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Proposée le 5/06/2010 par aldolaclasse
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Ce récit fait suite au pouvoir des femmes.
Durant plusieurs minutes, nous attendîmes, dans cette position que la responsable du dortoir nous donna comme instruction.
Ces animatrices, étaient choisies par la directrice pour leur perversité car il fallait qu'elles soient imaginatives pour varier les punitions.
Elle nous fit lever et nous aligner devant nos lits et dit :
"La rangée de droite vient se placer devant celle de gauche, vous vous mettez à genoux et vous commencez à branler vos camarades.
Le premier a éjaculer sera récompensé. Quant au dernier, il recevra une grosse punition. Les habitués connaissaient le style de récompense et surtout celui des punitions.
Pour mon premier soir, j'allais être branlé par un homme. Ce n'était pas pour me déplaire, d'autant que celui-ci était vraiment un habitué. Je sus plus tard, que cela faisait un mois qu'il était là.
Son épouse, dès le premier jour, avait sauté sur l'occasion pour le faire interner. Car il s'agissait pour lui d'un internement, tous les soirs depuis un mois, il devait dormir à l'institut. Au départ son épouse l'avait puni pour trois jours, mais devant les services que proposait l'institut (en matière de grosses queue), cette épouse avait décidé de prolonger la punition. Aucun motif n'est demandé, selon leur bon vouloir, les épouses décident d'étendre la punition. Et c'est là où la loi avait été particulièrement perverse, car les épouses faisaient ce qu'elle voulait. Je compris très vite que ce n'était pas sept jours mais beaucoup plus que j'allais de voir subir. Car mon épouse, femme merveilleuse, mais jouisseuse au possible allait trouver les prestations de l'institut particulièrement intéressantes.
Pendant que je pensais à tout cela, Hervé c'est l'homme qui était en train de branler me fît jouir. Pour la première fois, je jouissais grâce à la main d'un autre homme. Je trouvais ça délicieux et je me disais au fond de moi que cela n'avait pas que du mauvais d'être ainsi interné. Après tout, nous le méritons bien, et ce n'est pas la faute de nos épouses si nous avons de si petites bites.
Je commençais à comprendre tout l'intérêt de cette loi, une loi certes faite pour des femmes mais qui permettait à ces dernières de trouver le plaisir dans les bras d'homme oui, de vrais hommes à grosse bite.
Je ne suis pas le premier à jouir, mais heureusement pas le dernier en plus. Après que le dernier eut joui, Nina nous demanda de rejoindre mon lit, ne gardant que le premier est le dernier.
Elle se plaça au milieu de la pièce, une chaise à la main.
- C'est David le premier, félicitations assied-toi sur la chaise quant à toi Michael tu as été particulièrement lent et tu sais ce que l'on fait aux paresseux.
Visiblement c'était un habitué, car sans que Nina n'ait eu à dire quoi que ce soit Michael vint se coucher en travers des genoux de David.
- Je ne peux admettre une telle lenteur Michael, vous devez jouir plus rapidement et je dois vous punir sévèrement, je n'ai pas le choix Michael. Tu vas fesser son camarade jusqu'à ce que je dise arrêter. David commença la fesser, "plus fort" dit Nina "ou c'est toi que je fais fesser". Alors le bras de David se fit plus lourd sur les pauvres petites fesse de Michael, ce dernier se trémoussait de douleur, mais rien n'y faisait, David n'avait pas envie de prendre de fessée, il savait par expérience, pour l'avoir déjà reçu, combien cela faisait mal. À présent, Michael pleurait, il pleurait même très fort, comme un petit garçon qui vient de prendre une grosse fessée.
Je fus très surpris de voir nombre de mes camarades, qui venaient pourtant de jouir, bander à nouveau, à la vue de cette terrible fessée. Moi-même, je fus surpris de voir, que mon sexe était loin de trouver ça horrible, et que la vue de ce petit cul tout rouge et de ce garçon en pleur me troublait terriblement.
"Stop" dit Nina, "cela suffit". Je vois que certains de vous trouvent cela plutôt excitant. Mais cela n'est pas fini, ceux qui ont branlé tout à l'heure doivent se faire branler à présent.
Je m'approchai mon partenaire, ne mit à genoux comme tous mes camarades et je commençais à branler avec application, cela me procurait un plaisir terrible, mon sexe se mit à bander très fort. Nina s'en aperçut, elle vint vers moi et me dit,
- Tu aimes ça branler les queues.
- Oui madame c'est la première fois mais je trouve ça très bon.
- C'est bien, c'est très bien, je suis sûr que ton épouse saura te trouver un rôle dans les petits jeux qu'elle ne va pas manquer d'organiser chez elle.
- Vous voulait dire que je devrais branler des hommes devant elle.
- Bien sûr, pourquoi crois-tu qu'elle a choisi le dortoir des très petites queues. Elle veut, elle exige, je devrais dire que tu deviennes un véritable petit pédé et je pense que tu vas y arriver sans problème.
Pendant qu'elle me parlait, mon partenaire éjacula violemment, je prie toute sa giclée dans la figure. Nina sourit et dit :
- Cela est ton baptême, alors c'est bon ?
Je passais ma langue le long de mes lèvres ou ruisselait le sperme de mon partenaire.
- Oui c'est très bon c'est merveilleux.
Tu es en très bonne voie Pierre, tu vas faire des merveilles, ton épouse à beaucoup de chance, elle va avoir rapidement un bon petit bien soumis avec lequel elle pourra faire ce qu'elle veut.
- Oui Mme.