les vacances de Jean

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Proposée le 6/09/2010 par barbebleue

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Les vacances de Jean



Jean 40 ans Conseil en entreprise, je voyage souvent et passe le plus clair de mon temps dans les hôtels.

Je vis seul depuis mon divorce, là, je pars en vacances, nous sommes début juillet, j'ai une petite villa en bord de mer, en Espagne, où je passe toutes mes vacances.
Entré de l'autoroute A7, juste au passage du péage deux jeunes filles font du stop, toutes deux blondes comme les blés, mignonnes, une petite, un peu boulotte mais jolie de visage et une grande gigue mince comme un clou sans même de poitrine, mais un minois adorable, un petit panneau indique qu'elles vont à Lyon.

Je me gare, elles approchent avec un barda infernal, deux sacs à dos immenses, j'ouvre le coffre de la Mercedes, c'est un break, les sacs y sont mis avec le mien et nous voilà partis.
Elles parlent un peu le français, elles sont hollandaises et vont dans le midi en vacances, sans but précis.
Je m'arrête à Montélimar, pour prendre un café et me reposer un peu car finalement je ne les ai pas déposées à Lyon puisque je vais bien plus loin.
Elles devaient avoir envie de faire pipi depuis un bon moment car elles courent aux toilettes de la station.
Elles reviennent mais ne prennent pas de boisson. Je comprends que peut-être leur budget est serré. Elles m'ont l'air jeune et ont dû sûrement se priver pour faire ce voyage.
- Vous voulez un café ou un thé ?
- Merci mais on va attendre plus loin !
- Allons c'est moi qui offre, ne vous inquiétez pas !
- Alors un thé merci !
Elles sont tellement gentilles et sympas, qu'il me vient une idée.
- Dites-moi, ne vous méprenez pas sur ce que je vais vous dire, il n'y a rien de pervers dans mon offre. Je suis seul et j'ai une villa en Espagne où je peux vous offrir une chambre, je vais y passer deux mois, si le c'ur vous en dit, je vous invite !
Elles se regardent, discutent entre elles, dans leur langue, celle qui parle le mieux le français revient vers moi.
- Votre offre est généreuse mais c'est dommage, nous devons rejoindre deux autres copines qui font aussi du stop, nous avons rendez-vous à la sortie de Montpellier, elles sont parties en voiture deux minutes avant nous ! Sinon, nous aurions acceptées avec joie !
- Vous n'avez pas le moyen de les joindre, si elles sont d'accord, il y a de la place pour elles aussi, vous coucherez à deux par chambre voilà tout !
- Oui je peux les joindre avec mon portable, c'est vrai vous nous logeriez en Espagne toutes les quatre ?
- Bien sur, ça m'évitera de passer les vacances seul, je vous offre le gîte et le couvert à condition que vous m'aidiez à faire la cuisine !
Trente secondes plus tard elle est au téléphone, les autres filles sont arrêtées à la sortie d'Orange, elles nous attendent et son d'accord.
Deux heures plus tard nous les avons récupérées, une brune très grande et un peu forte, l'autre blonde et super mignonne, des formes où il en faut, elle parle très bien le français et doit être bien plus vieille que les trois autres, dans les 25 ans, les autres ne dépassent pas les 20 ans maxi et nous voilà partis, celle qui parle le mieux le français a pris place à côté de moi et me fait la conversation.
Je lui demande si elle sait conduire car je commence à fatiguer, si elles n'étaient pas là, j'aurais passé la nuit dans un hôtel, sur l'autoroute mais là impossible et il reste au moins dix heures de route, sinon plus pour arriver à Malaga.
Ça tombe bien, c'est même la seule à avoir le permis. Tout le long du trajet, les filles sont joyeuses, très heureuses de pouvoir passer leur vacance en Espagne gratuitement.
Nous arrivons au petit matin, j'ai pas mal dormi dans la voiture, je n'ai repris le volant qu'il y a deux heures.
Elles sont émerveillées par la villa en bord de mer, rien ne la sépare de la mer, la plage est à tout juste 100 mètres, en contre bas, la maison est bâtie sur une petite falaise qui descend en pente douce jusqu'à la mer où se trouve le ponton à bateau et personne pour déranger en quoi que ce soit. C'est la seule villa sur un kilomètre de bord de mer.
Nous passons la matinée à nous installer, elles m'aident à faire un peu de ménage et à préparer le repas.
Je suis mort de fatigue, l'après midi je vais faire une sieste, elles vont à la plage, elles sont seules et pourrons profiter de la plage comme bon leur semble.
Deux heures de sieste m'ont rendu la vie, je me sens en plaine forme, je vois les filles sur la plage qui font de la bronzette, il faut que j'aille chercher le voilier qui est dans le port à 20 km de là.
Je vais donc voir si Greet, celle qui a le permis veut bien venir avec moi pour remmener la voiture.
En arrivant à la plage, je me rends compte qu'elles sont toutes nues, je ne sais pas trop comment faire, j'ai bien peur d'être indiscret. De loin j'appelle Greet.
C'est tout bonnement nue qu'elle me rejoint, elle est ravie qu'il y est un bateau et c'est tout bonnement qu'elle va chercher ses copines pour venir avec nous, elles remontent toutes nues comme des vers.
En fait, elles sont descendues nues à la plage, elles me disent que si c'est possible elles vivront comme cela car elles adorent faire du nudisme.
Ça ne va pas être facile, de vivre deux mois avec ces quatre belles filles nues en permanence mais j'accepte, je ne vais pas leur gâcher les vacances.
Nous voilà au bateau, deux des filles viennent avec moi, les deux autres vont ramener la voiture.
La grande brune et la petite boulotte son sur le bateau, à peine sortie du port, elles sont aussi nues qu'à la plage, malgré sa taille, la grande brune est vraiment très bien faite, des seins énormes qui pendent un peu sous le poids et un cul divin, l'autre a des petits seins bien ronds et fermes, elle n'est pas mal faite nom plus et son physique n'est pas désagréable.
Ceci dit, la brune vient contre moi et me fait la conversation, installé sur un des siéges, j'ai une vue imprenable sur son intimité et vous vous doutez bien, que je ne peux faire autrement que de bander comme un bouc en rut. J'ai une envie dingue de fourrer ma langue dans cette chatte ouverte, qui ne demande que ça, j'en suis sur.
Je sens que je vais passer un mois très désagréable, si je bande en permanence et ne peut tirer un coup.
- Tu ne te mets pas nu ? Tu ne fais pas du nudisme ?
- Quelques fois mais la je ne peux pas !
- Tu bandes c'est ça ? Ce n'est pas gênant, je comprends, tu sais, moi je mouille ! J'ai très envie aussi ! Si tu veux faire l'amour avec nous, il faut le dire, nous sommes toutes d'accord, tu couches avec celles que tu veux ! Moi et Anna nous sommes venues avec toi pour ça si tu veux ! Tu veux baiser avec nous ?
- Attend deux minutes je mets le bateau à l'encre et nous allons passer une bonne fin d'après midi !!
- Ce soir Greet couchera avec toi, c'est elle qui a décidé comme ça, demain ce sera Carin, puis Anna et moi ensuite, une par nuit, la journée avec celles que tu veux ! Tu ne dois pas rester seul et nous nous aimons la baise, nous baisons aussi entre nous, si tu en veux deux le soir ou même toutes pas de problème, tu baises celles que tu veux !
- Dans ces conditions, je ne regrette pas de vous avoir trouvées !
- Greet et moi nous habitons Paris, si tu veux nous revoir après les vacances, c'est pareil ! Nous aimons les hommes de ton age, ils baisent mieux !
- Vous faites quoi à Paris ?
- Greet est prof D'allemand et moi je suis à la fac !
- Tu as quel age ?
- Dix neuf ! Anna Vingt, Carin dix huit et Greet 24 !
Le moment n'est plus à la discussion, Anna nous a rejoint et se colle contre moi, la main sur ma verge, qu'elle sort de mon short, Amélia la devance pour me prendre dans sa bouche, ma main entre les cuisses d'Anna, ma bouche sur la sienne, nos langues se cherchent, elle écarte ses cuisses en grand pour me laisser libre accès à sa féminité juteuse.
L'autre me fait une pipe d'enfer, cette fille suce divinement. J'ai allongé Anna sur le fauteuil de pont, sa chatte bien au bord du fauteuil, les jambes relevées, ma langue lui lèche la chatte sur toute sa longueur, la pénètre, pour en aspirer tout le suc qui s'en échappe.
Mon pouce branle son clitoris, je sens, que si Amélie continue comme ça je vais lui décharger dans la bouche.
Ce n'était pas une pensée en l'air, une minute plus tard, elle avale les jets puissants et chauds qui se répandent dans sa bouche, elle ne m'a pas lâché et continue sa fellation.
J'ai toujours la bouche sur la vulve d'Anna, avec la folle envie d'y plonger mon vit encore bandé.
C'est seins sont durs sous ma main, la pointe dure et sensible, Amélia vient me remplacer sur la chatte d'Anna et pointe son cul magnifique vers moi, ce sera dont elle la première à être prise, sa chatte est magnifique, offerte, elle a écarté les jambes et attend avec impatience que je la prenne.
Je caresse sa vulve du gland, avant de l'introduire dans la gaine chaude et juteuse, la tenant par les hanches, j'amplifie le mouvement de rein, pour la prendre bien à fond. J'ai le pouce dans son anus, elle a l'air d'aimer ça, et le cri fort !
Elle ne met pas longtemps à jouir, les jambes pliées, elle s'appuie sur Anna pour ne pas tomber à genoux.
Elle s'est allongée sur le divan de pont, un peu secouée par sa jouissance me laissant libre la vulve d'Anna.
Elle attend les jambes toujours relevées que je m'enfonce en elle, pousse un gémissement de plaisir quand, je pousse mon vit à l'intérieur de son ventre.
- Je ne comprends pas ce qu'elle dit en jouissant, mais ça m'a l'air salace, plus elle jouit et plus elle parle fort !
Elle a mis ses jambes sur mes épaules et c'est bien au fond de sa chatte que je jouis enfin après un long moment de va et viens dans son ventre.
Moi aussi j'en ai plein le dos d'être debout, je vais rejoindre Amélia sur le divan, il faut que je me repose.
Anna nous rejoint, elle m'a pris en bouche et me suce aussi bien que sa copine, elle n'attend pas longtemps pour avoir l'effet escompté, je rebande à nouveau.
Allongée sur le dos, elle me chevauche un moment, Amélia la remplace mais s'introduit mon vit dans l'anus déjà dilaté par mes doigts, cela dure un bon moment de coït, enfin épuisée, elle laisse la place à Anna qui fait prendre le même chemin à ma trique dure comme le fer.
Elle me fait monter à la jouissance en 5 minutes de folie.
S'enfonçant le pieu au tréfonds des entrailles, je n'en peux plus, ces deux gamines sont inépuisables.
Je crois qu'elles ont enfin joui, elles restent inertes sur le divan, un bon quart d'heure après, une bonne douche et nous revoilà en route.
Nous arrivons à la maison deux heures plus tard, les deux autres filles nous attendent sur la plage.
Elles parlent un moment entre elles, Greet vient me voir, toujours aussi nue, elle me prend la bouche dans un baiser fougueux.
- Tu as bien baisé ? Ça t'a plus au moins ? Ce soir je dormirais avec toi tu veux ? Si tu veux encore on peut le faire, tu peux le faire avec Carin aussi !
- C'était parfait ! Bien sur que je veux bien que tu dormes avec moi, tu es très belle !
- Tu veux seule ou avec Carin, la pauvre a envie aussi ! Tu aimerais la baiser ?
- Bien-sur mais pas tout de suite, laisse moi reprendre des forces, ce soir je ne sais pas si je pourrais, je commence à fatiguer, tes deux copines m'ont vidé !
- On a ce qu'il faut pour te donner la forme, j'ai ça dans mon sac et on a acheté des steaks avec Corin, on va te faire bien manger !
- Il vaut mieux, je pense qu'à la fin des vacances je serais mort !
- Non ! On va prendre soin de toi, tu baiseras quand tu veux ! Prend Corin avec toi et va te reposer un peu, elle te câlinera, elle a très envie de toi ! Nous allons faire à manger !
Aller me reposer me semblait une bonne chose mais prendre la blonde Carin, ne m'en semblait pas une, même si cette fille et maigre comme un chat, qu'elle n'a pas un brin de sein, et de toutes petites fesses, avec des jambes fines, elle a l'air nerveuse et je me doute que dans un lit elle ne doit pas donner sa part au chat, en plus elle est vraiment mignonne.
Mais je ne peux refuser la demande de Greet, alors je prends Corin par la main et regagne ma chambre.
Elle s'allonge sur le lit avec moi, me fait tourner sur le ventre et commence un massage digne des instituts qui le pratiquent, elle part de la plante des pieds et remonte jusqu'à ma nuque, frottant son jeune corps, sur moi, je sens sa langue me parcourir.
C'est divin, quelques minutes plus tard elle me tourne et voit que malgré la fatigue, je ne suis pas indifférent à son traitement.
Elle me prend dans la bouche et tout en me caressent me fait la pipe la plus divine de sensualité, que je n'ai jamais eu.
Elle a abandonné ma queue et vient me prendre la bouche, couchée contre moi, la seule chose qu'elle me dit à ce moment là.
- Ne bouge pas, laisse moi te baiser !
Elle n'est vraiment pas lourde du tout, sa main a dirigé mon vit dans son con vraiment très étroit et se l'enfonce en entier.
On dirait un véritable serpent, elle a des reptations sur mon corps, se pilonnant la chatte lentement.
Elle me lèche en même temps, me mordille, je suis bien, ce qu'elle fait et bon, mon vit dans cette gaine si étroite ne demande qu'à y rester.
Elle s'est assise sur moi, sans me sortir de sa fente.
- Dort si tu veux, je te ferais jouir en dormant, on a le temps !
Ses mouvements son lents, très amples, je ne la sans pas elle sur moi mais je sens bien mon vit dans son ventre qui m'enserre de plus en plus, comme une main qui me branlerait.
Je ne sais pas quand je me suis endormi, toujours est-il qu'elle dort aussi, allongée sur moi, mon vit encore dans sa gaine.
Je ne pense pas avoir joui, elle a due s'endormir juste après moi, il fait presque nuit.
- Corin on descend voir les autres ?
- Non, attend, je veux que tu jouisses dans mon ventre, prend moi comme tu as envie !
Je la prends tranquillement, elle, allongée sur le dos, ses jambes bien écartées pour que je puisse la pénétrer, bien à fond, elle jouit en quelques minutes, je ne tarde pas à la rattraper.
Nous prenons une douche et rejoignons les trois autres filles.

Merci de me lire

Barbebleue.