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Proposée le 29/04/2010 par Marc Paul
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Cette histoire fait suite au chapitre II du récit d'une femme frigide, bonne lecture.
Depuis sa rencontre avec Pierre, Marie-Claire avait collectionné les aventures. Il ne passait pas un mois sans qu'elle ait un nouvel amant. Ces relations avec tous ces hommes étaient très brèves, une recherche sur internet, une ou deux rencontres pas plus dans un hôtel ou bien chez son amant du moment, jamais chez elle.
A l'automne, elle décida de consacrer un budget conséquent à renouveler sa lingerie. Si elle s'habillait maintenant de façon plutôt sexy, elle se rendait compte que la sage lingerie de sa vie d'avant ne convenait plus à la nouvelle vie qu'elle s'était faite. Plus d'une fois un de ses amants de passage avait semblé surpris de ses culottes en coton blanc, de ses sages soutiens-gorge et de ses collants.
Elle entra dans un petit magasin de lingerie du centre-ville un samedi en fin d'après-midi.
La patronne se dirigea vers elle. Marie-Claire fut un peu surprise car la femme ne correspondait pas vraiment à l'idée que l'on se fait d'une vendeuse de lingerie féminine. La cinquantaine, la patronne était grande, elle faisait bien une tête de plus que Marie-Claire, charpentée, un peu forte, elle avait une ossature imposante et un peu masculine. Son visage carré, ses grosses lunettes d'écaille et ses cheveux blonds coupé en brosse accentuaient son aspect masculin. Elle avait des mains énormes dont les doigts se terminaient par des ongles longs vernis d'un rouge sombre. En la regardant, Marie-Claire se dit qu'elle devait peser près du quintal. Elle portait une robe noire, fermée sur le devant par quelques boutons pressions. Sa poitrine était à l'avenant du reste de son corps. Énormes, ses seins tendait la robe au point que l'on s'attendait à voir lâcher les boutons pressions et ces deux obus jaillir de son vêtement. Ses hanches larges surmontaient une paire de jambes fortes mais bien dessinées. Un collier en or complétait le tableau et disparaissait dans la vallée profonde entre ses deux énormes seins. Il se dégageait de l'ensemble de sa personne à la fois une masculinité importante malgré sa tenue et aussi une autorité incontestable.
Elle demanda à Marie-Claire ce qu'elle désirait. Marie-Claire lui décrivit ce qu'elle cherchait, boxer, soutiens-gorge, porte-jarretelles, guêpières et bas, le tout dans ce qui se fait de mode et de plutôt sexy.
La patronne répondit avec un sourire entendu :
- Je vois. Puis s'adressant à la vendeuse. Clarisse ! je vais dans le salon n° 1, je vais m'occuper de madame.
La vendeuse répondit avec un sourire bizarre :
- Bien, Nadia, je m'occupe du magasin. Prenez votre temps.
Nadia, puisque la vendeuse l'avait appelé comme cela, entraîna Marie-Claire dans un couloir derrière un rideau et ouvrit une porte sur laquelle était marqué un « 1 » à la peinture. Elle expliqua de sa voix grave :
- Pour le confort de mes clientes, j'ai fait aménager ces petits salons afin qu'elles soient plus à l'aise pour essayer leurs achats. c'est plus intime que de faire ça au milieu de la boutique. Qu'en pensez-vous ?
- Vous avez raison, c'est une très bonne idée et on est sûrement plus à l'aise que dans une cabine de un mètre par un mètre. Acquiesça Marie-Claire
Effectivement, le salon d'essayage était grand comme une petite chambre à coucher. Deux murs étaient occupés par des présentoirs avec des tiroirs en dessous. Un grand miroir tenait pratiquement le troisième mur avec un canapé et le quatrième mur était masqué par un paravent.
Nadia ouvrit un tiroir et en tira une pochette en plastique. Elle la tendit à Marie-Claire en lui disant :
- Allez vous déshabiller derrière le paravent. Posez tout et vous passerez ceci. Ce sont une culotte et un soutien-gorge à usage unique. c'est très fin et pour l'essayage, c'est parfait et cela protège très bien les pièces que vous essayerez.
Marie-Claire prit la pochette et passa derrière le paravent. Elle était impressionnée par la qualité de l'accueil et oublia l'aspect masculin de Nadia. Elle se déshabilla et suivant la consigne passa la culotte et le soutien-gorge. En fait de culotte, ce n'était qu'un triangle en non tissé rose pâle tenu par deux élastiques assez fin collés ensemble depuis la pointe basse du triangle jusqu'à ce qu'il se séparent au dessus des fesses, un véritable string miniature. Le soutien gorge était composé de deux triangles aussi qui couvraient à peine les larges aréoles de ses seins et qui était reliés par deux élastiques, l'un qui passait sur la nuque et l'autre derrière le dos.
Marie-Claire passa tant bien que mal les deux protections. Malgré cela, elle se sentait complètement nue et hésita un peu avant de rejoindre Nadia qui l'attendait assise sur le canapé. Quand elle sortit, celle-ci se leva et lui dit :
- Vous êtes très jolie. Vu vos formes, on ne devrait pas avoir de difficultés à trouver quelque chose qui mette un si joli corps en valeur. Venez ici que je prenne vos mensurations.
Marie-Claire rougit du compliment, murmura un « Merci » et alla se positionner devant le miroir comme le lui avait indiqué Nadia. Celle-ci se positionna derrière elle et commença à la mesurer avec un mètre de couturière.
- d'abord ces jolis seins. Mettez vos mains derrière la nuque. Voyons voir. Humm 90 ou 95D, c'est bien ce que je pensais. j'ai l'oeil, vous savez, c'est le B-A BA du métier.
Tout en disant cela, elle palpait d'une main certes professionnelle mais douce les seins de Marie-Claire qui commençait à se sentir bizarre. Jamais les hommes qu'elle avait rencontrés ne lui avaient caressé la poitrine d'une façon aussi sensuelle. Alors que Nadia lui parlait tout en continuant ses palpations, elle ressentait dans son bas ventre la chaleur bien connue de l'excitation sexuelle. Cela la surprit car elle ne s'était jamais imaginée réagir comme cela aux caresses provenant d'une autre femme. Ce qui l'inquiétait le plus était sa lubrification qui allait suivre si cette excitation se poursuivait. Elle savait qu'habituellement, elle mouillait beaucoup et le mince triangle rose pale de la culotte d'essayage n'allait pas cacher longtemps la preuve de son trouble. Elle essaya de se dire qu'elle se faisait des idées, que Nadia ne la pelotait pas réellement mais qu'elle ne faisait que son travail avec conscience et professionnalisme. Mais Nadia continua :
- Vous avez vraiment une très jolie poitrine. Vos seins sont gros mais ils se tiennent parfaitement. Et ils sont surtout très bien proportionnés, ces aréoles bien centrées sont magnifiques.
En disant cela, elle avait glissé ses mains chaudes et douces sous les fins triangles du soutien-gorge et tenait les tétons dardés serrés entre son index et son majeur.
Marie-Claire n'arrivait plus à penser que Nadia faisait tout cela dans un but professionnel, pourtant elle appréciait ces attouchements et la chaleur dans son ventre devenait de plus en plus intense. Elle guettait d'un oeil inquiet le petit triangle rose pale qui cachait son pubis, craignant d'y voir apparaître une tache témoignant de sa lubrification qu'elle sentait venir de plus en plus.
- Bien maintenant voyons voir comment habiller ce joli postérieur. Continua Nadia tout en maniant son mètre de couturière.
- Humm, votre taille est assez fine. Oui, il vous faut un 38 ou bien un petit 40. Mais vos hanches sont larges, Heuuu, pas si larges que ça quand même, c'est la finesse de la taille et de vos jambes qui accentuent l'effet.
Et comme pour sa poitrine, Nadia prit les mensurations en pelotant sans aucune retenue les fesses de Marie-Claire. Elle lui faisait des compliments sur le galbe de celles-ci, sur leur fermeté tout en suivant de la paume de ses mains les courbes de ses hanches.
Marie-Claire n'en pouvait plus, elle aurait voulu s'enfuir, s'éloigner de cette femme qui la rendait folle de désir par ses attouchements. Mais Nadia faisait preuve d'une telle autorité qu'elle ne pouvait pas le faire. Nadia alla fouiller dans les tiroirs sous les présentoirs à la recherche des pièces de lingerie, lui posant des questions sur les coloris et sur les styles que sa cliente recherchait.
l'essayage de ce qu'elle avait tiré de ses tiroirs, fut un doux supplice pour Marie-Claire. Nadia continua de la peloter, de la caresser, n'hésitant pas à glisser ses doigts dans les bonnets des soutiens-gorge pour en vérifier l'adéquation avec les seins de Marie-Claire, frôlant au passage ses tétons de plus en plus durs et de plus en plus sensibles. Même scénario pour les culottes, Nadia glissait ses doigts sous l'élastique de la taille ou bien dans les passages des cuisses afin de mesurer si ils n'étaient pas trop serrés. De plus en plus troublée, Marie-Claire choisit deux parures. Nadia lui proposa un serre taille qui lui permettrait d'essayer les bas. La pièce était très jolie et mettait parfaitement en valeur les formes de Marie-Claire. Nadia s'accroupit alors devant elle pour mesurer son tour de cuisse.
Le supplice de Marie-Claire atteint son comble quand les doigts de Nadia coururent sur ses cuisses, maniant le ruban du mètre, s'y reprenant en plusieurs fois comme pour être sure de faire une mesure correcte. Alors que Nadia fouillait dans ses tiroirs à la recherche des bas, Marie-Claire s'aperçut avec effroi qu'elle avait, comme elle le craignait, mouillé son string d'essayage. Toute la moitié basse du triangle rose pâle avait viré au rose sombre. Ne sachant que faire, elle resta plantée devant le miroir en espérant que Nadia ne s'aperçoive pas de la manifestation de son excitation.
En se retournant, quelques boites en carton à la main, Nadia vit tout de suite la tache sombre sur le pubis de Marie-Claire. Bisexuelle, elle avait trouvé dans son activité professionnelle, le moyen d'assouvir son penchant pour les femmes sans que son mari ne s'en aperçoive. Si elle avait aménagé ses petits salons d'essayage, c'était dans ce but. Cela lui permettait d'être tranquille avec ses clientes. La couleur rose pâle des kits d'essayage avait été choisie pour mesurer également le degré d'excitation des clientes après qu'elle les ait peloté comme elle venait de le faire avec Marie-Claire. Évidemment, cela ne marchait pas toujours. Certaines femmes s'enfuyaient dès le début, prétextant que les modèles proposés ne leur convenaient pas, d'autres écartaient carrément ses mains baladeuses. Quand cela se produisait, cela la laissait dans un tel état de frustration qu'elle se caressait ou bien imposait ses désirs à Clarisse, sa jeune employée ne refusait rien à sa patronne.
Outre son attirance pour les belles femmes, Nadia avait également un sens aigu de la psychologie, elle s'était rendue compte que Marie-Claire se soumettait à son autorité. Elle savait maintenant que sa cliente était sensible à ses caresses, il ne lui restait plus qu'à la convaincre de céder à ses désirs.
Elle prit un air sévère, fronça les sourcils et se rua vers Marie-Claire en grondant et en roulant des yeux derrière ses grosses lunettes :
- Mais,? Mais, elle a mouillé sa culotte. Elle est toute excitée, elle mouille de s'être faite peloter.
Marie-Claire se retourna, rouge de honte, baissa les yeux comme un enfant pris en faute et ne sut pas quoi répondre.
Nadia s'avança vers elle, la forçant à reculer jusqu'à ce que ses épaules touchent le verre froid du miroir. Elle avança encore appuyant ses énormes seins sur la poitrine de Marie-Claire.
- Bon, tu ne peux pas rester comme ça. Et elle glissa ses doigts sous l'élastique du string et l'arracha d'un coup sec puis elle pénétra de deux doigts la chatte brûlante de Marie-Claire.
Marie-Claire accueillit cette pénétration avec un plaisir non dissimulé. Depuis une demi heure que durait ce petit jeu, son excitation était très forte et sentir ces deux doigts qui remplissaient son antre dégoulinant, la fit gémir de plaisir et jeter son bassin en avant à la recherche d'un contact encore plus intime.
- Parfait, on dirait que tu aimes ça. n'est-ce pas ? Tu en veux plus ?
Marie-Claire s'entendit murmurer :
- Oui, oui, j'ai envie. Encore.
Nadia fit subir au soutien-gorge le même sort qu'à la culotte. Puis elle ouvrit d'un seul coup sa robe, et la jeta par terre. Elle dégrafa son soutien-gorge, libérant ses seins qui s'affaissèrent un peu. Puis prenant les poignets de Marie-Claire la crucifia et l'embrassa profondément. Les deux femmes s'embrassèrent longuement, voluptueusement, enroulant leurs langues l'une à l'autre, les faisant glisser sur les dents et les gencives de leur partenaire. Leurs poitrines se frottaient l'une contre l'autre et à chaque fois que leurs tétons se touchaient, Marie-Claire ressentait comme une décharge électrique parcourir ses seins.
Marie-Claire participa à ce baiser, elle aima de se faire embrasser par cette femme dont le rouge à lèvres avait un parfum de framboise. Elle frottait son bassin dénudé sur le ventre de sa tortionnaire. Tout en continuant de l'embrasser, Elle lui pelota les seins, faisant rouler les tétons dardés entre ses doigts, les pinçant jusqu'à ce que Marie-Claire gémisse de douleur et de plaisir mélangés.
Libérant sa bouche, Nadia l'entraîna vers le canapé où elle s'assit :
- Viens, petite gouine, viens sucer mes gros nichons.
d'une main passée sur sa nuque, elle appuya la bouche de Marie-Claire sur son sein. Marie-Claire ouvrit la bouche et suça le téton qu'on lui offrait. Instinctivement, elle y appliqua une succion, fit rouler sa langue autour de la petite boule de chair chaude et parfumée. Quand elle mordilla le téton, Nadia gémit doucement et soupira de plaisir. Marie-Claire continua ses caresses, passant d'un sein à l'autre. Nadia libéra son ventre de sa culotte. Elle le fit glisser sur ses grosses cuisses et le jeta d'un coup de pied au milieu de la pièce.
- c'est bien, petite gouine, tu me fais du bien. La chatte, maintenant, suces moi la chatte.
Marie-Claire se mit à genou devant le canapé et glissa sa tête entre les énormes cuisses ouvertes de Nadia. Elle posa ses lèvres sur ses lèvres, glissa sa langue dans la fente inondée et commença un lent mouvement de bas en haut. Nadia manifestait maintenant bruyamment son plaisir par des râles ou des gémissements sonores.
l'excitation de Marie-Claire était maintenant à son comble. d'abord les attouchements de Nadia l'avaient fortement excitée, mais celle-ci ne l'avait pas comblée. Maintenant elle donnait du plaisir à cette femme. Tout cela faisait d'elle une vraie pile électrique, son sexe était comme une bombe prête à exploser. Elle introduisit un doigt dans le vagin dégoulinant de Nadia qui se cambra :
- Oh, Oui, encore, mets tes doigts dans ma chatte, plus fort encore.
Marie-Claire lui mit deux doigts mais Nadia insistait. Trois doigts, Nadia la supplia de continuer jusqu'à ce que sa main entière disparaisse dans sa chatte largement dilatée. Elle continua de sucer Nadia, concentrant ses succions sur le clitoris de Nadia. Celle-ci était au comble du plaisir, elle donnait de violent coups de reins qui l'empalait un peu plus sur le poignet de Marie-Claire. Nadia gémissait en continu, ponctuait ses gémissements de cris de plaisir quand Marie-Claire agitait sa main dans le fourreau gluant de son vagin.
Marie-Claire ne résista pas au désir impérieux de se caresser. Sa main libre trouva le chemin de sa fente et elle se masturba tout en continuant de sucer et de branler Nadia qui lui dit :
- Oui, branles toi, petite gouine, fais toi plaisir aussi.
Son orgasme arriva presque aussitôt. Marie-Claire fut impressionnée de voir ce corps imposant secoué de spasmes violents, surprise de voir que Nadia malgré sa corpulence pouvait remonter ses cuisses jusqu'à la hauteur de ses seins. Nadia jouit en criant :
- Ouii, Ouiiiii, tu me fais jouir, salope, putain c'est bon, putain je pars, je pars, je paaaaaaars.
Marie-Claire jouit en même temps, la bouche bâillonnée par la chatte de Nadia. Les mouvements de ses doigts devinrent frénétiques jusqu'à ce qu'elle soit assouvie.
Épuisée, anéantie par cet orgasme trop longtemps attendu, Marie-Claire s'écroula sur les cuisses de sa partenaire. Les deux femmes récupérèrent quelques minutes avant que Nadia n'extraie la main de Marie-Claire de sa chatte et la repousse doucement du pied. Marie-Claire s'allongea sur la moquette pendant que Nadia se levait un peu endolorie. Elle se dirigea vers un tiroir et en extrait un gode ceinture qu'elle passa. Marie-Claire ouvrit les yeux quand Nadia s'agenouilla et lui écarta les jambes. Elle vit la prothèse énorme qui pointait dans sa direction. Le gode noir était plus gros que son propre vibromasseur et faisait au moins trente centimètres de long. Avant qu'elle n'ait eu le temps de protester, Nadia s'allongea sur elle et tenant d'une main son gode le dirigea vers la chatte ouverte de Marie-Claire.
Elle l'enfonça d'un seul coup de reins, lent mais continu. Marie-Claire sentit son ventre se remplir de cet objet monstrueux, elle plia les jambes, remonta ses genoux le plus possible, s'ouvrit le plus possible pour recevoir ce pieu dans son con. Nadia commença de la défoncer lentement, retirant presque totalement le gode puis l'enfonçant à nouveau. Marie-Claire écrasée sous la carrure imposante de la femme ne pouvait faire autre chose que de s'ouvrir le plus possible en nouant ses chevilles au creux des reins de sa douce tortionnaire. Elle caressait aussi ses énormes seins qui ballottaient au rythme de ses coups de reins. Marie-Claire gémissait de plaisir quand le monstrueux objet la perforait, dilatait son ventre et provoquait dans tout son ventre des ondes de plaisir.
Clarisse, la jeune vendeuse, avait fermé la boutique à dix-neuf heures. Elle regarda sa montre et sourit en constatant que la dernière cliente prise en main par Nadia n'était pas ressortie. Près d'une heure s'était écoulée depuis qu'elles étaient entrées toutes les deux dans le salon d'essayage. Elle savait ce qui devait se passer. La grosse Nadia avait réussi à séduire sa cliente et prenait du bon temps avec elle. Elle décida d'aller voir et frappa doucement à la porte.
Nadia entendit frapper, délaissa la bouche de Marie-Claire pour dire d'un ton agacé:
- Oui, qu'est-ce qu'il y a ?
- ?est moi, Nadia, c'est juste pour vous dire que j'ai fermé la boutique. Il est sept heures passée.
- Entre Clarisse, si tu as un moment?
Clarisse ne se fit pas plus prier et entra dans le salon. Ce n'était pas souvent qu'elle avait l'occasion de participer aux ébats de sa patronne avec une cliente. Clarisse avait été convertie aux plaisirs saphiques par Nadia et elle ne dédaignait pas de faire l'amour avec une fille bien qu'elle préférât tout de même les garçons.
Le spectacle qui s'offrit à ses yeux l'excita énormément. Il faut dire que la jeune femme disparaissait presque entièrement sous le corps majestueux de Nadia. Elle se dit que quand elle se faisait sauter par sa patronne de cette façon, l'effet devait être pire car elle était encore plus menue que la cliente. Elle quitta ses vêtements en un clin d'oeil et s'allongea sur le sol à cote de Marie-Claire. Elle embrassa alternativement les deux femmes et glissa sa main entre leur ventre jusqu'à atteindre la chatte de Marie-Claire qui gémit au contact de ses doigts sur son clitoris.
Marie-Claire n'en pouvait plus, sa chatte dilatée par les coups de reins puissants de Nadia, le clitoris sollicité par les doigts de Clarisse provoquèrent un deuxième orgasme. Elle sentit son con se contracter spasmodiquement autour de l'énorme pieu pendant que des ondes de plaisir montaient de son ventre, balayèrent tous son corps comme autant de vagues déferlantes et quand une vague plus forte que les autres atteignit son visage, tout son corps se raidit, sa bouche s'ouvrit sur un cri silencieux avant que son corps ne se détende enfin, soit secoué de spasmes et qu'un long cri de plaisir sorte de sa gorge.
Nadia retira son gode de la chatte endolorie de Marie-Claire pour le plonger aussitôt dans le ventre de Clarisse. Marie-Claire, ivre de plaisir, ne se donna pas le temps de reprendre ses esprits et embrassa la jeune vendeuse qui se faisait défoncer à son tour. Elle lui caressa ses petits seins, avant que sa main ne parte en exploration entre les ventres des deux femmes. En atteignant la chatte de Clarisse, elle sentait au bout de ses doigts, le gros cylindre de plastique qui allait et venait, coulissant sans effort dans le con de Clarisse. Lui rendant la pareille, elle lui caressa le clitoris et la jeune vendeuse jouit à son tour d'être pareillement baisée.
Nadia s'était retirée du ventre de sa vendeuse, elle était à quatre pattes, soufflant comme un b?uf, essoufflée par l'effort, transpirant abondamment. Clarisse se retourna et glissant sa tête entre les deux gros jambons, lui ôta le gode afin de pouvoir sucer sa chatte dégoulinante de mouille. Marie-Claire se saisit du gode et le passa, ajusta les lanières pour l'adapter à sa morphologie.
En 69, Nadia et Clarisse se suçaient mutuellement. Marie-Claire s'agenouilla derrière Nadia et enfonça le gode entre ses petites lèvres charnues. Nadia poussa un râle de plaisir et cria :
- Rahhh, fait moi le cul, petite gouine, met moi le dans mon petit trou.
Surprise, Marie-Claire se retira. Clarisse saisit le gode et le guida vers l'oeillet de sa patronne. Marie-Claire poussa, agrippée aux hanches grasses de Nadia. Le gode entra sans trop d'effort. Marie-Claire sodomisa Nadia à grands coups de reins. Elle était totalement subjuguée de voir que Nadia pouvait absorber ce gros cylindre sans paraître éprouver la moindre douleur. Elle redoubla ses coups de boutoir, son ventre heurtait à chaque fois les grosses fesses de Nadia qui gémissait de bonheur sans arrêter de sucer la chatte de sa vendeuse.
Clarisse dont le plaisir n'était pas réellement retombé jouit une seconde fois. Nadia gémissait de plus en plus fort, des perles de sueur apparaissaient au creux de ses reins. Elle bougeait son gros cul, recherchant une pénétration encore plus profonde, encore plus brutale. Marie-Claire accéléra ses coups de reins jusqu'à ce que Nadia s'effondre en criant de plaisir sur le corps alangui de sa vendeuse entraînant Marie-Claire dans sa chute.
Les trois femmes récupérèrent ainsi dans un mélange de corps assouvis, détendus. Nadia se releva la première et déclara en conclusion :
- Putain de merde, quel pied. Vous êtes deux sacrées gouines toutes les deux, vous m'avez fait jouir comme une salope.
Elle se rhabillèrent ensuite, avant que Nadia ne tende à Marie-Claire les boites en cartons de ses achats. Au moment de payer, Nadia dit avec un sourire :
- Je te fais 20%. Et reviens quand tu veux? Petite gouine.
Marie-Claire la remercia et ne dit pas non à la proposition. Les deux femmes s'embrassèrent et Marie-Claire trouva sur les lèvres de Nadia le goût de la chatte juvénile de Clarisse.