Parties exquises : Sophie et Jean Claude

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Proposée le 4/05/2010 par Bengu

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Suite des parties exquises avec Charlotte et Alex

SOPHIE ET
JEAN-CLAUDE

Résumé des épisodes précédents
Lors d'une promenade coquine en forêt, Claire et Armand ont été rejoints par trois inconnus alors qu'ils étaient en train de faire l'amour. Elle s'est offerte sans retenue et a pris beaucoup de plaisir à être caressée par les quatre hommes. Claire et Armand ont accepté la proposition de les rejoindre dans une association qui regroupe actuellement quatre couples et qu'ils ont constituée pour donner un maximum de plaisir à leur épouses.
Nous les retrouvons lors de leur intronisation. Armand explique à Claire le caractère particulier de cette première rencontre. « A tour de rôle, selon un ordre déterminé par le hasard, une des femmes et moi-même formerons une chaise avec nos bras réunis. Tu y prendras place et nous t?offrirons à son mari. Il te donnera du plaisir avec sa bouche puis avec son sexe en retenant sa semence, ce qui est la règle habituelle dans le groupe. Ensuite le mari et toi porterez cette femme à votre tour et c'est moi qui lui donnerai du plaisir, de la bouche et du sexe. Mais, contrairement aux autres hommes, je devrai me répandre dans son ventre. c'est à moi que tu devras ton premier et ton dernier orgasme.
Le même scénario se répétera à l'identique pour tous les couples. »


Enjouée et toujours d'accord avec tout ce qu'il dit ou fait, on voit bien que Sophie est vraiment amoureuse de Jean-Claude dont elle quête en permanence l'approbation silencieuse.
A quarante quatre ans, elle est très attirante, avec ses cheveux blonds taillés courts et son joli visage aux traits doux et réguliers. Son regard, à la fois candide et effronté, laisse entrevoir les plaisirs à venir.
Petite et menue, elle a la taille fine et des seins sur-développés par rapport au reste de son corps. Ils semblent ne pas vouloir rester en place lorsqu'elle bouge et donnent en permanence un spectacle très excitant. Elle ne parait pas spécialement sportive, mais son corps est tonique et ferme. Elle a de très jolies cuisses, bien que recouvertes d'une mince couche de cellulite. Ce défaut la rend presque plus désirable. Elle a gardé ses bijoux, un tour de cou en or et une chaîne de même métal qui marque bien sa taille et la fait paraître très fine.
Par précaution, elle a également conservé ses chaussures qui lui étirent le mollet et la cheville. Malgré cela, elle reste plus petite que moi et cette différence de taille constitue une difficulté que nous parvenons aisément à surmonter.
Ayant déjà vécu cette situation, tu trouves mieux ta place dans nos bras réunis et tu t?apprêtes à savourer pleinement la vigueur que Jean-Claude t?a refusée lors de notre rencontre.
Comme ses prédécesseurs, il commence par apprécier la vision qui lui est offerte et ses mains en vérifient la réalité.
Puis il revient bientôt au scénario écrit par Gérard et ton sexe crie bientôt sa jouissance dans sa bouche.
Une, deux, trois fois' Il te laisse reprendre tes esprits et revient à la charge jusqu'à ton prochain cri.
Nous te tenons fermement pour éviter que tu tombes lorsque ton corps se raidit.
Jean-Claude se relève et laisse voir entre tes cuisses ouvertes son membre qui est prêt à te prendre.
Il est tel que ta main l'avait imaginé sous la table du chalet.
Long et esthétique dans ses proportions, moins fin que celui avec lequel tu viens de faire l'amour et moins fort que le mien. Et ses testicules sont très gros, plus qu'ils apparaissaient dans la combinaison de ski.
Tu l'aspires et son membre se noie dans ta vulve.
Il s'enfonce d'un seul coup et s'arrête au fond de ton intimité. Il ne ressort pas complètement avant de repartir à l'assaut.
Il ne pouvait pas savoir que ton imagination t?avait autant préparée et ton orgasme le surprend par sa violence et sa rapidité.
Il continue à te labourer le ventre pendant que tu jouis et il accélère progressivement le rythme jusqu'à ce que tu prennes un nouveau plaisir.
s'il écoutait son sexe, il continuerait jusqu'à sa propre explosion qui ne saurait tarder, mais il sait qu'il n'a pas le droit de le faire et il se retire pendant qu'il est encore temps.
A nouveau tu examines entre tes cuisses la verge qui t?a si bien fait jouir et qui a conservé intactes sa raideur et ses dimensions. Déjà tu regrettes son départ que tu juges prématuré. Sophie et moi te soutenons toujours et tu continues à t?exposer impudiquement pendant quelques minutes encore. Nos compagnons s'hypnotisent de ta vulve qui est animée de mouvements sporadiques comme pour rappeler vers elle le sexe qui l'a délaissée.
Une fois debout, tu te tournes vers Jean-Claude. La vue de sa verge toujours dressée ranime la boule de chaleur dans ton ventre et tu ne peux t?empêcher d'y porter la main. Tu tressailles lorsqu'il te prend le bras pour porter Sophie.
Son sexe est extraordinaire par sa forme et ses dimensions. Il semble n'avoir pas vieilli avec elle et être resté la même que celui de ses dix ans : un demi abricot très lisse posé sur le pubis, tout juste fendu par une ligne très fine et très courte.
Je le contemple, subjugué, avant que ma bouche en prenne possession.
Charlotte filme en gros plan les lèvres qui suivent les mouvements de ma langue et qui se referment aussitôt après son passage.
Elle ne résiste pas à l'envie de réaliser un panoramique du corps hâlé et s'arrête plus longuement sur les seins volumineux et sur l'expression de bonheur tranquille du visage.
Seul Jean-Claude aurait pu deviner l'imminence de l'orgasme. Je sursaute lorsque Sophie se raidit brusquement et se met à crier. Son cri se transforme en gémissement quand ma langue poursuit sa caresse malgré les cuisses qui s'ouvrent et qui se referment convulsivement.
Son sexe est si doux et l'odeur qui s'en échappe si suave que j'y reste enfoui jusqu'à la crise suivante. Il est trempé à l'intérieur, mais aucun liquide ne s'en échappe.
Ma langue le quitte et j'admire une nouvelle fois le fruit qui s'offre à moi.
Charlotte filme en gros plan. Mon gland glisse doucement sur l'abricot et l'entrouvre à peine. Sophie cherche à m'attirer en elle ; elle tend son bassin et me supplie de la pénétrer. j'attends qu'elle ne puisse plus contrôler son excitation pour la satisfaire.
Il faut que je pèse fortement pour m'introduire dans son vagin. Il est charnu et assure une pression continue sur toute la longueur de mon membre. Sa chaleur me surprend par son intensité.
j'y retrouve la même sensation de vaguelettes que dans le tien et j'y reste un moment arc-bouté.
Le caméscope suit le mouvement de mes mains pendant qu'elles partent à la découverte du corps.
Je masse ses seins volumineux dont l'élasticité n'est pas feinte et dont les mamelons durcissent sous ma caresse. Je descends lentement vers son ventre et ne m'arrête qu'à la rencontre du fruit duveteux.
Je guide ses mains et je les place de part et d'autre de nos sexes réunis.
Elles suivent ou précédent les miennes, glissant sur les lèvres écartelées et égratignant au passage la verge qui les transperce et mes testicules gonflés par le désir.
Nous pourrions presque croire à un troisième larron.
Sans cesser cette caresse, je vais chercher à l'intérieur du sexe la volupté que j'ai déjà trouvée à son extérieur.
Pour mieux en profiter, je reste à surfer sur les vaguelettes durcies par le désir. On dirait presque qu'elles vibrent et qu'elles entrent en résonance. l'effet est prodigieux.
Sophie ne me quitte plus des yeux. Je lis dans son regard la jouissance qui la possède et que je laisse éclater sans rien changer à la caresse intérieure.
Puis je modifie le rythme et l'ampleur de mes mouvements. Je m'impose d'aller et venir le plus lentement possible.
La caméra s'attarde un moment sur nos visages avant de zoomer sur nos sexes réunis. Mon gland tient toute la largeur de l'écran de contrôle. On le voit briller de plaisir à chaque fois qu'il ressort et forcer l'entrée étroite lorsqu'il plonge pour rejoindre la profondeur de sa féminité.
A chaque fois, la chaleur de son ventre m'aspire plus loin et les vibrations nous secouent du même plaisir attendu.
j'accélère progressivement et son bassin vient de plus en plus fort à ma rencontre. Les stries continuent leur ?uvre et ma verge ouvre une nouvelle porte au plus profond.
Sophie s'agite et respire avec difficulté. Je vois son corps se tendre. Je laisse ma semence se répandre et je crie mon plaisir en même temps qu'elle.
Nous restons quelques minutes sans pouvoir bouger avant qu'elle soit ramenée à terre ; elle dépose un baiser sur mes lèvres et retrouve les bras de son mari qui l'enlace tendrement.