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Proposée le 10/05/2010 par inca06
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Un troisième récit, encore un thème différent. Peut être suis-je en train de chercher mon terrain de préférences' Quoi qu'il en soit, j'espère que ce récit aussi saura vous combler?
ACTE 1
Maria était cadre commercial pour le compte d'une société qui investissait dans l'immobilier et plus particulièrement les structures touristiques de loisirs. Cette profession qu'elle adorait l'amenait à régulièrement se rendre à l'étranger. Et cette semaine, c'était en Tunisie qu'elle devait se rendre. Exceptionnellement, un autre cadre de l'entreprise avait été également missionné, pour l'aider dans la tâche que leur incombait : Acquérir un nouveau terrain que la concurrence convoitait également?.
Tous deux jeunes quinquagénaires, ils se connaissaient à peine, même s'ils s'étaient entrevus dans quelques réunions du groupe. Ils avaient pris leur avion à Nice Cote d'Azur et venaient d'atterrir à Tunis. Pierrot avait agréablement discuté et échangé avec sa collègue de travail durant le vol. Quant à Maria, elle avait apprécié les capacités professionnelles qu'il semblait montrer. Malgré tout, elle avait pensé quelques secondes qu'elle avait eu de la chance d'être accompagnée par cet homme dans cette mission ; elle aurait pu tomber plus mal, compte tenu des nombreux chasseurs de chipons qu'elle avait été amenée à côtoyer durant ces dernières années d'appartenance à ce puissant groupe immobilier.
Maria était mariée et n'aimait pas mélanger sa vie privée et professionnelle. Elle prenait donc régulièrement ses distances avec les collaborateurs, dès que le terrain devenait? Glissant.
Pierrot vivait en union libre, et avait rejoint le groupe il y a peu. Il tenait à réussir cette mission et comptait bien sur Maria pour l'y aider.
Après une interminable file d'attente, ils arrivaient enfin à a barrière douanière, où visiblement un policier ou un douanier faisait du zèle. Maria tendit son passeport, le type regarda la pièce à plusieurs reprises, avant de lui demander de bien vouloir attendre sur le coté. Pierrot qui était passé par la porte juste à coté eut la mauvaise idée de se manifester.
« Non sommes ensemble, c'est une visite pour notre boulot et tout est en règle. »
Il n'en fallu pas plus pour que les 2 agents qui arrivaient voir Maria ne lui demande de les suivre aussi.
Ça commençait bien !
Ils avaient été placés dans une petite pièce, une table, quelques chaises autour des murs, pas de fenêtre, juste une large glace. A coté de celle ci, une porte, qui faisait face à face avec la porte par laquelle ils étaient entrés, enfin, disons plutôt par où on les avait prié de bien vouloir entrer. Quelques minutes plus tard, leurs bagages arrivaient, portés par 2 agents peu aimables, qui ne les saluèrent même pas, ni ne répondirent à leur bonjour?
« Bonjour Messieurs Dames, je suis l'inspecteur chargé de votre affaire. Je vous serai reconnaissant de bien vouloir m'aider et donc, de dire toute la vérité, nous gagnerons su temps' »
Maria et Pierrot se regardèrent, interloqués !
« Mais c'est une erreur, que se passe-t-il ? Nous venons ici pour affaire? »
L'inspecteur levait la tête.
« Pour affaire, et bien justement, parlons en, de vos affaires. »
Ils le virent se diriger vers leurs bagages, ouvrir les valises sans vergogne.
C'était celle de Pierrot qui passait en premier. Entièrement vidée sur la table, un désordre régnait. On avait même fouillé sa trousse de toilettes, ce qui avait permis au douanier goguenard d'exhiber deux boites de préservatifs qu'il avait montrés à ses collègues avant de les déposer sur la table parmi les autres affaires..
Pierrot avait été un peu gêné, et n'avait plus osé regarder Maria dans les yeux après cela. Pour un gars sérieux qui part en voyage d'affaire, il venait de marquer de mauvais points pensait-il'
Malgré tout, il se sentait un peu plus fort, ce déballage n'ayant rien révélé.
Puis vint le tour de la valise de Maria. Là, les douaniers prenaient visiblement un malin plaisir à extraire une à une toutes les pièces de la valise. Il faut dire que rapidement tomber sur les sous-vêtements affriolant de cette femme, ils se régalaient. Exhibant les petites culottes en dentelles fines, les dépliant, montrant les soutiens gorge assortis à leurs trois collègues dans la pièce, Maria était folle de rage, et morte de honte?. Tous ces hommes qui la regardaient en même temps, dans cette situation, c'était intenable, sans compter Pierrot, qu'allait il donc penser d'elle?.
« Voilà ! Vous êtes content ? Vous voyez bien qu'il n'y a rien, que nous sommes en règle ! » déclara-t-elle lorsque la valise fut presque vide. L'inspecteur la regardait, surprenant alors le regard de Maria posé sur son vanity case qu'elle avait conservé en bagage à main.
L'homme s'approcha, prit le Vanity, puis entreprit de le vider sur la table.
Quelques produits de maquillages, divers accessoires de toilette et un petit coffret. Maria sursauta.
L'inspecteur ouvrait le coffret, pour en sortir aussitôt un sextoy qu'il montrait à ces collègues avec un plaisir non dissimulé. Le visage rouge tomate Maria baissa les yeux et fit silence?
L'homme avait sorti de la petite trousse d'autres produits dont les étiquettes ne pouvaient laisser planer le moindre doute. Gels et crèmes, Maria avait visiblement un penchant pour les plaisirs charnels.
« Laissez-nous partir, vous êtes content ? On est humilié et on a rien de mal dans nos affaires. ».
« C'est possible, peut-être, mais nous allons tout vérifier. Nos informations sont précises. » reprit l'inspecteur. Il décrochait le téléphone placé au mur, parlant dans la langue locale. Ses hommes avaient refait les valises, grossièrement, sans avoir manquer l'occasion de se faire passer toutes les dentelles de Maria entre leurs mains. Les valises venaient d'être bouclées lorsque entra une femme en uniforme, visiblement une de leur collègue. Les trois hommes quittèrent la pièce, entraînant Pierrot avec eux par la petite porte placée juste en face de l'entrée. La pièce gigogne était en tout point similaire à la première, même disposition, hormis la glace qui avait laissé place à un panneau de bois décoré?
Ils demandèrent à Pierrot de bien vouloir se déshabiller, tandis que l'inspecteur se dirigeait vers le mur mitoyen. Avec surprise, Pierrot le vit faire coulisser le panneau de bois, en fait articulé. De l'autre coté, c'était la glace, une glace sans teint, et l'on voyait très clairement Maria et la policière face à face.
« Vous avez de la chance, vous profiterez vous aussi. » lui dit l'inspecteur.
Maria n'en revenait pas. Voilà que cette femme flic ou douanière, qu'importe, venait de lui demander de se déshabiller. Elle savait que faire un scandale n'aiderait pas à résoudre la situation et elle commença à s'exécuter. Après avoir déposé sa veste de lin sur une chaise, elle avait fait glisser le zip de sa jupe avant de l'ôter. Elle avait conservé son corsage de soie légère, aux pans longs, ce qui masquait sa culotte. La femme lui indiqua d'ôter le corsage, ce qu'elle fit à contre c'ur. Elle était à présent au milieu de la pièce, avec pour seule et ultime fierté son soutien gorge et sa petite culotte. Des dentelles encore, des transparences, sans aucun doute une très bonne marque de lingerie féminine.
De l'autre coté, tous les hommes avaient le regard captivé du coté de la glace sans teint. Néanmoins l'inspecteur rappela à Pierrot qu'il devait lui aussi se dévêtir? En caleçon quelques secondes plus tard, il avait cessé toute manifestation lui aussi, espérant plutôt une fin rapide à ce cauchemar, tant il était certain de leur innocence réciproque à lui et sa collaboratrice.
Interloquée, Maria dégrafait son soutien gorge sous les ordres de cette femme qui l'humiliait chaque seconde un peu plus. Sa lourde poitrine s'affaissa un peu lorsque les deux bonnets furent enlevés. Sans aucun doute, un bon 95 C, qui révélait une poitrine splendide, de minces aréoles et deux beaux tétons bien formés. Deux beaux seins bien bronzés'
« Tu es une de ces cochonnes qui viennent s'exhiber au soleil ici et se faire sauter par nos hommes, toi. » lui dit la policière?
« Mais non, je ne vous permets pas ! ». Maria eut tord de répondre?
« Ah ? et bien, enlève ta culotte, allez, dépêche-toi ou j'appelle mes collègues pour t'aider. »
Pierrot assistait impuissant aux turpitudes de sa collègue. Il voyait les trois fonctionnaires qui étaient collés à la vitre sans teint et n'arrêtaient pas de causer entre eux? Malgré tout, il ne pouvait pas s'empêcher lui aussi de mater.
Maria avait fait glisser sa culotte, elle la tenait à la main, honteuse, humiliée au plus profond d'elle-même. La femme en face contemplait la toison de sa victime, bien taillée, brune, le sourire aux lèvres. Elle s'approcha de Maria, tout prêt, regardant ostensiblement la belle poitrine offerte. Maria avait peur? Ouf, la fille s'écartait, pour passer derrière elle maintenant.
« Écarte tes pieds, et de cinquante centimètres au moins ! »
« Après penche-toi et met tes mains par terre ! »
Cette fois, c'était l'horreur. Maria avait vu quelques films coquins, des films qu'elle aimait voir de temps en temps avec son mari, pour assouvir quelques fantasmes, mais là, c'était fou, c'était la réalité, c'était un cauchemar éveillée.
Comme un pantin, elle s'inclina, penchait son buste, sentant sa lourde poitrine pendre, et ses mains posées au sol, elle ne pouvait ignorer le regard de cette autre femme posé sur sa chatte, son intimité?
Les hommes rigolaient ouvertement, regardant par moment Pierrot, lui montrer leur index levé. Quant à Pierrot il ne savait plus où se mettre, sentait monter un début d'érection, que la scène lui provoquait irrésistiblement.
Maria avait fermé les yeux, attendant le pire. Mais non, contre toute attente, il n'y eu pas ce contact qu'elle redoutait, une main, un doigt, elle ne savait pas. Après quelques secondes dans cette position, la femme lui dit : "Très bien relevez-vous, vous pouvez vous rhabiller."
Rouge écarlate, elle s'exécutait bien rapidement.
Ce n'est pas sans un malin plaisir que l'inspecteur proposa à Pierrot de se rhabiller lui aussi. Il n'oublia pas de pointer du doigt le sexe à demi érigé et ajouta :
« Je vous souhaite un bon séjour? Et je vois que votre collaboratrice ne vous laisse pas indifférent ! Profitez-en, gros veinard !».
Pratiquement mis dehors de l'aéroport par les services de sécurité en quelques minutes, ils se retrouvaient à présent tous les deux sur le trottoir des arrivées. Totalement hagards, ils n'osaient pas se parler, n'osaient même pas se regarder. Bien-sûr, Maria ignorait que Pierrot avait tout vu derrière la glace sans teint. Mais l'un comme l'autre venait d'être profondément humilié et chacun en avait pris pour son grade, ayant dévoilé une partie de leur vie privé, voir intime, à un collègue de travail.
En montant dans le taxi qui allait les conduire à leur hôtel ils poussèrent un vrai ouf de soulagement, mais ne prononcèrent pratiquement aucun mot jusqu'à leur destination.
Chemin faisant, une cinquantaine de kilomètres, ils avaient chacun plongé leur regard vers les grands champs plantés d'oliviers qui bordaient la route. Et chacun revivait ces dernières heures silencieusement. Lui songeait à ce type qui avait sorti les boites de préservatifs devant sa collègue de travail, il songeait à la trousse intime de Maria, mais aussi à ce corps splendide qu'il avait pu voir et admirer de l'autre coté de la vitre. Elle, et bien elle revivait avec honte cette position sa croupe pointée vers le regard de cette policière, ses seins et son sexe, elle avait tout vu' Et cet inspecteur qui avait exhibé le sextoy et tous les produits intimes qu'elle avait. Qu'allait donc penser son collègue? Et les autres douaniers qui avaient tenu et montrer à tout le monde sa lingerie? Elle les détestait !
Enfin arrivés, ils s'étaient présentés à l'accueil et leur clé de chambre remise. Ils étaient dans deux chambres cote à cote, au quatrième étage. D'un commun accord, ils décidèrent de monter prendre possession de leurs gîtes, de se reposer un peu, et se donnèrent rendez vous pour le repas, vingt heures dans le hall de l'hôtel. En prenant ensemble l'ascenseur, un silence pesant s'installait de nouveau et Maria surprit Pierrot le regard posé sur son corsage.
« A tout à l'heure. » lui dit-elle en entrant dans sa chambre.
Chacun avait rapidement déballé sa valise et rangé soigneusement les effets sur les étagères. Pierrot alluma la télévision, un tas de chaînes étrangères, qu'il finit par éteindre au bout de quelques minutes. Il regardait les deux lits single, cote à cote, choisit celui le plus éloigné de la porte fenêtre qui donnait sur un balcon spacieux, puis s'allongea tel quel, savourant le calme et le silence. Il s'assoupit
Maria avait elle aussi tout rangé dans les placards, avait placé sa trousse de toilette dans la salle d'eau. Elle se sentait salie et choisie de prendre une douche. Elle en sortit pour s'allonger sur le grand lit qui meublait sa chambre, et s'endormit drapée dans la grande serviette de bain qu'elle avait conservé sur elle.
ACTE 2
Pierrot se réveilla vers 19h30, avec un creux à l'estomac. Il s'affaira à se refaire une figure, changea de chemisette, puis descendit dans le Hall de l'hôtel pour être certain de ne pas être en retard. Il était assis au bar lorsque Maria arriva quelques minutes plus tard. Elle était splendide, une petite robe d'été mettant en valeur son physique et ses formes agréables. Pierrot hésita puis lui proposa un verre avant d'aller dîner. Elle accepta volontiers, sensible à cette attention de la part de son collègue. Ils revinrent un peu sur les péripéties du voyage, sans entrer dans les détails. Maria avait l'intention de se plaindre auprès du Consulat dès son retour? Puis ils décidèrent d'aller prendre leur repas tout en préparant la journée du lendemain, première journée de tractations commerciales'
L'un comme l'autre connaissait parfaitement le dossier, et ils se mirent bien vite d'accord sur la stratégie d'attaque. Maria resterait un peu en retrait pour analyser la situation en temps réelle et valider les choix, tandis que Pierrot serait le technicien maîtrisant les composantes environnementales et techniques. Le repas tirait à sa fin, et après un café, ils s'attablèrent à la terrasse, afin de savourer ces moments magiques qu'offrent les lieux exotiques.
Une brise tiède caressait leur peau, la terrasse était à quelques dizaines de mètres de la plage, sur laquelle se déversait sans cesse les petits vagues poussées par le vent du large. Éclairage diffus offert par quelques torches accrochées aux murs, musique d'ambiance, c'était effectivement bien sympa. Sans compter l'absence de touristes, peu nombreux en cette saison.
Maria la première engagea la conversation sur le terrain glissant de leur arrivée à l'aéroport.
« Vous savez, je suis, comment dire, je ne suis pas ce qu'on pourrait croire. Cette trousse m'a été offerte par quelques amies, ces jours ci, à l'occasion de mon anniversaire. Je n'ai même pas fait attention à ce qu'il y avait dedans. »
« Oh vous savez, je ne portes aucun jugement. D'ailleurs je n'ai porté aucune attention à ce que les douaniers faisaient, tant j'étais traumatisé. » répondit Pierrot.
Ils finissaient leur cocktail de jus de fruits, et décidèrent d'aller dormir.
Arrivée devant sa chambre Maria souhaita une bonne nuit à Pierrot, qui se contenta d'un simple « Dormez bien, rendez-vous 8 heures au petit déjeuner. ». Elle entra puis referma sa porte après avoir jeté un dernier regard à son collègue.
Pierrot prit une douche rapide, et s'allongea nu sur son lit défait. Il faisait chaud. Il était plutôt content de cette fin de journée, et durant le repas il avait pris un plaisir certain à côtoyer cette femme pulpeuse. La nuit était silencieuse, il se surprit à écouter ce silence qui le changeait de la vie des villes. Le silence fut rompu par le bruit d'eau, la douche à coté. Aussitôt il sourit en imaginant sa collègue entrant sous la douche, dans la chambre voisine. Il revoyait défiler les images de leur arrivée, la fouille qu'elle avait subi, et lui derrière la glace sans teint.
Le bruit de la douche cessait rapidement et il allait s'endormir en imaginant sa voisine de chambre dans le plus simple appareil.
Autour d'un petit déjeuner copieux ils s'étaient retrouvés le lendemain matin. La discussion avait été centrée autour du programme de la journée et après avoir récupéré la voiture de location auprès du Desk de l'hôtel, ils prirent la route du premier site. Maria expliquait chemin faisant qu'elle avait très mal dormi, hantée par leur arrivée humiliante dans ce pays. Elle avait veillé tard, sursautant au moindre bruit, imaginant la police faisant irruption dans sa chambre.. Bref, elle était un peu traumatisée. Pierrot la rassurait tant bien que mal, et recentrait la discussion sur le premier terrain à acquérir. Ils y arrivait justement.
C'était un large vallon, donnant sur la mer, avec quelques restanques, comme on dit dans le Sud. Plantés d'oliviers, ces terrasses quasi naturelles pourraient offrir un habitat aéré, limitant les vis à vis, dégageant bien la vue sur la baie et la mer. Compte tenu du prix annoncé, ils discutèrent à peine, conscient de réaliser une bonne affaire pour leur groupe. Pierrot avait maîtrisé la dimension technique, et en dernière minute, Maria était même parvenu à grignoter un rabais de 5%. Ils prirent congés et reprirent la route après avoir signé les différents documents.
Pierrot prit la parole : « Quand pensez vous ? On s'approche de notre deuxième site et on s'arrêtera sur la route pour manger un morceau. » ?
« Oui tout à fait, un petit restau au bord de l'eau, ça sera comme des vacances. » enchaîna Maria. Une bonne heure plus tard, ils avaient enfin trouvé une guinguette, plus qu'un restaurant. La structure touristique dans le pays était vraiment limitée dès que l'on cherchait en dehors des grands complexes. Ils avaient dû manger au soleil, se contentant de l'ombre dispensée par deux palmiers déplumés. Le vent léger et plutôt tiède ne les rafraîchissait pas mais maintenait une température supportable. De plus, l'endroit était d'un point de vue visuel un lieu paradisiaque. Un long cordon de dunes, un petite plage déserte, une eau bleu azur, translucide, et personne.
- Maria, on a largement le temps avant de reprendre la route de prendre un petit bain rafraîchissant, de sécher au soleil, ça nous retapera, qu'en pensez vous ?
- Une excellente idée que vous avez là, mon cher? Heu, je m'en veux? Je suis bien stupide de ne pas avoir pris de change. Mais allez-y si vous voulez.
- Vous laisser ici seule ? Vous n'y pensez pas.
Pierrot avait eu les bons mots. A cette courte phrase, sa collègue en effet réalisa qu'elle n'avait pas du tout l'intention de se retrouver seule si d'aventure un nouvel imprévu arrivait.
« Oui vous avez raison. Et bien je viens avec vous. »
Pierrot attrapa un petit sac qu'il avait glissé le matin dans leur voiture de location, ils déposèrent leurs chaussures, puis marchèrent une bonne centaine de mètres au travers du cordon de dunes. Le sable était bouillant, il brûlait leurs pieds. Arrivés au creux de deux dunes, la mer à quelques mètres, ils se regardèrent.
« Extra ici. » et Pierrot ouvrit le sac, sorti un grand drap de bain qu'il étalait sur le sol.
« Si madame la Princesse veut bien se donner la peine. », il lui désignait la grande serviette bien étalée.
Cela eut le don de la faire rire et elle s'assit sans discuter. Debout à coté d'elle, Pierrot avait ôté sa chemisette puis ouvert son pantalon qu'il glissait sans retenu, laissant apparaître un caleçon aux motifs imprimés. Il s'assit alors, montrant son plaisir de laisser sa peau à l'air libre.
« Aahhh, quel bonheur ! »
Maria était un peu embarrassée. D'une part, sous ses vêtements elle sentait la chaleur monter et elle avait aussi envie de profiter des caresses de ce vent tiède venu du large. Elle hésita encore quelques minutes, puis finit par se débarrasser de son corsage et de sa jupe. Sans un mot, elle s'allongeait sur la serviette pour profiter de l'instant.
Pierrot avait délicatement gardé le silence, se gardant bien de la moindre parole ni du moindre regard. Il était resté allongé et faisait mine d'avoir les yeux fermé, des yeux bien entendu dissimulés derrière ses lunettes de soleil. Il détaillait discrètement sa voisine. La belle poitrine qu'il avait entrevu à l'aéroport était bien là, à coté de lui, à quelques centimètres, et s'il savait déjà que Maria aimait la dentelle, il pouvait en avoir un aperçu de belle qualité à présent. Elle portait d'ailleurs très bien ces enjolivures' Il suivait des yeux les courbes, des bras un peu potelé, mais bien proportionnés, un ventre qui sans nul doute avait dû enfanter, mais qui était encore bien agréable à contempler. Pierrot aimait la femme, il était de ceux qui pensent que le corps d'une femme est fait pour changer, que chaque période de la vie est une nouvelle étape, une autre forme de beauté, mais c'est toujours pour offrir des charmes différents et nouveaux. Et c'était bien là l'important à ses yeux.
Plus bas, elle portait un brésilien qui couvrait ses hanches larges. Sans trop de dentelles, juste du tulle. Il passa rapidement sur le mont de venus puis suivait les courbes des cuisses bronzées. Il finit de la passer en revue en contemplant les mollets musclés mais fuselés. Il se dit qu'elle devait faire encore un peu de sport?
Cet épisode l'avait quelque peu troublé et il préféra se lancer à l'eau quelques minutes, histoire de se rafraîchir les idées.
Maria l'avait vu se lever et le suivait des yeux le temps qu'il entre à l'eau. Il avait un corps svelte, élancé, pas un de ces cadres qu'elle côtoyait régulièrement en réunion ou repas d'affaire, au ventre rond et trop gras pour avoir le moindre intérêt. Depuis toujours elle avait détesté le look gros-gras, qu'elle associait aux gros dégoutants d'ailleurs' Il faut dire qu'elle avait dû tant de fois repousser leurs avances lourdes !.
Elle regrettait de ne pas avoir eu l'idée de prendre un maillot, mais bon, elle y songerait dès le lendemain se promit-elle.
Pierrot revenait quelques minutes plus tard. Il avait placé son ombre au dessus d'elle, si bien qu'elle ouvrit les yeux. Le corps de l'homme ruisselait de l'eau de mer, la peau perlée de mille et une gouttelettes lui fit de l'effet. Il fallait qu'elle chasse ces idées qui lui venait et vite. « Bon, je vous laisse 15 minutes pour sécher au soleil et il faut qu'on reprenne la route. », dit-elle en se levant. Sa lourde poitrine tressauta un peu et Pierrot appréciait encore les volumes lorsqu'elle remis son corsage.
Lui s'était drapé dans la serviette de bain et se séchait rapidement.
Dix minutes plus tard, ils roulaient.
« Vous avez eu une excellent idée, c'était un bon moment. », le félicitait Maria.
« Et l'eau était divine. », ajouta-t-il malignement?
Le deuxième rendez-vous de la journée avait été bouclé en moins d'une heure. Une petite baie déserte, un îlot juste au centre, et tout le terrain autour de la baie à acquérir? Sans aucun doute, une perle. Là ils n'avaient pas discuté sur les prix, d'autant plus qu'ils savaient un concurrent également intéressé par cet espace naturel à fort potentiel.
Ils rentrèrent à l'hôtel un peu fatigués de cette journée au plein air. Maria avait pris le volant pour le retour, Pierrot lui ayant proposé galamment. Ils n'avaient pratiquement pas parlé tout le long du chemin. Le retour était plus rapide, pouvant cette fois emprunter la route nationale.
Tout comme la veille, ils avaient dîné ensemble, toutefois, Pierrot avait à plusieurs reprises fait quelques plaisanteries qui fonctionnaient bien et Maria était ravie de tant rire. Et tout comme la veille, le repas s'achevait sur la terrasse du bar.
« Permettez-moi de vous proposer un léger cocktail pour achever cette journée. »
« D'accord Pierrot, mais je vous laisse choisir pour moi. »
Et ils trinquèrent à la réussite de leur première journée de travail.
Le cocktail était très léger, frais, se buvait bien. Une sorte de Gin Feez, amélioré de quelques liqueurs et arômes locaux. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et ils montèrent se coucher. Maria entra dans sa chambre, souhaita une bonne nuit à Pierrot.
Il était encore en train de regarder la télévision, à peine une demie heure plus tard, lorsque on frappa à la porte. En caleçon il allait ouvrir. Surprise, Maria était là, un peu confuse.
- Excusez-moi, je ne veux pas rester toute seule. Les angoisses me reprennent. Je peux rester un peu ?
- Mais bien sûr, entrez.
ACTE 3
Maria était venue avec une veste sur les épaules, mais lorsqu'elle le posa sur la chaise, Pierrot eut un autre aperçu. Elle était vêtue d'une merveilleuse petite nuisette, plus transparente qu'opaque. Si d'un premier coup d'oeil on pouvait voir qu'elle portait aussi une petite culotte pleine de dentelles et frou frou, Pierrot constatait aussi qu'elle avait les seins nus, sous ce tissu si mince.
Maria dût se rendre compte de l'effet produit et se sentit obligée de s'excuser.
- Je suis désolée, je n'avais rien pris d'autre pour dormir?
- Vous êtes ravissante et merveilleuse, ne vous excusez pas.
Il lui montrait le lit jumeau, à coté du sien.
« Vous êtes chez vous. »
La télévision continuait de dispenser sa pale lueur, c'était une émission de variétés locales, de médiocre qualité. Il faisait chaud dans la chambre, et tous les deux s'étaient allongés sur leur lit, pour rester un peu au frais. Pierrot avait la cervelle en ébullition. Cette femme splendide à coté de lui, dans une tenue plus provocante que sage, que voulait elle ? le tester ? l'allumer ? mieux encore ? Il ne savait que faire, songeant aussi à sa carrière.
Elle avait attrapé un magazine qu'elle feuilletait tranquillement.
Il hésitait un peu, puis prit la télécommande, commençant à zapper les différentes chaînes. Par chance, il trouvait rapidement un film qui pouvait l'aider à mieux cerner la situation'
Non pas un porno, mais le film semblait dégager un certain érotisme, et même s'il ne comprenait pas la langue locale parfaitement, l'atmosphère suffisait. Cela devait faire une minute qu'un couple s'embrassait tendrement sur une plage déserte. Il souriait, se rappelant leur fin de repas ce midi. Pas de réaction de sa collègue?
Il là regardait discrètement, ces seins lourds sous la nuisette, il n'en pouvait plus'
« Il faut si chaud, je vais passer sous la douche pour me rafraîchir. » et il fila dans le cabinet de toilettes. Il savait que son caleçon allait le trahir et en entrant sous la douche, il constatait que déjà son volume avait bien augmenté. La douche lui fit du bien, mais son cerveau était toujours en trans. Que devait-il faire? En s'épongeant, il eut une idée. Il laissa son caleçon sur place, se contentant de serrer une serviette de toilette autour de sa taille puis revint dans la chambre. Elle avait posé son magazine et regardait le film' Le couple avait quitté la plage et était dans l'eau, jouant à quelques effleurements savants. Pierrot tenta sa chance :
« Vous avez vraiment manqué un bon bain ce midi, c'était divin, cette eau tiède, un vrai régal. »
Elle sourit, se leva, pour ajouter « Je vais aussi passer sous la douche. »
Il était une nouvelle fois perdu, songeur? Le parfum de cette femme commençait en plus à flotter dans la pièce, ces formes lui revenaient sans cesse à l'esprit. Mais que faire? L'aborder, risque de perdre sa crédibilité, son emploi ? Mais aussi pouvoir la gagner, l'avoir.. ?
Pierrot n'eut pas longtemps à réfléchir. Maria sortait du cabinet de toilette, enveloppée comme lui d'une simple serviette de bain. Elle était arrivée au pied de son lit. Elle s'arrêtait, le regardait dans les yeux. Lui sentait sa gorge sèche? Droit dans les yeux, et elle dénoua la serviette, la laissant tomber au sol.
Il se redressa, lui tendit la main, elle se laissait glisser contre lui?
Elle se lova contre ce corps tiède et protecteur et lui l'enveloppait de son bras et la serrait contre lui.
Ils restent comme ça, de longues minutes, savourant la tiédeur des corps, appréciant le contact des peaux douces. Maria avait sa joue collée au torse de cet homme qu'elle avait rejoint. Lui, il caressait les cheveux de cette femme avec qui il avait envie de partager bien plus encore.
Il sentait les seins durs qui appliquaient une douce pression contre son ventre. Il devinait les pointes déjà durcies, et sa main quitta les cheveux de sa partenaire pour commencer à suivre les courbes du dos, les reins, la naissance des fesses bombées.
Maria avait fermé les yeux, savourait cette caresse qui lui faisant tant de bien. Cette main qui coulait sur sa peau, égrainait chaque centimètre avec douceur et souplesse, elle savait qu'elle allait succomber au désir. Pierrot explorait la peau douce des fesses, appréciait les beaux globes encore fermes, puis glissaient vers les cuisses. Il avait l'impression de la sentir ronronner contre lui. Elle avait entrepris de lui rendre la politesse et massait délicatement la poitrine du garçon, appréciant la chaleur diffuse de sa peau. Elle avait glissé son corps un peu sur le coté, libérant ses seins comprimés, mais également se libérant l'accès à la serviette nouée qu'il avait autour de la taille. Le regard pétillant, elle appréciait le résultat prévisible : une légère bosse s'était formée sous cette serviette éponge. Elle entreprit de lui lécher la poitrine, puis le ventre. Pour lui faciliter la tâche, elle avait aussi ouvert un peu ses jambes, livrant l'intérieur de ses cuisses aux savantes et douces caresses que lui procurait Pierrot.
Il ne lui en fallait pas plus pour aventurer sa main découvreuse vers le petit nid qu'il avait entrevu quelques minutes plus tôt. Une toison noire et épaisse, bien taillée en triangle.
Elle émit un gémissement de plaisir lorsque le contact direct contre son intimité fut établi.
D'un index baladeur, sans pression, il se contentait de suivre les courbures qu'il devinait cachées dans le buisson. Elle venait de dénouer le n'ud et de lui ouvrir la serviette. Il avait aperçu son membre, pas encore dressé, mais déjà gonflé d'envie. Il voyait Maria fléchir la tête, il sentait déjà la langue chaude le gober, elle le prit doucement en bouche, faisant jouer sa langue autour du membre enfin libre. Lui avait fermé les yeux quelques secondes, retenant un souffle de plaisir, pour aussitôt de re-concentrer sur son plaisir à elle.
Il avait déjà si bien travaillé les lèvres de cette femme que son index glissait sur son liquide intime. Sa liqueur chaude s'échappait de son ventre en fusion, elle avait commencé à onduler du bassin pour suivre les caresses qu'il lui prodiguait.
Elle l'avait à présent englouti complètement, sa langue faisait des prodiges, elle alternait de quelques succions, et l'homme avait du mal à garder la tête froide. Si elle continuait ainsi elle viendrait à bout de lui trop vite? Pierrot titillait l'orifice bouillant de sa partenaire, il explorait les lèvres intimes, emplies de liqueur, puis se décida à engager la pointe de son index. Maria se cabrait de bonheur.
L'homme se mit à rouler sur le coté, il ne voulait pas venir trop vite, il voulait d'abord la prendre une première fois, sentir le fourreau chaud enserrer son membre tendu. Elle le laissa prendre la direction des opérations. Il s'était glissé sur le coté, lui avait levé une jambe, et promenait son gland turgescent contre la fente excitée. Lentement, il la pénétrait, plongeant dans ce corps épanoui et chaud. Elle était tellement prête que le membre entrait en elle sans aucun effort, loin. Lorsque Pierrot débuta un très lent va et vient, elle gémit d'abord, avant de se redresser un peu. Elle regardait la tige qui entrait en elle, l'ouvrait un peu plus à chaque fois. Son regard était visiblement fasciné et son bonheur certain.
Pierrot avait penché sa tête et gobait à présent les tétons durcis. Ils les pinçaient entre ses lèvres, aspirait, malaxait la glande mammaire. Elle haletait, et lança alors sa main contre son clitoris gorgé. Elle pris son plaisir, le spasme qui la secoua faisant même sortir son amoureux d'elle. Lorsqu'il replongea en elle aussitôt, elle arc-bouta son bassin, une seconde onde de jouissance lui ravageant les entrailles. C'était trop pour lui, il ne pouvait plus tenir, et se laissa alors aller, libérant sa semence en longs jets tout en restant fiché au plus profond de Maria.
Ils restèrent enlacés, hagards, laissant un peu de répit à leurs corps plein de bonheur.
Au bout de quelques minutes, dans un échange de caresses mutuelles et de doux baisers, ils reprenaient leur tendre activité.
Pierrot s'était absenté quelques secondes dans le cabinet de toilettes pour se saisir d'un flacon d'une huile parfumée. Il avait délicatement placé Maria sur le dos, et commençait un massage après avoir copieusement arrosé sa main du liquide.
Il avait commencé par les chevilles, puis les mollets, arrivant aux cuisses. Du coin de l'oeil, il appréciait le buisson un peu en désordre, ce petit ventre qui avait été l'antre du plaisir, s'attardait sur ses seins. Elle avait vraiment une poitrine délicieuse qui témoignait de sa réactivité aux caresses. Il lui avait ouvert un peu les cuisses, caressait les haines du bout des doigts. Elle suintait encore leurs liqueurs d'amour, ce qui lui redonnait une envie manifeste. Il s'allongeait, commençant à humer ces odeurs charnelles, n'hésitant pas à glisser sa langue partout où il pouvait. Plus haut, il avait allongé ses bras, et massait les deux seins avec une certaine énergie. Elle lui caressait les cheveux, probablement en regardant son amoureux qui continuait à la lécher savamment.
Elle avait fini pour largement ouvrir ses cuisses, savourant cette langue qui passait entre ses lèvres, les écartaient, sursautant à chaque incursion autour de son bourgeon tout gonflé. Elle sentait également un index baladeur, qui avait un peu fouillé sa fente, mais qui à présent titillait sa rosette et se faisait de plus en plus pressant. Il lui aspira le clitoris gorgé, en même temps que son index se frayait doucement un chemin. Elle crispait ses doigts dans les cheveux de son amoureux. Elle sentait cette nouvelle porte qui s'ouvrait, son ventre commençait de nouveau à se contracter.
Pierrot la travaillait depuis un petit moment. Il avait senti son membre reprendre force et vigueur. Il savait aussi qu'il fallait encore préparer le chemin et à présent, il appuyait de son pouce sur ce muscle si résistant. Il était passé, après avoir profité du lubrifiant intime que lui offrait Maria. La phalange de son pouce continuait lentement à entrer, tandis qu'il aspirait le bourgeon encore et encore. Elle se raidit, son corps tout entier se mettait à trembler, elle refermait les cuisses, enserrant la tête de Pierrot, pour finalement jouir dans un long râle de bonheur. Il buvait la liqueur qui se libérait, goûtant avec plaisir le jus d'amour de cette femme. Il l'aspirait jusqu'à la dernière goutte. En retirant son visage, satisfait, il contemplait les chairs roses encore toutes excitées. Bien qu'encore essoufflée, Maria se redressait à son tour, pour goulûment aspirer le dard dressé qui lui était alors offert. Elle lui donna une dureté encore plus grande en quelques aspirations, avant de se retourner et de se placer à quatre pattes sur le lit, laissant sa croupe bien offerte. Il se plaçait derrière elle, promenait son membre le long de la fente, l'enduisant de lubrifiant. Puis il explorait la raie, donnait quelques petites tapes sur ces fesses rebondies, les ouvrant parfois d'une main ferme. Son gland était maintenant posé contre le muscle rond, il forçait doucement, guidait de sa main ferme pour aider la pénétration, pour la guider, pour la doser aussi. Il entrait lentement, voyant sa tige disparaître en elle petit à petit. Lorsque le va et vient commença, Maria se mordit les lèvres pour ne pas crier. Non pas de douleur, mais de bonheur. Il la limait au plus profond des entrailles, attrapant par moment les seins qu'il compressait, ou bien pinçant les tétons qui étaient dur comme des crayons. Ils étaient en sueur, l'atmosphère de la chambre était emplie de leurs odeurs sexuelles, de leurs plaisirs.
Maria avait de nouveau joui, lui avait senti les contractions du vagin, qui avaient d'ailleurs manqué de le faire exploser aussi. Il avait tenu bon mais à présent n'en pouvait plus. Il sortit du fourreau étroit, le sexe raide dans la main. Elle fit volte face, le prenant dans sa bouche. Il jaillit d'un seul coup, se vidant en plusieurs jets bouillants qu'elle aspirait et buvait avec ravissement.
Alors seulement, ils retombèrent sur le lit, exténués, pour s'endormir quelques minutes plus tard.