l'île de tout les plaisirs

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Proposée le 21/04/2010 par love_in_pain

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Lorsque mes filles me demandent si je m'étais bien amusée pendant ma jeunesse, je ne peux pas leur dire que nous passions notre temps à baiser et à changer de partenaires. Peut-être aurais-je le courage de leur montrer la lettre que je vous écris'

Lorsque j'avais dix-neuf ans je suis partie vivre à Ibiza, dans une communauté où l'on pratiquait l'amour libre. Il faut dire que j'ai eu une jeunesse très active, surtout sur le plan sexuel. c'était le bon vieux temps, celui d'avant le sida. Comme il n'y avait pas de problème d'emploi, je pouvais ne penser qu'à baiser? Et dieu sait si je me suis fait mettre à cette époque.

Mon passage à Ibiza fut ma période la plus chaude. j'y suis restée près d'un an et je serais bien incapable de vous dire combien j'ai pu avoir de partenaires (hommes et femmes) car tout le monde baisait avec tout le monde. Le jour de mon arrivée, les autres membres (et le mot est adéquat) de la communauté ont organisé une partouze à mon intention.

c'était, disaient-ils, le meilleur moyen de faire connaissance. Je me suis retrouvée au milieu d'un cercle d'une vingtaine de personnes. Je n'étais déjà plus une oie blanche, mais ça faisait quelque chose quand-même. Des mains se sont posées sur moi, caressantes. j'ai fermé les yeux. j'ai senti qu'on retirait mes vêtements et je me suis retrouvée à poils. On embrassait ma bouche, mes fesses, ma fente. j'étais assaillie de partout. Je me suis allongée sur le sol pour mieux m'offrir.

Lorsqu'un des mecs s'est incrusté entres mes cuisses, je les ai ouvertes pour l'accueillir en moi. Il m'a donné du plaisir et je me suis totalement détendue, oubliant mes dernières pudeurs. Tout le monde voulait me baiser pour "m'essayer". La partouze a duré des heures. c'était notre rythme de vie à Ibiza. Toutes les occasions étaient bonnes pour se faire prendre par tous les orifices. Par exemple chaque fois que c'était mon tour de vaisselle, il se trouvait toujours quelqu'un pour venir se coller à mes fesses et m'enfiler par-derrière (si le mec à un bon rythme, la vaisselle se fait toute seule). Tout n'était pas paradisiaque, comme toujours dans les histoires de fesses. Moi j'étais super cool. Même si certains partenaires ne m'inspiraient pas trop, je ne faisais jamais d'histoires pour baiser. Bien-sûr, je me montrais plus ou moins chaude selon l'envie.

Avec mes favoris, je me donnais complètement. Il y avait une nana, Jenny, une anglaise, que j'aimais beaucoup. Cette fille avait le don de me faire fondre. Jamais plus je n'ai rencontré une lécheuse de chatte aussi habile. Son jeu de langue et ses caresses me mettaient hors de moi. Quand on baisait ensemble, mes cris résonnaient dans toute la maison. Rayon masculin, il y avait un mec que j'appréciais beaucoup.

c'était le phénomène de la communauté. Il avait une vraie bite de bourricot entre les cuisses. Même au repos sa queue avait de quoi impressionner. Beaucoup de filles le trouvaient trop bien monté. Pas moi! Lorsque je le suçais, je mettais un point d'honneur à l'avaler entièrement. Je suis très gourmande mais avec lui, réellement ce n'était pas facile. d'ailleurs, presque toutes les filles de la communauté lui refusaient le sodomie. Moi, un jour, j'ai voulu tenter l'expérience.

Un vrai exploit. j'ai cru que j'allais exploser quand son pieu m'a éclaté le cul. Quel soulagement, je me souviens, quand il s'est retiré! j'ai eu mal aux fesses toutes la journée du lendemain, mais je crois que je ne regrettais rien, l'expérience avait été positive.

Peu de temps après, j'ai quitté la communauté pour rentrer en France. Depuis cette époque, j'ai eu une vie amoureuse très intense et aujourd'hui encore je suis gourmande de sexe (quand je vois comme mes filles sont prudes, j'ai presque honte de moi). En tout cas jamais je n'oublierai ces quelques mois passé au soleil. j'ai souvent la nostalgie de cette époque. Ce sentiment devient plus vif à mesure que je vieillis.