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Proposée le 31/08/2010 par Marc Paul
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Cette année là, les parents de Coralie avaient prévus un peu tard leurs vacances de neige. Le chalet confortable qu'ils avaient l'habitude d'occuper n'était plus disponible et la seule solution de remplacement qu'ils avaient trouvé était un studio cabine pour trois personnes.
L'appartement était plutôt exigu, une pièce avec un clic-clac sur lequel dormaient ses parents et Coralie occupait une sorte d'alcôve fermée par un rideau. Elle avait un peu râlé quand elle avait découvert sa « chambre » mais elle était malgré tout heureuse de passer cette semaine avec ses parents. Médecins tous les deux, propriétaires de leur clinique, Claude et Mireille consacraient peu de temps à leur fille et Coralie ne voulait pas gâcher ce séjour.
Ce qui gênait le plus Coralie dans cet appartement, c'était la proximité de ses parents. En effet elle avait découvert qu'elle pouvait se donner du plaisir en se caressant et depuis bientôt un an elle se branlait tous les jours, certains jours plusieurs fois même. Chez elle, il lui était facile de s'enfermer dans la chambre, de se mettre nue sous les draps et de se caresser voluptueusement la chatte ou ses jolis petits seins. Et au moment où l'orgasme la submergeait, elle pouvait laisser libre cours à ses gémissements.
A quinze ans, Coralie n'ignorait pas grand-chose du sexe mais sa connaissance restait tout de même très théorique, faite par des films porno qu'elle visionnait sur internet. Elle n'avait encore pas franchit le pas de coucher avec un garçon mais se promettait de la faire très bientôt. Sa mère avait commencé d'évoquer la contraception et les moyens de protection avec elle. Elle lui avait même donné un boite de préservatif « Au cas où? » Avait-elle dit avec un sourire complice.
Coralie avait utilisé une capote le soir même mais pas tout à fait pour l'usage attendu.
Dès le dîner terminé, elle était montée dans sa chambre, s'était déshabillée dans sa salle de bain et avait prise avec elle son aérosol de gel de coiffure. Elle s'était couchée, calant la bouteille contre son flanc et avait commencé à se caresser. D'abord les seins qu'elle frôlait du bout de ses doigts, commençant par des attouchements légers qui devenaient de plus en plus précis à mesure que ses doigts approchait des tétons. Cela se terminait toujours par des pincements et des torsions des pointes de ses seins qui étaient alors durs. Sa main droite descendait alors sur son ventre, caressait l'intérieur de ses cuisses largement ouvertes, faisait un massage circulaire de son mont de vénus. Elle sentait alors son sexe se gonfler, s'ouvrir comme une fleur et l'humidité gagner sa fente. Elle introduisait ensuite un doigt dans sa fente toute mouillée et imprimait à sa main un mouvement de bas en haut. En bas, elle rentrait son doigt pour bien le lubrifier et en haut s'attardait sur le petit renflement de son clitoris. Généralement elle ne tardait pas à succomber au plaisir, son ventre se contractait, ses jambes s'ouvraient pendant que sa main s'agitait de plus en plus vite, de plus en plus fort pendant que son bassin ondulait au même rythme, accompagnant les mouvements de ses doigts.
Mais ce soir là, elle fit durer le plaisir et quand elle jugea le moment venu, elle se saisit de la bouteille qu'elle avait réchauffée, la coiffa d'une capote et la présenta à l'entrée de sa grotte. Coralie enfonça la bouteille facilement sur quelques millimètres mais une résistance accompagnée d'une légère douleur arrêta sa progression. Elle retira un peu ce gode improvisé et recommença. Pareil' Encore une tentative sans plus de succès. Elle décida de maintenir la pression sur son hymen et maintenant l'aérosol de la main gauche, recommença à se caresser de la droite. Ses doigts agiles firent leur effet, la dilatation de son con lui procurait des sensations nouvelles. L'orgasme arrivait et sa bouche laissait échapper de petits gémissements annonciateurs de la tempête de la jouissance. Un mouvement incontrôlé de son bassin provoqua l'introduction profonde de la bouteille dans son con. Coralie laissa échapper un petit cri de douleur et de surprise mêlées. Mais elle ne s'arrêta par pour autant et continua la recherche de son propre plaisir sans toutefois osez bouger la bouteille profondément enfoncée dans sa chatte. Elle appréciait de se sentir dilatée par cet objet, les contractions de son ventre qu'elle provoquait en se titillant le clitoris, lui provoquaient encore plus de plaisir que d'habitude. Son excitation, qui était un petit peu retombée à cause la douleur provoquée par sa défloration, augmentait maintenant comme une vague qui la submergea d'un seul coup, la fit crier de plaisir et la laissa à demi inconsciente de longues minutes sur son lit.
Reprenant ses esprits, Coralie tendit l'oreille pour s'assurer que ses parents n'avaient pas entendu ses cris de plaisir. Elle saisit ensuite son gode improvisé et le retira doucement de son con avant de l'enfoncer à nouveau tout aussi doucement. Une toute petite douleur était encore perceptible, alors elle décida de ne pas aller plus loin et retira complètement l'objet de sa chatte.
Dans les jours et les semaines qui suivirent, elle se caressa de nouveau de la même façon, épuisant la boite de préservatif que sa mère lui avait donné et de nombreuses autres qu'elle avait acheté ensuite.
Mais dans cet appartement où elle n'était séparée de ses parents que par un simple rideau, impossible d'utiliser son flacon favori et difficile de se faire du bien. Malgré tout, Coralie se caressa tous les soirs. Elle attendait que ses parents soient endormis, guettant le rythme de leur respiration, puis elle se caressait à travers sa culotte avant de glisser sa main sous l'élastique et de se faire jouir rapidement. Elle étouffait ses gémissements de plaisir en mordant son ours en peluche.
Pourtant un soir, au milieu de la semaine, Claude et Mireille n'étaient pas endormis quand Coralie avait éteint la petite lampe de son alcôve. Elle leur avait souhaité une bonne nuit et Claude et Mireille lui avait répondu en c'ur « Bonne nuit, ma chérie ».
Coralie guettait ses parents par l'intervalle entre le rideau et le mur. Le studio n'avait pas de volet et seul le rideau de la baie vitrée apportait une obscurité très relative. Ce soir là, en particulier, la lune étant pleine et le ciel très dégagé, on voyait très clair dans la pièce. Coralie avait l'avantage de profiter de l'obscurité que lui procurait le lourd rideau qui la cachait.
Au bout d'une demi-heure, Coralie vit Claude, son père, repousser les couvertures et quitter la chemise de nuit de Mireille.
- Tu crois que Coralie dort ? demanda t'elle à voix basse.
- Oui, ça fait une demi-heure qu'elle a éteint sa lampe et on ne l'entend plus. Répondit Claude sur le même ton.
- J'ai envie de baiser, quatre jours, j'en peux plus.
- Humm, je vois ça, tu es toute mouillée.
Coralie ne perdait pas une miette de cette conversation entre ses parents. Elle les voyait aussi clairement dans la pénombre, Mireille était couchée sur le dos et avait ouvert ses cuisses dès que Claude avait posé sa main sur son genou. Il lui caressait la chatte doucement. Mireille se tourna vers lui et glissa sa main dans son caleçon, le branla un peu avant de le faire glisser sur ses jambes.
Coralie voyait distinctement le chibre de son père que sa mère astiquait doucement. Puis Mireille releva son buste et tout en continuant de le branler, elle commença à sucer la queue bien dure de son mari.
Coralie regardait la bite de son père disparaître dans la bouche de sa mère. Elle ne manquait rien du spectacle et elle se caressait en même temps. Elle aurait aimé, elle aussi avoir une queue bien dure à sucer plutôt que de mordre les pattes de son doudou pour étouffer ses gémissements.
Mireille s'appliquait à sucer son mari. Elle aimait cette pratique et Claude lui avait dit plus d'une fois qu'elle faisait des « pipes divines ». Parfois elle le suçait jusqu'au bout mais elle réservait cela quand ils avaient le temps. Elle appréciait de sentir cette queue tressauter dans sa bouche, gonfler jusqu'à l'étouffer et lui envoyer au fond de la gorge des jets de sperme puissants. Mais, en ce moment, avec leur fille à coté, il était difficile de prendre son temps, d'être complètement détendus. Leur partie de jambes en l'air serait forcément rapide, et surtout, elle devait être la plus discrète possible.
Au bout d'un petit moment, Claude attira sa femme vers lui, l'arrachant de sa bite et lui dit quelque chose que Coralie n'entendit pas.
- Tu crois, répondit Mireille et elle se leva.
Le c'ur de Coralie fit un bond dans sa poitrine. Elle pensait que son père avait vu qu'elle les regardait. Elle lâcha son ours et fit semblant de dormir. Fausse alerte, Mireille se dirigea vers sa valise et fouilla dedans.
Coralie admira la fine silhouette de Mireille et la trouva désirable. Elle comprit le désir des hommes en voyant ce corps féminin. Et c'est à cet instant qu'elle découvrit en elle-même qu'elle aussi pouvait désirer une fille.
Elle en tira un objet long que Coralie identifia immédiatement. Surtout quand Mireille le mit en route et qu'un discret bourdonnement se fit entendre. Sa mère possédait un vibro-masseur et ils allaient s'en servir. Mireille retourna s'allonger au près de Claude et repris sa fellation après lui avoir donné le vibro. Pendant que sa femme le suçait, Claude la caressait avec le vibro. Il alternait les pénétrations profondes ou les balades sur la fente grande ouverte de sa femme. Mireille manifestait son plaisir en poussant des gémissements ou des petits cris heureusement étouffées par le pieu de chair qu'elle avait dans la bouche.
Coralie s'imagina en train de sucer une grosse queue comme celle de Claude. Elle voyait parfaitement la langue de Mireille agacer le gland de Claude avant que sa bouche s'ouvre et qu'elle avale complètement le dard que son mari lui offrait. Elle ne manquait rien du spectacle érotique que lui offraient ses parents, elle s'instruisait en direct en caressant frénétiquement sa chatte inondée de mouille.
Les deux amants ne se souciaient plus vraiment de la présence toute proche de leur fille. Claude faisait coulisser profondément le vibromasseur dans la chatte ouverte de Mireille. Les lents vas et viens qu'il imprimait à l'objet vibrant et bourdonnant eurent raison de la résistance de son épouse. La tête de Mireille s'agitait de plus en plus vite, sa bouche montait et descendait sur la colonne de chair qu'elle avalait complètement. Coralie vit le corps de sa mère secoué par les spasmes de l'orgasme pendant que des sons étouffés sortaient de la gorge. Elle jouit, elle aussi, en même temps regrettant que ses cris de jouissance à elle ne puissent pas être assourdis par une bite bien dure et gorgée de sève mais seulement par les pattes de son doudou qu'elle mordait violemment.
Claude et Mireille étaient maintenant allongés sur le coté. Mireille tournait le dos à son mari, qui la maintenait largement ouverte en lui tenant une jambe en l'air. Coralie, qui avait repris ses esprits, regardait maintenant sa mère se faire sauter face à elle. Elle repris ses caresses sur sa chatte et continuait son voyeurisme.
Mireille appréciait cette position qui lui permettait de se faire pénétrer la chatte tout en laissant à son mari la possibilité de lui caresser les seins ou bien de lui titiller le clitoris. La queue dure et longue de Claude glissait sans effort dans sa chatte inondée et les deux amants parlaient à voix basse, augmentant encore leur excitation mutuelle par leur propos salaces:
- Tu m'as sucé comme une vraie putain. J'ai failli jouir dans ta bouche.
- J'adore te sucer, mon chéri. J'aime aussi ta queue dans mon con, je la sens, elle est grosse.
- C'est toi qui me fait bander comme ça, tu es tellement salope quand tu t'y mets.
- J'adore quand tu me baises comme ça, mon cochon. Je suis une vraie chienne.
Claude défonçait sa femme de plus en plus fort, sa queue s'enfonçant au plus profond de son con. Le plaisir de Mireille revenait au galop et elle le manifestait de plus en plus bruyamment. Claude la bâillonna de sa main libre et continua sa besogne avec des « han » de bûcheron.
Claude et Mireille jouirent en même temps, Claude poussant des grognements sourds, sa femme suçant avidement les doigts de son mari pour étouffer ses cris de plaisir. Coralie atteint l'orgasme en même temps que ses parents, se caressant frénétiquement le clitoris, les yeux grands ouverts sur le spectacle de ses parents. Elle voyait la bite de son père, longue et grosse, s'enfoncer en cadence dans le ventre de sa mère et ce spectacle l'excitait tellement que cela contribua beaucoup plus à son orgasme que les titillements qu'elle faisait subir à son petit bourgeon.
Le reste de la semaine, Coralie guetta ses parents, espérant qu'ils recommencent mais ils furent sages. Cela ne l'empêcha nullement de se caresser chaque soir dans l'obscurité de son alcôve.
De retour, chez eux, Coralie et ses parents reprirent leurs activités. Un soir, alors que ses parents étaient de garde et passaient la nuit dans leur clinique, Coralie entra dans leur chambre et fouilla partout à la recherche du vibromasseur de sa mère. Elle le trouva dans un tiroir de la table de nuit et allongée sur le lit de ses parents, elle en fit bon usage. Sa chemise de nuit relevée jusqu'à la taille, les jambes largement écartées, elle introduisit l'objet dans sa chatte. Elle se branla un peu avec, avant de le mettre en route. Elle apprécia avec délice les vibrations qui irradiaient tout son ventre, goûta ses sensations nouvelles qui la conduisirent rapidement vers un plaisir intense.
Elle décida ce jour là d'acheter un vibromasseur pour elle avec son argent de poche.