Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 3/07/2010 par Jeune-innocente
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Récit de chantage, merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'appréciez pas.
Pour commencer, il est conseillé de lire la première partie de l'histoire Mon demi-frère.
Les jours, les semaines s'enchainèrent sans qu'Alexandre ne manifeste un quelconque désir de domination à mon égard. Cela me convenais très bien, ça me laissait un peu de temps pour réfléchir à un moyen de retourner la situation.
Bien qu'aussi surprenant que cela puisse paraître, je trouvais cette situation excitante.
J'ai toujours tout contrôlé dans ma vie, que se soit professionnellement ou sentimentalement, Et j'ai surtout et toujours, aimé manipuler les gens, enfin les hommes surtout.
Faire d'eux ce que je veux.
Parce que le pouvoir d'une femme sur un homme ; du moment qu'elle en est consciente ; peut être énorme.
J'aime voir, ressentir les hommes esclaves de leurs propres désirs, être l'objet de toutes leur convoitise.
Et ce changement de situation, me retrouver soumise au moindre désir de cet homme m'émoustillait plus que je ne voulais me convaincre.
Alexandre ne se fit pas attendre, "le jeu" commença lors d'un repas d'affaire de mon beau père.
Tout le gratin de son entreprise était là, Alexandre et moi étions bien sur obligés d'y participer.
Le repas était organisé à la maison, et je me retrouvais assise en face d'Alexandre, entre deux amis de son père.
Marc à ma droite, la cinquantaine, grand, barbus et un ventre qui laissait deviner son goût prononcé pour la bière.
A ma gauche, Claude la cinquantaine, le visage rieur et taillé comme un bucheron.
Le reste des convives, des hommes pour la plupart se ressemblaient tous ; du moins je ne leur accordais pas la moindre attention.
J'avais pour l'occasion revêtue une fine robe blanche, qui laissait deviner que je n'avais pas de soutient gorge, elle m'arrivait mis cuisse et cachait comme il le fallait la lisière de mes bas couleur peau. Mes bas étaient attachés par des jarretelles blancs et j'avais mis un string en dentelle également de couleur blanche.
Toute de blanc vêtue, je me sentais vraiment sexy.
Avant le repas j'avais surpris le regard de mon beau père qui me détaillait :
- Ça te plait ? demandais-je en me cambrant un peu.
- C'est un peu trop provocant... Me répondit-il.
- Mais non je suis sur que tu aimes... dis-je en m'asseyant pour lui laisser apercevoir quelque instant la lisière de mes bas.
Oui j'étais provocante, j'ai toujours été comme cela, j'aime allumer la flamme, jouer avec, mais ce n'est que très rarement que je cède. Que voulez-vous je m'ennuie dans ma petite vie, et ces petits jeux m'amusent...
Le repas se déroulait sans anicroche, si ce n'est mes voisins qui n'avaient de cesse de remplir mon verre du bon vin sorti pour l'occasion. Je sentais leur regard, et ça me plaisait beaucoup.
Quand tout à coup je sentis une vibration entre mes cuisses, je l'a laissait quelque instant se propager le long de mon sexe, puis je récupérais mon téléphone portable que j'avais mis en mode vibreur et poser entre mes jambes. Je lus le message.
Alexandre : "Tu es très sexy ce soir... Je me plais à me dire que c'est pour moi. Et même si ce n'est pas le cas, je vais quand-même en profiter ! Va au toilette enlève ta culotte et ramène la discrètement. Tu me la passeras en dessous de la table!"
Était accompagnée de ce message, une photo de moi lors de mes petites séances de masturbation ; histoire de bien me faire comprendre que je n'avais pas le choix.
Je m'exécutais à contre-c'ur. Je revins m'asseoir comme si de rien n'était, mon string caché au creux de ma main. Je sentais sur mon sexe lisse, le doux contact de ma robe.
Alexandre me fit signe que je devais la lui donner, je me penchais discrètement et le lui donnait, sauf qu'il le laissait volontairement tomber à mes pieds.
Mon voisin de gauche s'en aperçut et avant que je ne puisse le récupérer :
- Vous avez laissé tomber votre serviette... dit il en se penchant pour la ramasser.
Mais lorsque qu'il prit ce qu'il pensait être ma serviette, il constatait la fine dentelle et compris immédiatement ce qu'il avait en main. Il me jetait un regard malicieux et mit mon string dans sa poche. Évidemment mon voisin de droite n'avait rien raté de la scène.
Je sentis à nouveau mon portable vibrer.
"Bien maintenant que tes deux voisins savent que tu n'as pas de culotte, tu va écarter tes cuisses et attendre qu'ils te touchent, tu devras évidemment te laisser faire."
J'espérais intérieurement qu'aucun d'eux n'oseraient, du fait que leur patron se trouvait à quelques chaises d'eux. Pourtant je sentis des doigts s'aventurer le long de mes cuisses. C'était le bucheron qui avait gardé ma culotte.
Ses doigts se faisaient entreprenants. Il me caressait d'abord la cuisse, pour ensuite remonter jusqu'à la lisière de mes bas, pour enfin la dépasser et s'approcher dangereusement de mon sexe.
J'essayais d'adopter une attitude passive et normal ; pour ne pas l'encourager et pour ne pas que les autres convives s'aperçoivent du petit manège qui se tramait sous la table.
Quand je sentis une autre main sur ma cuisse, c'était marc mon voisin de droite, il était plus doux, ses caresses étaient légères.
Malgré ma passivité, j'avais du mal à me contrôler et lorsque je sentis les doigt de claude frôler mes lèvres, j'écartais instinctivement les cuisses en m'adossant contre ma chaise.
Ses doigts caressaient mes lèvres pour ensuite remonter sur mon bourgeons qu'il faisait rouler entre ses doigts.
J'étais très sensible du clitoris, cela pouvais me mener à l'orgasme très vite...
Je sentais maintenant les doigts de marc s'aventurer sur mes lèvres déjà bien humides, il pénétrait un doigt et je ne pus m'empêcher de soupirer de plaisir.
Alexandre me fixait intensément, il prenait visiblement plaisir à cette situation.
Moi j'avais vraiment du mal à paraître naturelle, leurs doigts s'activaient sur mon sexe et me procuraient une intense plaisir, proche de l'orgasme. Je sentais que je mouillais, leur doigts glissaient et parfois se touchaient pour ensuite reprendre leur place respective sur mon sexe.
Puis mon beau père invitait les convives à prendre le dessert dehors, c'était l'été il faisait encore bon à cette heure ci, de plus nous disposions d'un très grand jardin.
A cette annonce mes deux voisins enlevèrent discrètement leurs doigts de mon sexe.
Je vis claude lécher ses doigts en me regardant fixement.
J'étais vraiment mal à l'aise de cette situation mais aussi terriblement excitée...
Je m'éclipsais au toilette afin de nettoyer toute ma cyprine avant qu'elle ne tache ma robe. Quand je reçus à nouveau un message.
Alexandre :
"Je t'envoies tes deux admirateurs, tu vas les sucer, les branler jusqu'à les faire jouir, mais aucune pénétration c'est bien clair ?"
je répondis rapidement un oui en cherchant un moyen de me dérober de cette tache. Mais déjà mes deux voisins toquaient à la porte, j'ouvris et ils entrèrent tout en refermant derrière eux.
- Et bien Alexandre avait raison tu es une vrai petite salope.. Me dit marc.
- Oui il a aussi dit que tu allais nous faire une petite gâterie... Enlève ta robe! Me dit Claude tout en sortant son sexe de son pantalon. Marc ne tardait pas à faire de même.
j'enlevais ma robe et m'agenouillais. Les deux sexes pointaient face à mon visage, celui de marc était de taille normal, par contre celui de claude était plutôt large.
Marc m'attrapait par les cheveux et força ma bouche. Je commençais à le sucer en prenant soin de m'appliquer afin que tout ça soit rapidement terminer.
Je pris le sexe de Claude dans ma main et commençais à le branler.
J'étais comme ces salopes : à genou dans les toilettes, les fesses, le sexe et les seins à l'air, en train de masturber avec ma bouche et mes mains deux hommes que je ne connaissais pas il y 3 heures.
Pourtant cette situation m'excitait, ils m'avaient donné envie avec leurs caresses sous la table...
Je continuais de jouer avec ma langue et mes lèvres sur le sexe de marc, j'insistais sur son gland et descendait parfois sur ces couilles, puis je changeais et prenait le sexe de claude dans ma bouche et masturbais Marc.
L'envie était tellement forte, et c'est là que je compris pourquoi Alexandre ne voulais pas de pénétration, il voulait me priver de plaisir...
Mais je sentais mon sexe me démanger, gonfler de plaisir je ne pus me retenir de descendre une de mes mains entre mes cuisses, et de commencer à me caresser le sexe.
J'enfonçais mes doigts le plus profond possible et commençais des va et viens.
- Mais regarde moi cette petite salope, disait marc à claude, elle se touche tant elle aime ça...
- Tu vas nous prendre tout les deux dans ta bouche et te caresser m'ordonna Claude.
Je m'exécutais. Mes caresses m'avaient menée au bord de l'orgasme et je n'avais qu'une envie, continuer à me toucher.
Les deux sexes rentraient difficilement dans ma bouche, mais ils finirent par trouver un rythme en alternant.
Moi je continuais à me caresser, mon autre main étant libérée, j'en profitais pour me caresser les seins, titiller mes tétons déjà gonflés de désir, je ne pouvais m'empêcher de gémir. Et enfin je sentis l'orgasme arriver et je jouis intensément deux doigts dans mon sexe. Mes gémissement furent atténués par les deux sexe qui comblaient ma bouche.
Mon orgasme fis jouir mes deux voisins, Marc m'éjaculait dans la bouche:
- Avale! m'ordonnait-il. Ce que je fis à contre c'ur.
Claude m'éjaculait sur mes seins. Tout deux remontèrent leur pantalon et s'esquivèrent en me remerciant pour cette petite gâterie.
Je restais un moment à genou sur le sol, les seins pleins de sperme et le sexe humide de ma jouissance. Je me rhabillais, me nettoyais, et allais rejoindre les convives.
Mais Alexandre m'interceptait avant que je ne puisse atteindre le jardin.
- Viens avec moi ! M'ordonna-t'il. Je le suivis jusqu'à ma chambre.
- Alors tu as aimé ça ? Te faire traiter comme une salope ?
Devant mon silence il ajoutait.
- Répond moi !
- Oui.. répondis je humiliée.
- Oui quoi ?
- Oui j'aime me faire traiter comme une salope...
- Bien j'ai une autre surprise pour toi maintenant.
Il prit une des chaises de mon bureau et l'installait au milieu de ma chambre.
- Déshabille toi mais garde tes bas et ton porte jarretelle.
Je m'exécutais à nouveau. il me fis m'assoir sur la chaise, cuisses écartées, mains derrière le dos et m'attachait de façon à ce que je ne puisse pas bouger.
Puis il s'agenouillait et se mis en quête de lécher mon sexe.
Il embrassait d'abord tout mon sexe, puis il promenait sa langue entre mes lèvres, sur mon bourgeon, si bien qu'il m'excitait à nouveau.
Je me tortillais autant que je le pouvais sur ma chaise, essayant d'avancer mon bassin vers sa bouche pour qu'il me lèche encore plus fort et me pénètre de sa langue. J'avais envie de le sentir en moi, j'avais envie de sentir son sexe.
Mais au bord de l'orgasme, il se relevait. Il allumait ma télé et le lecteur dvd, et le film de nos ébats que j'avais pris soin de filmer à l'époque où je pensais pouvoir faire pression commençait à défiler.
- Voila ta punition pour avoir joui avec ces deux hommes, alors que je ne t'y avais pas autorisée ! Tu vas rester toute la nuit attachée devant notre petit film sans pouvoir te toucher. Sache désormais, que c'est moi qui décide quand tu dois jouir.
Sur ces mots il sortit de ma chambre. En colère je voulais crier pour qu'on me détache, mais je me ravisais aussitôt.
Si quelqu'un entrait il me trouverait tout d abord attachée, cuisse écarter, le sexe luisant de cyprine, complètement offerte, mais et surtout il remarquerait le film ou mon demi-frère me baise avec tant d'ardeur.
J'avais perdu toute la notion du temps, Alexandre avait pris soin d'activer l'option "repeat" du lecteur dvd, et le film défilait inlassablement sous mes yeux.
Et malgré moi, cela m'excitait et me frustrait de ne pas pouvoir me caresser.
Quand j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir...
Mon beau père entrait. j'étais pétrifiée. Il me détaillait en silence s'attardant sur mon sexe et sur ma poitrine, il refermait la porte derrière lui.
Le son de mes gémissements à la télé retint son attention. Il regardait le film quelques instants et se tournait ensuite vers moi.
- Et bien, Alexandre m'avait dit que tu étais malade et que tu étais montée te coucher... Il a bien faillit m'avoir...
Mais ne t'inquiète pas, je vais bien m'occuper de toi... Me dit-il tout en ouvrant la braguette de son pantalon...