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Proposée le 15/08/2010 par Pandoramie
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Chère Carole,
Nous ne nous sommes jamais rencontrées mais vous m'êtes familière. J'aime vous lire, cela m'inspire et me donne parfois des idées. Mon amant est un bel homme séduisant au regard bleu profond qui me trouble beaucoup. Il est peu disponible et chacune de ses visites est une fête. Lorsque nous faisons l'amour, il me raconte souvent à l'oreille des scenariis où il m'offre à d'autres hommes. Je crois qu'il ressent instantanément les effets intérieurs que me procurent ces images, mon sexe se contractant, enveloppant le sien avec encore plus de conviction ! Dans l'une de ses histoires, il me plaçait à l'entrée d'un club, à genoux bouche ouverte pour que les hommes puissent venir se vider à loisirs. Hier, j'ai choisi de l'attendre ainsi à l'entrée de mon appartement. L'idée initiale était d'écrire « salope » sur ma poitrine avec du chocolat acheté lors d'une de ces réunions où les filles s'équipent en sex-toys, le « a » et le « o » cernant les aréoles. Après quelques essais, je me suis aperçue que l'écriture n'était pas aisée, c'était moche et surtout pas bon (un peu éc'urant). Dommage car j'avais envie qu'il me lèche les seins avec application pour tout nettoyer !
J'ai cherché comment faire autrement et me suis rappelée un texte sorti de votre imagination où l'amant donnait à sa maîtresse des bandes adhésives à disposer à sa guise sur son corps avec ordre d'inscrire dessus des indications claires. (Lire Ma sexe party annuelle)
Ayant des planches d'étiquettes adhésives en stock, j'ai trouvé judicieux de les utiliser : Il suffisait d'imprimer mes textes à l'ordinateur pour un rendu plus net. Mesures prises, essais effectués, j'ai évidé l'intérieur du « a » de « salope » et du « o » de « soumise » afin que les tétons puissent sortir de ces lettres rondes ; chaque étiquette étant collée sur bout de sein. J'en ai ajouté quelques autres aux endroits stratégiques de mon corps pour signifier que chaque orifice était conforme aux normes en vigueur et pouvait être utilisé à la guise de l'usager puis j'ai placé des panneaux explicites tout au long de l'escalier pour accéder à l'appartement.
Je ne sais pas ce qu'il a vu en premier en entrant : Le panneau sur lequel était inscrit « Merci de nettoyer votre queue en profondeur avant de monter. Une salope est à votre disposition à cet effet » ou moi agenouillée, mains relevées derrière la tête, les yeux masqués par un bandeau assorti au porte-jarretelles rouge retenant mes bas noirs, les bouts de seins étiquetés comme je vous l'ai décrit. N'ayant pas pu voir sa réaction, j'ai simplement mesuré l'effet qu'a provoqué le tableau, lorsque sans délai, il a déposé son sexe raide sur ma langue tirée pendant que ses mains effleuraient mon visage. Le son de sa voix suave prononçant les mots que j'avais écrits agissait comme une caresse profonde. Ce n'était que le début d'un long moment de chaudes retrouvailles dont je vous épargne les détails car ce n'est pas mon propos. Je tenais à vous signifier que votre imagination faisait fructifier la mienne pour notre plus grand plaisir !
Mais notre virtuelle complicité ne s'arrête pas là. J'ai la sensation que nos histoires se croisent parfois, font écho..
J'ai beaucoup pensé à vous il y a quelques jours lorsque, de notre chambre d'hôtel, j'ai découvert la vue panoramique sur un petit port normand. Les bateaux amarrés pouvaient laisser penser qu'ils abritaient des marins au repos. Les quais accueillaient quelques promeneurs profitant de la fraîcheur du soleil couchant. De larges baies vitrées nous tendaient les bras et je savais l'idée coquine qui traverserait l'esprit de mon compagnon lorsque je me suis dirigée vers le balcon. Il faut dire que j'avais encore en tête le récit de votre initiation et ce moment torride que votre amant vous a offert avant d'aller en sex-shop. (Lire L'eveil de carole - I : Le balcon)
Il faisait chaud. J'avais mis une robe légère à bretelles s'ouvrant entièrement par devant grâce à une fermeture éclair maniable soit depuis la poitrine soit depuis l'entre jambe. Je ne portais pas d'autre sous-vêtement, que mes bas noirs retenus par un porte-jarretelles assorti. Votre expérience a été précieuse dans ma propre initiation et m'a permis de brûler quelques étapes. Dès que les collections d'été sont apparues dans les boutiques, je n'ai eu de cesse de trouver une petite robe adaptée à la vie quotidienne et pouvant devenir très vite indécente par des « ouvertures faciles ». Assez courte, je la voulais totalement accessible par devant, moulant la poitrine et évasée à partir des hanches. Cette année le style était là, mais aucune ne s'ouvrait totalement. Ma patience a néanmoins payé lors d'une balade, par hasard : Elle était là, dans une vitrine, à me tendre les bras !
Lorsque mon amant m'a appelée pour que je le rejoigne dans ce joli bord de mer, je n'ai pas hésité une seconde. Son premier regard m'a confirmé que j'avais visé juste dans mon choix. J'ai pensé à vous lorsque je me suis accoudée à la balustrade, parce que je n'ai pas été surprise qu'il vienne se coller à moi. Non seulement je n'ai pas eu de mouvement de recul, mais je l'attendais et lui ai offert mes fesses en me cambrant un peu plus dès que je l'ai senti s'approcher. Les frissons m'ont tout de suite parcourue lorsque sa main s'est glissée sous l'étoffe, écartant délicatement mes cuisses pour caresser une chatte déjà passablement humide. J'ai remarqué le grillage très ajouré sous la balustrade, qui ne cachait rien de ce qui pouvait se passer sur ce balcon pour peu qu'un passant lève les yeux. J'ai scruté les rares promeneurs : Ils étaient plus attirés par les reflets rougeoyants du couchant à l'horizon que par ce qui se passait au dessus de leur tête. Soulagée, je me suis laissée aller au plaisir de ces caresses. Très vite, mes gémissements se sont mêlés aux soupirs du couple de la chambre voisine qui faisait l'amour baies grandes ouvertes.
Mon amant s'est collé un peu plus contre moi. Son sexe dur frottait mes fesses avec insistance. J'ai révisé la cambrure de mes reins, effectuant quelques déhanchés l'incitant explicitement à poursuivre. Ses mains ont empoigné ma poitrine par-dessus l'étoffe, la malaxant voluptueusement et titillant mes mamelons déjà en érection. Doucement, tout en murmurant quelques mots doux, il a descendu la fermeture, dévoilant mes seins lourds et mon ventre jusqu'au nombril. Il est vite revenu avec ses mains gourmandes s'occuper de mes tétons tendus. Je l'ai laissé faire docilement, me redressant doucement, abandonnant ma tête en arrière contre son épaule. De grands éclairs parcouraient mon bas ventre qu'il avait délaissé. Soulevant légèrement la robe, j'ai passé une main pour tenter d'éteindre le feu qui s'allumait, la posant bien à plat pour me sentir vibrer, effectuant des petits mouvements circulaires au rythme de ses caresses. Il a lâché ma poitrine quelques instants. J'ai entendu le zip de sa braguette et senti la chaleur de sa queue passer entre mes fesses, se frotter à ma chatte pour rejoindre mes doigts. J'ai escagassé son gland à chacune de ses avancées et serré les jambes pour bien le diriger. La tête toujours en arrière, les yeux clos, je me suis laissée aller à la douceur de cette étreinte sensuelle. Je crois qu'il a profité de cet émoi pour ouvrir ma robe en entier. Je ne pouvais plus reculer. J'offrais mon corps nu à ceux qui lèveraient les yeux et seule ma main cachait encore un peu mon sexe. D'un rapide coup d'oeil, j'ai constaté que les quais étaient déserts. Il a continué à faire monter mon plaisir jusqu'à ce que je commence à gémir, puis s'est retiré quelques instants, me laissant seule à ma caresse. Ses mains ont effleuré mes épaules et descendu le long de mes bras pour attraper délicatement chaque poignet et les poser sur la rambarde :
- Ecarte les jambes et cambre-toi bien s'il te plaît !
J'ai ajusté ma position. La légère brise rafraîchissant mon sexe détrempé m'a fait prendre conscience de ma totale indécence. Depuis que je suis complètement épilée, l'image de ma fente visible au premier coup d'oeil m'excite non seulement lorsque je l'entretiens ou la regarde, mais aussi lorsque je l'imagine. J'aime être douce et impudique, invitant le quidam à venir y goûter sans équivoque. Là, sur ce balcon, nue et jambes écartées, je me savais totalement salope. Impossible de revenir en arrière et mon désir était si fort que je n'avais aucune envie d'arrêter, ni même de bouger. J'ai aperçu un couple bras dessus bras dessous arriver au bout du quai lorsque sa queue m'a pénétrée d'un coup puissant. Il est resté quelques secondes immobile au plus profond de moi et doucement a commencé ses va-et-vient déclencheurs de frissons infinis. Je me suis laissé aller toute à mon plaisir, plaçant mes coudes sur le balcon, baissant la tête pour mordre mes bras afin d'étouffer mes cris. De ses doigts, il flattait ma rose de plus en plus profondément, amplifiant mes sensations. Plus il allait et venait en moi, plus je sentais les parois de mon vagin l'enserrer et plus les frissons s'étendaient sur tout mon corps. Du cuir chevelu à la plante des pieds. Il a attrapé délicatement mes cheveux pour dégager mon visage. J'ai alors ouvert les yeux et aperçu le couple qui était arrivé juste sous notre fenêtre. La femme avait la tête en l'air et j'ai croisé son regard qu'elle a aussitôt détourné? Pour y revenir ! Son compagnon semblait préférer regarder droit devant lui? peut-être en avait-il profité avant, je ne sais pas.
- Regarde, elle m'a vue?
- Et alors, je ne pense pas qu'ils appellent la police !
Il continua à me baiser de plus belle et avant que le couple ne disparaisse me fit jouir bruyamment. La soirée ne faisait que commencer et je n'ai plus pensé à vous, chère Carole, mais je voulais vous remercier d'avoir partagé votre expérience - du balcon entre autres - avec vos mots choisis, votre délicatesse et votre émotion.
Mais au fait, que devenez-vous ?
Amitiés coquines,
Catherine.
pandoramie@laposte.net