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Proposée le 3/09/2010 par membractif
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
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Je me sentis un peu nigaud devant le regard curieux de maman et le sourire goguenard de Christiane mais je montrai bonne contenance en lançant d'un air blasé
"M'ouais si tu veux, ça me changera les idées !"
"Ben moi j'vais m'coucher balbutia Gino en se levant avec difficulté de son fauteuil,
j'ai ma dose pour ce soir, amusez-vous bien les jeunes !
Christiane se leva à son tour et l'accompagna jusque sur le perron de leur domicile pendant que papa sortait la voitue du garage et que maman débarassait la table basse du salon,
Sur la terrasse de leur maison éclairée par la lumière blafarde de la pleine lune, je vis Christiane embrasser fougueusement son mari après avoir jetté un regard complice dans ma direction,,
Gino supris mais heureux de cette initiative, lui rendit son baiser avec la même rudesse en malaxant fiévreusement la croupe ferme et rebondie de sa femme à travers l'étoffe de sa robe à fleurs,
"Arrête gloussa Christiane, on pourrait nous voir..."
Mais Gino ivre mort n'entendit pas la semonce de sa femme et ses deux grosses pognes poilues relevèrent maladroitement la robe de Christiane sur ses hanches larges et blanches dévoilant son énorme fessier à mes yeux exorbités de jeune puceau.
"Hey t'as pas mis d'culotte ma chérie, c'est pour moi tout ça ?
Sa main droite disparue dans l'entre-jambe de son épouse pendant que la gauche flattait toujours le généreux posterieur blanc tendu dans l'obscurité.
"Mais t'es trempée ma cochonne ?"
Christiane se cabra sous la caresse de Gino et son bassin se projeta en avant à la rencontre des doigts inquisiteurs.
"Va te coucher mon chéri haleta-t-elle et si tu ne dors pas à mon retour je te promets...
Sa phrase se termina en murmures à l'oreille de son mari au moment où un coup de klaxon nous invitait à monter en voiture,
Maman prit le volant et papa qui avait un peu trop bu s'effondra sur le siège côté passager, Je me retrouvai donc sur la banquette arrière en compagnie de Christiane qui d'emblée vint plaquer délibérément sa cuisse contre la mienne.
"Tétanisé, fixant un point imaginaire dans le lointain, je sentis sa chair chaude et douce se frotter doucement à moi."
Encouragée par mon immobilité Christiane osa poser sa main droite sur ma cuisse.
Je sentis alors mon sexe grossir et s'allonger comme le nez de Pinocchio,
- Ça va mieux me souffla-t-elle ?
Je déglutis, des grosses gouttes de sueur perlant sur mes tempes douloureuses.
- ...
- Tu t'es bien régalé tout à l'heure ? Enchaina-t-elle la voix épaissie dans un souffle qui me fit tressaillir.
- ça va derrière ? lança maman en jettant un regard rieur dans le retro, Gino était bien chaud ce soir...
- Il sait pas s'arrêter répondit Christiane en retirant aussitôt sa main de ma cuisse, un jour ça lui joura des tours !
- Le pire c'est qu'il est amoureux quand il a trop bu, je vais encore passer à la casserole en rentrant, s'esclaffa ma voisine en me regardant de biais.
Et les deux femmes partirent dans un fou rire qui réveilla mon père qui s'était assoupi,
Le choix du film fut vite fait, il faut dire que dans notre petite ville de province il n'y avait pas beaucoup plus que deux ou trois long métrages à l'affiche et les deux femmes nous imposèrent d'autorité un film d'amour à l'eau de rose.
Papa manifesta alors son désaccord.
- Ah non pas ça, y'a un bon polar en salle 2, il me regarda interrogateur, on laisse les femmes entre elles et on va voir ça ?
- Si vous voulez coupa maman et on se retrouve à la sortie...
Un cruel dilemme me tarauda l'esprit un très court instant mais quand Christiane planta ses grands yeux brillants et fiévreux dans les miens, j'y lu tout de suite un chapelet de promesses que je ne regretterais pas de sitôt.
"Désolé 'Pa mais j'l'ai déjà vu ce film..."
Christiane d'un seul élan tira mon père par le bras en riant franchement
"allez on reste ensemble, pour une fois..."
La salle était petite et déjà presque remplie, Mes parents trouvèrent deux fauteuils au pied de l'écran géant et Christiane qui crapahutait de rangée en rangée, finit par me faire un signe pour m'inviter à la rejoindre,
La salle plongea soudainement dans l'obscurité au moment où je m'assis à côté d'elle, ému et inquiet.
Le film commençait.
"Ouf y a du monde ce soir, me dit-elle en se dandinant sur son siège, dommage qu'on ne soit pas avec tes parents...
Son avant bras droit sur l'accoudoir vint s'appuyer contre le mien, granulant mon épiderme de délicieux picotements,
"remarque comme ça on s'ra plus tranquille !"
Plus tranquille ? J'entends encore ces mots résonner dans mon crâne vingt ans après comme un leitmotiv lancinant.
Je n'ai jamais retrouvé cette sensation à la fois de gène et de désir mélangés.
J'étais absent comme étranger à tout se qui allait se passer... Une sorte de détachement qui me surprit un peu mais j'avais déjà compris et j'acceptais inexorablement mon sort de victime.
Mon abandon, ma fatalité, renforcèrent les prises de décisions de ma voisine, Résigné, je m'en remettais aux mains expertes de Christiane,
Une forte odeur de transpiration se dégagea de sous ses aisselles quand son bras s'allongea et sa main se posa sur mon genou,
Christiane commença à masser ma cuisse de sportif en un torride et charnel va-et-vient qui partant de la rotule remontait par des cerles de plus en plus larges vers mon entre-cuisse bouillonnante.
Décomposé, transformé en statue de pierre, je savourais la caresse de Christiane qui finit par venir frôler comme par inadvertance l'impérieuse protubérance enfermée dans son habitat trop étroit.
Tous mes sens en alerte, je la laissai intentionnellement remonter jusque sur ma verge.
Et quand ses longs doigts aux ongles rouges s'immobilisèrent enfin sur mon sexe bandé sous le tissu du jean, après plusieurs minutes de ce supplice, je ressentis comme une décharge électrique qui me souleva de mon siège.
Heureusement que j'avais déjà éjaculé à deux reprises depuis le debut de la soirée sinon je crois que je n'aurais jamais pu résister à cette savante torture et que j'aurais tout laché dans le fond de mon slip.
"Tu veux ?" Me souffla Christiane d'une voix rauque et transformée.
Incapable de répondre à une telle proposition, la gorge sèche, les muscles tétanisés et le c'ur battant à se rompre, je tendais mon bassin en avant en guise de réponse.
Alors ses doigts experts descendirent le zip de ma braguette libérant sauvagement ma queue prodigieusement gonflée et tendue.
Je bénis l'obscurité quand sa main chaude et moite se referma doucement sur la colonne de chair, dégageant avec habilité mon gland cramoisi et congestionné où perlaient déjà à son sommet quelques gouttes d'élixir.
De son autre main, elle posa délicatement son chale au point mousse noir sur mon entre-jambe camouflant ainsi ses faits et gestes des regards indiscrets,
Je ne me souviens pas avoir bandé aussi fort depuis ce jour, c'était tout simplement prodigieux !
ma verge se contractait sans cesse à chaque mouvement masturbatoire de ma voisine qui s'agitait sous l'étoffe en laine,
J'étais tellement gros et épais que Christiane avait du mal à refermer ses doigts autour de mon pieu.
Son adresse était remarquable. Seule sa main s'agitait entre mes jambes, alors que le reste de son corps restait immobile, Concentrée et droite sur son siège, elle semblait absorbée par le film qui défilait sur la toile.
Personne, même nos voisins les plus proches n'auraient pu soupçonner quoi que ce soit.
Comprenant que je n'allais pas tenir très longtemps ainsi, je gigotai sur mon siège, les mains crispées sur les accoudoirs, les larmes au bord des yeux.
Mes trémoussements désordonnés donnèrent le "feu vert" à Christiane.
Ma respiration se fit tout à coup plus rapide et elle accéléra la cadence quand la première giclée jaillit et s'écrasa le long de son poignet.
Je déversai des litres de sperme chaud et gluant dans sa main immobile et contractée sur ma queue en grognant de plaisir, profitant que le volume de la musique du film venait de monter de quelques décibels.
Christiane resta ainsi quelques instants en pressant ma verge à petit coup, attendant que la source soit tarie.
Puis elle se remit à me branler un peu pour accompagner mes derniers épanchements, se tourna vers moi avec un drôle de rictus qui déformait son visage.
Tu as aimé ? Me demanda-t-elle presque affectueuse...
Elle donna une ultime caresse à ma queue "débandante" et douloureuse puis s'essuya discrètement la main dans un mouchoir en papier en soupirant d'aise.
J'acceptai le kleneex qu'elle me tendit et me nettoyai discretement l'entre-jambe, son châle couvrant toujours mon sexe ramoli.
C'est alors que "l'inespérable" se produisit, Repu et vidé, je commençai à m'interésser au film quand Christiane après un long moment de silence et d'immobilité, écarta lentement les jambes en me regardant d'un air plus salope que nature,
"A toi maintenant !" miaula-t-elle dans un souffle.
Je me souviens que je mis vraiment du temps à me décider, comme ci je n'avais pas compris, En réalité j'étais mort de frousse à l'idée de glisser ma main entre ses cuisses.
Pourquoi ? J'en sais fichtrement rien, Même si mon cerveau me commandait de passer à l'action, mon corps était paralysé, impossible de bouger ne serait-ce qu'un seul doigt...
J'étais comme hypnotisé, fixant l'angle que faisait les cuisses grandes ouvertes de Christiane qui réclamait belle et bien sa part de plaisir.
Elle avait d'ailleurs avec sobriété et délicatesse remonté sa robe très haut sur son ventre comme une invitation évidente.
Agacée par mon émois et ma timidité maladive, Christiane tira son chale et le posa sur ses genoux puis elle me prit la main et la plaqua d'autorité sur le haut de sa cuisse.
Alors comme l'ingénu que j'étais à l'époque, je glissai prudemment mes doigts vers ce triangle inconnu.
un peu comme si j'avais plongé ma main dans un nid de vipères...
Ce qui m'étonna le plus, c'était la pilosité de Christiane,
Lors de mes séances masturbatoires, j'avais déjà compemplé des filles nues en cachette sur certaines revues pornographiques et toutes avaient pour la plus part le bas-ventre et l'entrecuisse rasé ou du moins très peu fourni.
Christiane avait comme un "véritable tablier de forgeron" entre les jambes, Une jungle de
poils longs, soyeux et humides, agréable au toucher.
"Rassuré" par cette nouvelle sensation, je descendis ma main curieuse en direction de cette toison bouclée, dans laquelle je glissai timidement mes doigts.
Approchant maladroitement de l'épicentre, je compris que Christiane était ruisselante.
Mes doigts crochetèrent approximativement les parois de sa vulve, cherchant fébrilement une entrée le long de sa fente innondée,
Comprenant mon incompréhension et mon impatience, Christiane écarta encore plus largement ses cuisses moites sous le châle, ouvrant délibérément l'accès à sa grotte bouillonnante.
A la recherche de ce mystérieux puit féminin, je sentis soudain mon majeur s'enfoncer profondement dans une faille d'une moiteur étonnante d'où ruisselait un jus sirupeux et malodorant.
Explorateur en herbe et à nouveau terriblement excité, je me ruai d'un coup violent dans son orifice brûlant et onctueux ce qui arracha une onomatopée à ma voisine.
Ne trouvant pas de fond à ce gouffre, je joingnai naturellement mon index à mon majeur pour renforcer mon exploration sexuelle et d'instinct je commencai à mon tour un craintif va-et-vient dans la fournaise de sa chatte.
Christiane projeta son bassin à la rencontre de mes doigts inquisiteurs s'empalant un peu plus sur mes phalanges.
Halletante, la tête renversée sur son dossier, elle réclama suppliante
"tous les doigts mon chéri, mets tous les doigts !"
Terriblement affolé, ne pouvant résister à cette injonction, je rentrai l'annulaire dans sa cavité spongieuse surpris de voir qu'aucune résistance ne s'y opposait.
Bien au contraire, mes doigts semblaient comme avalés, aspirés par cette petite bouche gourmande et insatiable, si bien que mon auriculaire ne tarda pas à rejoindre ses petits camarades, Seul mon pouce restait à l'exterieur, Plaqué bien malgré lui au sommet des petites lèvres, il agaçait une petite proéminence érectile lubrifiant de plus en plus le vagin en fusion de Christiane.
"Plus loin... Suffoqua-t-elle le front luisant de sueur."
Alors dans un effort de contorsion digne d'un grand fakir, le poignet cassé en deux, je forçai l'entrée élastique de sa vulve aux parois chaudes et moelleuses.
Christiane poussa un long feulement de volupté quand ma main disparue entièrement dans son con liquéfié et resserra brutalement ses cuisses sur mon poignet trempé par de gros jets de mouille et de cyprine qui s'écoulaient à grand flot de son ventre.
Sa main droite plongea et griffa nerveusement l'énorme bosse qui déformait encore le devant de mon pantalon.
Malgré mon inexpérience et ma surprise, je compris tout de suite qu'elle venait de jouir.
Anéantie, tous ses muscles se relâchèrent d'un coup et ma main fut expulsée d'elle même de cette fournaise au moment où son voisin de gauche, un vieux monsieur, s'inquiètait de son état.
"ça va pas madame ? Vous êtes souffrante ?"
Christiane lui rendit un sourire radieux et rassurant quand les lumières de la salle se rallumèrent sur le générique de fin.
Sur le retour dans la voiture, tout le monde y alla de son petit commentaire concernant cette belle histoire d'amour entre un marrin et une prostituée à la beauté insolente que nous étions tous censés avoir dévoré du début jusqu'à la fin.
Papa maugréa quelques bafouilles quand ma mère le dénonça d'avoir dormi une bonne partie du film, Je restai silencieux et admiratif devant cette femme qui conversait et riait librement avec mes parents comme si de rien n'était.
Qui aurait pu se douter qu'elle venait de me branler dans l'obscurité d'un cinéma de province ?
Et qui me croirait si je racontais que j'avais enfoncé ma main jusqu'au poignet dans la chatte de ma voisine ?
Personne, d'ailleurs quand nous nous quittâmes sur le trottoir dans la rue Christiane sut me le rappeler.
"Soit raisonnable mon chéri, et garde notre secret ! Me glissa-t-elle furtivement en m'embrassant sur la joue."
En effet j'ai gardé le secret de longues années, j'ai même tout fait pour que cette aventure se reproduise, pour que Christiane devienne un jour ma maîtresse et qu'elle m'initie aux choses de l'amour. J'aurais tant aimé qu'elle m'apprenne LE SEXE dans toute sa splendeur.
Mais l'épisode de "l'apéritif dinatoire" et du cinéma fut la seule et unique aventure que j'eus avec Christiane.
Je sais c'est frustrant me direz-vous mais je crois que je me suis bien rattrapé depuis en épousant sa fille Christelle et en faisant de facto de Christiane ma belle-mère gardienne à jamais de notre secret.