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Proposée le 9/09/2010 par MeliMelo
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Une nouvelle journée qui s'achevait. Morne et sans saveur. Toujours plus ou moins pareille, se lever, s'occuper, se coucher. Seule. Plongée dans mes pensées, je regardais sans le voir le superbe coucher de soleil sur la mer depuis ce petit coin isolé à l'extremité de la Dune de Pyla. Une rude ascension qui fatiguait les muscles et laissait pantelant en haut pendant plusieurs minutes. Une fatigue saine, qui permettait de dormir d'un sommeil sans rêves, exactement ce dont j'avais besoin.
Depuis que j'avais quitté mon appartement du centre ville d'Orléans, mon ennuyeux compagnon et mon ennuyeux travail, j'avais silloné de nombreuses régions et differents pays, vivant chichement sur mes confortables économies, choississant les routes les plus calmes et les vols les moins chers. Suède, Ecosse, Irlande, Italie, Espagne, Slovénie? Il y avait 8 mois que j'étais partie, puis, revenue en France avec mon léger bagage, j'avais acheté d'occasion une jolie et très efficace petite Moto Triumph Street Triple, avec pour objectif de silloner la France avec elle. Ma nature rebelle commencait alors a reprendre le dessus. Las, apres avoir exploré chaque détour des bords de mer de la Bretagne, plongé dans la mer dechainée de la Baie des trépassés, lezardé sur les plages de la cote atlantique, fait du char à voile, du kite-surf et de longues randonnées, la douleur sourde était toujours là. Impossible d'arriver à l'estomper. Cette sensation odieuse d'avoir été jouée, trompée, salie. La colère, la plus proche amie de mon desespoir, refit surface.
Tournant le dos à la débauche colorée d'or, d'azur, de mauve du soleil couchant irisant les nuages bas et se refletant sur la mer, je fit demi-tour afin de rejoindre, en bas de la dune, mon fidèle destrier et de rejoindre un coin tranquille pour bivouaquer. Encore une nuit. Une autre à ressasser pendant des heures avant de m'endormir la trahison : m'être fait flouer par mon propre compagnon de mon poste, de mon avancement, et avoir par la même occasion appris sa liaison avec sa secrétaire. Pathétique et tellement commun. La surprise passée, je n'avais pu m'empêcher de trouver cela tellement sordide et ridicule. A l'avenant de l'ensemble de son comportement. Une personne commune, mesquine, sans originalité. Je m'étais crue amoureuse aussi surement que j'avais cessé de l'aimer à l'instant où je m'étais aperçue que je n'avais été qu'un jouet, un outil à la solde de son ambition. Dix ans de ma vie gachée avec un avorton médiocre.
Je sentis la colère pulser dans chacune de mes veines. Point de jalousie, mais l'envie de le faire payer. Huit mois que je fomentais ma vengeance. Las, la colère n'avait pas cedé d'une pouce. Je le haissais, et tous les hommes avec. Poussée par la curiosité, j'avais tenté une aventure saphique lors de mon séjour en Suède. Une magnifique petite blonde avec une poitrine généreuse et une jolie chatte épilée. J'avais pris du plaisir, mais rien à voir avec le déferlement hormonal provoqué par un vit tendu. J'avais toujours aimé le sexe, nous avions tenté quelques expériences échangistes ou à plusieurs, et j'avais toujours pris beaucoup de plaisir. Mais à ce moment de ma vie, je ne me voyais pas refaire confiance à un homme. Le problème était que je n'aimais pas les experiences sans lendemain et le sexe pour le sexe. Je voulais tout.
A commencer par un autre type d'homme. Fini l'avocat policé, charmant, lisse, gentil et? parfaitement insipide dans son respect des lois. Je voulais un rebelle, un homme qui n'ai pas peur, un qui me ferait vibrer à pleine vitesse sur une grosse moto, qui me ferait l'amour avec violence au lieu de cette copulation regulière sur un lit sans surprise et sans réel plaisir, sorti de nos maigres expériences extérieures. Un homme qui me ferait crier, jouir, encore et encore, qui aurait toujours envie, qui me ferait l'amour sur le plan de travail de ma cuisine et me reveillerait la nuit, qui me rejoindrait dans la douche et oserait faire l'amour en pleine nature.
C'est l'esprit concentré sur ces envies que je devalais souplement la dune. En huit mois j'avais perdu douze kilos, repassant sous la barre des soixante kilos pour mon petit metre soixante, mais en ayant conservé mon plantureux 95D. J'avais opté pour l'épilation intégrale, laissé pousser mes cheveux blonds et raides et fait réalisé trois tatouages. L'un sur la cheville, une salamandre s'enroulant autour de la maléole, le second sur la nuque, un scorpion, et le dernier, le plus osé, un tribal tout en fines courbes qui s'enroulait autour du haut de la cuisse, passait sur le pubis pour se terminer en courbes lascives sur la fesse. J'avais abandonné mes habitudes policés de mon ancien métier d'huissier ? que je n'avais jamais aimé, poussé par une famille de juriste - pour devenir une rebelle.
Forçant l'allure, je rejoignis ma moto, pressée de quitter le sous-bois. Il me fallait encore enfiler une tenue plus adaptée : j'avais passé l'après-midi sur la plage à bronzer, et j'avais oté mon maillot mouillé, ne portant plus qu'un fin debardeur blanc et une jupette également blanche tres courte. Il me fallait repasser sous-vetements, jean et blouson avant de me remettre en route. L'après-midi s'était ecoulé tranquillement, sans âme qui vive autour : une belle journée de juin tranquille, et j'avais pu profiter du soleil et de la mer, bronzant et me baignant nue. J'avais toujours adoré la caresse de l'air et de l'eau sur ma peau et ma chatte épilée, une sensation decouverte recemment dont je ne parvenais plus a me passer. A défaut d'une bonne queue, je m'étais caressée
C'est en arrivant au bout du sentier que je la vit. Une superbe Ducati Streetfighter noire, de ces bécanes d'hommes qui donnent des frissons rien qu'a s'imaginer dessus. Je m'arrêtais à coté, l'admirant, sans oser la toucher. Involontairement, je fantasmais sur le genre d'homme qui possederait une telle machine. Grand, musclé, sec' rebelle par nature, on n'a pas ce genre d'engin pour rester sage ! Je jetais un coup d'oeil alentours. Personne en vue. Je m'approchais de la machine, effleurais du doigt la selle en cuir, le reservoir et sa peinture brillante, puis la poignée de gaz. Quel plaisir ce devait être d'essorer dignement cette poignée !
Mademoiselle.
Je sursautais. Toute à mon admiration, je ne l'avais pas entendu arriver. Je me retournais d'un bloc, confuse et rougissante, pour me retrouver les yeux dans les yeux avec le plus bel applolon que j'eusse jamais vu. Grand, musclé, sec, les cheveux court et la barbe naissante, la peau mate et les yeux dorés, ses hanches etroites moulées dans un jean délavé et savament déchiré, son torse imberbe nu, le blouson negligement jeté sur l'épaule. Hypnotisée, je rougis encore davantage. Un sourire carnassier dévoila une rangée de dents impecables alors qu'il me regardait sans aucune pudeur : Je pouvais sentir ses yeux me deshabiller de ma bien legère tenue. Un petit frisson me parcourut lorsque involontairement, mon imagination deriva sur l'hypothèse que ce ne fusse pas ses yeux qui me deshabillerait !
Elle vous plait ?
Hebétée, il me fallut quelques secondes pour je parvienne à réagir rationnellement. C'est donc avec un temps de retard que je parvins à rentrer dans la conversation.
Oui, beaucoup. Elle est vraiment magnifique, je n'en avais encore jamais vu en vrai d'aussi près. Vous avez vraiment un très bel engin...
A bavarder sans queue ni tête, je pris soudain conscience du double sens que pouvait avoir mon propos et rougis encore davantage. Le sourire moqueur qui s'allumait dans ses prunelles me fit prendre conscience qu'il avait remarqué aussi. Ecarlate cette fois, je fis demi-tour aussi vite que me le permirent mes pieds nus et tentais de m'enfuir. Je n'avais pas tenu compte de la réactivité de mon vis-a-vis : Avant d'avoir le temps de prendre mes jambes a mon cou, il m'avait déjà saisie par le bras. Je n'avais pas plus prévu la décharge électrique qui me traversa de part en part, provoquant le feu dans mes veines et la glace dans mon cerveau. Figée, les yeux posés sur sa main posée sur mon bras, je ne savais quelle attitude adopter. Peut-on tomber raide dingue d'un parfait inconnu ? Sans rien savoir de lui, et surtout, peut-on avoir une envie aussi irrépressible d'être dans les bras d'un homme, de se serrer contre lui, de sentir son membre et ses mains frémissantes sur sa peau ? Manifestement oui.
Je relevais les yeux, et les flammes que je vis dans les siens me transpercerent. Un échange de regards brulants plus tard, j'étais dans ses bras, ses lèvres plaquées sur les miennes, sa langue jouant furieusement avec la mienne, son haleine, fraiche et sa légère odeur de tabac m'enveloppant totalement. Je lui rendis son baiser avec fièvre, tandis que je posais mes mains sur ses biceps aux muscles tendus, commencant là une caresse langoureuse que je continuais sur ses épaules, puis dans son dos, effleurant puis palpant chacun de ses muscles roulant sous sa peau nue.
Me relachant, il m'entraina vers sa moto, puis d'un geste, m'invita à m'asseoir dessus. Bien sur, le geste que je fis pour l'enfourcher lui dévoila immédiatement que je ne portais pas de sous vetements sous ma jupette. Un court instant interdit, il se ressaisit vite, et son sourire s'élargit encore. D'un geste félin, il se glissa derrière moi, se collant contre mon dos, plaquant mon ventre sur le réservoir. Il fit glisser le bout de ses doigts sur ma nuque, dessinant les contours de mon tatouage, puis fit descendre en une delicieuse caresse ses doigts le long de mon bras jusqu'à mes propres doigts, prit ma main et la posa sur la poignée d'accélerateur, puis fit de même avec ma main gauche. Ainsi placés, ses mains sur les miennes, nous étions en contact étroit, et je sentais dans mon dos son sexe tendu de désir. La simple évocation de celui-ci suffit à m'embraser et ma chatte toute entière s'enflamma. Je ne pus retenir un gémissement excité, et son excitation s'exprima d'un grognement viril, alors qu'il se frottait sans retenue contre moi.
La nuit était tombée, et dans l'ombre du bois deserté, il entreprit, faisant glisser ses mains à nouveau, de me redresser, puis de passer mes doigts derrière sa nuque, libérant ainsi mes seins tendus,aux points érigées et durcies. Passant à nouveau ses mains sous mon debardeur, il releva celui-ci jusqu'à la gorge, liberant deux obus massifs et lourds, qu'il prit immédiatement à pleines mains. J'adorais qu'on me touche les seins, qu'on les caresse, et surtout qu'on fasse rouler les pointes sous les doigts, rien ne m'ecitait davantage que la légère douleur du pincement des doigts. Aussi, lorsqu'il enteprit cette caresse que j'adorais, l'encourageais-je !
- Oh ouiiiiiiiiiii !
- Mmmmh tu aimes ca ?
- Ouiiiiii, j'adore, oh oui, vas-y, tu m'excites !!!
Jamais je n'aurais imaginé me compporter en telle salope et encore moins avec un parfait inconnu. Mais il avait généré un tel déferlement d'hormones, que je ne pouvais envisager d'arrêter !
Encouragé, il glissa l'une de ses main sur mon ventre, souleva le légère jupe, glissa ses doigts entre mon pubis et le reservoir. Je reculais légèrement, collant mes fesses contre son sexe, lui laissant le passage pour ses doigts. Les pieds sur les cales pieds, arquée contre lui, j'écartais largement les cuisses, et il plongea sa main entre mes lèvres grandes ouvertes. Le contact de ses doigts agiles sur mon sexe brulant eu un effet immédiat et je jouis dans un cri salvateur, le corps agité de soubresauts.
En temps normal j'étais incapable d'aller plus loin. Seulement voilà, et cela me surprit moi-même, je n'en avais pas eu assez cette fois. Et manifestement, il n'avait pas l'intention d'en rester là. Faisant glisser ses lèvres sur mon épaule, chatouillant ma peau de sa langue, il continua a agacer la pointe erigée de mon sein gauche, et glissa ses doigts dans ma chatte detrempée. N'en pouvant plus, je glissais mes mains dans mon dos, et caressait son sexe tendu à travers le jean. Il ne put retenir un nouveau grognement viril, et me lachant, deboutonna avidement le jean et retira sa ceinture, liberant une membre long, large et turgescent, sur lequel il referma mes doigts avides. Mes deux mains comme mues par le même enthousiasme, se mirent à le pomper avidement, faisant glisser son gland dénudé le long de mon dos. Il repartit des deux mains à l'assault de mes seins, saisit les pointes, les fit rouler, les pincant, m'arrachant un cri de plaisir à chaque fois, m'électrisant davantage. Alors qu'il les pinçait à nouveau, je criais encore et atteignit le point de non retour.
Je me redressais sur les cales-pieds, appuyait ma potrine dénudée sur le froid métal du reservoir, ce qui m'arracha un nouveau cri, et redressa les fesses, lui offrant ma chatte ouverte à deux mains. Il ne se le fit pas dire deux fois et guidant son memebre d'une main, il guida mon bassin de l'autre. Le contact de son vit tendu sur ma chatte eut de nouveau raison de moi, et dans un rale de jouissance, il fit glisser d'un seul geste l'ensemble de son membre dans ma chatte assoiffée. A peine la jouissance passée, il saisit mes hanches et entreprit de me faire l'amour avec violence, dans des râles de bête en rut. Je me redressais, appuyait mon dos contre son torse, il me saisit par les seins, à pleines mains, tandis que je glissais mes mains jusqu'à son vit, caressant ses couilles ecrasées sur la selle de la moto. Quelques caresses plus tard, il ejacula dans un grand cri salvateur, et j'eus au même moment mon troisième orgasme. Nous criames de concert.
Nous restames ainsi quelques minutes. Puis il se retira doucement, rangea son sexe repus dans son jean, rabbatit ma jupette, et posant à nouveau ses mains sur ma poitrine, comme pour la proteger avant de rabbattre mon débardeur, il murmura au creux de mon oreille :
Mademoiselle, je suis enchanté de vous connaître. Je suis William, motard solitaire en vadrouille pour une durée inderminée. J'ai 31 ans et je suis sans attaches. Aimeriez-vous faire un bout de route avec moi ?
La suite à venir !!