Un tour Aux iles

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Proposée le 9/05/2010 par inca06

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Second récit sur ce site, j'ai choisi un thème différent, à l'approche des vacances d'été.
Messieurs, n'ayez tout de même pas peur de laisser votre femme partir en bateau, Mesdames, n'ayez pas peur non plus, tous les skippers ne sont pas forcément comme celui-ci.


En demandant à Jean Pierre de l'amener en voilier, Maité savait qu'elle dépassait la simple intention de s'initier à la voile.
Ils avaient eu l'occasion à plusieurs reprises d'échanger sur d'autres thèmes bouillants, et régulièrement elle devait terminer ses échanges en passant sous une douche tiède et revigorante? Pour éteindre les torrides pensées qui surgissaient dans sa tête.

Ils se retrouvèrent ce matin, au Mouret Rouge, le petit catamaran était prêt et il ne leurs restait plus qu'à embarquer pour cette bonne balade.
Il y avait peu de vent, un beau soleil, et l'eau était déjà chaude pour la saison. Maité avait prévu un petit sac qui fut attaché au pied du mat. Elle portait un maillot une pièce, uni, tandis que Jean Pierre portait un caleçon et un T-shirt long. Lui aussi avait un petit sac avec une serviette éponge et quelques effets, simple réflexe de marin averti.

Le bateau avançait bien, sans aucune difficulté nautique. Déjà les gens sur la plage n'étaient plus que petits points. Il avait mis à profit ce laps de temps pour expliquer à Maité comment fonctionnait la voile avant, les réglages les plus important. On entendait le doux clapotis de l'eau fendue par les flotteurs. Avec le silence environnant, c'était déjà une magie qui s'opérait.

L'île Sainte Marguerite approchait, et ils allaient la contourner par l'Est, en s'écartant largement pour éviter les nombreux rochers de ce coin là. Les effets répétés des coups de vent d'Est avaient en effet sculpté cette pointe.

Ensuite, c'était cap au Sud, pour un bon moment. Laisser le chenal entre les îles sur sa droite, ainsi que l'île Saint Honorât, et rêver que l'on partait loin, vers cet horizon sans terre visible.

Le vent avait faibli encore un peu, et le bateau avançait à présent lentement, berçant son équipage. C'était idéal, une navigation facile, un doux soleil qui chauffait les peaux? Allongés sur le trampoline ils discutaient encore de quelques techniques de navigation, mais Maité avait surpris à deux reprises le regard de son skipper posé sur ses fesses ou sur sa poitrine. Cela ne l'étonnait pas, c'était même plaisant pour elle de voir l'intérêt qu'il lui portait.

Elle s'était de nouveau allongée sur le ventre, yeux fermés, et écoutait le bruit de l'eau qui glissait sous les coques. Jean Pierre passa sa main dans l'eau, puis la fit égoutter au dessus d'elle. Les premières gouttes paraissaient froide, elle ouvrait les yeux mais se ravisait aussitôt pour laisser faire. De son coté, lui profitait de la situation, admirant les fesses rebondies toute proche et cette plantureuse femme allongée à coté.

Il osait poser sa main encore mouillée sur le dos de Maité. Elle ne bougeait pas, sentait la fraîcheur appréciable prodiguée par ce nouveau contact. Bien vite, ce fut sur tout le dos, sa nuque, ses épaules, que courait cette main bienfaitrice. Il était aux anges, glissant affectueusement sa paume sur le tissu soyeux. Il sentait la peau chaude au travers et c'était une certaine frustration tout de même.

Alors, il se mit à rester plus longtemps sur la partie de peau découverte, le haut du dos, la nuque, les épaules, le bord du cou.

Déjà que la situation était de plus ouverte vers la liberté, les éléments naturels de l'eau du vent et du soleil étant des composantes primaires, voilà qu'il y joignait celle des sens'

Sa main avait séché, il fallait la retremper, aussitôt dit, aussitôt fait. Mais cette fois, il engagea un nouveau mouvement, partant des talons, remontant les mollets, puis les cuisses, explorant une nouvelle situation.

Il espérait qu'elle ne puisse rester insensible bien longtemps. Maité avait les deux jambes serrées, et sous ces nouvelles caresses, elle décidait de les écarter un peu, afin que les mains puissent passer plus librement entre les mollets, passer aussi le long des cuisses, un peu plus vers l'intérieur. Elle voulait profiter pleinement de ses délicates caresses pleines d'attention.

Lorsque la paume passa pour la première fois sur la courbe d'une fesse, elle ne pu s'empêcher de se mordre les lèvres pour éviter de lâcher un râle qui l'aurait trop vite trahi.
Lentement, il massait les deux fesses rebondies, faisant parfois glisser le tissu de quelques millimètres. La peau restait halée se disait il' Et souriant intérieurement, il se demandait même jusqu'où?

Ce fut le moment que choisit Maité pour demander un petit bain. Elle avait envie d'aller dans l'eau, de s'y plonger. Peut être aussi de calmer un feu intérieur qui la dévorait déjà. Jean Pierre arrêta le bateau, le plaçant presque dans l'axe du vent. Incroyable, c'était le désert ce matin, aucun bateau, pas même un pêcheur aux environs.

Maité se redressait, et si Jean Pierre eu le temps d'apercevoir les deux pointes qui tiraient sur le tissu du maillot, se fut très furtif. Elle était déjà descendue dans l'eau, nageant le long de la coque.
- Tu viens ? Dit-elle

Lui, il avait une sainte horreur de la baignade. L'eau et la mer c'était fait pour naviguer au dessus, ou pour pêcher en dessous. Malgré tout, il accepta, pour lui faire plaisir.

- Ok je viens, mais on ne lâche pas le bateau, toujours une main accroché. Répondit-il. Et avant de descendre, il attacha un bout d'une dizaine de mètres qu'il mit à l'eau et qui traînerait derrière. Par sécurité. Il savait aussi que cela lui permettra de mouiller un caleçon qui devait commencer à montrer des faiblesses'

Ils firent quelques mouvements, tournant un peu autour du bateau. Il l'entraîna entre les coques, entre les flotteurs. Il y avait une longue barre dessous qui permettait de s'accrocher sans aucun effort et facilement. De plus l'endroit était magique, empli des reflets de l'eau et du soleil, le clapotis de l'eau et une luminosité très spéciale.

Il ne sait pas, elle ne sait pas, qui a commencé et comment c'est arrivé. Le fait est qu'à un moment, les corps se sont frôlés, se sont touchés, et que cela déclencha un long baiser. Bouche contre bouche, ils s'embrassaient pendant quelques secondes.

Il passa une main autour de sa taille, la plaquant contre lui. Il sentait sa poitrine aux généreuses formes qui était à présent contre son torse. Il passait ses mains sur les hanches rebondies, redescendait vers les fesses.

Après ces minutes somptueuses, il remontait sur le bateau, et l'aidait à son tour à remonter à bord. Pas facile sans entraînement de remonter sur un bateau lorsqu'on est dans l'eau. D'ailleurs, il faut toujours y penser, avant de descendre se baigner. Comment vais-je remonter. La position était privilégié pour admirer le décolleté échancré, privilégié aussi pour apprécier les formes agréable de la poitrine de Maité soumises à la pression d'Archimède.

Ils étaient de nouveau sur le trampoline, tout mouillés d'une eau tiède et bien salée.
Il l'embrassa de nouveau lorsque Maité s'allongea sur le dos. Elle avait fermé les yeux, comme pour mieux sentir les lèvres posées sur les siennes, comme pour mieux apprécier encore ces instants.

Lui avait une tendance à laisser divaguer son regard, alternant entre les formes rebondies, ces cuisses généreuses et bien sûr le mont de venus qui se dessinait.

Il décolla sa bouche, s'assit, et entreprit de passer ses mains sur ce corps allongé. Elle frémit un peu, lorsque il passa sur ses seins, s'y attardant tout en souplesse et douceur. C'était des caresses, douces, dosées.
Il avait envie de dénuder cette poitrine, en voyant les tétons visiblement tendus qui dardaient sous le tissu.
Passage suave sur les épaules, juste le temps de glisser un doigt sous le tissu de la bretelle, faire glisser le tissu, dénuder l'épaule entièrement, puis l'autre épaule, toujours avec tendresse, en accompagnant cette fois de quelques bises posées sur le cou de Maité.

Jean Pierre se décidait à faire glisser tout le haut du maillot. Les bretelles avaient passé les coudes puis les poignets. Voilà, il pouvait à présent rouler lentement le tissu. Il le faisait doucement, le regard très attentif. Avec les yeux mi clos, Maité le regardait faire, scrutant dans ses yeux vifs le désir qui devait y être visible.

Le maillot avait été roulé jusqu'à la taille, il profitait de la vision qui lui était offerte. Une magnifique poitrine, aux beaux volumes bien formés. Quelques caresses supplémentaires avaient fini d'ériger les tétons à présent en feu. En titillant les petites aréoles brunes, il espérait qu'il la plongerait dans une envie encore plus forte.

Il pencha la tête, goba une pointe, sa langue jouait avec, pinçait un peu la chair durcie.
Il goutta l'autre, lui fit subir le même sort?

Lorsque sa paume glissa sur le ventre, passant par-dessus la boule de tissu roulé, elle se crispa un peu. Cette fois, elle savait, il allait passer sa main sur son intimité, il allait la mettre dans un état intenable.

Jean Pierre regardait sa main avancer. Du poignet, il appuyait un peu sur le mont de Venus, devinait la pilosité sous le tissu. Lorsque il referma ses doigts avec douceur, il sentit la chaleur toute proche. Le lent et doux massage qu'il prodiguait était divin. Le tissu était la dernière protection qu'elle pouvait avoir, mais il aimait beaucoup cette situation. Cela allait lui permettre d'exercer quelques nouvelles attentions.

Oui, il essayait de suivre le sillon, de suivre le contour des lèvres qu'il devinait gonflées.
Par moment, c'était quelques pressions pour aussitôt relâcher la tension qui s'exerçait.
Il saisit le tissu, le pinça pour avoir une prise solide, et il tira dessus, vers le haut, forçant le maillot à appuyer sur le sexe, à presser les lèvres gorgées d'envie.
Quelques minutes de ce traitement et Maité dodelinait de la tête, la bouche entre ouverte.

Il avait à présent l'intention de savoir où en étaient les choses. Glisser sa main sous le tissu, en aurait-il le droit ? Il essayait, les doigts se faufilaient sous le tissu roulé. La réponse fut éloquente, Maité cambrait ses reins, basculait son bassin vers le haut.

Il jouait un peu avec la pilosité, mais déjà il atteignait l'organe de plaisir. Pas besoin de chercher, il était déjà dressé, on le sentait durci, grossi. Il ne s'y attardait pas, préférant suivre le sillon plus bas. Les lèvres gorgées de cyprine allaient lui permettre de remonter ensuite, pour que la caresse soit plus douce encore, et surtout plus supportable.
Arrivé à la source de chaleur, il titilla, déclencha un spasme dans le corps de Maité.
Il avait pris assez de liquide pour revenir à présent s'attarder sur la petite boule d'amour.

Il s'allongea alors, l'embrassant sur la bouche, le cou, les seins, suçotant les tétons, et caressant le petit bourgeon.

Maité fit le geste elle-même. Repliant un peu ses jambes, elle ôta alors entièrement son maillot, libérant son corps totalement et l'offrant à la vue de son amoureux.
Ce buisson offert, il voulait le déguster. Elle sentait qu'il bougeait la tête, posait à présent sa bouche sur ses seins et descendait. Un coup de langue sur le nombril, dans le nombril, et rapidement il arrivait à son sillon' Les pressions délicates et douces qu'ils y apposaient étaient en train de déclencher un tourbillon de bonheur. Elle délivrait une liqueur d'amour abondante, qu'il goûtait, qu'il buvait, mélangé au goût salé laissé par la mer à la toison. Elle caressait ses cheveux, tenait la tête de son amoureux plaqué contre sa toison. Elle voulait que ça continue, c'était si bon.

Une première fois elle jouit, lorsqu'il avait introduit sa longue dans sa cheminée de plaisir. Elle s'était contractée, avait serré les cuisses, gémit très fort, il avait bu un flot de liqueur presque aussitôt. Elle était essoufflée, avait du mal à reprendre son souffle, mais il continuait. A présent sa langue virevoltait autour de la petite boule d'amour. Il l'aspirait parfois, la relâchant pour mieux la prendre encore. Elle devenait folle de plaisir? Et une seconde jouissance la submergea. Cette fois elle cria, elle avait l'impression que son sexe explosait, que ses seins étaient tirés avec force, son ventre ouvert.
Pantelante, sans souffle, elle plaqua sa main sur son sexe endolori.

Il l'embrassait, s'attardant sur son visage, caressant les seins doucement, pour la ramener à la vie et au calme. Le temps aussi de laisser à Maité le choix de la suite. Qu'avait-elle envie de lui faire, que voulait-elle faire à présent? Naviguer ? Rentrer au port ? Laisser libre court à ses envies qui déjà renaissaient au creux de son ventre ?