernier baiser, en nous jurant de nous revoir très vite... Autrement que pour le thé... Ce que nous avons fait par la suite souvent.