Parties exquises : Christine et Gérard.

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Proposée le 6/05/2010 par Bengu

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CHRISTINE ET GERARD

Vous pouvez commencer par lire le chapitre précédent.

Résumé des épisodes précédents
Lors d'une promenade coquine en forêt, Claire et Armand ont été rejoints par trois inconnus alors qu'ils étaient en train de faire l'amour. Elle s'est offerte sans retenue et a pris beaucoup de plaisir à être caressée par les quatre hommes. Claire et Armand ont accepté la proposition de les rejoindre dans une association qui regroupe actuellement quatre couples et qu'ils ont constituée pour donner un maximum de plaisir à leur épouses.
Nous les retrouvons lors de leur intronisation. Armand explique à Claire le caractère particulier de cette première rencontre. « A tour de rôle, selon un ordre déterminé par le hasard, une des femmes et moi-même formerons une chaise avec nos bras réunis. Tu y prendras place et nous t?offrirons à son mari. Il te donnera du plaisir avec sa bouche puis avec son sexe en retenant sa semence, ce qui est la règle habituelle dans le groupe. Ensuite le mari et toi porterez cette femme à votre tour et c'est moi qui lui donnerai du plaisir, de la bouche et du sexe. Mais, contrairement aux autres hommes, je devrai me répandre dans son ventre. c'est à moi que tu devras ton premier et ton dernier orgasme.
Le même scénario se répétera à l'identique pour tous les couples. »

Il est déjà tard quand Gérard déclare qu'une courte pause est nécessaire avant de continuer car la nuit s'annonce encore longue.
Nous nous retrouvons tous sous une douche commune avant de prendre une collation.
Nos mains, mais elles seules, améliorent notre connaissance des corps rassemblés ; elles savonnent qui se trouve à leur proximité. Elles ne cherchent pas à donner ou à prendre du plaisir, mais à délasser et à préparer les prochains rounds.
Le repas est léger et ne dure pas longtemps. Il répond au même objectif. Personne n'évoque ce qui vient de se passer ni les évènements qui restent à venir et la conversation n'aborde que des sujets superficiels.
Puis Gérard appelle chacun à reprendre sa place.
Lui-même et son épouse nous rejoignent au centre du cercle.
Au premier abord, Christine m'apparait comme une grande femme osseuse qui compense un physique un peu ingrat par beaucoup de gentillesse.
Mais je me surprends vite à apprécier la force de son regard et la qualité de sa peau qui est d'une extrême douceur. Son physique est celui d'une coureuse de fond ou d'une adepte du bodybuilding avec des jambes et des bras musclés et exempts de graisse, un ventre plat et ferme sous la main et des fesses dures et bien dessinées. Sa taille est fine mais peu marquée et sa poitrine est presque inexistante. Par contre, les tétons étonnent par leur volume et leur couleur foncée qui tranche sur la clarté générale du corps.
Christine déteste se voir épilée et elle n'a éliminé que les poils proches de l'entrée de sa vulve, à la demande pressante de son mari qui a pensé à son confort et à celui de ses partenaires.
Gérard lui est bien assorti et fait un peu homme des cavernes : grand, musclé et très velu. Mais pour l'instant, c'est son sexe que l'on remarque le plus ; il est en érection et ses dimensions surpassent celles de tous les autres mâles présents.
Visiblement, il toeimpressionne et tu as du mal à en détacher ton regard. A la fois inquiète et avide de le sentir en toi, tu reprends la position que tu commences à apprécier.
Gérard va directement à l'essentiel ; sa langue est également d'une dimension peu commune et d'une vigueur qui te permet d'avoir rapidement un nouvel orgasme.
Sans attendre, un peu comme s'il avait accompli un gage avant de pouvoir continuer, il se relève et s'introduit d'une brusque poussée directement au fond de toi.
Il t?a fait mal et tu cries de surprise.
Tu attendais plus de ménagements, mais il continue à se démener comme un forcené sans tenir compte de tes protestations. Il avait raison car tu l'encourages bientôt et tu lui demandes encore plus de brutalité.
Tu t?es adaptée au membre surdimensionné et la douleur du début laisse place au plaisir. Pas forcément plus intense, mais différent de celui que tu es habituée à recevoir.
Les mouvements de Gérard se font plus doux et mieux maitrisés. Tu sens sa verge repousser les parois de ton vagin et le remplir complètement. Ta jouissance se renforce progressivement.
Gérard joue avec ton plaisir et le module à son gré. Il le laisse t?envahir puis le fait redescendre. Ton ventre brule et tu ne sais plus où tu en es. Tu n'as qu'une hâte quand ton plaisir diminue, c'est qu'il revienne à nouveau. Et il revient effectivement, toujours plus fort, toujours plus longtemps...
Et tu cries,? et tes jambes prennent ses reins,? et tu cherches à l'absorber plus encore,?
Quand il est certain de t?avoir bien fait jouir, il se retire sans laisser aux spasmes le temps de se calmer et laisse ta vulve pleurer seule le vide qui l'habite.
Ton bassin reste agité de mouvements que tu ne maitrises pas alors que tu portes Christine depuis déjà plusieurs minutes.
Elle s'offre à ma bouche.
Ses réactions montrent qu'elle n'est pas vraiment passionnée par cette pratique. Je déploie toute ma science pour un résultat qui reste décevant.
Ma virilité en pâtit ; Sophie s'en aperçoit et intervient pour que mon sexe déploie à nouveau ses charmes.
Jean-Claude aussi vient nous prêter main-forte. Il connait bien Christine et sait que ses mamelons sont d'une sensibilité extrême. Il les fait rouler dans ses doigts pendant que je caresse ses fesses qui semblent encore durcir. j'aventure un doigt autour de l'anus et le pénètre doucement pendant que ma langue continue de préparer le passage que ma verge va bientôt emprunter.
Christine répond à l'effet conjugué de nos caresses ; elle y prend du plaisir, mais il est évident que je ne l'amènerai pas à l'extase de cette manière.
Je me relève et la pénètre. Je m'attendais à la trouver distendue par le membre surdimensionné qui la visite habituellement et je m'étonne de me sentir à l'étroit.
Elle mouille beaucoup, mais son fourreau parait dur et un peu rêche. l'effet est surprenant, mais plutôt agréable.
Elle me demande de rester sans bouger et de la laisser faire.
Nos corps sont immobiles et pourtant je sens ma verge effectuer des va-et-vient. En réalité, c'est son vagin qui se déplace lorsqu'elle alterne contractions et relâchements.
A force d'exercices, elle est parvenue à transformer son sexe en un manège enchanté qui m'aspire ou me repousse.
Le plaisir qu'elle se donne de cette manière est aussi puissant que celui qu'elle me dispense.
c'est la première fois que je vis une telle expérience et je manque d'être surpris par ce massage étonnant ; la sensation est si forte qu'elle a failli m'arracher un orgasme.
Heureusement, je réussis à me reprendre à temps et j'apprécie la vitalité et la chaleur du sexe qui continue à me malaxer.
Dans cette position, mes mains peuvent atteindre les seins et mes doigts triturent les tétons qui durcissent et se développent encore.
Longtemps, je parviens à laisser Christine agir selon son souhait. Puis mon corps ne veut plus respecter la consigne qui lui a été donnée. Mon bassin s'avance au devant du sien et oscille en cadence.
Son sexe s'adapte à cette situation et magnifie encore le plaisir que nous ressentons.
Elle chantonne sa jouissance et continue à se concentrer sur le travail de son ventre.
Mais elle en perd progressivement le contrôle et elle se relâche brusquement. Son cri jaillit sans que rien ne semble pouvoir l'arrêter, sauf pendant les courts instants où il lui faut reprendre son souffle.
Elle ne maitrise plus du tout ses muscles intérieurs et je la pilonne maintenant avec violence. Son cri forcit encore quand je me répands dans son ventre, puis s'arrête brusquement.
Toujours accouplés, nous restons un moment hébétés.
Je ressens à nouveau les contractions qui me massent au plus profond de son corps tandis qu'elle se remet à chantonner.
Le massage est plus doux et prépare ainsi notre séparation.
Je me recule lentement lorsque qu'elle expulse mon membre encore rigide.