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Proposée le 30/07/2010 par pattedevelours59
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Lire le chapitre II.
Max II
Une fois que je me suis rhabillé, mon attention est détournée par l'ouverture de la lourde tenture nous isolant du reste du club. L'entrée de Max est remarquée, un murmure s'élève parmi les personnes présentes. Toujours très classieux, bien que torse nu, juste vêtu du large pantalon de lin, de ses parures en or massif et de sa monstrueuse chevalière dont les diamants projettent mille éclats de feu. Ses deux nymphes l'accompagnent entièrement nues, seule une fine chaîne de platine à leur cheville, comme un symbole d'appartenance à cet homme. Leur maquillage refait, magnifiques, elles maintiennent la tenture ouverte pour laisser le passage à leur maître-amant.
Max entre et avance dans la pénombre, saluant quelques personnes à la manière d'un ambassadeur : baise-main pour les dames, poignées fermes et cordiales pour les hommes, avec pour chacun, un mot plaisant. Sans trop s'attarder, il nous rejoint, cueille la main de Florence et s'incline.
- Bonjour très chère Fleur. Je vous prie de bien vouloir me pardonner si je ne me suis pas levé pour vous saluer tantôt, mais comme vous l'avez pu constater, ces deux gourgandines (il désigne les deux créatures souriantes, lovées contre ses épaules) m'interdisaient tout moyen de remplir mes galantes obligations.
- Pas de problème Maxou; Remplir vos obligations n'est rien, l'important, étant que ça ne vous a pas empêché de remplir la bouche de vos mignonnes, rétorque du tac-au-tac, Florence la gouailleuse. :)
Max rit avec sincérité à cet esprit d'à-propos qui offre à Florence, à coup sûr, une répartie fulgurante. Puis à moi :
- Bonjour jeune homme, je suis Max, me dit-il en tendant une main parfaitement manucurée, vous devez être Vince, celui qui a si bien malmené notre Sabine. Un clin d'oeil me rassure sur la façon dont il a pris la chose.
Ses deux beautés me regardent avec une lueur gourmande; j'imagine que pour les mater celles là, il en faudrait un peu plus.
- Enchanté Max. Oui c'est bien moi, les nouvelles vont vite ici...
- Max sait toujours tout avant tout le monde, intervient Florence.
- Je sais aussi que ce jeune homme est venu accompagné d'une bien jolie pouliche... poursuit Max.
- Aaah voilà pourquoi vous êtes ici ;) , déclare Florence, puis à moi : Max est toujours à la recherche de nouvelles partenaires assez larges pour l'accepter. Faut le comprendre, elles sont si rares, le pauvre. Les deux beautés que tu vois là, malgré leur tout petit cul, sont parmi les rares élues... D'ailleurs, il faudra un jour que nous réessayons Maxou, j'aimerais tellement réussir...
- Quand vous voulez ma douce Fleur, mais je ne me fais pas trop d'illusions, votre délicieux minou est si serré. Cela doit être un régal pour la plupart des hommes et croyez que ne pas pouvoir y goûter, est pour moi un véritable supplice.
- Pauvre Maxou, dit Florence désolée, en lui caressant l'énorme chibre qui pend au repos, sous son pantalon, flattant cette trompe en guise de consolation. Mais si j'échoue à nouveau, promettez-moi néanmoins de vous libérer encore une fois en moi, c'était si bon...
- J'en serais ravi très chère.
Ce souvenir doit vraiment le séduire car il nous est impossible d'ignorer que le monstre qui sommeillait sous son pantalon, commence à se réveiller.
- Mais pour l'heure, si Vince est d'accord, j'aimerais présenter mes hommages à sa Dame.
Intérieurement, je traduis cela par "J'aimerais savoir si tu me laisserais défoncer la jolie chatte de Juliette." Mais le personnage me plaît et après tout, ça n'est pas à moi de décider.
- Eh bien, je crois que c'est à elle qu'il faut demander...
- Oui dit Florence, si elle a une chance de réussir, je crois que c'est maintenant, elle est si excitée et si bien ouverte...
Juliette en effet, a récupéré et semble en redemander. Une nouvelle queue dans la bouche, alors qu'elle garde les jambes bien écartées, facilitant le travail de l'homme qui l'avait souillée précédemment et qui à présent, lui passe une lingette délicatement, sur toute la zone arrosée. Alors qu'il s'apprête à la lécher, nous approchons.
L'exploit
- Bonjour mes amis.
- Bonjour Max, répondent les hommes en c'ur.
À ce prénom, Juliette relève la tête, abandonnant la queue qu'elle avait en bouche. L'homme s'écarte cédant sa place respectueusement. Aussitôt, par association d'idées (Max... Mon Dieu ! le tunnel sous la Manche !), mais aussi car la chose se remarque forcément, le regard de Juliette se porte sur l'entrejambe de Max. Ses yeux s'écarquillent et ses cuisses se referment dans un réflexe. Son regard affolé me cherche et me trouve, ce qui ne la rassure qu'à peine.
- Voici Max, dis-je, il te trouve vraiment charmante et aimerait faire ta connaissance. Je pense que tu pourrais trouver ça... intéressant...
- Tu es sûr ? Me demande-t-elle pas vraiment convaincue.
- Ne t'en fais pas, il ne forcera pas si tu as mal, la rassure Florence, il est très doux, c'est un vrai gentleman.
Max s'approche de Juliette, ses deux nymphes restent collées à lui juste derrière son dos, leurs fins doigts caressent sa nuque. Je m'écarte juste un peu vers la droite. La fille qui est la plus proche de moi, la noire, en profite pour glisser une main dans mon pantalon et commence à me peloter les fesses, tandis que Max sort son gros chibre, afin de le présenter à ma maîtresse. Bien que rien ne trahit l'excitation de l'homme dans son comportement, son serpent lui, est dur et énorme à l'idée de trouver peut-être une nouvelle grotte qui pourrait l'accueillir.
- Mes hommages Mademoiselle Juju.
- Bonjour répond-t-elle timidement, impressionnée par l'engin qui avance vers elle. Juliette hésite, elle me regarde encore une fois, je lui souris et lui caresse les hanches en signe de soutien. Alors seulement, elle ose approcher la Chose. Elle pose d'abord une main prudente dessus, la tâtant du bout des doigts comme pour s'assurer qu'il s'agit bien d'une vraie. Peu à peu, elle s'enhardit et essaie de la prendre à pleine main, mais comme une seule ne suffit pas à en faire le tour, la deuxième vient en renfort. Elle tient à présent la queue de Max un peu comme un sandwich, taillé dans une demie-baguette de pain surgonflé et, lorsqu'elle approche sa bouche, l'analogie est encore plus frappante. Comme elle l'a fait avec les mains, elle commence du bout de la langue, à petits coups prudents, à lécher le gros gland surgonflé. Elle titille le petit trou au bout, glisses sa langue le long des bords saillants du gros casque violacé, levant les yeux pour constater l'effet produit sur Max; celui-ci semble apprécier. Puis, gagnée par l'excitation que lui procure cette masse épaisse entre ses doigts si fins, elle se fait plus gourmande et c'est bientôt à grands coups de langue qu'elle le lèche. Parfois ses lèvres pulpeuses s'écrasent dessus en baiser goulu et bien baveux. Mise en appétit, elle tente alors de le sucer pour de bon et pour cela, ouvre grand sa bouche, mais pas assez pour espérer l'avaler. Elle émet un petit rire gêné et coquin en nous regardant.
- oh là-là ! :)
Puis, reprenant son sérieux, elle ouvre cette fois sa bouche au maximum, blanchissant ses lèvres. Le gland de Max s'enfonce enfin, Juliette est surprise par l'encombrement de cette queue: sa langue ne peut que rester collée par dessous pour lui prodiguer quelques papouilles appuyées. Elle persévère, son souffle à travers ses narines, se fait sonore sous l'effort et petit à petit, un tiers de la grosse queue disparaît en elle. Elle marque un arrêt, reprenant son souffle comme elle peut et reste ainsi immobile. On croirait un énorme pieu fiché entre ses mâchoires lui interdisant tout mouvement. Pour autant, après une longue pause, Juliette, courageuse, reprend sa progression le long de la Chose. Le fait est que si elle continue, elle ne pourra bientôt plus respirer et lorsqu'une vingtaine de centimètres a disparue, autour du couple, malgré l'assistance augmentée des autres spectateurs qui se sont rapprochés pour assister à la scène, règne un silence religieux. Chacun a conscience du danger que Juliette encourt si ce gros serpent restait bloqué là où il est. Chacun observe la scène et, tout comme Juliette, chacun retient son souffle. Seuls les borborygmes du fond de sa gorge percent ce silence.
La main de la noire nymphe s'est arrêté de me caresser, elle reste figée, légèrement crispée sur mes fesses. La tension est palpable. Juliette est en sueur, dans un ultime effort, elle secoue la tête comme pour dire non, afin de procurer du fond de sa gorge, une caresse à ce gland énorme et gonflé de sang. Mais Max est trop impressionné par l'exploit et trop anxieux du danger qu'il fait courir à cette femme pour vraiment apprécier. Enfin Juliette, toute réserve d'oxygène épuisée, fait machine arrière, heureusement sans encombre : le bruit de l'air entrant violemment par ses narines nous rassure enfin. Lorsqu'elle a retrouvé un peu d'oxygène, elle se permet même quelques vas-et-vient avant de libérer le braquemart de Max, qui ressort plein de salive. L'exploit de Juliette, essoufflée, la mâchoire endolorie, est salué par nos applaudissements. Encouragée, elle entreprend de sa langue bien étalée, de nettoyer la bave épaisse qu'elle a déposée sur ce gros chibre, le léchant de bas en haut comme elle le ferait avec une énorme glace. Maintenant qu'elle a dompté la bête, son angoisse l'a quittée, elle est de plus en plus excitée par cette force de la nature. Elle exprime son plaisir gourmand par des "mmmrhâhhh" à chaque fois que sa langue arrive au bout du gland, avant de repartir de tout en bas.
Depuis qu'elle sait Juliette indemne, ma nymphe a repris ses caresses. A présent sa main glisse entre mes fesses, descend jusqu'à mes testicules, les effleure et remonte, caressant mon anus de son index. Je me tourne vers cette superbe panthère que je pense d'origine sénégalaise d'après les traits fins de son visage. Son regard est profond et intense.
- Comment t'appelles-tu ?
- Lamine.
- Enchanté Lamine. Et ta copine ?
- C'est Natty.
Elle me sourit. En plongeant mon regard dans ses yeux noirs pleins de feu, bêtement, je ne peux m'empêcher de penser au jeu de mot facile "mmmh, viens par ici que je te lamine".
Ma main droite occupée dans l'entrejambe de Juliette qui mouille abondamment, c'est de la gauche que je pars explorer le petit cul de Lamine.
Ses fesses sont musclées mais tendres et douces. Mes caresses épousent les courbes de son petit cul rebondi et, avec de larges cercles, j'en explore toute la surface. Sa cambrure est magnifique et, partant du creux de ses reins, je passe entre sa raie et glisse la première phalange de mon majeur dans sa fente. Mon index et mon annulaire, effleurent son abricot, il est tout lisse, elle aussi est parfaitement épilée, sa peau est soyeuse. Mon doigt s'insinue entre ses lèvres, je sens une douce mouille fileuse l'enrober. Je l'enfonce un peu plus et à ma grande surprise, je découvre un petit vagin bien serré. Comment est-ce possible qu'une petite chatte si étroite puisse avaler le bâton, la branche même, contre laquelle Juliette, de plus en plus excitée, les yeux clos, frotte tantôt sa langue, tantôt ses joues, comme une chatte le ferait sur la jambe de son maître. Lamine commence à onduler et à bouger doucement le bassin d'avant en arrière avalant mon doigt, m'invitant à l'y enfoncer davantage.
- Chère Juju, vous êtes divine déclare Max flatteur, pensez-vous que votre joli minou pourrait poursuivre ces tendres caresses ?
- Je veux bien essayer, répond Juliette que mes doigts attisent.
Max ne se fait pas prier et, alors que nous nous écartons pour le laisser contourner la table, accompagné de Natty sa nymphe diaphane, Lamine elle, reste à mes côtés. Lorsque Max arrive entre les jambes de Juliette, l'assistance se resserre et joue un peu des coudes pour avoir la meilleure place, la meilleure vue sur l'évènement. A ce moment, profitant de la cohue, Lamine se glisse entre la table et moi, appuyant son joli cul contre mon bas-ventre. Par dessus ses épaules, je peux néanmoins voir le visage de ma Juju ainsi que sa chatte offerte et trempée. De ses mains, elle se caresse et maintient ses lèvres grandes ouvertes. Elle se tient prête. Ses pensées sont confuses, entre excitation et appréhension, de drôles d'associations d'idées se précipitent. Elle pense à ses deux accouchements : après tout, le diamètre de ce gland est impressionnant mais reste inférieur à celui d'une tête de bébé non ? Oui, mais la Nature avait préparé mon corps pendant neuf longs mois. Oui, mais si d'autres femmes peuvent le faire peut-être le puis-je aussi... Oh ça y est, il approche ! mon Dieu !
Elle en est là de ces considérations lorsque le gland de Max entre en contact avec sa chatte toute baveuse. Comme tout à l'heure, ses cuisses se referment dans un mouvement réflexe. Cependant, elle se domine et les rouvre aussitôt. Max ne bouge pas, seul le bout de son gland est entouré des grandes lèvres de Juliette. Il se contente de la caresser doucement. Ses mains expertes parcourent le corps fiévreux qui s'offre à lui. Bientôt, Juliette semble se détendre. Natty dans le dos de Max, passe ses bras autour de lui et des deux mains, se saisit du braquemart; elle le frotte sensuellement contre la chatte de Juliette, recueillant la mouille qui s'en échappe pour en napper l'énorme gland. Max lui, participe à cette action en s'éloignant ou s'approchant très légèrement. Juliette commence à jouir, son bassin roule, étalant ses fesses bien pleines sous elle. Peu à peu, son vagin s'ouvre et tout à coup, je réalise que le gland de cette terrible queue a disparu, enfoui dans la chatte de Juliette. Les mains de Max continuent de lui prodiguer de savantes caresses. Petit à petit, la queue s'enfonce toujours plus loin dans Juliette et s'arrête lorsque celle-ci montre le plus petit signe de contraction.
Lamine très excitée se frotte de plus en plus à moi. De ses mains, elle écarte ses fesses plaquées contre mon pantalon et les resserre sur ma queue; je peux sentir la chaleur de son petit trou à travers la fine étoffe de lin. Puis, elle passe une main entre nous et, abaissant le devant de mon pantalon, attrape ma queue dressée. Elle pousse alors vers le bas pour en amener le bout devant sa jolie moule. Elle se cambre très fort et, me guidant, m'enfonce en elle sans aucune difficulté. Elle commence alors à balancer doucement les hanches, ma queue est si raide, que je sens mon gland frotter contre les parois du vagin, alternant la droite, puis la gauche, déformant ses fines lèvres élastiques. Le rose tendre de leur chair contraste avec sa peau foncée. Je regarde danser ce petit cul, il est parfait. Je l'attrape à pleines mains et le pétris avec gourmandise. Déséquilibrée Lamine plaque ses mains sur la table et notre levrette devient plus ardente. Lorsque mes yeux reviennent à Juliette, je la trouve les yeux clos, à présent Max la pénètre entièrement, sans violence par de longues allers-retours réguliers. C'est impressionnant de voir un tel engin s'enfouir dans la chatte de ma maîtresse, complètement écartelée, très excitant aussi. Juliette n'écarte plus ses lèvres, cela ne servirait à rien; elle repose à présent sur ses coudes les avants-bras posés sur le skaï de la table et s'arc-boute pour faciliter le mouvement de piston du gros chibre qu'elle a dans le con. Elle pousse de petits cris de jouissance. Lorsque la queue de Max se retire, celui-ci fait attention à ne pas la sortir complètement. Les rares fois où, emporté par sa fougue, cela se produit, lorsqu'il la replonge, celle-ci entraîne un peu d'air dans le trou béant et plein de mouille de Juliette. La pression qui en résulte est telle, et le vagin de Juliette si serré autour du piston, que de la cyprine s'échappe, gicle et éclabousse la table et le pubis de Max, en produisant de petits "tchuiip" très aigus.
Lamine, s'agite de plus en plus autour de mon membre. Elle aussi mouille abondamment, mais comme je ne suis pas monté comme Max, la mouille qui s'échappe d'elle, s'écoule normalement et glisse le long de ma queue, jusque sous mes testicules.
Je remarque que d'autres couples excités par la scène nous ont suivis. Parmi eux, sur notre gauche, Damien et Florence, elle aussi penchée sur la table, la nuisette relevée, découvrant son vaste séant. Son homme est planté dans son anus et l'astique furieusement. Ses belles grosses fesses semblent sucer la queue de Damien. Un autre homme en face de nous, baise sa partenaire; celle-ci, est accoudée à la table, je vois ses gros seins ballotter sous mes yeux, leurs tétons durcis frôlant le skaï dans leurs mouvements. Encore une fois, je sens monter la sève en moi, je me penche à l'oreille de Lamine.
- Je vais venir ma belle.
- Oh oui vas-y, dit-elle en redoublant la cadence de ses mouvements de bassin et en s'écrasant bien contre moi.
Mon jus sort une nouvelle fois de moi et vient tapisser les parois du vagin de Lamine, m'arrachant un grognement de satisfaction.
Ma belle et noire panthère continue à me branler de son bassin mobile, récoltant jusqu'à la dernière goutte de ma semence dans sa chatte chaude et douce. Je reste enfoncé en elle, savourant l'instant. Natty qui a suivi notre ébat et qui n'a plus trop d'utilité auprès de Max, s'approche alors de nous. Elle se glisse, accroupie entre nos jambes et commence à lécher la chatte de Lamine, dégoulinante de nos deux jus. Sa langue nous lape, se faufile entre les grandes lèvres de Lamine et ma queue toujours en elle. Parfois elle descend bien large sur mes glandes, recueillant la mouille de Lamine qui avait coulé jusque là. Ces caresses prolongent mon érection. Elle se saisit alors de mon membre et de sa main qui me pousse, me fait comprendre qu'elle souhaite que je sorte de sa complice. Alors que je m'exécute, une coulée de jus s'échappe du vagin bien ouvert de Lamine; Natty l'avait prévu et sa bouche est là, juste en dessous pour recueillir le chaud liquide. Je me recule pour observer la scène. Cette jolie salope se régale. Elle tire une longue langue et boit à cette source, comme qui étancherait sa soif sous une fontaine, faisant volontairement déborder le liquide de sa bouche, bien qu'en avalant aussi. Lorsque la source s'est enfin tarie, elle se lèche les babines avant de coller sa bouche sur la vulve encore suintante de Lamine, la suce très fort ou y plonge la langue. Son excitation grandit. Puis, elle revient à mon gourdin encore un peu gonflé, referme sa bouche autour et le serre très fort entre ses lèvres pour en récolter toute trace d'humeur. Elle me guide ensuite jusqu'au bord de la chatte de Lamine, m'incitant à m'y replonger et me ressort aussitôt pour à nouveau me nettoyer fiévreusement. et ne s'arrête que lorsque le goût de sa propre salive, commence à dominer celui de ma semence, mélangée au miel de Lamine. Alors elle reste là, un peu haletante, savourant l'arrière goût qui va s'atténuant dans sa bouche. Son excitation est encore très forte, cette belle avaleuse de foutre en redemande. Alors, lui revient le souvenir de son amant, toujours occupé à besogner dans le trou de Juliette, que son braquemart infernal, élargit à chaque voyage. Sans perdre une seconde, Natty retourne auprès de Max et s'attache à le stimuler. Elle s'agenouille derrière lui et lui masse doucement les couilles et le gros canal juste après elles. Elle plaque aussi son visage contre ses fesses, sa langue agile s'y glisse. L'effet escompté ne se fait pas attendre, Max sentant qu'il ne tardera plus à cracher, accélère ses coups de reins; Sa queue s'enfonce maintenant sans problème dans le vagin écartelé de Juliette. Ma belle maîtresse, depuis longtemps ne touche plus terre. Elle est au delà de l'extase, plusieurs orgasmes l'ont déjà parcourue. Son corps à présent est complètement abandonné, presque inerte, il évoque une poupée désarticulée sous les assauts répétés de Max. Seules ses cuisses qu'elle maintient levées, témoignent de sa participation. Sa bouche est entrouverte, son regard est vague, mais ses yeux s'écarquillent à chaque fois que le gros gland bute tout au fond de son vagin. Les grandes inspirations qu'elle prend gonfle sa belle poitrine et son ventre. Malgré le trouble et le plaisir qui la submergent, elle sent que Max est sur le point de jouir. Elle redresse alors la tête pour lire sa délivrance sur les traits de cet amant fabuleux et savourer le moment où son énorme engin va décharger en elle.
Max commence à grogner. Il tient Juliette fermement en haut de ses cuisses et enfonce sa poutre de plus en plus durement dans ce profond vagin qui l'a si bien accueilli. Juliette ne peut retenir ses cris.
Vous ai-je déjà décrit comment jouit Juliette ? Elle pousse des cris qui sonnent comme des plaintes, plutôt graves, mais qui, juste avant de s'éteindre, finissent dans les aigus. Moi j'adore :)
- Aaaaa-a ! Aaaaa-a ! Ouiiiii-i !
Soudain, Max se crispe il sent sa sève épaisse quitter ses couilles (que Natty continue à masser avec précaution). Ses trois derniers allers-retours se font au ralenti, Max les accompagne d'un grondement grave. Puis c'est la délivrance. Un premier long jet, inonde Juliette, qui pousse un cri où se mêlent surprise et délectation, bientôt suivi par un autre plus rauque, lorsqu'une nouvelle vague de foutre la submerge, augmentant encore la pression sur les parois de son vagin. Au troisième jet, son orgasme est si puissant qu'elle en perd le contrôle de son corps. Son bassin est pris de violents soubresauts, avec pour conséquence d'enfoncer encore un peu plus la queue qui décharge en elle. Le trop plein de sperme s'échappe alors de sa chatte en flots, au rythme des mouvements désordonnés. Max n'en finit pas d'éjaculer. A chaque contraction, un nouveau paquet de foutre envahit Juliette et en pousse davantage hors d'elle. Natty qui a tout suivi, s'est jetée sur la chatte de Juliette et comme elle l'avait fait avec Lamine, elle se colle à l'endroit où les deux amants sont unis, pour engloutir tout le jus qui arrive par vagues. Celui-ci s'écoule sur sa langue, jusqu'à sa bouche grande ouverte. Parfois, elle l'avale, parfois, elle attend que sa bouche soit pleine pour la refermer, laissant volontairement déborder le liquide. Le fluide collant, s'écoule le long de son menton, filant ou tombant par paquet ou, suivant son cou, dégouline lentement jusqu'à ses jolis petits seins bien fermes. Là, sa main attend pour l'étaler sensuellement. Quelques coulées lui échappent et glissent jusqu'à son entrejambe. Alors, de son autre main, elle pétrit sa vulve vite baignée du foutre qui a coulé jusque là. Bientôt gagnée par l'orgasme, alors que son corps convulse, elle plaque son visage contre les fesses de Juliette, mordant bouche grande ouverte dans les chairs tendres. Max se retire. Son énorme chibre glisse lentement entre les lèvres distendues de Juju, contre la bouche de Natty et après quelques allées et venues, abandonne définitivement les deux femmes. L'image d'un gros serpent est encore plus forte à présent qu'il ressort, un peu amolli et bien luisant. Du jus continue de s'échapper du vagin rempli de foutre, qui souille maintenant les cheveux, les tempes, et coule sur la joue ou sur les épaules de Natty. Celle-ci tourne parfois la tête mollement pour s'en repaître encore à grands coups de langue, ou pour l'étaler sur tout son visage, en frottant chaque partie, sur la vulve collante de Juliette qui, toujours prise de contractions, dépose là, les dernières gouttes de nectar.
Peu à peu, Juliette s'apaise, imitée par Natty qui reste là, couverte de sperme, contre les cuisses de ma belle maîtresse.
Je reviens alors aux autres couples autour de la table. La femme en face de moi est toujours sous les assauts de son partenaire, un de ses gros seins repose à présent sur la table, le haut de son buste et son visage tournés vers la queue d'un autre homme qui était à ses côtés et se branle maintenant devant elle. Son amant décharge en premier en elle, il accompagne son orgasme de grands coups de reins faisant tressaillir les grosses mamelles comme deux blocs de gelée. Florence et Damien atteignent l'orgasme presque au même moment que l'homme qui se branlait devant la femme aux gros seins (arrosant ceux-ci copieusement). Damien lui, juste avant de venir, se retire du petit trou qu'il fouille; sentant cela, Florence glisse ses mains derrière elle et écarte ses fesses suffisamment pour dégager la vue sur sa douce rondelle. D'où je suis, je peux la voir palpiter en écho aux assauts qu'elle vient de subir. Damien serre très fort sa queue juste après le gland, entre son index et son pouce, afin de contenir son orgasme. Il enfonce alors juste l'extrémité de sa queue dans l'anus de Florence, puis la ressort et la pince à nouveau pour en retarder l'explosion et mieux la savourer. Il renouvelle le mouvement plusieurs fois jusqu'à ce que la pression devienne trop forte. Alors, enfonçant juste le gland à travers l'anneau de Florence, il la prévient
- Oh ma chérie, je viens !
Il ouvre enfin les vannes et laisse échapper un cri de délivrance.
- Aaahhh !
Par les secousses qui animent le couple, j'imagine que les jets de foutre sont très puissants dans le cul de Florence. Les soubresauts qui la parcourent témoignent du plaisir qui la submerge lorsqu'elle sent grossir le gland de son homme, à chaque décharge qui s'en échappe. Ses belles grosses fesses saisies de contractions avalent la queue de Damien.
Lorsque que Max en a eu fini avec Juliette, il a juste déposé un bisou au bout de sa main et le lui a envoyé par les airs. Aussitôt, Lamine l'a rejoint, après m'avoir embrassé de ses belles lèvres gourmandes, dessinées pour l'amour. Natty à son tour s'est relevée, a épongé d'une serviette, les traces de la douche de foutre qu'elle a reçu et sous laquelle elle a joui, puis a rejoint son pygmalion et son alter-ego.
Florence, est toujours en appui sur la table, le cul toujours bien exposé, débordant généreusement de sa nuisette. Le sperme de Damien à présent, quitte son corps et coule doucement à l'intérieur de ses cuisses. Son visage est au dessus de celui de Juliette. Leurs langue se mélangent doucement. Juliette suce de temps en temps celle de Florence, comme elle aime le faire. Alors que Max était encore au fond de son vagin, plusieurs hommes parmi ceux qui s'occupaient déjà d'elle auparavant et d'autres qui s'étaient approchés de la table, ont déchargé le fruit de leur plaisir sur son corps et dans sa bouche. Même après que Max se fût retiré de sa chatte, d'autres sont venus sur son visage et sur ses seins. Florence récolte ces dernières coulées de foutre et partage avec Juliette cette semence encore fraîche. Celle-ci mousse sous l'action de leurs petites langues gourmandes et mobiles qui, se mêlant, forment de petites bulles, accompagnés de clapotis humides.
Peu à peu, le silence retombe dans la salle. Le temps semble s'être arrêté. Quelques couples se sont retirés, félicitant Juliette au passage. Max et ses superbes chiennes aussi sont partis. Avant de quitter la salle, il s'était arrêté près de moi pour me remercier et me féliciter pour ma partenaire.
- Merci jeune Vince, de m'avoir laisser goûter à cette merveilleuse Juju. Les occasions pour moi, vous le savez, sont très rares, de rencontrer une partenaire qui puisse si complètement m'accueillir. J'ajoute que le courage dont a fait preuve Juju, l'honore et la place au plus haut dans mon estime.
- Le plaisir est partagé Max, d'autant que cela m'a permis de goûter moi aussi, à votre délicieuse Lamine.... En tous cas, j'ai rarement vu amant plus performant que vous et, ce don de la nature dont vous jouissez, ne fait pas tout j'en suis sûr.
- Merci jeune homme.
Puis, désignant Florence et Juliette :
- Je ne vais pas déranger ces deux naïades inutilement; saluez-les pour moi car à présent je dois partir. J'espère avoir le plaisir de vous revoir ici très bientôt. A cette occasion, je demanderai à Natty de s'occuper personnellement de vous, vous n'aurez pas à le regretter. Au revoir très cher.
Nous nous serrons la main. Il salue Damien avec une oeillade complice indiquant le cul souillé de Florence, puis sort de la salle comme il y était entré : digne et merveilleusement accompagné.