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Proposée le 20/04/2010 par love_in_pain
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La Turquie est surtout connue pour ses mâles méditerranéens qui se tapent des touristes, pour le fun et souvent en même temps pour le fric. Des gigolos, quoi. Mais les mecs touristes, eux, n'ont pas grand-chose à se mettre sous la dent, sauf s'ils sont prêt à se faire défoncer la rondelle par un local. Avec Nathalie et Marion, on est partie dans l'idée de changer ça. Notre lieu d'approche, la boîte "Les Remparts", une super disco qui domine le port d'Antalya, sur la méditerranée. Le public : des jeunes Turcs plus ou moins gigolos, des femelles en chaleur qui ne veulent que du local, et nous, à la recherche des bandes d'allemands ou d'italiens en mal de chair fraîche. Surtout les allemands, ils ont plus de fric.
On procède toujours pareil. On danse toutes les trois au centre de la piste comme des hystériques, en se caressant comme des gouines, histoire d'attirer les regards des mâles en chaleur. Ils ne tardent pas à se presser autour de nous. Chacune surveille un coin de la piste. On élimine les turcs parce qu'ils n'ont pas assez de fric pour payer. On repère les bandes de deux ou trois copains, parce que nous, on est inséparables. Il faut que notre spectacle dure un moment histoire de bien les faire baver. En plus, on se ressemble toutes les trois comme des gouttes d'eau : brunes, un peu rondes mais pas trop, pas trop grandes, avec des yeux vert et des cheveux coupés à la garçonne. Mignonnes à ce qu'il paraît. Côté fringues, on donne dans le genre super sexy. Minijupe à ras la chatoune, cuissardes, petit débardeur laissant apparaître la dentelle noire du soutif.
Voilà pour le spectacle. Peu à peu, les mecs s'approchent, et comme ils voient qu'on n'est pas effarouchées, ils tendent leurs braguettes vers nous pour qu'on les frôle. Comme ça, on n'a plus qu'a choisir les plus prometteuses. Quand ça pousse bien autour de nous, quand on a bien tâté tous les paquets, on va prendre un verre au bar. Et là on laisse venir. Ceux qu'on ne veux pas, c'est facile de leur faire comprendre. Les autres, ce sont les plus hardis qui l'emportent. Ceux qui vont nous offrir un verre par exemple.
Ensuite, c'est moi qui négocie le coup vu que, comme je suis en fac de langues (sans jeu de mots!), je parle bien l'anglais. Je vante la marchandise : "good suck, good fuck" (bonne suceuses, bonnes baiseuses) en parlant de mes copines. Ça tout le monde comprend! j'explique aussi qu'on est inséparables, ce qui n'est pas pour déplaire aux bandes de copains toujours prêts à forniquer ensemble pour comparer celui qui a la plus longue, le plus dure? Puis on parle de prix, bien sûr, vu que notre voyage en Turquie n'est financé que comme ça. Payable d'avance!
Ensuite intervient notre ami Yavüz, le marchand de tapis. Pourquoi lui? Parce qu'il nous prête son magasin, la nuit, pour nos ébats étant donné que dans les pensions, c'est pas bien vu du tout. Il étale plein de tapis et de coussins par terre pour que ça soit bien confortable. Si les touristes savaient que les kilims qu'ils achètent à prix d'or ont été baptisés au sperme et au jus de femmes! Yavüz on le paie en nature en l'autorisant à venir se branler en nous regardant ou à participer selon le cas.
Quand on arrive, tout est prêt. l'autre nuit par exemple, on est débarquées avec deux allemands qui devaient mesurer deux mètres chacun. Ils parlaient à peine l'anglais, mais on se comprenait. Le premier a baissé son pantalon à peine entré. Il s'est assis sur des coussins et à montré un énorme chibre qui sortait de son caleçon en disant "suck". Nathalie et Marion s'y sont mises à deux tellement sa bite était épaisse. Une de chaque côté de la tige. Elles montaient et descendaient en rythme, en faisant courir leurs petite langues autour du gland monstrueux. Leurs lèvres se rejoignaient de sorte qu'elles s'embrassaient tout en suçant l'allemand. Moi je me suis occupée seule de l'autre. Aussi grand, aussi bien monté. j'en avais mal aux mâchoires ce qui fait que j'ai vite arrêté.
Je me suis relevée et j'ai soulevé ma minijupe pour qu'il enlève mon string en dentelles et qu'il applique sa grande bouche contre ma petite chatte. Les autres avaient déjà complètement dessapé leur compagnon et elles étaient aussi à poil. Quant à Yavüz, il était dans un coin, pantalon et slip baissés sur les chaussures, en train de se branler. Il avait ordre de ne pas s'approcher si on ne lui faisait pas signe. Pour brouiller les cartes, je suis allée vers Marion et on a commencé à se rouler des pelles devant les deux allemands qui, ni une ni deux, ont fait la même chose entre eux en se frottant leur queue l'une contre l'autre. Ils n'étaient pas pédés, mais de ce côté-là, comme nous, ils ne semblaient pas avoir de tabou.
Je dois dire que voir ces deux géants en train de se sucer la langue et de se frotter le dard, ça m'a excitée au plus au point. d'ailleurs, je me suis jetée sur le premier pour lui lécher la rondelle, ce qui n'a pas eu l'air de lui déplaire puisqu'il a tendu son cul ferme et imberbe en arrière. Nathalie lui léchait les burnes par en dessous et Marion léchait celles de l'autre allemand. Nos mains à toutes les trois ne restaient pas inertes. Elles passaient d'un sein à une chatte ou une pastille sans aucune gêne. On a tellement fait de choses ensemble!
Quand nos géants en ont eu marre d'être léchés, ils se sont allongés l'un face à l'autre, pine bien dressée, en nous faisant signe de les chevaucher. De cette façon, chacun pouvait voir son copain en train de nous enfoncer sa verge. Nous aussi on s'est prêtées à ce jeu. A tour de rôle avec Nathalie et Marion, on passait d'un braquemart à l'autre. Et la troisième allait se faire lécher la chatte par l'un ou par l'autre de nos étalons. On ne renonçait pas pour autant à se gouiner au passage, à coup de baisers sur la bouche ou sur la moule. d'ailleurs, comme si ça ne suffisait pas, j'ai fait signe a Yavüz de s'approcher. Sa matraque était beaucoup moins longue que celles des géants du nord, un peu moins épaisse, mais son champignon sur-développé rattrapait le tout. Et au moins, on pouvait le bouffer sans se détruire la mâchoire!
Trois lances pour tenter d'éteindre trois cratères en ébullition! Ou plutôt pour les allumer encore plus! On aurait dit la chevauchée de Walkyries version hard. Ce jeu de saute-mouton d'un membre à l'autre était de plus en plus excitant. Surtout que, dans la frénésie, on offrait alternativement notre chatte ou notre pastille que nos géants avaient auparavant bien lubrifiées avec leur salive et préparées avec leurs doigts.
Et ce n'était pas fini! Nos géants se sont relevés en même temps et, accroupis, ils nous ont saisies à tour de rôle par les hanches pour nous bourrer par devant et par derrière. Une dizaine de coups de bites dans la chatte, une dizaine de coups dans l'oignon, et à la suivante. Même Yavüz s'y était mis. On passait de main en main, ou plutôt de queue en queue, sans avoir rien à dire. Ils étaient tellement plus forts que nous!
d'ailleurs, aucune de nous trois n'avait envie de les arrêter. On jutait, on gémissait de plaisir, on se gouinait un peu au passage. Bien habile celui qui pouvait comprendre qui était avec qui. Ça n'arrêtait pas de changer. La chatte, l'oeillet, la bouche : j'avais l'impression de n'être qu'un trou pour le bon plaisir de ces messieurs, et pour mon plaisir aussi d'ailleurs!
Puis ils ont arrêté de jouer aux chaises musicales, ou plutôt aux queue musicales. Je me suis retrouvée avec le plus grand des allemands qui ma bourré la chatte pendant au moins cinq bonnes minutes, pendant que ses doigts me défonçaient le petit trou, avant de me lâcher une bonne rasade de sperme sur le dos. Son copain a juté juste après sur le dos de Marion, imité par Yavüz avec Nathalie. Ce qui fait qu'on s'est retrouvées toutes les trois barbouillées de foutre. Et on s'est essuyées, bien sûr, en se roulant sur les tapis!!!