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Proposée le 16/07/2010 par pattedevelours59
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Voilà bientôt six mois que je vis une relation illégitime avec ma maîtresse. Elle n'avait connue qu'une vie assez rangée jusque là, malgré une aptitude naturelle aux câlins les plus chauds et un corps taillé pour l'amour. Je me suis fait une joie de lui faire découvrir certains plaisirs qu'elle ne connaissait pas encore. Je vais à présent vous raconter comment nous en sommes venus à essayer les joies du libertinage et de l'échangisme.
Tout a commencé par un simple mail de Juliette. Nous avons en effet créé chacun une messagerie, rien que pour nous deux. Elle me prévient que son mari s'absentera la semaine prochaine pour un séminaire sur Limoges. Elle aimerait passer la soirée avec moi vendredi soir. Les filles seront chez mes parents, ajoute-t-elle.
Aussitôt, j'appelle Eric, un bon ami, toujours prêt à me servir d'alibi. Une fois cela réglé, je réponds à Juliette pour lui confirmer que nous aurons notre petite soirée rien que pour nous. Je décide alors de lui faire part d'une idée qui me trotte dans la tête depuis un moment.
Que dirais-tu ma Juju si je t'emmenais dans une boîte un peu coquine ?
Aimerais-tu tenter l'expérience ?
Réponds-moi via notre messagerie instantanée.
Bisou brûlant :)
Trois minutes plus tard, une icône s'agite sur le bureau de mon ordinateur, c'est Juliette qui s'est connectée. Comme à chaque fois, je ressens cette délicieuse sensation de vertige.
Les mots abrégés s'enchaînent et notre conversation démarre; je la retransmets ici en bon français
- Bonjour mon coquin ;)
- Bonjour ma coquine :)
- Je suis contente que tu puisses venir vendredi, je suis déjà toute excitée à l'idée de te voir. Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire de boîte de nuit coquine ?
- Tu ne sais pas ce que c'est ??
- Si, je suis pas naïve, mais j'ai jamais essayé.
- Tu aimerais ?
- Je sais pas, suis pas sure...
- Pourquoi ? Tu as peur ?
- Un peu, ça doit être plein de pervers ces endroits là...
Les clichés ont la peau dure. Comme la plupart des non-initiés, Juliette pense que les personnes qui fréquentent ces lieux sont d'infâmes obsédés sexuels, dépravés, la bave aux lèvres, prêts à sauter sur tout ce qui bouge.
- C'est ce que disent souvent ceux qui n'y ont jamais mis les pieds. J'ai un peu cherché dans les forums, il y en a de très corrects et sélectifs. Il y en a un qui a retenu mon attention, avec même une partie uniquement dancing, si on ne veut pas aller plus loin. Mais si tu ne le sens pas, je veux pas te forcer. Je pensais que ça pouvait être excitant comme expérience...
- Mais c'est quoi ? des partouzes ? On doit le faire avec tout le monde ?
- Mais non! lol ! C'est chacun comme il le souhaite : à deux à trois ou à dix, rien n'est imposé, on m'a assuré que le respect est très important, voir essentiel là dedans.
- Si tu me dis que ça ne craint pas, je te fais confiance.
- Tu es d'accord alors ?
- Oui petit coquin ;) Je te promets pas d'être très à l'aise, mais je veux bien essayer; avec toi près de moi je n'aurai pas peur.
Nous continuons notre chat et nous quittons comme toujours, sur des mots doux et des promesses brûlantes.
Le Chat Bleu
Le temps m'a paru bien long jusqu'à ce vendredi soir. Pour plus de discrétion, nous avons convenu d'un rendez-vous sur le parking d'un magasin, situé sur l'itinéraire qui doit nous mener au Chat Bleu, le fameux club. Je me gare le c'ur battant. Peu après, la voiture de Juliette pénètre sur le parking et vient se ranger près de la mienne. Nous sortons tous les deux de nos véhicules, mon excitation est telle que j'en suis fébrile. Cependant, l'apparition de ma délicieuse maîtresse m'apaise aussitôt. Elle porte une petite robe blanche très légère et très courte, ses cuisses puissantes sont bien visibles. Je la trouve de plus en plus belle : elle rayonne.
- Bonjour ma Juju :)
- Bonjour toi :)
Sans un mot de plus, nous nous jetons l'un vers l'autre et nous nous embrassons avec passion. Les occasions où nous ne sommes qu'à deux sont trop rares pour que s'installe la moindre lassitude et c'est avec une gourmandise à chaque fois renouvelée que nos langues se retrouvent.
- Mmmmh tu m'as manqué...
- Toi aussi ma belle. C'était un peu dur la dernière fois chez toi, avec tout ce monde autour de nous... On s'est bien amusé, on a bien mangé, mais j'avais tellement envie de toi...
- Moi aussi, j'ai failli t'emmener dans le cellier !!!
Nous continuons à nous embrasser avec fougue et tendresse à la fois.
Nous repartons ensemble dans ma voiture.
- Que caches-tu sous ta petite robe ?
Juliette relève le bas de sa robe et découvre sa minuscule culotte, un petit triangle de dentelles qui ne cache presque rien de sa jolie toison dorée.
- Mmmmh, je vais encore me régaler...
Provocante, elle garde sa robe retroussée durant tout le reste du trajet, écartant parfois les cuisses, les caressant sensuellement. J'ai bien du mal à me concentrer sur la route !
Nous arrivons enfin à destination. L'endroit est classieux. Passé la haute et lourde grille de fer forgé du mur d'enceinte, nous avançons sur une allée bordée de cyprès, aboutissant à la cour d'une grande bâtisse cossue, entre manoir et villa. Le crissement feutré des cailloux blancs sous les pneus de notre auto, renforce cette impression de luxe et la quinzaine de véhicules garés sur le parking, suppose une clientèle plutôt aisée.
- Ça va aller ma Juju ?
- Oui, maintenant je suis curieuse de voir ça. ;)
Nous sommes tous deux très excités par cette aventure. Je l'embrasse profondément et lorsque je glisse une main sous sa robe, je peux déjà sentir une atmosphère humide aux abords de sa toute petite culotte
- Mmmh ma belle Fontaine...
Nous pénétrons dans le club. Un guichet occupe le sas d'entrée. Derrière lui, une femme d'âge mûr, classy, avec un charme indéniable, nous accueille. Je remarque que son regard nous détaille derrière le sourire commercial qu'elle nous tend. Cela ne dure qu'un court instant et aussitôt, ses jolies lèvres dessinent un vrai sourire cette fois. Apparemment, nous ne ferons pas tâche parmi la clientèle. Elle doit faire office de physionomiste, ce qui est beaucoup plus agréable que de tomber nez-à-nez avec un gorille patibulaire. D'ailleurs c'est un peu étonnant de n'en trouver aucun dans les parages. Peut-être cette grosse berline allemande aux vitres fumées garée près de l'entrée, n'est pas aussi vide qu'elle y parait; peut-être fait-elle office de poste de garde ?
- Bonsoir. :) nous lance la femme
- Bonsoir.
- Je pense que c'est la première fois que je vous vois ici et je suis très heureuse de vous accueillir. Je m'appelle Sonia.
- Enchanté, je vous présente Béa, moi c'est Vince.
Je ne sais pas pourquoi, mais l'emploi de ces pseudos m'est venu spontanément, peut-être le fait d'incarner un personnage, nous aidera à surmonter notre trouble. Juliette me regarde un peu étonnée mais aussitôt complice, semble ravie de cette idée.
- Et, oui en effet, c'est une première pour nous...
- Je suppose que vous savez qu'il s'agit d'un club libertin ?
- Bien-sûr.
- Parfait, je préfère demander quand même ! Je suis sûre que vous allez bien vous amuser. Réglons vite les formalités et ensuite, place au plaisir. :) L'entrée pour les couples est de soixante-neuf euros par personne. Avec ceci, vous disposez d'un accès dans toutes les salles de notre établissement, y compris les douches, ainsi que de toute notre attention, plus deux consommations chacun.
- Très bien.
Je souris intérieurement au côté évocateur du prix et salue la trouvaille, car c'est aussi un prix psychologique (69 n'est pas 70). Bien qu'un peu élevé pour mon budget bagatelles, cela semble un prix honnête au vu des prestations proposées. J'espère seulement que ça n'est pas un attrape-gogos... Je paye.
- Merci. :) Comme vous êtes nouveaux, je vais appeler une hôtesse afin qu'elle vous guide un peu dans vos premiers pas.
Elle appuie sur un bouton et à peine une minute plus tard, une magnifique brune en body blanc très sexy apparaît; elle porte des gants blancs eux aussi, comme seul uniforme.
Ma confiance dans le sérieux de l'établissement monte de quelques crans. ;)
- bonsoir je suis Maëva.
- Bonsoir.
- Bonsoir.
- Je te présente Béa et Vince. C'est une première. Veux-tu les accompagner un peu s'il te plait ? ;)
- Bien sûr, avec plaisir, enchantée, suivez-moi je vous prie.
Cet ordre, donné de si élégante manière et la déférence avec laquelle nous sommes traités, achève de nous mettre totalement en confiance. Nous suivons cette magnifique créature.
- Bonne soirée nous souhaite Sonia. :)
- Merci. :)
- Merci. :)
Derrière la lourde tenture d'un velours bleu roi, un petit corridor. Deux mètres plus loin, un nouveau guichet, celui du vestiaire du bar. Nous nous débarrassons de nos vestes, que nous remettons à une autre femme (Cindy), très jolie et tout aussi dénudée, portant gants blancs.
Jusque là, la cohésion et le casting du personnel sont parfaits.
Maëva prend la parole :
- Le bracelet que vous a remis Cyndy vous servira si vous devez utiliser un vestiaire. Il émet une fréquence qui ouvrira le casier correspondant à ce numéro si vous l'en approchez. Il servira aussi si vous prenez des consommations supplémentaires.
- D'accord.
Elle poursuit :
- D'abord, il y a le bar. Ici on peut danser, boire un verre s'amuser, mais sans aller trop loin encore; certains nouveaux clients n'osent pas franchir le pas et il s'agit de ne pas trop les choquer. Les maîtres mots sont respect et convivialité. Nous sommes très sélectif sur notre clientèle, pour ceux qui ne joue pas le jeu, il n'y a qu'un seul avertissement avant d'être définitivement banni du club. Aussi, vous pouvez être sûrs que personne ne vous importunera ici. :)
Nous saluons Cindy et poursuivons, toujours derrière Maëva.
Une nouvelle tenture et nous entrons dans le disco-bar.
Le bar
L'endroit est plutôt bien rempli. La déco est soignée, loin de l'image baroque et rococo que l'on pourrait se faire de ce genre d'endroit. Je craignais qu'en tant que nouvelles têtes, tous les regards se soient portés sur nous, avides et curieux; or, à mon grand soulagement, il n'en est rien. S'ils nous remarquent, les personnes présentes n'en laissent rien paraître et chacun participe à cette soirée avec convivialité, comme dans n'importe quelle autre boîte de nuit. Maëva nous amène jusqu'au comptoir où, après les présentations, elle nous confie à la barmaid, une blonde pulpeuse, un peu trop sophistiquée à mon goût mais néanmoins très jolie. Elle porte le même body blanc mais, pour des questions pratiques évidentes, pas de gants blancs.
Avant de nous laisser, notre merveilleux guide déclare
- Si vous avez besoin de moi, n'hésitez surtout pas, demandez au bar, je suis à votre entière disposition. Vous vous rappellerez ? Moi c'est Maëva.
- Ce serait difficile de vous oublier. Merci Maëva. :)
Elle sourit à mon compliment et nous quitte.
Mmmh, cette femme à ma disposition... je la prendrais bien au mot... je la regarde s'éloigner d'un pas nonchalant, ses fesses accueillantes se balancent d'une façon si chaloupée qu'on jurerait qu'elles dansent ! Puis elle disparaît derrière une autre tenture de velours, voile pudique sur le c'ur du club où je l'espère, nous découvrirons bientôt mille délices...
Il est encore tôt et la plupart des clients n'ont pas encore investi les autres salles; cependant, déjà quelques couples sont plus dévêtus que les autres. Quelques femmes d'âges variables portent déshabillés, nuisettes ou robe d'intérieur sexy, je remarque cinq femmes arborant la même tenue, une sorte de robe romaine très courte, écrue, très ample et légère, d'un tissus fin et fluide, laissant deviner les tétons de celles qui les portent. Les hommes qui accompagnent les femmes les plus déshabillées, portent eux aussi tous le même pantalon, et le même chemisier en lin écru, à col oriental.
Candy, derrière son comptoir, nous renseigne à ce sujet
- Ici, c'est l'endroit le plus soft du club, aussi, une tenue correcte minimum est exigée ;) La maison fournit une tenue propre à chacun des membre qui le désire.
Nous commandons un verre au bar et depuis ce poste d'observation, nous nous laissons imprégner par l'ambiance du lieu. Des saluts de la tête accompagnés de sourires complices, nous sont régulièrement adressés en guise de bienvenue. Je comprends que nul ne nous adressera directement la parole, non par indifférence, mais plutôt par délicatesse.
La clientèle est assez hétéroclite en âge, pas mal de trentenaires et de quadras; quelques très jeunes couples aussi; mais plutôt harmonieuse côté physique. Parmi elle, quelques très jolies femmes et très beaux gosses aussi, mais la plupart, des gens plutôt ordinaires, possédant chacun, leurs charmes et leurs défauts, mais que les tenues légères et l'éclairage ambiant, avantagent. On reconnait très vite les habitués, les groupes d'amis et les débutants comme nous. Quelques serveuses, toutes parfaites, s'activent sans hâte pour satisfaire leur clients. Aucune vulgarité dans les looks ou le comportement, juste quelques frôlements, quelques caresses un peu plus chaudes et des baisers profonds. Sur la piste, quelques couples dansent sensuellement. Peu à peu, la chaleur monte d'un cran. Une femme magnifique ondule doucement du bassin au rythme de la musique. Elle tient sa nuisette levée à mi-fesses, provocante; elle se frotte contre un homme qui a bien du mal à cacher son émoi sous le pantalon léger fourni par l'établissement. La fille est très appétissante. Conscient de cela, parfois, son homme s'éloigne légèrement d'elle et lui écarte les fesses afin de l'exhiber aux regard de l'assistance qui s'est regroupée autour d'eux, ce qui me permet de constater que cette coquine ne porte pas de culotte sur son abricot tout lisse aux lèvres rendues luisantes par le plaisir. Le spectacle est très excitant. La femme semble aussi apprécier l'effet qu'elle procure sur la population mâle qui la regarde. Elle fait signe à un homme de s'approcher et lorsque celui-ci est à portée, elle pose sa main sur son pantalon, à la recherche d'une certaine bosse; lorsqu'elle la trouve, elle la caresse avec gourmandise et pour remercier l'homme de cet hommage viril, elle l'attire à elle et lui dépose un smack sur la bouche. Très vite, cela devient un jeu, elle désigne un des hommes autour d'elle, le caresse et l'embrasse. Le bisou est plus ou moins long ou appuyé, sans que je puisse discerner le critère qui le détermine. Est-ce la taille, la vigueur ou l'affinité qu'elle ressent qui en fixent la durée et la qualité ?
Juliette semble elle aussi, amusée par cette scène. Je lui caresse la cuisse, elle se tourne vers moi et glisse sa main sur mon pantalon, constatant l'effet produit par cette jolie coquine. Elle me demande mutine :
- Tu veux te rapprocher ?
- Pourquoi pas, mais si tu viens avec moi.
- Allez, d'accord. :)
Cette femme est décidément pleine de ressources. Je suis heureux qu'elle prenne cette initiative, la soirée risque d'être bonne...
Nous nous approchons du couple vedette, cette belle salope est de plus en plus excitée, son regard brille d'un feu contenu. Au moment où il se pose sur moi, j'en reçois toute l'intensité et sens un fourmillement dans mon ventre, sa main me désigne alors.
Un peu gêné, j'hésite un court instant, mais Juliette me pousse délicatement dans le bas du dos. Ne pouvant reculer, je m'approche de la fille. Elle est vraiment très belle; elle doit avoir dans les vingt-cinq ans, blonde naturelle, un corps parfait, des seins que je devine fermes sous la nuisette. Son regard clair est le plus allumeur qu'il m'ait été donné de croiser. Ses doigts délicats se referment sur mon membre durci. Puis attrapant ma ceinture, elle m'attire contre elle et dépose sur mes lèvres, un baiser fiévreux et gourmand. Sa bouche alors s'entrouvre et sa langue vient chercher la mienne pour en titiller l'extrémité; sa main elle, continue sa caresse. Lorsqu'elle s'arrête enfin, elle me glisse à l'oreille
- Mmmh, toi j'aimerais te revoir un peu plus tard... Moi c'est Sabine. ;)
encore frissonnant du souffle et des mots qui ont pénétré mon oreille, j'arrive cependant à répondre
- Avec plaisir Sabine, moi c'est Vince...
Puis d'un coup, elle se détourne de moi, comme si je n'existais plus, pour désigner l'heureux suivant.
Je rejoins Juliette.
- Un sacré tempérament cette pouliche. ;)
- Dis-donc, quel succès, je croyais qu'elle allait te dévorer sur la piste !
- Oh tu sais, tout nouveau, tout beau...
- On finit notre verre ?
- Ok ma Béa. ;)
Lorsque nous avons regagné le comptoir, elle me demande :
- Alors, qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
- Qu'elle aimerait me revoir un peu plus tard.
- Ah ben dis-donc, tu perds pas de temps !
- Ça t'embête ?
- Non, t'en fait pas. On est là pour ça non ?
- Tu es géniale ma Juju, enfin, ma Béa. Il te plait son mec ?
- Ouais Vince, il est pas mal... ;)
- OK, on verra ça tout à l'heure... Et si on allait voir de l'autre côté ?
- D'accord, tu veux qu'on rappelle Maëva ?
- Bah, je crois qu'on peut s'aventurer seuls cette fois, non ?
- OK, alors allons-y :)
Lorsque nous quittons le bar, le jeu de Sabine a fait des émules et ce sont maintenant pas moins de cinq couples qui se frottent langoureusement et dont les cinq femmes s'amusent à éprouver les queues des mâles alentours.
L'antre du plaisir
Derrière l'épaisse tenture, nous découvrons d'abord un vestiaire sur notre droite, avec un panneau nous invitant à y passer avant de continuer et rappelant les règles de l'établissement. Sans entrer dans les détails, un peu trop terre à terre, disons qu'il y est question d'hygiène et des services proposés.
Dans le vestiaire, nous avons le plaisir de trouver un lieu d'une propreté impeccable. De vastes cabines accueillent les couples qui souhaitent s'isoler pour se dévêtir. Avant cela, un nouveau guichet où une hôtesse nous fournit un pantalon et un chemisier immaculés pour moi, chacun une serviette et une paire de ce qui semble être des tongs jetables très fines à nos pointures, emballées et neuves.
Vraiment cet endroit est des plus raffinés. Nous gagnons une cabine et nous déshabillons
- Tu n'as pas pris une de leurs robes ?
- Non j'ai ce qui faut.
- Eh-eh, bien vu ma belle. :)
Juliette ouvre le sac qu'elle avait apporté et en sort une nuisette
- mmmh ma Bén... Ma Béa, tu sais me faire plaisir toi...
Elle l'enfile et je comprends qu'elle l'a achetée spécialement pour moi car elle correspond exactement à mes goûts. Blanche, translucide et vaporeuse, resserrée sous la poitrine et finement festonnée mais sans excès tapageur, elle lui va à ravir.
- Whow, tu es magnifique !
Par transparence, je devine sa petite culotte, ses jolis seins aux aréoles larges et délicates, ses fesses généreuses; un régal !
Nous nous embrassons avec passion et j'en profite pour la caresser par dessus l'étoffe, faisant glisser celle-ci sur sa peau. Ses seins lourds, nus sous la nuisette, sont comme emballés dans le tissus qui, resserré sous eux, en épouse les formes : deux merveilleux cadeaux pour l'homme comblé que je suis.
Nous sortons de la cabine et déposons nos affaires dans les consignes hi-tech, que nos bracelets déverrouillent comme par magie.
Nous quittons le vestiaire et pénétrons enfin dans la salle centrale. Celle-ci est immense et le plafond est très haut. Le décor évoque les thermes romains, de façon épurée. Des colonnades, des arches, des plantes exotiques aux feuilles géantes foisonnent. Pour les couleurs, un camaïeu de beiges et d'écrus, quelques touches de pourpre, le tout associé à un éclairage très étudié offrant une ambiance chaude, apaisante et confortable.
- Whao, c'est magnifique ! s'exclame Juliette férue de déco.
En effet, tout est soigneusement étudié.
Partout, des méridiennes, des podiums recouverts de moquette épaisse,
des canapés, des poufs, tout ce qu'il faut pour s'étendre et se détendre.
Un agencement si bien conçu, qu'il offre une multitude de petits coins intimes, à l'abri des regards, sans pour autant perdre l'impression générale d'un lieu ouvert.
Le son aussi est étudié afin qu'il soit le plus feutré possible. Les gémissements, cris ou râles qui parviennent jusqu'à nous, sont atténués, comme autant de soupirs créant une ambiance des plus érotiques.
Chaque détail est pensé avec soin, ainsi, des serviettes propres sont disponibles et remplacées constamment ; il y a même un peu partout, des corbeilles pleines de préservatifs et d'autres pochettes contenant une lingette, ou du gel lubrifiant.
Quelques couples s'ébattent dans les recoins de la salle, isolés par des tentures de velours, précieuses et lourdes. Dans les parties les plus visibles, bien que chaque cellule puisse être condamnée par un voile, plus symbolique qu'occultant, la plupart restent ouvertes; le message est clair : libre aux passants d'entrer s'ils le souhaitent. Dans ces petits coins, les convives se limitent à des jeux à peine plus sages. Ainsi en déambulant, nous nous arrêtons devant l'une de ces cellules. Ce que j'y aperçois m'incite à y entrer. Une femme offre sa bouche à trois hommes qui y enfoncent tour à tour leur membre luisant de salive. La femme est à genou, immobile les mains sur la tête retenant sa longue chevelure brune. Une guêpière resserre sa taille, soulignant ses jolies formes; ses seins sont sortis des balconnets et gigotent, suivant les assauts de ses amants. Toute offerte à ces hommes qui la pénètrent, les seuls mouvements de sa tête lorsqu'une des queues s'en approche, nous renseignent sur sa gourmandise et sur le plaisir qu'elle prend dans cet acte de soumission. Sur un sofa tout proche, une autre femme se caresse, excitée par la scène. Elle est complètement nue, un joli corps de femme accomplie aux formes amples et aux seins lourds. Elle est assise les jambes bien écartées, les pieds sur le sofa. Ses mains s'activent fébrilement sur son minou complètement rasé et mouillé de plaisir. Un couple qui était là avant notre arrivée assiste lui aussi à cette scène. L'homme délaisse alors la femme qui l'accompagne et vient s'accroupir près de celle qui se masturbe. Celle-ci le remarque et, pour lui faire comprendre qu'elle accepte sa venue, écarte un peu plus ses jambes et de ses doigts ouvre très grand ses lèvres. L'homme commence alors à lécher cette jolie chatte humide et offerte. Il penche suffisamment la tête pour permettre à la femme restée en retrait, de ne rien manquer au spectacle. La langue parfois s'enfonce et ressort couverte de cyprine; puis, très longue et fine, passe et repasse étalant le miel sur les chairs roses de la dame et dans les replis de ses lèvres. Dans les yeux de l'autre femme, l'excitation est visible, une de ses mains est enfoncée entre ses cuisses serrées et les mouvements de son corps ne laissent aucun doute sur son occupation. Nous profitons aussi du spectacle. Soudain, un râle nous fait revenir aux premiers protagonistes. La femme à genou n'a toujours pas bougé et l'homme en face d'elle est sur le point de jouir. Il retarde le moment en ralentissant sa cadence dans la bouche qui l'accueille. Après quelques secondes cependant, les jets de spermes éclatent au visage de la belle suceuse. Puis, l'homme très excité, la gifle doucement de sa queue encore dure en poussant des grognements dominateurs. Il étale sa semence sur le visage de cette belle salope, ravie de cette douce humiliation. Les deux complices durant ce temps ont continué de leurs mains, à stimuler leur engin, si bien qu'eux aussi sont prêts à prendre la relève lorsque le premier des trois s'écarte, caressant au passage d'un geste tendre, les mains retenant les cheveux de sa partenaire. Les deux autres s'approchent alors et, comme obéissant à un signal invisible, tous deux au même moment, se libèrent sur cette belle soumise. Celle-ci que l'excitation a rendu frénétique, se jette sur ces deux queues les avale tour à tour entièrement, essayant de récupérer un peu de leur semence et de s'en abreuver. Puis elle ferme les yeux et pousse un long soupir de contentement. Enfin, quand l'un des hommes a récupéré, il se sert d'une serviette pour nettoyer délicatement, ce visage souillé par leur plaisir brutal et aussi les quelques gouttes qui ont coulé, roulant sur sa gorge et sur ses seins. Il cueille chacun d'entre eux d'une main et de l'autre, créant une pointe avec deux doigts sous la serviette, essuie le sperme qu'il y rencontre comme on ôterait délicatement la poussière, d'un objet précieux.
Je regarde Juliette, elle semble subjuguée. Ses lèvres sont entrouvertes, ses yeux arrondis par la fascination qu'elle ressent. La femme sur le sofa a comme nous suivi ce final avec attention et bientôt, elle aussi atteint l'orgasme, se pâme, fond, soupire sous la langue de l'homme entre ses jambes. Celui-ci, après l'avoir accompagnée jusqu'au bout de son plaisir, se relève l'air un peu hagard, comme enivré des parfums de femme, dans lequel il s'est baigné.
Après un petit moment, laissant à chacun le temps de retoucher Terre, la femme qui se tient à l'écart s'exclame :
- Bravo mes amis ! Accompagnant son compliment d'un applaudissement feutré, vite imitée par tous les autres protagonistes ainsi que nous même, dans une bonne humeur presque enfantine.
Alors que chacun se refait une beauté, nous prenons congé discrètement et continuons notre visite.
- Oh là là me dit Juju, ça m'a excitée ! Puis elle ajoute à mon oreille.
- Je suis déjà toute mouillée !
- Mmmh... Tu aimerais essayer ce genre de douche ? ;)
- Je crois que oui, mais avec des inconnus, je suis pas sûre...
A cet instant, au détour d'une cellule, un événement survient qui me laisse interdit; une chose à laquelle jamais je n'aurais pensé...
Un formidable cul !
Un couple flâne comme nous parmi les allées de l'atrium. Leurs pas les dirigent tout droit vers nous. Mon attention se porte sur la femme. Un air familier s'en dégage... Mais, non, je ne rêve pas, c'est... mais oui ! c'est Florence ! C'est sans doute la dernière personne que je m'attendais à trouver ici !
Florence est une collègue de travail, nous collaborons d'ailleurs dans le même service; autant dire que je la côtoie tous les jours... Elle est un peu plus jeune que moi; Loin d'être un top modèle, du moins, loin des canons de beauté actuels qu'on voudrait nous imposer, elle est petite, porte des lunettes; mais elle a un charme indéfinissable. Les cheveux très fins et lisses, châtains avec des reflets de miel, coupés au carré; un visage agréable sur lequel quelques taches de rousseurs apparaissent aux beaux jours, lui donnent lorsqu'elle fronce son petit nez, un petit air coquin des plus craquants à mes yeux. Mais ce qui m'excite le plus en elle, c'est son formidable cul ! Car bien que finalement assez banale, elle a une particularité assez rare; en effet, bien qu'elle soit relativement fine : son cou est fin, ses épaules et ses bras sont fins ; elle a des seins qui j'en suis sûr doivent être très mignons, mais relativement petits; sa taille est fine mais voilà, ses hanches et ses fesses ne sont pas en proportion car beaucoup plus larges. En exagérant, je la comparerais à ces statuettes primitives de femmes aux culs énormes, qui représentaient la fertilité!
En tous cas, ce contraste m'a toujours excité chez elle, car à côté de l'aspect fragile et délicat d'une femme, cohabite ce formidable cul qui érotise forcément sa silhouette et évoque pour moi la solide reproductrice, la bonne pouliche. Mille fois je me suis imaginé malmenant ses grosses fesses, m'y enfonçant tel un taureau en rut et la bourrant à grands coups de hanche. J'ajoute à cela que derrière son côté petit bourgeois, bien propre et bien pensant, qui ressort souvent dans ses propos, j'ai vite constaté un aspect beaucoup plus coquin de sa personnalité. Par exemple, lorsque l'humeur au bureau est à la plaisanterie, elle n'est pas la dernière à avoir l'esprit "mal tourné", à faire des associations coquines, à jouer sur les mots pour en détourner leur sens dans un autre, à connotation sexuelle. Vous comprendrez avec tout cela, que depuis que je la côtoie, mon envie de la connaître intimement est très grande.
A ce propos, je dois vous avouer que j'avais une fois tenté une approche (aussi directe que maladroite), juste quelques mois après son arrivée dans l'entreprise cet été là. Il faut dire que la veille, j'étais sorti avec un ami célibataire qui m'avait entraîné dans un traquenard jusqu'au petit matin. J'étais même allé travailler directement sans rentrer chez moi ! Du fait, j'étais le premier arrivé. C'est donc l'esprit encore éméché que je la vis apparaître ce matin là, vêtue d'un petit chemisier tout blanc, sous lequel transparaissait un soutien gorge, blanc lui aussi, très raffiné, dont je pouvais deviner les dentelles par transparence et aussi par l'échancrure profonde du col entrouvert. Nous travaillions l'un en face de l'autre à cette époque; plus exactement, je la voyais de trois quart tous les jours devant moi, de l'autre côté de nos deux bureaux accolés.
Ma volonté et ma prudence amoindries, je la complimentai sur sa tenue avec la finesse d'un noceur qui n'a pas eu sa nuit récupératrice :
- Ouah, Florence, c'est trop mimi ce petit chemisier...
- Ah ? Merci. :)
- Tourne-toi un peu vers moi pour voir. :)
Flattée et à ma grande surprise, elle s'exécuta.
- Voilà
- Mmmmh, j'adore...
Elle semblait ravie bien qu'un peu gênée et reprit sa position.
- oh attends, montre encore un peu...
Elle se retourna encore une fois !
puis reprit à nouveau sa position.
- Bon voilà.
- Ah nannn attends, Florence, t'es trop craquante, j'ai à peine eu le temps de voir...
- Rhoo, non, ça va là.
- Wha, t'es pas sympa.... :( ... Ouais ben, c'est pas la peine que je te demande d'ouvrir encore un bouton je suppose ?
Elle se contenta de pouffer en haussant les épaules. Mon jugement altéré et mon manque d'inhibition causèrent ma perte. Elle était là, à un mètre cinquante de moi. J'aurais voulu lui faire l'amour ici même, sur le bureau. Au bout d'un moment, n'y tenant plus je la rappelai.
- Florence... Florence...
- Quoi ?
- J'ai envie de toi :)
Elle rougit et répondit confuse
- oh ça va pas non ? Mais qu'est-ce qui t'arrive aujourd'hui ?
- Mais c'est toi : t'es trop belle :)
- C'est bon, arrête.
J'aurais dû m'arrêter là... mais ne s'était-elle pas tournée deux fois vers moi pour se laisser contempler ? Ne me repoussait-elle pas un peu trop mollement ?
- Tu me plais, j'y peux rien Florence quand-même... J'ai envie de toi, j'ai envie de toi c'est comme ça voilà point (rhoo le boulet, quand j'y repense !!).
- Bon maintenant t'arrête ok !
Elle avait dit ça assez fort pour que les quelques voisins matinaux l'entendent et sur un ton agressif. J'étais mortifié (du moins l'aurais-je été en temps normal) !
- Rhooo t'es vraiment pas marrante ! Pfffff !
Rétrospectivement je me félicite d'avoir répondu cela, sur le ton désabusé du collègue gai-luron; ainsi les autres ont pu penser que je la charriais, juste comme il m'arrivait parfois de le faire et qu'elle, de mauvaise humeur, n'avait aucune envie de rire à mes boutades. Toujours est-il que depuis ce jour là, l'eau a coulé sous les ponts et, bien que nos rapports soient cordiaux et même parfois complices, je n'ai plus jamais tenté ma chance auprès d'elle. L'envie d'elle est toujours là et de n'avoir jamais pu l'aimer, reste une grande frustration avec laquelle j'ai dû composer chaque jour car, bien que nous avons changé de poste, je la vois encore très souvent, elle et son formidable cul...
Autant dire que je tombe des nues lorsqu'aujourd'hui, je la reconnais qui vient vers moi, accompagnée de son mari peut-être, qui n'est pas trop mal, faut avouer. Sa stupeur est à la hauteur de la mienne. Pas qu'elle n'eût pu s'attendre à me trouver dans un tel lieu de débauche, mais plutôt je pense, car cette rencontre brise pour toujours cette façade bien lisse qu'elle m'a toujours montré. Néanmoins, elle me sourit.
- Tiens Vincent ??!! ça alors ! le monde est petit !
s'exclame-t-elle, histoire de dire quelque chose, fut-ce une banalité sans nom (et pourtant si vraie).
- Eh Bonsoir Florence. T'as raison, c'est fou ça ! En tous cas, je trouve que c'est sympa de se rencontrer ici. :)
- Moi aussi. :) Je m'y attendais pas, mais ça me fait plaisir. :)
Je salue son mari - Damien - et présente Juliette.
- Voilà ma douce Béa. Très vite, je remarque que Damien semble l'apprécier. Ses yeux s'attardent sur les seins de ma Juju. Comment ne pas y être sensible ? Deux beaux gros obus sous une nuisette vaporeuse...
Florence reprend :
- Bon Vincent, inut...
- Vince
- Quoi ?
- ici je suis Vince. ;)
- Ah ! OK ! Comme tu veux Vince. Donc je disais - Vince - inutile de te demander d'être discret, par rapport au travail : Avec toutes les pies qu'il y a là-bas, bonjour la réputation ! Enfin, si tu es là toi aussi, c'est que nous sommes dans le même cas et...
- T'en fais pas ma Mandine, les ragots c'est vraiment pas mon genre.
- Ça c'est vrai, tu n'es pas du genre commérage... ;) Alors, vous venez souvent ici ?
- Non c'est la première fois, et vous ?
- Souvent non, mais régulièrement depuis trois ans.
Cette dernière réponse me laisse songeur, je travaille depuis trois ans juste à côté d'une petite libertine qui m'attire comme un fou, sans jamais m'en être aperçu... C'est tout moi ça !!
- Et alors ? Ça vous plaît ? Poursuit Florence
- On n'a pas encore eu le temps d'en faire le tour, mais en tous cas le peu qu'on ait vu nous a beaucoup plu. Juliette confirme.
- Eh bien, prenons un verre pour fêter cette première fois ! propose Damien.
Installons nous là ajoute-t-il en désignant une cellule vide.
- Bonne idée répond Juju avec un sourire complice.
Mmmh, ces deux là sont bien partis. Une pointe de jalousie me titille, mais aussitôt, je me reprends. Après tout, c'est moi qui l'ai emmenée ici, alors je dois jouer le jeu. Le fait est que je ne suis pas habitué à partager mes conquêtes, surtout ma Juju à qui je tiens vraiment... Une autre pensée me vient qui me réconforte : si le courant passe entre eux deux, mes chances avec Florence en sont grandies... Car bien entendu, depuis trois minutes, je n'ai qu'une idée en tête : enfin vais-je peut-être pouvoir goûter à cette adorable petite femme et à son formidable cul !
Échange de bons procédés
Nous nous installons dans notre petit coin privé. Les larges sofas nous accueillent confortablement, un pour chaque couple. Nous avons tiré le voile afin de ne pas être dérangé pour le moment. Je suis face à Florence et j'ai enfin tout loisir de l'observer, de la détailler. Elle aussi porte sa propre nuisette. Celle-ci est également assez transparente pour que je constate qu'elle est entièrement nue en dessous. Ses seins sont plus gros que je ne le pensais et leur forme me plaît au delà de tout : Bien que lourds d'aspect, en poire vus de face, en banane de profil, ils sont relativement pointus, en ogive ; leurs aréoles assez larges, terminent cette pointe sans aucune rupture de formes. Comme sa peau claire et ses taches de rousseur me l'avaient laissé pressentir, les bouts de sein de Florence sont roses, légèrement orangés... un régal... Ses jambes sont croisées. Deux jolis jambons blancs, bien galbés. J'aperçois le dessous de la cuisse qui chevauche l'autre, presque jusqu'en haut, qui se perd dans l'ombre de la nuisette. Je crois pouvoir distinguer quelques poils tout au fond dans cette pénombre où j'aimerais me perdre... J'en ai l'eau à la bouche...
Florence a remarqué le regard gourmand qui la détaillais, elle me sourit.
Elle porte ses lunettes qui dans cette tenue, lui confèrent vraiment un adorable petit air de salope. Je bande déjà comme un taureau !
Damien appuie sur un bouton et à peine une minute plus tard, une jolie hôtesse apparaît, à qui nous commandons nos boissons. Nous suivons les conseils de nos nouveaux complices et optons pour un cocktail vitaminé au gingembre. Lorsque nos consommations nous sont servies, nous portons un toast au plaisir et à cette nouvelle expérience.
Très vite, Damien prend les devant.
- Vous faites un très joli couple; Tu dois être un homme comblé Vincent, Béa est vraiment superbe...
- Oui, c'est ce que je lui répète toujours car elle en doute encore...
- Béa, tu as tort, tu es une bien jolie femme, ajoute Damien.
- Merci, répond celle-ci, un peu intimidée.
J'interviens :
- Bien-sûr que tu es belle, je me tue à te le dire. Tiens, lève toi un peu, tu veux ?
Juliette hésite et se mord les lèvres. J'insiste gentiment :
- Vas-y ma Béa, sois pas timide, on est ici pour s'amuser. ;)
Conjurant sa timidité et sa pudeur, elle se lève.
- Mmmh, voilà. Tourne un peu sur toi même, que Damien puisse se régaler un peu lui aussi...
Juliette prise de court, hésite encore. Elle cherche l'accord de Florence dans ses yeux.
Cette dernière qui comprend le trouble de la débutante, acquiesce avec un sourire complice et indulgent.
Juliette commence alors à tourner doucement sur elle-même, comme elle l'avait fait alors cette fameuse fois, dans sa salle de bain, juste pour moi. Sa prestation est accueillie par nos commentaires flatteurs
- Eeeehh tu bouges bien Béa. Commence Damien. :)
- Regardez-moi ces jambes ! Mmmh ma belle pouliche, je m'en lasserai jamais !
je caresse avec gourmandise les jambes douces et tendres de Juliette qui, encouragée, se déhanche plus lascivement.
- Oui superbe, confirme Damien, une étincelle dans les yeux. Tu veux bien nous montrer tes seins ? Lui demande-t-il au bout d'un moment, Ils ont l'air très beaux...
Juliette à présent prise au jeu, descend doucement les bretelles de sa nuisette sur ses épaules. Puis, tire délicatement sur la fine étoffe, à la base de ses seins. Le décolleté s'évase. L'élastique qui le retient s'étire, accentuant peu à peu la transparence de la nuisette à cet endroit. Il résiste un moment encore et soudain, sous la pression, saute par dessus les tétons, découvrant d'un coup deux merveilleux globes bien blancs et gonflés par l'excitation.
- Mmmmh, j'adore ! dit Damien les yeux pleins d'étincelles. Je peux ? Il formule cette question, approchant ses mains ouvertes et nous interrogeant tous les deux du regard.
- Je regarde Juliette pour lui faire comprendre que la décision lui revient.
- Béa ?
- Oui d'accord, lui répond-elle troublée.
Damien ravi, saisit alors délicatement les grosses mamelles de ma Juju et commence à les peloter dans les règles de l'art.
- mmmh, qu'ils sont beaux... qu'ils sont lourds.
Damien resserre alors ses mains sur ces deux belles poires laissant dépasser les mamelons bien roses pour y déposer de petits coups de langue. Juliette apprécie ce traitement, elle ferme les yeux. Le plaisir se lit sur son visage.
Après une ou deux minute, j'interviens. Plus une once de jalousie en moi, à présent, je me sens fier et excité d'être l'amant de cette femme si désirable.
- Viens par là ma Béa, montre-lui ton joli cul maintenant.
Je l'attire et l'installe à quatre-pattes sur le sofa, le cul bien en l'air, la tête entre ses bras croisés. Je soulève alors sa nuisette exposant ses fesses gourmandes et sa fente à peine cachée par sa toute petite culotte. Je commence à caresser et à écarter le cul de Juliette qui s'abandonne de plus en plus, se cambre d'avantage et ondule doucement des hanches.
- Whaow, quel joli cul ! S'extasie notre complice, en amateur éclairé.
J'écarte alors la culotte découvrant le minou trempé de Juliette dans lequel je plonge un doigt pour y recueillir un peu de mouille que je déguste.
- Mmmmh... Tu aimerais y goûter ?
- Et comment ! réponds Damien.
- Tu veux ma Béa ?
- Oui, me chuchote ma belle maîtresse.
je me redresse et souris à Damien, il ne se fait pas prier.
Il s'approche de Juliette, s'agenouille et commence à la déguster, en gastronome, faisant d'abord connaissance avec ses fesses dont il éprouve la texture en les prenant à pleine bouche, laissant sa langue s'attarder aux abords de la chatte qu'il ouvre et referme de ses mains, faisant suinter la mouille au bord des lèvres.
A ce moment, mon attention se reporte sur Florence que l'enchaînement des événements m'avait momentanément occulté. Elle aussi semble très excitée par la scène. Ses yeux brillent. Elle serre et frotte ses cuisses l'une contre l'autre en se dandinant imperceptiblement sur le sofa. Son regard croise le mien. Elle se lève alors et vient chuchoter quelque chose à l'oreille de son homme, qui à présent lèche Juliette à grands coups de langue sur toute la longueur de son entrejambe et s'interrompt à peine pour acquiescer aux paroles de Florence. Celle-ci vient alors s'asseoir sur mes genoux. Pour la toute première fois, je suis en contact physique avec elle. Ma main droite se poses sur ses larges hanches que je commence à caresser à travers sa nuisette. Puis je caresse la partie la plus charnue de ses fesses qui me soit accessible. Je suis sur un nuage, mon c'ur s'emballe à chaque nouveau mouvement. Enfin je caresse ce formidable cul sur lequel j'ai si souvent fantasmé !
- Tu viens, faire un tour ? me demande-t-elle en se relevant.
- Oh oui. :)
Je m'approche de Juliette qui à présent sur le dos, les jambes écartées, commence à jouir sous la langue de Damien à qui elle caresse les cheveux des deux mains. Elle a le visage empourpré, le regard dans le vague.
- Je peux te laisser un moment ma Belle ? Tu es entre de bonnes mains. ;)
Elle me fait oui de la tête, puis me roule une longue pelle, très intense, interrompue par moments par de petits spasmes et soupirs de jouissance.
- A très vite ma divine.
Florence
Nous quittons la cellule Florence et moi, elle m'entraîne, sa main dans la mienne. Je lui demande :
- Ou m'emmènes-tu ?
- Pas très loin, j'avais envie de m'isoler avec toi, pour te parler un peu sans les déranger.
Nous passons devant d'autres cellules occupées, sans trop prêter attention à ce qui s'y déroule. Enfin nous en trouvons une libre dans laquelle nous nous installons. Nous nous asseyons dans un sofa, toujours la main dans la main. Je me tourne vers Florence.
- De quoi voulais-tu me parler ?
- Ben d'abord, je voulais encore une fois te demander de garder tout ça pour toi.
- Je te le promets Florence. Je suis pas fou, je sais bien que les gens ne comprendraient pas et nous jugeraient mal. Puis je suis trop heureux pour risquer de gâcher cette nouvelle complicité entre nous.
- Alors promis, ça sera notre petit secret ?
- Promis.
Elle sourit, sa main serre un peu plus la mienne en signe de reconnaissance.
- Je voulais aussi te dire que je me rappelle souvent de la fois où tu m'avais draguée au bureau. A l'époque, j'étais vraiment coincée et pas mal complexée en fait. Quand j'y repense, je ne me reconnais pas ! Je voulais que tu saches que ça m'a vraiment fait du bien de savoir que je te plaisais. Je commençais à douter de mes charmes à l'époque. En fait, je me suis toujours dit que c'est un peu grâce à toi que j'ai rencontré Damien qui ensuite m'a si bien décoincée.
je souris complice.
- Ça j'en doute pas une seconde il m'a l'air très coquin. Et ce que tu me dis là en tout cas, est très flatteur ! ;)
- Oui, c'est un chaud lapin ! Petit à petit, il a su m'amener aux plaisirs du libertinage et aujourd'hui, je me demande comment j'ai pu vivre si longtemps sans ça !
- Franchement, j'aurais jamais cru... Tu caches vraiment bien ton jeu.
- Ben oui ça vaut mieux... On peut pas dire que ce soit encore dans les m'urs... Sont cons les gens j'te jure ! C'est le seul plaisir qui ne coûte rien, dont on ne se lasse jamais et qui n'est pas nocif si on fait attention (au contraire même). Mais malgré ça, les gens s'attachent à de vieux dogmes misogynes et culpabilisants qui mes maintiennent dans leur petite vie toute étriquée !
- Oh là, ne me lance pas là dessus Florence ! Je suis bien d'accord avec toi. A croire que l'homme a besoin de ses chaînes ! Que veux-tu, on n'effacera pas comme ça deux mille ans de tabous et de morale judéo-chrétienne !
- Oui mais quand même... Regarde, j'ai changé moi ! Enfin, c'est dommage je trouve... Les gens seraient plus heureux, j'en suis sûre... Mais bon, oublions les culs-serrés et les pisse-vinaigre, on n'est pas là pour ça ! Revenons plutôt à nous. ;) Tu sais Vincent, j'avais déjà parlé de toi à Damien... Depuis pas mal de temps, nous cherchions un moyen de te le faire savoir, mais je ne voyais vraiment pas comment... Ne sachant pas quelle aurait été ta réaction, je me suis abstenue... Si j'avais su...
- C'est pas vrai ?!!... Mais fallait pas hésiter !
- Oui, c'est facile à dire maintenant, mais sans te connaître vraiment... Tu sais, il y a une énorme différence entre un dragueur éméché et un libertin...
- C'est vrai... Je comprends; mais quand même, penser à tout ce temps passé à côté de toi sans savoir... Quelle frustration rétrospectivement !!
- Alors tu imagines pour moi qui savais... Combien de fois ai-je pu regretter de t'avoir rembarré ce fameux matin... En tous cas désormais, nous aurons tout le temps de nous rattraper. ;)
- Oh oui, c'est super !
Cette perspective me porte sur un nuage de délice !! En un éclair, je me vois prenant Florence dans tous les recoins de notre entreprise !!
Ma douce collègue poursuit :
- La fois ou tu m'as dit toutes ces choses, tu n'étais pas vraiment dans ton état normal... Aujourd'hui que tu es à jeun et que tu en vois un peu plus de moi, je te plais toujours ?
- Mmmh, Florence, si tu savais combien de fois depuis ce jour, je t'ai déshabillée en pensée et toutes les choses que nous avons faites ensemble dans mes rêves... Et aujourd'hui, tout ce que je vois confirme ce que je devinais de toi. Et moi je te plais au moins ?
Elle me sourit
- Oh oui, tu es un bel homme et moi aussi je m'en suis imaginé des choses avec toi. ;)
- Mmmh Florence, jamais j'aurais pensé vivre ça un jour. Dis, tu veux bien me laisser te regarder ? Depuis le temps que j'en rêve...
- Mais bien-sûr ! Écoute, demande-moi tout ce que tu veux que je fasse, je le ferai pour toi. :)
- Je dois être entrain de rêver, c'est trop beau ! D'abord, j'aimerais te contempler... Enlève ta nuisette et si tu veux bien, fais comme Béa, tourne sur toi même.
- Tout ce que tu veux...
Florence exécute mes désirs. Je ne perds pas une miette du spectacle. Ses seins sont lourds mais fermes, seules leurs extrémités s'agitent au rythme de son déhanchement.
Sa taille est bien marquée et en dessous, son corps s'épanouit : ses hanches sont très larges, ses fesses aussi mais le tout étrangement, est parfaitement harmonieux. Je bande de plus en plus fort ! A présent, elle fait face à moi; Son petit ventre est un peu bombé, et la courbe qu'il forme est si douce qui descend vers son petit minou. Celui-ci est recouvert d'une jolie toison qui n'est pas rasée, mais n'est pas dense du tout. Sur ce point aussi, mon intuition était bonne. Le seul indice que j'avais venait de ses avant bras très peu poilus et ses sourcils peu fournis et non épilés. Sa peau claire transparaît à travers les poils pubiens pas trop frisés et dont l'implantation les distribue bien régulièrement le long d'une ligne médiane, comme pour indiquer la direction à suivre vers l'intérieur de ses cuisses généreuses;
- Mmmh, tu me plais...
- Merci :)
- J'adore ta petite chatte...
Je confirme mes propos, la saisissant délicatement par ses larges hanches, je l'attire à moi. Je dépose de petits bisous sur ses poils soyeux, sur son aine et sur son petit ventre rebondi. Puis, je me relève et me colle contre ce corps que je convoitais tant. Je saisis ses grosses fesses à pleines mains et entreprends de les peloter, les caresser, les écarter et les pétrir. J'embrasse sa bouche, celle-ci est tendre et m'accueille avec la douceur d'un fruit mûr. Bientôt, je sens sa petite langue s'insinuer et venir se lover contre la mienne. C'est un baiser tout doux, mais plein d'une gourmandise contenue. Mon membre semble grossir encore un peu plus contre son bas ventre
- Enchanté Florence.
- Mmmh, moi aussi Vincent...
Nous nous embrassons de plus en plus fiévreusement je passe une main dans ses cheveux, ils sont fins et soyeux. Je sens alors sa main se faufiler sous l'élastique de mon pantalon léger et se refermer délicatement sur ma queue. Elle rend hommage à la grosseur dont elle est pourtant la cause.
- Mmmmh, Vincent, dit-elle en resserrant son emprise, c'est tout dur là dessous...
Puis toujours à pleine main, elle sort mon membre et doit forcer dessus pour le baisser, afin de pouvoir le glisser entre ses cuisses. Elle commence alors à onduler des hanches et je peux sentir mon gland glisser contre ses lèvres bien mouillées, malaxé par ses cuisses tendres et dodues.
Deux minutes de ce traitement nous amène au comble de l'excitation
Florence, à force de frotter mon membre contre ses zones érogènes, commence à jouir. Avant de perdre tout contrôle elle m'interpelle :
- Oh Vincent, on devrait mettre une capote. Je le fais jamais sans, sauf si je suis vraiment sûre....
- Je te promets que tu n'as rien à craindre de moi : Les seules avec qui je n'en mets pas sont ma femme et Béa et je suis leur seul amant; je pourrais le jurer. Moi, je te crois et toi, tu peux me faire confiance.
- Tu es sûr ? crie-t-elle presque sous l'effet de l'excitation.
- Je te le promets.
Trop plein de ce désir trop longtemps contenu et sans plus de préliminaires, j'abaisse mon bassin, fléchis mes jambes et me présente bien à la verticale cette fois à l'entrée de son vagin.
- Mmmmh oh oui vas-y, prends-moi Vincent !
Je remonte le bassin de telle sorte que ma queue s'enfonce bien droite en elle. Sa chatte bien lubrifiée m'accueille. Florence est déjà si excitée que son vagin est contracté par le plaisir et la sensation de cette chatte bien serrée est divine.
Je la soulève par les fesses elle s'accroche à mon cou, ses jambes se nouent autour de moi et je m'enfonce en elle au plus profond, lui arrachant un petit cri. Florence est petite et légère, malgré ses bonnes grosses fesses. Je n'ai donc aucun mal à la soulever et l'abaisser pour l'empaler à chaque allée-venue. De son côté, elle amplifie le mouvement de son bassin. Quel pied de pouvoir enfin tenir son formidable cul à pleines mains, de l'écarter et de la sentir monter et descendre le long de ma hampe. Malgré tout, notre excitation et notre appétit rend parfois la man'uvre délicate lorsque nous nous emportons, au risque de nous déséquilibrer. Pour y remédier, je me dirige vers un sofa au creux duquel je m'assois délicatement. Florence à présent me chevauche accroupie et moi, ayant récupéré l'usage de mes mains, j'en profite pour caresser ses jolis seins en obus. Florence ôte mon chemisier, dernier obstacle entre sa peau et la mienne. Nous voilà entièrement nus, l'un contre l'autre. Je goûte enfin à ses seins. Ils sont magnifiques. Je les caresse, les aspire un à un, les faisant disparaître à moitié dans ma bouche. Sa peau est satinée, je me régale. Florence, le bassin très agile, avale ma queue en elle. Je sens ses grosses fesses contre mes cuisses et ses poils pubiens qui frottent contre les miens. Elle accélère le rythme et commence à jouir; ses soupirs se transformes en petits cris.
- Oh oui ! oh oui ! oh oh oh, oui !
Ses mouvements sont de plus en plus frénétiques, ses fesses s'écrasent encore plus fort contre moi.
Très vite, ces stimulis associés à mon excitation immense, m'amènent au bord de l'orgasme; mais c'est trop tôt, je veux faire durer le plaisir. Aussi, je me libère de mon amazone que j'allonge près de moi.
- Attends Florence, je suis trop excité, je vais jouir trop vite si on continue...
Elle pousse un petit grognement de contestation lorsque je sors d'elle alors très vite, pour ne pas la frustrer davantage, je lui écarte très fort les cuisses et entreprends de goûter à sa petite chatte, juste le temps que passent ces délicieux picotements au fond de moi, annonciateurs de l'orgasme. Son minou est parfait. Ses lèvres sont étroites, lisses et bien roses. Longues et fines comme des pétales gorgés de sève; l'entrée aussi est étroite. D'emblée, je me jette dessus goulûment, elle est trempée et je suce son miel avec une gourmandise animale. Aussitôt, je m'occupe de son petit bouton gonflé de plaisir et enfonce deux doigt en elle ou la lèche sur toute sa longueur, sans oublier le petit oeillet un peu plus bas. Au bout d'une minute à peine, Florence atteint l'orgasme.
- Oh ouiiii Vincent !
Son corps se raidit ses fesses se soulèvent, ma bouche reste collée à elle, ma langue enfouie dans son corps. Puis je m'en sépare et accompagne son retour sur Terre, en parcourant son corps de ma bouche. Très vite, Florence se remet de ses émotions, mais encore très excitée, elle se retourne à quatre pattes et se cambre, m'offrant ses vastes fesses.
- Oh Vincent, je veux te faire jouir. Viens, prends moi encore.
Je n'attendais que ça ! Je me glisse à genoux derrière elle et me présente à sa porte; Florence, l'ouvre très grande pour moi, une main sur chaque fesse. Je m'y plonge avec délice
- Mmmmmh oh oui, vas-y Vincent.
Je commence doucement, pour savourer ce moment et la vue de ce cul magnifique. Je me régale à regarder ma queue s'enfoncer lentement en elle.
J'ai encore un peu de mal à penser que tout cela est bien réel. Je la saisis par la taille et m'étonne encore du contraste entre la finesse de celle-ci et ses fesses plus que généreuses. Cette vision a tôt fait de m'exciter encore un peu plus, elle réveille en moi des instincts bestiaux. Mes coups de reins se font plus violents. Florence apprécie, d'une voix rauque elle m'encourage
- Oh oui, vas-y Vincent. Oh oui, oh oui, défonce moi !
Je redouble de force, j'attrape ses cheveux dans mon poing serré, l'obligeant à lever la tête et à se cambrer d'avantage. Je me sens la fougue d'un étalon entre les fesses de cette superbe pouliche. La sève monte en moi.
- Ah Florence, je viens oh, oh.
- Oh Vincent, attends.
Avant même que je n'ai eu le temps de répondre, elle se dégage de mon emprise, se retourne et saisit ma queue prête à exploser, qu'elle commence à branler très fort devant elle. Mon gland se gonfle et un jet de foutre brûlant vient fouetter son visage, éclaboussant ses lunettes. Il est suivi d'autres giclées dont certaines plongent au fond de sa gorge, par sa bouche grande ouverte.
- Aaaaaah oh oui...
Florence sourit, ravie de sentir son visage souillé de mon jus. Elle frotte ses joues rougies sur ma queue boursouflée, étalant le sperme qui s'en écoule encore.
A mon orgasme, s'ajoute le plaisir cérébral de voir celle que je croyais si sage, se comporter comme une vraie chienne assoiffée de semence. Ses lunettes zébrées de giclées, le visage luisant de mon jus, achèvent de lui donner un air de salope rompue à toutes les fantaisies de son amant. Parfois elle me prend dans sa bouche et me suce très fort en émettant des "Mmmh" gourmands. Avec l'index de l'autre main, elle recueille les petits paquets de foutre qu'elle sent couler sur sa peau et les avale goulûment. Lorsque le plus gros de mon orgasme a disparu, elle m'allonge sur le dos et, munie d'une serviette propre et de lingettes qu'elle a prise dans une corbeille, achève de faire une toilette complète des zones malmenées par nos ébats.
Lorsqu'elle en a fini avec moi, je la a regarde passer une lingette sur sa petite chatte et une autre sur son visage, avec ces gestes gracieux propre aux femmes. Cela m'excite tant que déjà, ma queue se raidit à nouveau.
Lorsque je l'embrasse, un douce odeur de frais émane d'elle.
- Mmmmh, Florence, c'était super.
- Oh oui, j'ai adoré ça moi aussi. On avait envie tous les deux hein ?
- Et comment !
Nous restons un instant silencieux, serrés l'un contre l'autre puis, je demande.
- Et si on allait voir où en sont les autres ?
- D'accord, allons-y.
Nous nous "rhabillons" et sortons. Lorsque nous quittons notre petit coin, je remarque une hôtesse, sans doute alertée par nos cris, elle se tient prête avec, dans une sorte de petit panier, tout ce qu'il faut pour un nettoyage complet. Lorsque nous la croisons, elle nous sourit. Décidément, le service ici est exceptionnel ! De plus, comme les autres, elle est ravissante et je ne peux m'empêcher de l'imaginer se penchant pour nettoyer les traces nos ébats, dans son petit body, avec sur ses gants blancs, d'autres gants en latex ceux-là. J'avoue que cette pensée me donne envie d'assister à la scène et de lui compliquer un peu la tâche...
Max
Sur le chemin qui nous ramène vers nos compagnons, nous nous arrêtons plusieurs fois, poussés par notre curiosité ou attirés par les sons qui proviennent des cellules devant lesquelles nous passons et dont le voile de séparation est laissé ouvert par leurs occupants. Dans l'une d'elles, un bruit de succion nous interpelle. Nous entrons et découvrons un homme d'une cinquantaine d'années, du genre renard argenté, bronzé intégral, bien conservé, portant chaîne et gourmette en or massif et aussi une superbe chevalière au doigt dont la valeur doit avoisiner celle d'une jolie maison. Assis l'air très digne, il sirote une coupe de champagne et nous salue d'un signe, tandis que deux superbes et très jeunes femmes nues s'occupent avec soin de son membre dressé. A croupi sur une serviette étalée, l'une d'un joli blond vénitien, la peau d'une pâleur diaphane, l'autre noire sculpturale, toutes deux magnifiques, d'à peine une vingtaine d'années. Son gourdin et d'une taille vraiment impressionnante et aurait bien du mal à entrer en entier dans la bouche de ces créatures, qui ne peuvent en avaler qu'un petit tiers, malgré leur bonne volonté, la bouche grande ouverte, les lèvres blanchies par la tension, forçant parfois au point de s'en faire pleurer les yeux lorsque le gland vient taper au fond de leur gorge. Elles compensent cette lacune par de savantes caresses, de la bouche et des mains. Au bout d'un moment, sentant que l'homme est sur le point de jouir, les deux filles se font face, entourant la queue entre leurs lèvres grandes ouvertes, la noire contre la blanche, dans un yin-yan érotique. Avec une parfaite synchronisation, leurs bouches ouvertes montent et descendent le long de cette énorme bite, prodiguant à l'homme ce qu'on pourrait appeler, une branlette buccale, acte qui soit dit en passant, doit être des plus agréables pour celui à qui il est destiné. Tout à coup, l'homme se raidit et de son chibre géant, s'échappe alors, comme la lave se déversant d'un volcan, un jus épais qui s'écoule abondamment, jusqu'aux bouches des deux gourmandes. Ces dernières, loin de s'en apeurer continuent leur mouvement qui, s'il a perdu sa synchro, demeure régulier. Le flot de jus ne semble pas vouloir se tarir et sort, comme si il débordait de cette énorme queue. Les filles continuent à s'activer, tantôt remontant jusqu'en haut du gland pour en recueillir la sève toute chaude qui s'en échappe, tantôt mêlant leurs langues, dans un baiser gourmand, de salive et de sperme. Le rimmel qui a coulé de leurs yeux, a laissé des trainées sombres sur leurs visages souillés et luisant de semence; leur aspect de putes outragées, contraste avec leur traits juvéniles et celui de l'homme toujours impeccable. Ça ajoute au caractère surréaliste et très excitant de la scène. Avant que ces deux petites gourmandes aient terminé leur festin, nous décidons de poursuivre et alors que nous prenons discrètement congé, Florence me dit sur le ton de la confidence
- C'est Max, un habitué, une institution même ici. Un vrai gentleman, mais bien trop gros pour moi.
- Tu m'étonnes, j'avais jamais vu un braquemart pareil !
- Tu sais, j'ai déjà essayé une fois pour voir, mais au bout de dix minute, on a abandonné... Hélas, je suis bien trop étroite pour ce genre de calibre ! C'est dommage d'ailleurs, j'adorerai le sentir me défoncer et décharger tout ça au fond de moi; ça doit être divin. Tu as vu tout ce qu'il a craché ! on dirait vraiment qu'il ne va jamais s'arrêter ! C'est bête hein ? Pourtant, je lui avais demandé de faire le test HIV et tout était OK, mais le moment venu, il est resté à la porte le pauvre !
- Et alors, vous n'avez rien pu faire ?
- Ben si quand-même : finalement, j'étais tellement excitée que je l'ai quand même sucé et branlé et, lorsqu'il était sur le point de jouir, en appuyant fort, j'ai réussi à enfoncer juste le bout de son gros gland dans ma petite chatte. Alors, ses deux petites chiennes ont continué à le branler et au bout d'un moment, il a tout craché dedans. C'était bon : Son gland qui se gonflait m'écartelait la chatte et comme il bouchait complètement la sortie, je l'ai vraiment bien senti tout décharger en moi. Mmmmh j'ai adoré ça, mais tout au fond, il paraît que c'est encore meilleur... Seules quelques femmes ont eu cette chance... Ajoute-t-elle rêveuse.
Décidément ma petite Florence, j'étais bien loin de te connaître !
Je la regarde, partagé entre éc'urement et fascination. Je constate que tu es une vraie petite chienne Florence, mais force est de reconnaître que cette idée m'excite encore plus...
Elle me demande alors
- Tu crois que Béa voudra essayer ?
- Euh, je sais pas, je crois que c'est encore un peu tôt pour lui proposer...
La vérité est que l'idée de voir ma Juju défoncée par cet énorme gourdin, ensevelie sous des flots de sperme, ne m'enchante alors pas vraiment. De plus un tel manche est à même de décourager les plus téméraires. Le futur allait me démontrer, s'il le fallait encore, que les femmes ont une capacité sans limites, lorsqu'il s'agit de nous surprendre...
(à suivre...)