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Proposée le 26/09/2010 par Jean 88
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C'était une soirée parfaitement normale, je m'apprêtais à regarder un film banal à la télévision puis à aller me coucher, lorsque le son d'une voiture s'arrêtant en bas de chez moi me fit douter quant à la banalité de ce début de nuit.
En effet, lorsque je sortis de chez moi pour apercevoir celui ou, en l'occurence celle qui s'était arrêtée chez moi, je vis, et donc j'admirai, la plus belle femme qu'il m'ait jamais été donné de rencontrer. Blonde, les yeux bleus, 1m65 pour 50kg, parfaite en tous points mais surtout amoureuse de moi (à mon plus grand bonheur comme vous pouvez vous l'imaginer). Ma copine qui, habitant à 150km de chez moi, était en plus venue me voir par surprise ce soir, vint se jeter dans mes bras, et j'aurai passé la nuit entière dans cette étreinte qui signifiait tout pour nous, amour, manque, bonheur, retrouvailles, nous ne ressentions aucun besoin de parler, juste celui de nous enlacer et, comme j'allais le faire à l'instant, s'embrasser. Je redéposais mon amour sur le sol après lui avoir fait gagner 50cm à la porter, et entreprenais ses lèvres avec fougue. Je passai mes mains dans ses cheveux puis son coup, son dos et finit par me poser sur ses fesses. Elle me rendit mon baiser avec autant d'amour que je lui avais donné et nous nous collâmes au mur pour éviter de tomber dans un amas de gestes amoureux sans distinctions aucunes qui auraient pu nous faire perdre l'équilibre ! Je l'enlaçais encore plus fort et, sans quitter ses lèvres, la fit maladroitement entrer chez moi. Nous passâmes comme un seul corps dans le salon puis nous dirigeâmes vers ma chambre, occupée d'un simple lit 1 place et d'un désordre permanent, ce qui n'arrangea pas nos affaires...
Arrivés là, nous tombâmes tous deux sur le lit. Nous étions face à face, et si mon amour pour elle ne m'avait pas rendu immortel je me serait noyé dans la couleur azurée de ses yeux... Je la prenais amoureusement par la main et me rapprochais à nouveau d'elle pour regoûter une fois encore au bonheur cramoisi de ses lèvres. Notre bonheur était si parfait, si intense, que nous ne pouvions nous arrêter là, nous le savions tous les deux, et savourions par avance la suite de la soirée, tout en prolongeant au maximum cet instant magique. Je descendais mes mains, restées sur sa taille, vers ses cuisses (est-il besoin de préciser leur perfection ?) et remontait par en dessous de son t-shirt, mes mains glissaient sur sa peau délicatement dorée et lui procuraient déjà des frissons de plaisir. Tout en remontant mes mains je lui enlevai son t-shirt et admirai ce qui m'appartenait d'ores et déjà. Magali (oui vous ne saurez son nom que maintenant ^^) avait un joli 95C fort enviable qui en a déjà fait bavé plus d'un, et moi dans le lot, mais je n'eus guère le temps d'admirer sa poitrine que déjà elle était contre moi, redemandant des caresses que je lui apportais avec plaisir. Je caressai ses seins à travers son soutien-gorge rouge provocant et la fit quasiment gémir de plaisir. Alors que j'allais décrocher ces agrafes qui me narguaient, Magali me retira mon propre t-shirt et laissa balader ses mains sur mon torse en me procurant quelques frissons d'intense plaisir et c'est presque avec rage que je lui enlevais son soutien-gorge et portais à ma bouche l'un de ses seins. Je léchai son auréole puis m'attaquai à son téton qui ne tarda pas à se raidir sous mes assauts, en même temps que le deuxième lui aussi pris mais par une de mes mains cette fois-ci ! Les mains de ma partenaire se dirigèrent peu à peu vers un point fixe : la bosse qui commençait à transparaître à travers mon jean qui, je pense, allait finir par exploser ! Aussi, prévoyante, elle m'enleva celui-ci ainsi que mon caleçon qui avait encore plus de mal encore à lutter contre ma virilité. Je m'occupai donc des seins de Magali tandis qu'elle jouait de ses mains avec mon sexe. Enfin, n'en pouvant plus d'en rester là malgré le bonheur que j'éprouvai, je passai mes mains à l'étage du dessous et commençai à lui enlever son jean. Sentant la manoeuvre et sachant que j'allais avec ça reprendre l'avantage, elle s'échappa à mes mains et laissa ses lèvres descendre vers mon sexe qui, de toute évidence, n'attendait que ça ! Lorsqu'elle les posa dessus, je ressentis mes battements de coeur jusque dans mon gland tellement j'étais raide de plaisir et elle accélèra le mouvement, passant de mon gland à tout mon sexe, le gobant presque puis l'abandonnant dans un mouvement qu'on ne peut que qualifier de gracieux et qui ne me permit pas de me retenir longtemps, et sans même avoir pu prévenir, je me lâchai dans la bouche de ma compagne, qui, loin d'être dégoutée, sembla apprécier le traitement. Loin d'avoir fini, je terminai donc ce que j'avais commencé, à savoir enlever le jean de ma petite amie, et passai ma tête entre ses cuisses déjà largement écartées en commençant à léchoter au travers de sa culotte le clitoris de celle avec qui, je le sais maintenant, je voulais partager ma vie et au cours de celle-ci des moments comme ceux-là, la faisant se tordre de plaisir, elle qui attendait ça depuis aussi longtemps que moi, une extraordinaire complicité s'était établie entre nous, comme si nous avions franchis les barrières de nos propres corps et que nous n'étions là que pour donner et non recevoir le plaisir !
Je lui enlevais, après un regard, sa culotte et me mis en position de pénétration. Je savais ce que je faisais. Elle aussi. Entre nous, c'était l'osmose, et le contact se fit sans douleur, seule la vague de plaisir se fit ressentir, bien loin du 7° ciel, nous montions aux confins de l'univers expliquer le bonheur que notre union nous procurait. Je continuais mes vas-et-viens, elle continua ses mouvements de bassin, nous changeâmes de position, passâmes par la levrette, ce qui lui procura encore plus de plaisir, puis par toutes les positions que notre fantaisie amoureuse nous dictait, nous étions fous l'un de l'autre, nous nous foutions de ce que nous faisions, on jouissait ensemble, on repartait ensemble.
Nous passâmes le week-end entier à ce régime là.
Elle repartit chez elle le lundi matin. Le mois prochain, c'est moi qui allait chez elle...
C'était ma toute première histoire d'amateur, qu'en pensez-vous ? ^^
Tu hantes mes pensées, de jour comme de nuit,
Tu es devenue l'essentiel but de ma vie
Je ne suis là que pour ton désir, Magali...