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Proposée le 2/09/2010 par Marc Paul
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Vous pouvez commencer par lire le chapitre précédent - Coralie au Maroc.
Cette année, l'école de danse classique de Coralie avait été sélectionnée pour participer à un grand gala dans la capitale. Ce gala donnait lieu à un classement et leur professeur pensait avoir de bonnes chances de bien figurer.
Les dix filles et les deux garçons qui composaient le corps de ballet, accompagnés de leur professeur s'étaient donc rendus en train à Paris et ils logeaient dans un hôtel bon marché en banlieue. Ils étaient deux par chambre et Coralie partageait sa chambre avec Elsa une jeune fille de son âge. Elsa et Coralie s'entendaient bien et c'est elles-mêmes qui avaient décidées de faire chambre commune, même si elles ne se voyaient pas en dehors des cours de danse. Le concours avait lieu le samedi, le dimanche étant réservé à la remise des prix et aux prestations des trois meilleurs.
Le ballet de Coralie avait été programmé en dernier, hasard du tirage au sort. Les jeunes filles avaient donc patienté toute la soirée, regardant les autres danser, stressant devant la qualité de leurs concurrents. Un peu avant vingt-trois heures, elles étaient sur scène pour le quart d'heure que durait leur exhibition. Un peu tremblante de trac au début, elles se libérèrent dès les premiers pas et accomplirent une interprétation très convenable. Dès la sortie en coulisse, leur professeur les félicita en les conduisant vers le bus qui les emmenait vers l'hôtel.
Arrivées dans leur chambre, Elsa et Coralie décidèrent de prendre une douche pour chasser toute la tension accumulée. Coralie quitta son tutu qu'elle avait conservé sous son manteau, quitta ses collants couleur chair, et ses sous-vêtements. Elle ne s'était pas souciée une seconde qu'elle faisait cela devant son amie, et de toute façon le cube qui tenait lieu de salle de bains était trop exigu pour cela. Elle entra dans la douche et laissa couler l'eau chaude sur son corps avec délice. Elle se sécha ensuite et revint dans la chambre en tenue d'Eve. Elsa s'était aussi déshabillée et elle prit sa douche pendant que Coralie se démaquillait. Quand Elsa revint dans la chambre, elle trouva Coralie, toujours nue allongée sur le lit qui regardait d'un oeil distrait une revue présentant tous les hôtels de la même enseigne. Elsa avait juste passé un drap de bain sur son corps, elle s'allongea sur le lit et engagea la conversation :
- Tu penses qu'on va être bien classée ?
- Je ne sais pas, toutes les autres troupes étaient vachement bien en général, je pense qu'on peut être dans les cinq meilleures.
- Ça serait super, mais bon on ne va pas se stresser, on verra demain. Je peux te poser une question ?
- Ouais, vas-y !
- Tu te rases toujours la chatte ? demanda Elsa.
- Hummm, oui depuis un an. Pourquoi ?
- Tu trouves ça plus joli ?
- C'est sûr, c'est plus joli que ces affreux poils. Toi qui est blonde, ça peut aller mais moi brune comme je suis. Et puis'
- Et puis'
- Et puis c'est mieux quand tu te fais sucer. C'est plus agréable pour l'autre. Continua Coralie en riant.
Elsa rougit un peu à cette évocation mais continua :
- Tu as déjà fait l'amour ?
- Oui, plusieurs fois. Et toi ?
- Moi non. Je suis toujours vierge? Enfin presque.
- Comment ça, presque ?
- Ben, j'ose pas te le raconter, c'est? C'est plutôt? Intime. Gênant quoi !
- Si tu ne peux pas raconter ça à une des tes copines, à qui tu peux le dire. Allez racontes moi, s'il te plait !
- D'accord, mais tu le dira à personne. Promis ?
- Promis !
- Bon, ben voilà, en fait je me suis dépucelée toute seule avec le manche de ma brosse à cheveux.
Coralie éclata de rire, ce qui fâcha Elsa qui pensait qu'elle se moquait d'elle.
- Tu n'es pas sympa de te foutre de ma gueule. Si j'avais su'
- Ne te fâches pas, je ne me moque pas de toi. Au contraire parce que moi aussi j'ai fait pareil avec une bombe de gel pour les cheveux.
Et Coralie lui raconta comment elle faisait pour se faire plaisir. Quand elle eut terminée, Elsa lui dit en riant qu'elle aussi avait mis un préservatif sur le manche de sa brosse. Puis elle demanda :
- Comment tu fais pour ta chatte, un rasoir, la cire ?
- Le rasoir, la cire je n'ai pas osé, ça doit faire mal, pourquoi ?
- Tu as ton rasoir, ici ?
- Oui ? tu veux te raser la chatte toi aussi ?
- Ben oui, j'aimerai bien voir ce que ça donne. Mais je ne l'ai jamais fait.
- Je vois. C'est moi qui vais te raser. Attends je reviens.
Coralie alla fouiller dans son vanity-case et en sortit un rasoir et une bombe de mousse à raser « spécial femmes. »
- Allonges toi sur le dos. Mets ta serviette sous tes fesses et écartes bien tes cuisses.
Elsa prit la position indiquée et Coralie enduit sa toison de mousse. Puis elle fit glisser le rasoir sur le pubis de son amie. En très peu de temps, la blonde toison d'Elsa avait disparu. Coralie lui passa un peu de lait adoucissant et tapota sa chatte en lui disant :
- Voilà, un joli petit minou tout frais et tout lisse.
Elle retourna s'allonger à coté de son amie. Elsa lui demanda :
- La première fois avec un mec, c'était bien, tu as eu mal ?
- Non, pas du tout. Quand ton hymen est déchiré une bonne fois pour toutes, c'est vachement agréable. J'ai jouis dès la première fois.
- Ahh oui et c'était avec un jeune ou'
- Non, un vieux? De cinquante ans.
Et Coralie lui raconta ses dernières vacances au Maroc pendant lesquelles elle avait séduit Larbi, l'employé de ses parents. Pendant tout le récit, Elsa ponctuait les phrases de son amie de « Ohh », de « ahh », de « je n'y crois pas », et d'autres expressions. Elle ouvrait des yeux ronds et quand Coralie eut terminé, elle pouvait voir une lueur particulière dans les yeux de son amie. Elle vit aussi que celle-ci avait posée sa main sur sa chatte fraîchement rasée et se masturbait doucement. Elle lui en fit la remarque :
- Dis donc, Elsa, on dirait que mes histoires te font de l'effet.
- Ben oui, un peu, elles sont vachement excitantes. Et puis j'ai l'habitude de me caresser tous les soirs avant de m'endormir.
- Humm, comme moi mais moi je le fais aussi le matin. Attends, je vais te faire découvrir quelque chose. Dit Coralie en se levant et en allant fouiller dans sa valise.
- Tu as un vibromasseur ! Houaa, j'en rêve, il parait que c'est génial.
- Ça, pour être génial, c'est génial. Je te le prête. Il se met en marche ici. Tu verras c'est beaucoup mieux que ton manche de brosse.
Elsa prit l'appareil, le mit en route pour apprécier les vibrations qui lui chatouillaient la paume. Elle l'éteignit avant de l'enfoncer doucement dans son con tout mouillé, retenant sa respiration, craignant de souffrir car l'engin était de belle taille. Quand elle l'eut enfoncé complètement, elle se détendit et lui fit faire deux ou trois allers-retours. Elsa appréciait de se sentir dilatée par l'objet, la tension de ses chairs accentuaient les douces sensations que lui procurait le coulissement du cylindre doré dans son ventre.
Elsa le mit en route et le résultat fut presque immédiat. Elle ouvrit grand la bouche comme si elle manquait d'air et ses yeux chavirés exprimait tout le plaisir que lui procurait l'appareil qui ronronnait. Coralie vit une autre signification dans son regard. Elsa voulait que son amie la caresse. Coralie posa sa main sur le ventre plat et ferme d'Elsa. Sa peau était douce et soyeuse, elle remonta vers ses petits seins dont les tétons pointaient. Elle pinça doucement le petit bourgeon de chair qui s'offrait à ses doigts. Elsa gémit, Coralie la bâillonna de ses lèvres. Leurs langues s'enroulèrent l'une à l'autre, leurs dents s'entrechoquèrent. Elsa était au comble du plaisir et le manifestait par de violents coups de reins qui la faisaient se cambrer. Elle se branlait frénétiquement avec le vibromasseur, l'enfonçant et le retirant rapidement.
Elle jouit brutalement, violemment en se cambrant pendant que sa main s'agitait encore plus vite entre ses cuisses. Elle cria faiblement mais longuement puis retomba, épuisée de cet orgasme intense en arrachant le vibromasseur de son ventre.
Elle refit surface en soupirant :
- La vache, c'était super. Je n'ai jamais jouis comme ça avant. Puis après un instant de silence, elle demanda à Coralie : Tu as déjà fait l'amour avec une fille ?
- Non, jamais. Mais j'en ai très envie.
- Tu es lesbienne ?
- Non, j'aime aussi les mecs. Disons que je suis bi. Et toi.
- Moi non plus, je n'y ai jamais vraiment pensé. Mais... Tes caresses sur mes seins, ton baiser, ça ma fait de l'effet. Maintenant j'ai très envie d'essayer.
- Tu veux essayer avec moi. Moi j'en ai très envie.
- Moi aussi, j'en ai envie.
Sans perdre plus de temps, les deux filles s'enlacèrent dans un tendre baiser, leurs langues se caressaient, glissaient l'une sur l'autre, s'enroulaient pour mieux se séparer et lécher les lèvres entrouvertes.
Puis de la bouche et de la main, chacune explora le corps de l'autre, mordillant les proéminences, s'introduisant dans les recoins cachés de leur sexe qui s'épanouissaient comme autant de fleurs. Toutes ces douces caresses provoquèrent bientôt une montée intense de plaisir autant chez Elsa que chez Coralie. Les deux filles se retrouvèrent alors dans un joli soixante-neuf. Elsa au dessus de Coralie, lui aspirait le clitoris pendant qu'elle faisait coulisser le vibromasseur dans son con largement ouvert. Coralie suçait la fente d'Elsa recevant dans sa bouche la mouille au goût salé et à l'odeur fraîchement musquée que ses caresses faisaient couler du ventre de son amie.
Coralie fut la première à jouir. Elle se mit à sucer frénétiquement la fente de Coralie, son con se contracta sur le vibromasseur qui frétillait dans son ventre. Elle jouit en étouffant ses cris dans la chatte de son amie. L'excitation d'Elsa augmenta quand elle sentit Coralie se cambrer sous elle, quand la langue de son amie fouilla frénétiquement sa fente inondée et quand son souffle chaud se fit plus rapide. Elle continua de sucer et de branler Coralie jusqu'à ce que la tempête orgasmique se calme. A ce moment, elle se laissa submerger par le plaisir et jouit le dos creusé, la tête rejetée en arrière, les membres tétanisés.
Quand Coralie et Elsa refirent surface, elles glissèrent sous les draps pour sombrer dans un profond sommeil dont elles émergèrent en milieu de matinée.
Après la remise des prix ? leur troupe se classant deuxième - un bus les emmena à la gare. Dans le train qui les ramenait chez elles, Coralie et Elsa trouvèrent le temps de s'isoler dans un wagon éloigné de celui ou l'ensemble de la troupe avait pris place. Assises coté à cote dans un endroit tranquille, seules deux places à l'autre extrémité du compartiment étaient occupées, elles parlaient doucement, s'embrassaient furtivement, se caressaient discrètement sous leur manteaux.