Expérience echangiste - chap 2

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Proposée le 14/05/2010 par titou7564

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Après notre expérience avec Lucien et Sophie dans la boite ? voir épisode 1 - nos rapports se sont sensiblement améliorés.

Dans les jours qui ont suivis, nous étions redevenus un couple aimant et fougueux, nous avions retrouver notre complicité et l'envie d'assumer nos fantasmes.
Il n'y eu aucune scène de jalousie, pas de reproche, ni d'un coté, ni de l'autre.
Nous avions bien évoqué le fait de contacter nos nouveaux amis, mais y avions renoncés tant nous préférions qu'ils restent un simple souvenir, et puis l'échangisme n'était pas un but en soi, nous voulions simplement être bien ensemble.
De toutes façons, nous devions partir quelques jours plus tard en congés durant une semaine.
En effet, chaque mois de Juin, nous nous offrons une semaine de congés, seuls tous les deux, dans le Var. Nous apportons nos vélos, et passons nos journées entre les ballades et le repos sur une plage naturiste ou nous avons nos habitudes.

Le séjour avait fort bien commencé, nous nous entendions à merveille et le temps était magnifique.
Le deuxième jour, nous décidâmes d'aller faire un grand tour de vélo dans les collines avoisinantes.
Nous partîmes donc en fin de matinée avec la ferme intention de découvrir de nouveau endroits.
Vers 16h, nous décidâmes de nous rendre à notre plage habituelle afin de nous rafraichir. Il faut dire que cette journée était particulièrement chaude pour la saison.
Arrivés à la plage, nous étions un peu déçus de constater que nous n'étions pas les seuls à avoir eu cette idée.
Pour tout dire, la plage était bondée, et les vacanciers pas de toute première fraicheur. Il faut dire qu'au mois de juin, c'est l'époque du troisième age dans cette région !
Nous nous sommes malgré tout frayés un chemin parmi tous ces corps nus pour nous installer à notre tour. Après s'être dévêtus, nous avons pris un bon bain de mer, puis nous sommes installés sur nos serviettes pour une sieste bien méritée.
En fin d'après midi, la plage commença petit à petit à se vider, si bien qu'il ne restait plus que quelques personnes avec nous. L'air était un peu moins chaud, nous décidâmes de rester encore un peu. Nous étions remis de notre ballade à vélo, et le petit air frais qui commençait à faire son apparition, ainsi que la beauté du paysage et bien sur le corps dénudé de ma douce à mes cotés commençaient à faire son petit effet sur ma libido.

J'entrepris donc de me rapprocher doucement de ma femme afin de l'embrasser tendrement sur la bouche. Le petit goût salé que la mer y avait déposé ajoutait à la sensualité de la scène.
Elle ouvrit lentement la bouche afin de me tendre sa langue, je la pris entre mes lèvres et lui offris ma langue à mon tour.
Pendant que nous nous embrassions, à la fois si tendrement et si fougueusement, nos corps s'étaient rapprochés, puis touchés. Mon sexe avait alors effleuré sa cuisse, et il ne lui en fallait pas plus pour se réveiller de sa douce torpeur. Ma compagne, qui s'était rendue compte de mon état se tourna sur le coté et passa une de ses jambes par dessus moi et commença à me caresser le torse.
Les petits mouvement de sa cuisse sur la base de mon sexe achevèrent de m'exciter.
Je commençai alors à lui caresser le dos, doucement le long de la colonne vertébrale pour descendre jusqu'à son petit cul que j'aime tant, je m'attardais sur ses fesses en glissant par moment un doigt le long de sa raie. Elle fit alors glisser une de ses mains jusqu'à mon sexe pour le caresser délicatement, tout d'abord du bout des doigts, puis prenant ma verge à pleine main, en entamant des mouvements de va et vient. Dans le même temps, elle frottait son sexe humide et chaud d'avoir pris le soleil toute l'après-midi, sur ma cuisse.

Nous étions à deux doigts de passer au choses sérieuses, quand, ouvrant légèrement les yeux, je m'aperçus que, même si la plage s'était considérablement vidée, il restait encore quelques vacanciers qui profitairnt des derniers rayons du soleil, ainsi que pour certains, du spectacle que nous proposions bien involontairement.
Je dis alors à ma femme :
- Calmes toi , mon amour , y'a encore du monde.
- on s'en fout , qu'est ce que tu veux qu'ils fassent, qu'ils appellent les flics ?
Il faut dire que faire l'amour sur la plage malgré la présence d'autres personnes est un des fantasmes de mon épouse. Fantasme auquel je n'ai jamais répondu favorablement même si nous fréquentons régulièrement les plages naturistes. Je crois que j'ai toujours eu peur de la réaction des gens ! Beaucoup ne sont pas très ouverts à ce sujet !
Un rapide coup d'oeil autour de nous me permis de voir qu'il ne restait pas tant de monde que ça !
J'aperçus un peu à l'écart , un couple d'hommes, une femme seule, deux couples, tous plutôt éloignés de nous.
Seul un homme d'une trentaine d'années, à quelques mètres de nous semblait intéressé par nos activités, du moins si je dois en juger à son entrejambe qui me paraissait bien « enflée » !
- Y'a un type qui mattes, dis-je à ma femme, qui continuait pendant ce temps à me branler et à se frotter à ma cuisse.
- Il n'a qu'à se rincer l'oeil et se branler, ça lui fera un souvenir !

Je décidais donc de passer outre mes réticences et de recommencer à caresser ma femme, tout en jetant, par moment un petit coup d'oeil à notre voisin. Cela me rassura de voir qu'il ne paraissait pas choqué, mais plutôt amusé, c'est du moins comme cela que j'interprétai son sourire à chacun de mes regards.
Ma femme, qui semblait de plus en plus excitée, vint se positionner sur moi et s'empala sans difficultés sur mon sexe, et s'employa à insuffler de très légers mouvements à son bassin comme si elle voulait que cela dure des heures. Quand à moi, j'étais à la fois excité de faire enfin plaisir à ma douce, mais restait malgré tout inquiet de la situation.

Mon inquiétude ne fut pas atténuée, au contraire, quand je vis mon voisin approcher délicatement sa serviette pour s'installer juste à coté de nous. Il s'allongea et posa sa main sur son sexe.
Quand son regard croisa le mien, il plaça son index devant sa bouche, comme pour me supplier de ne rien dire, et commença tout naturellement à caresser l'épaule de ma femme.
Elle tourna légèrement la tête, et esquissa un léger sourire. Je crois, qu'a ce stade, elle était déjà trop excitée pour tout arrêter.
Notre invité surprise vit dans ce sourire une invitation, et se positionnant à genou à cote de moi, approcha son sexe de la bouche de ma puce.
Elle saisit son membre d'une main et commença délicatement à lécher le bout du gland.
Ses mouvements de bassin s'accéléraient de façon irrémédiable.
Sa bouche aspira la queue de cet étranger et amorça de longs mouvements de va et vient.
Son souffle s'accéléra, de petits cris étouffés sortaient du fond de sa gorge, tout son être vibrait.
Elle abandonna un instant le membre de son amant pour se concentrer sur son orgasme.
Il fut d'une telle violence, que je ne pus me retenir d'avoir le mien, même si cela me désespérait de ne pas pouvoir continuer ce petit jeu.
Valy s'écroula sur moi, comme épuisée de sa performance.

Mais c'était sans compter sur notre camarade de jeu, qui lui apparemment n'en avait pas fini avec ma femme.
Il se mit à lui caresser le dos, ainsi que les fesses, et prenant sa tête dans la main, l'amena jusqu'à son sexe, afin qu'elle le suce à nouveau.
Elle le reprit donc en bouche, en étant encore sur moi, mon sexe encore dans le sien.
Je trouvait la situation particulièrement excitante.
Au bout de quelques minutes, l'homme se retira, et se plaça derrière ma femme.
Il lui souleva le bassin pour libérer ma verge et la fit se positionner à quatre pâtes et positionna sa tête sur mon torse.
Il saisit alors un préservatif dans une petite sacoche posée sur sa serviette, l'enfila et pénétra ma chère femme.
Elle émit alors un râle trahissant son extrême excitation, et je me mis à lui caresser les cheveux comme pour accompagner son plaisir.
Son amant lui infligeait de longs mais profonds vas-et-vient et les soupirs de ma belle me redonnaient un peu de vigueur.
Je le voyais également poser une de ses mains sur la croupe de ma femme et pouvait imaginer qu'il glissait de temps en temps son pouce dans son anus. Les légères contractions de son bassin me confortaient bien vite dans cette idée.

Au bout d'un moment, il se retira, et je le vis diriger son sexe vers le petit trou de ma compagne.
Elle releva la tête, fit une grimace de douleur, mais il entra lentement dans son intimité.
Quelques mouvements suffirent à Valy pour atteindre à nouveau l'orgasme.
J'avais envie de la pénétrer en même temps que l'autre homme, mais j'avais peur qu'elle ne fut pas d'accord.
C'est alors qu'elle repoussa son amant pour se repositionner sur moi.
Son sexe avala le mien, et d'une main, elle fit signe à l'homme de reprendre sa position initiale.
Voilà donc ma tendre femme, si menue, prise par deux hommes, et elle semblait aimer ça, la garce.

Après de longues minutes de plaisirs intenses pour chacun d'entre nous, et surtout après un dernier orgasme de ma femme, l'homme se retira, et fit ma femme s'allonger sur le dos entre nous.
Il lui saisit alors les mains et les positionna sur nos sexes respectifs afin que celle-ci nous branle jusqu'à la jouissance.
Elle s'appliqua donc à sa tache, en nous gratifiant de quelques coups de langue bien agréables.
L'homme commença à gémir de façon intense et, se penchant sur le visage de ma douce, étala sa jouissance sur la commissure de ses lèvres.
Ma femme lui lécha le bout du gland, ne semblant pas être encline à autre chose.
Il fit pourtant de sorte de lui enfoncer son membre entier dans la bouche afin de parfaire son orgasme.
Cette scène provoqua en moi d'intenses vibrations, et je sentais l'éjaculation imminente
Ne voulant être de reste, je tournai la tête de ma femme en ma direction.
Elle s'empressa de me prendre en bouche, et de me caresser les testicules, tout en se caressant le clitoris avec son autre main.
J'ai alors joui intensément dans sa bouche, d'autant plus intensément qu'un nouvel orgasme la submergeait.
Elle a continué de me sucer jusqu'à ce que ma queue reprenne une taille normale.

Nous nous sommes embrassés puis tournés vers l'homme.
Elle l'a tout naturellement gratifié d'un simple "Merci pour ce bon moment."
Ce à quoi l'homme répondit "C'est moi qui vous remercient, ce n'est pas si souvent qu'il se passe quelque chose d'intéressant sur cette plage !"
Il nous proposa son numéro de téléphone que nous n'avons pas accepté.

Il faisait presque nuit.
Nous avons repris nos vélos pour rentrer à notre appartement.
Notre seconde expérience libertine venait d'avoir lieu.
Nous étions bien.