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Proposée le 10/08/2010 par membractif
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Vous pouvez commencer par lire le chapitre I de l'histoire.
Le temps passant et l'alcool aidant, les protagonistes de l'apéritif dînatoire ne se souciaient déjà plus de moi, J'aurais presque pu sortir ma bite et me caresser que personne ne l'aurait remarqué,
Personne sauf Christiane qui continuait son jeu salace sous mes yeux, jouant comme un virtuose une partition d'un érotisme rare et violent pour le puceau que j'étais à l'époque.
Ma queue sautait comme un cabri dans mon slip à chaque fois que Christiane me présentait sa chatte comme sur un plateau,
J'étais au bord de l'apoplexie dès que ses cuisses s'ouvraient sur son jardin secret de toute évidence en jachère.
Feignant à mon tour une quinte de toux, j'en profitai pour repositionner correctement ma bite coincée et tordue dans l'étroitesse de mon slip,
Le simple fait de toucher furtivement ma queue tendue à l'extrême pour la dégager faillit me faire éjaculer tant mon excitation était au summum.
Ce qui n'échappa pas à Christiane, Elle comprit instantanément que je bandais comme un âne et en guise d'approbation elle passa sa langue sur ses lèvres charnues.
Alors que papa pouffait de rire aux blagues de Gino (blagues de routiers qui ne volaient pas très haut), Christiane se leva soudainement et interrogea maman.
"Où sont tes toilettes ma chérie ? J'ai une de ces envies de pipi moi !!!
"Au fond du couloir Christiane." lança négligemment ma mère captivée par l'histoire de Gino qui faisait trainer sa chute.
Christiane disparue après m'avoir jeté un regard complice que je ne sus interpréter sur le moment.
Était-ce une invitation à la rejoindre dans les WC ?
Et si j'avais rêvé tout ce qui venait de se passer ? Christiane avait effectivement écarté ses cuisses devant moi mais était-ce volontaire et voulait-elle vraiment me provoquer ?
Bien-sûr, j'avais vu de mes yeux vu sa culotte blanche et même son sexe poilu sous la barrière du tissu transparent, mais de là à penser que Christiane voulait me "baiser" dans les toilettes il y avait un monde !
De toute façon j'étais tellement timide et coincé à cette époque que je n'aurai pas pu bouger de mon pouf même si j'en mourrai d'envie.
D'ailleurs le retour très rapide de Christiane me conforta dans mon analyse.
Si elle voulait m'inviter à la rejoindre elle ne serait pas revenue aussi vite.
J'avais donc encore fabulé, il était tant que j'arrête de me faire des films au risque un jour de me compromettre vraiment.
Mais la suite me prouva le contraire, Christiane avait naturellement repris sa place face à moi, Elle s'enfonça un peu plus dans le canapé comme pour prendre ses aises.
Son verre à la main, elle vida d'un seul trait son contenu alcoolisé et s'assurant que personne ne prêtait attention à elle, elle écarta de nouveau ses jambes, c'est alors que je faillis défaillir...
Christiane avait enlevé sa culotte et me présentait sa chatte effectivement très poilue.
De ma position affalée sur le pouf en contre-bas, je pouvais voir le dessin de ses deux grandes lèvres cachées dans une fourrure de poils noirs de jais.
Cette jungle débordait anarchiquement sur l'intérieur de ses cuisses en remontant très haut vers le nombril.
Même si j'étais inexpérimenté, je compris très vite que Christiane était elle aussi très excitée.
De nombreuses bouclettes frisées autour de sa vulve étaient déjà ornées d'une fine rosée annonciatrice de son désir naissant.
Au comble de l'excitation, ma bite se cabra une dernière fois avant qu'un orgasme ravageur ne me fauche par suprise.
De longs jets de sperme puissants et chauds se répandirent dans le fond de mon slip.
Je sentis le liquide poisseux me souiller l'entre-jambe et je ne pus m'empêcher de grogner pour souligner ma délivrance me tordant en deux sous l'effet du plaisir qui venait de me prendre sans sommation,
"ça va mon chou ?" Me demanda ma mère soudain inquiète de me voir blanc et recroquevillé sur moi-même.
"J'sais pas, j'ai mal au ventre répondis-je en me précipitant vers la salle de bain, c'est sûrement le whisky que tu m'as servi, j'ai pas l'habitude !
"Savent plus boire les jeunes d'aujourd'hui." lança Gino avant que je quitte la pièce, moi à ton âge j'avais déjà pris une cuite !
Christiane avait repris une position des plus sérieuse et elle éclata d'un rire gras et alcoolisé,
Enfermé à double tours dans la salle de bain, je pus constater l'étendue les dégâts,
Je m'en étais mis partout, mes poils pubiens étaient collés et gluants et mon slip taché d'une énorme auréole, un vrai carnage !
Pourtant ma bite était encore légèrement tendue et dès que je me remémorai la scène que je venais de vivre, elle se gonfla à nouveau, C'était à peine croyable je bandais à nouveau.
Ah les affres de la jeunesse ! Aujourd'hui j'ai bien du mal à aligner deux belles érections à la suite.
Je ressentis presque l' envie de me masturber encore une fois mais je me raisonnai en m'obligeant à croire que la soirée avec Christiane n'était pas encore terminée.
"Garde tes force mon gars !" Me conseillai-je en sourdine.
J'avais bien compris que son rire moqueur de tout à l'heure s'adressait à moi, mais j'étais bien décidé à voir jusqu'où elle était prête à aller.
Je me nettoyai brièvement le sexe, jetai mon slip dans le panier à linge et courageux tel un petit soldat qui part au combat, je retournai dare-dare dans le salon encore plus enfumé qu'en début de soirée.
"ça va mieux ?" me demanda maman.
"M'ouais, j'me suis mouillé le visage, mais j'ai encore la tête qui tourne." déclarai-je en m'affalant de nouveau sur mon pouf comme sur un terrain conquis.
"Dommage que tu sois souffrant s'exclama Christiane en me toisant d'un air ironique, tu ne pourras pas venir avec nous au ciné !"
"Au quoi ?"
"Oui on a décidé de se faire une toîle m'expliqua ma mère, ça te dis mon chou ?"
Prochainement la suite....