Le professeur n'est pas toujours celui que l'on croit

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Proposée le 13/05/2010 par loups

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Préambule: cette histoire peut paraitre un peu longue, mais j'ai essayé de faire vivre un peu mes personnages. J'espère que l'effet sera réussi...



*

Septembre 2006. Ma dixième rentrée des classes en tant que professeur de mathématiques, et cinquième dans cette classe préparatoire. j'aime mon métier, mais cela ne m'empêche pas de le trouver quelques fois sans surprises. j'avais imaginé que l'enseignement serait une sorte de long voyage initiatique, parsemé de rencontres qui changent une vie. En vérité, plus les élèves défilent et plus je perds mes illusions. j'en viens à accepter les stéréotypes, et même à les adopter.

Bien ancré dans mes habitudes, c'est donc sans excitation particulière que je me rends à ce premier jour, où effectivement rien ne se passe. Je devine déjà lesquels seront populaires, lesquels seront sérieux, lesquels m'amuseront un peu. Parmi les filles, je sais celles qui auront du succès, et celles qui chercheront sans doute à me plaire. Car c'est une constante, les jeunes filles qui se savent séduisantes cherchent toujours à en jouer pour mettre toutes les chances de leur côté, et je suis le plus jeune et sans me vanter le plus séduisant des professeurs qu'elles auront cette année.
Pour mon malheur, j'ai un physique de tombeur de minette : grand, plutôt musclé quoique un peu fin, et, selon celles qui ont osé m'accoster carrément, un air ténébreux « trop sexy ». Entendons par là que j'ai les yeux foncés, les cheveux noirs et une barbe qui a tendance à repousser trop vite. Je dis pour mon malheur parce que je n'ai jamais été trop attiré par les filles plus jeunes.

Étudiant déjà c'est parmi les amies divorcées de ma mère que je trouvais mes amantes, et aujourd'hui encore je reste persuadé qu'une femme d'expérience sera toujours plus bandante qu'une fille fraichement dépucelée au corps maladroit. Je ne me suis jamais marié, sans doute parce que je ne suis pas prêt à n'avoir qu'une seule femme. j'aime ma vie telle qu'elle est, et principalement sur le plan sexuel. Je m'amuse beaucoup avec mes partenaires, qui partagent généralement mon goût de la découverte et du sans attaches (du moins au sens figuré).

Mais revenons à mon année scolaire débutante. Je ne comprends pas comment ce jour là j'ai pu la manquer. c'est vrai, elle est jeune, pas du tout mon genre habituel. Elle doit avoir 18 ans, pas plus, peut-être moins. Et pourtant? Cette fille dégage une sexualité extraordinaire, sans même s'en rendre compte je pense. Sans doute les jeunes presque puceaux qui l'entourent ne peuvent s'en rendre compte, mais je vous assure que cette gamine est un appel à la débauche permanent et impérieux. Je ne l'ai remarquée que le deuxième jour, quand j'ai donné mon premier cours de maths de l'année.
Sarah était assise dans un coin de la classe, de sorte que j'avais une vue directe sur elle, je pouvais même voir ses jambes sous son bureau. Elle semblait fatiguée et n'avait visiblement pas pris le temps de se mettre en valeur ce matin là : pas de maquillage, une coiffure sommaire et un vieux sweat short pour accompagner un jean simple. Mais lorsque je commençais à parler, elle chaussa des lunettes trop grandes pour elle et riva son regard sur moi. Ses lunettes lui donnaient un vague air de secrétaire cochonne, comme on en voit dans les films du genre, et son regard sérieux déclencha en moi une impression bizarre. Intrigué, je regardais donc son visage de plus près : les yeux bleus, un regard ouvert, une peau claire qu'illuminait sa tignasse blonde, et surtout une bouche vivante et gourmande. Cette pensée fut immédiatement suivie de l'image de cette bouche autour de ma queue, j'imaginais sans le vouloir ses yeux plantés dans les miens pendant qu'elle me suçait avidement?

Le silence de la classe me sortit de mon fantasme imposé, et je pris conscience que cette petite m'avait tellement déconcentré que j'en avais arrêté mon cours. Je détournais donc mon regard, et dus me résoudre à rester à mon bureau le temps de calmer une érection fort mal venue. Le soir, seul dans mon appartement, je me suis repassé les événements, tentant de comprendre pourquoi cette fille m'avais fait tant d'effet. Certes, elle est mignonne, mais j'ai déjà eu dans ma classe des jeunes filles très jolies, et sans doute mieux mise en valeur, sans pour autant imaginer un instant la sensation de leur langue sur mon sexe. Et voila qu'encore une fois, à cette évocation, je me sens à l'étroit dans mon jean. Je revois ses yeux voilés part l'excitation, je me demande si elle aimerait sentir ma main appuyer sur sa tête, ma queue glisser au fond de sa gorge?

Je me masturbe avec résignation, en pensant que cette situation que visiblement je ne contrôle pas pourrait vite devenir gênante.

Les jours suivants, et même les mois suivants, préparé, je pu faire cour presque normalement, malgré quelques accidents, comme le jour où elle s'est présentée en jupe, et où ma vue sur ses jambes m'a forcé à me faire jouir, caché dans les toilettes comme un collégien, dès la fin du cours.

c'est vers le milieu de l'année que ma volonté fut vraiment mise à l'épreuve, car je devais voire chaque élève individuellement pour un entretien sur leur ressenti actuel et leur perspective d'avenir. Ayant vu le danger arriver, je m'étais préparé, et avais passé la nuit avec une vieille amie qui sait exactement comment me faire plaisir.

c'est donc vidé de toute frustration que je l'attends dans la salle vide. Les entretiens ont lieu le soir, après leurs cours, et elle est la dernière à passer ce jour là. Je manque de me sentir mal quand je la vois arriver : Un jean moulant qui m'oblige à admirer son cul lorsqu'elle se retourne pour fermer la porte, et un t-shirt un peu grand qui tente de masquer sa taille fine mais qui ne parvient qu'à dévoiler sa poitrine, assez menue mais très ferme. Je commence à voire l'attrait que trouve certains à la jeunesse de leurs partenaires. Elle met ses lunettes, s'assoit calmement et me fixe, attendant que je débute l'entretien. Je m'accorde quelques secondes pour arrêter d'imaginer son visage déformé par le plaisir et surtout le gout de son sexe, et me lance, très professionnel.
Mais il apparait très vite que j'ai sous-estimé cette garce : loin d'être inconsciente de son effet, elle semble jouer de ma faiblesse, sans même chercher à le cacher. Mouvements langoureux sans exagération, contacts fortuits suivis d'un sourire entendu' Cette gamine est douée, et je retrouve chez elle l'assurance que je pensais réservée aux femmes que je fréquente habituellement, avec quelques décennies d'une vie sexuelle libre et épanouie derrière elles.

Je termine mon entretien tant bien que mal, elle a l'air de bien s'amuser. Je lui dis donc qu'elle peut rentrer, elle me répond bien dans les yeux qu'elle voudrait rester un peu, finir un devoir ou je ne sais quoi. Puisqu'elle était la dernière, je n'ai aucune raison de refuser. Je me lève donc, victime bien-sur d'une grande perplexité : que faire ? Rester et tenter une approche ? La laisser travailler et considérer que son numéro de charme n'était que le fruit de mon imagination ? Je cherche sur son visage un indice, mais, maligne, elle se contente de me regarder, avec une pointe d'arrogance qui m'agace. Qu'est ce qu'elle croit ? Que je suis incapable de résister à ses charmes de débutante ? Elle va voire !

Je lui envois mon sourire le plus professionnel et quitte la pièce. Mais je ne peux me résoudre à m'éloigner de la porte. j'ai envie de lui faire ravaler son sourire arrogant, et ma nuit pourtant agitée n'a pas suffit à me calmer : Une érection naissante se fait sentir. Je décide donc, sans véritable plan, de retourner dans cette salle et de lui montrer qui est l'adulte ici, en espérant vaguement pouvoir profiter de la situation. Je sais, j'ai l'air d'un type affreux à ce moment, mais cette fille m'use depuis des mois.

j'ouvre la porte et la retrouve comme je l'ai laissée, dos à la porte. Deux choses me frappent alors : elle ne prend pas la peine de se retourner, et au dossier de sa chaise elle a laissé pendre son foulard, une pièce de tissus sombre qu'elle porte depuis plusieurs jours. Sans réfléchir, je saisis le foulard et le plaque sur ses yeux. Elle sursaute légèrement, puis sourit. Exaspéré par cette gamine qui semble penser tout contrôler, je la saisis par un poignet et la force à se lever, rapprochant sans le toucher son corps du mien. Le foulard noué sur ses yeux l'empêche de voir quoi que se soit, pourtant elle ne semble pas effrayée.
- Tu sais qui je suis ? (Je suis peut-être impulsif mais je ne ferais jamais rien à une femme sans son consentement.)
- Bien-sur. Mais pour nos relations futures je pense qu'il est mieux que l'on prétende que ce n'est pas le cas.
Alors que je reste stupéfié par son cran, elle tend les mains et touche mon torse. Elle me palpe, semble vouloir me situer, touche mon visage. Ses doigts courent sur mes lèvres, j'en saisis un et le glisse dans ma bouche, le caresse de ma langue et de mes lèvres. Je la vois serrer les cuisses et se mordre la lèvre. Ses yeux masqués lui font oublier que moi je peux la voire, elle ne cherche donc pas à cacher ses émotions.
j'abandonne son doigt et l'embrasse, doucement. Elle est réceptive, s'adapte à mon rythme. Je sens ses mains qui descendent le long de mon ventre dans une délicieuse caresse, pour s'arrêter au niveau de la ceinture, qu'elle défait calmement. Elle me retire ses lèvres et je la vois s'agenouiller doucement. Comprenant le message, je baisse mon pantalon et mon boxer, présentant une verge bien érigée face à son visage aveugle. Cette image empire mon érection. Elle tâtonne de ses mains et trouve vite mon sexe tendu, le caresse légèrement, sans doute pour le jauger. Elle semble satisfaite si j'en juge par le sourire qui éclaire sa bouche si sensuelle. Elle s'approche, et goute de la langue le bout de mon gland, avant de prendre ma queue dans sa bouche. Elle me suce doucement, avec application, prend ses marques. Quant à moi je ne crois pas avoir jamais été aussi excité. La réalisation de ce fantasme qui me poursuit depuis le début de l'année me parait irréelle, et pourtant je sens bien sa petite langue jouer autour de mon gland, je sens cette bouche toute chaude qui m'enserre? Je pose ma main sur sa tête, et constatant qu'elle ne semble pas rétive commence à la guider. Tout en aspirant ma queue, elle me caresse les couilles, les fesses, n'hésite pas à s'approcher de mon anus. Elle me prend complètement en bouche, je grogne d'aise et m'entendre l'excite, elle prend de l'assurance et me suce divinement, ma main sur sa tête est inutile tant elle à l'air d'aimer se faire baiser la bouche de la sorte. Conscient que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme, surtout avec elle, je la force à se relever et l'embrasse doucement, savourant le gout de sa langue experte.
Elle commence à se déshabiller, et parait déconcertée lorsque je m'éloigne d'elle.
« Continue. Je te regarde. »
Elle sourit et entame un striptease tout en simplicité. Elle libère d'abord sa poitrine, qu'elle caresse devant moi un instant. Je me retiens difficilement de me jeter sur ce ventre plat, sur les tétons érigés qu'elle roule entre ses doigts. Elle me tourne alors le dos et entreprend de faire glisser son jean, très lentement. Je découvre un cul splendide, paré d'un string noir simple mais efficace. Lorsqu'elle se penche pour finir de retirer le vêtement, je n'y tiens plus, je m'agenouille derrière elle et lui mord les fesses, je fais glisser son string et rapproche ma langue de son petit trou. Je l'entends gémir, elle a abandonné son pantalon à ses pieds et reste penchée, le buste sur le bureau. Je glisse ma main entre ses cuisses, caresse sa fente qui est déjà bien mouillée. Mon doigt s'attarde un moment sur son clitoris, elle se tortille, sa respiration est plus que saccadée. Je la doigte alors, brutalement, lui arrachant un cri de plaisir. Mes doigts s'activent dans sa chatte trempée et je suis hypnotisé par son oeillet, je me mets à le lécher avec envie. Elle n'en peut plus, elle me demande en bafouillant d'y aller plus fort, elle veut ma queue et elle le montre. Je m'amuse encore un peu et arrête de la doigter pour glisser ma langue jusque à sa chatte. Je me caresse tout en la goutant, ses gémissements me rendent fou. Toujours derrière elle, je me relève, pose une main sur ses fesses et commence à enfoncer un doigt dans son cul. Elle ne proteste pas, au contraire, et je l'embrasse violemment, elle à l'air d'aimer le gout du sexe. Mon autre bras l'encercle pour aller caresser son clitoris, elle tremble dans mes bras et gémis comme un animal quand je la pénètre de partout avec mes doigts. La main qui s'était glissée entre ses jolies cuisses en ressort trempée, je glisse un doigt dans sa bouche gourmande et manque de jouir et la voyant sucer mon doigt avidement. Le plaisir la rend de plus en plus salope, et j'aimerai faire durer le jeu mais ma queue est douloureuse à force d'être tendue, je crève d'envie de baiser cette cochonne.
Elle se retourne pour me faire face et recule jusqu'à la table. Elle s'y assoit en équilibre et m'attend, le souffle court, la chatte offerte. Je ne résiste pas plus longtemps. Je m'approche, glisse mes mains sous ses cuisses à la fois pour la soutenir et pour l'écarter au maximum, et la pénètre d'un coups. La sensation de son vagin étroit et brulant enserrant ma queue m'arrache un cri, elle mord autant qu'elle embrasse toutes les parties de mon corps que sa bouche peut atteindre. j'entame un va et vient lent et maitrisé, savourant le plaisir que m'offre son sexe avide. Je sens ses jambes se serrer autour de moi, elle essaie de m'imposer son rythme. Hors de question, je fantasme sur ce moment depuis trop longtemps pour lui abandonner les commandes ! Sadique, et surement aussi un peu masochiste, je me retire de son entrejambe si accueillante, la force à relâcher l'étreinte des es jambe et lui dit sèchement « Non ma belle, c'est moi qui décide. ». Elle trépigne, autant d'excitation de me voir autoritaire que de la frustration d'avoir perdu ma queue.
Je la saisis par la taille, la descends du bureau et la replace dos à moi, penchée sur la table. « Écarte les jambe. » Elle s'exécute, je me repais de cette image, puis me place derrière elle, la saisit fermement par les hanches et laisse doucement ma queue reprendre sa place dans son intimité si douce. n'y tenant plus, j'accélère le rythme, le bruit de ses fesses claquant sur mon ventre me rend fou. Elle grogne comme un animal, s'accroche à la table. Elle parvient à gémir « Défonce-moi ! », ce qui fait sauter toutes les barrières que je m'imposais encore. Je perds le contrôle et obéis à son désir impérieux, ma main claque son cul tandis que je la ramone dans les règles de l'art.
Elle n'en peut plus, et moi non plus d'ailleurs. Nos cris se mêlent, nous en oublions le risque de se faire surprendre dans ce lieu fort peu adéquat. Nos sexes sont trempés, sa mouille coule le long de ses jambes. c'est trop pour moi, je me retire et jouit sur ses fesses tendues vers moi. Elle s'effondre à moitié sur le bureau, je me laisse glisser par terre, dos au pied du meuble.

Après quelques instants, elle reprend ses esprits et glisse à tâtons vers moi, les yeux toujours cachés par le foulard. Elle se love contre moi, nos corps sont moites de sueurs et de sperme. Je retrouve son coté animal quand elle m'embrasse en propriétaire. Cette gamine tient de la chatte en chaleur et de la lionne sure de son territoire, j'en suis complètement fou.
Je lui demande si elle veut enlever son bandeau, elle refuse. Cela sera plus facile pour elle, elle gardera le souvenir d'une baise bestiale avec un homme invisible. Quant à moi, je suis condamner à la revoir chaque jour, à reconnaitre sous les traits civilisés la salope que j'ai aperçue lorsqu'elle se tortillait sur ma queue. Une torture !

Gentleman, je l'aide doucement à se relever, l'essuie tendrement et la rhabille, non sans profiter de ces derniers instants pour gouter sa peau et ses lèvres. Elle se rassoit là où je l'avais trouvée et je pars, comme si rien ne s'était passé.


Mais cette garce a de l'appétit, et je devais encore être surpris par son esprit joueur durant tout le reste de l'année scolaire?