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Proposée le 17/04/2010 par Cidoux
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SUITE DES PLAISIRS
Deux jours après, Olivia l'invite au téléphone. Elle lui demande de ne pas arriver trop tard dans l'après-midi ajoutant sans avoir l'air d'insister que Paul se libèrera et que Chantal rentrera tard. Il s'empresse d'accepter.
Olivia l'accueille en peignoir de bain. Elle se jette à son cou et se frotte contre son corps. Il rougit, la devinant nue sous le tissu éponge. Pour masquer son trouble il lui prend les lèvres et en déguste la saveur sucrée.
- Tu sais, lui murmure-t-elle à l'oreille, j'ai bien aimé dimanche? Oui, précise-t-elle devant le regard incrédule, que tu me fasses l'amour avec l'aide de Paul. j'ai hâte qu'il rentre du bureau pour recommencer. Pas toi ?
Si, il a hâte mais un reste de pudeur l'empêche de le dire. Ça le gêne de déclarer à sa maîtresse que cette étreinte avec la participation du mari dépasse de loin le souvenir des cinq à sept amoureux d'antan.
- Ne veux-tu pas boire en attendant ?
- Avec plaisir, un pastis s'il te plait.
Ils commencent à déguster leur boisson fraîche.
- Dis, commence Olivia, tu ne m'en veux pas de t?avoir caché que Jeannette venait nous voir ?
- Non, Je ne t?en veux pas, ni à Paul. Je regrette simplement qu'elle n'ait pas eu le courage de me l'avouer. Quand je pense à tout ce que nous avons manqué !
- Tu sais, elle en souffrait elle aussi.
- Pourquoi ne disait-elle rien ?
- Elle attendait que tu te dévoiles en premier.
Stéphane baisse la tête.
- Tu crois ?
Olivia s'approche et appuie la figure de Stéphane contre sa poitrine.
- Le passé est le passé. On ne peut pas revenir en arrière.
Elle lui sert un nouveau verre qu'il boit en silence quand le maître de maison les rejoint.
- Excusez-moi, un courrier urgent à signer m'a retardé. j'espère que je ne vous ai pas trop fait attendre.
- Non mon chéri. Stéphane vient juste d'arriver. Veux-tu un pastis ?
- Oui, merci. Sers-moi, le temps que je me mette à mon aise.
Il revient en robe de chambre quelques minutes plus tard.
- Tu ne te mets pas à ton aise Stéphane ?
Celui-ci ne sait que répondre. Olivia vient à son secours.
- Inutile, je m'en occupe.
Elle le fait lever, déboutonne la chemise et passe les mains sur le torse, s'amusant à chatouiller les bouts des seins.
- Aide-moi ! lance-t-elle à son mari.
Il dépose le verre à moitié vide et, se plaçant dans le dos de son ami, dégrafe la ceinture. Le pantalon glisse et boudine sur les chevilles. Olivia dépose la chemise sur une chaise. Elle s'agenouille devant Stéphane et fait descendre le boxer de soie. Avant d'avoir réalisé, Stéphane est nu entre ses amis. Son coup de blues est terminé. Il est heureux d'être là. Il écarte la robe de chambre sur les épaules de la jeune femme, découvrant la poitrine. Ses paumes en coupelle soulèvent les seins. Il sourit, Paul en fait de même avec son cul. c'est agréable le contact des doigts sur la peau. La robe de chambre glisse à terre dessus le pantalon et le boxer. Olivia tire Stéphane par la main. Il enjambe les vêtements et la suit sur le canapé. Elle s'allonge, tend les bras. Il s'y réfugie. Dans son dos Paul s'amuse à chatouiller l'anus et à l'enduire de salive. Olivia joue avec son sexe encore souple. Elle attend patiemment qu'il soit raide, ce qui ne saurait tarder vu que Paul présente sa queue entre les fesses. Stéphane prévenant écarte les jambes et se penche un peu. Paul pousse et pénètre de plusieurs centimètres.
- Aah !
Comme les fois précédentes, l'effet est immédiat. La verge de Stéphane s'allonge et durcit au fur et à mesure de l'introduction.
- Oui ! Vous y êtes ! s'exclame Olivia qui dirige la queue vers son vagin.
Paul donne un coup de rein qui propulse son ami contre sa femme.
- Aah !?
Ils retrouvent avec le même plaisir l'émotion du dimanche précédent lorsqu'ils ont inauguré cette étreinte.
- Vous me rendez folle, mais vous êtes des amours ! remercie Olivia quand repus de jouissance ils se reposent un nouveau verre en main.
- Je suis heureux que cela te plaise ma chérie, déclare Paul en caressant la joue de sa femme. Je vous laisse un moment, un dossier à terminer.
- Ne sois pas trop long, s'il te plait. Pendant ce temps Stéphane m'aidera à préparer le repas.
- d'accord, mais prêtez-moi une robe de chambre.
- Viens dans la chambre, propose Paul'
- Tu sais, déclare-t-il en confidence à son ami en lui tendant le vêtement, quand Olivia m'a demandé dimanche de vous aider, je ne me doutais pas du plaisir que j'en retirerais.
Il cajole les fesses, s'attardant sur la raie. Stéphane prêt à les recouvrir avec le peignoir suspend son geste. Lui non plus n'aurait pas cru avant ces dernières semaines que des caresses masculines soient si agréables.
- Je suis très heureux de ta visite, poursuit Paul. Tu peux venir quand tu veux.
Stéphane lui fait face, les mains de son ami soupèsent ses testicules. Les doigts font rouler les glandes sous la peau douce. Il s'écarte à regret.
- Je? je dois aller aider Olivia.
- Je t?en prie?
Chantal débarque à la fin du repas.
- Nous ne t?attendions plus ma chérie, déclare Olivia. Va dans la cuisine je crois qu'il reste un peu de poulet.
Chantal les rejoint une assiette remplie à la main. Elle a enfilé un déshabillé transparent sous lequel elle ne porte rien. Sa marraine fronce les sourcils.
- Bah ! Nous sommes entre-nous, s'amuse Paul.
- Oh vous les hommes, vous êtes de parti pris !
- Tu es jalouse parce que t?y as pas pensé, avoue !
Olivia hausse les épaules.
- On dirait que vous vous êtes bien amusé, n'est-ce pas ? interroge la jeune fille.
- Fais attention à ce que tu dis, la prévient sa marraine.
- Oh ! Ça va ! Si on ne peut plus plaisanter.
- Oui Chantal, nous nous sommes bien amusé, la renseigne Stéphane.
- Merci, répond-elle, toi au moins tu es gentil.
Elle nettoie un os de poulet avant de demande d'une voix innocente.
- Dis Olivia ? Est-ce que je pourrai aller dans la nouvelle boite de nuit ?
- Quelle boite de nuit ?
- Celle qui vient d'ouvrir rue X?
- Est-ce qu'elle est correcte pour une fille de ton âge ? s'inquiète son parrain.
- Paul ! Vous m'avez toujours fait confiance. Ai-je démérité ?
- Ça m'ennuie de t?y laisser aller seule.
- Je suis majeure, n'oublie pas.
- Quand même? murmure Olivia.
- Écoute, si tu tiens à ce que je sois chaperonnée, on pourrait demander à Stéphane de m'accompagner.
- Moi ? s'écrie celui-ci.
- c'est une idée. Tu ne voudrais pas ? lui demande son amie.
- Nous serions plus rassurés, insiste Paul.
Le pauvre Stéphane n'est pas ravi d'accompagner la jeune fille. Ce n'est plus de son âge ces discothèques où la jeunesse se trémousse.
- n'as-tu pas peur qu'on se moque de toi si un vieux comme moi t?escorte ?
- Je suis sûre que tu ne seras pas le doyen de la boite ! Tu veux bien ? Je viens te chercher demain soir vers dix heures.
- Nous te la confions.
Stéphane soupire. Cette sortie en boite ne lui dit rien qui vaille, mais il est trop tard pour refuser.
- Tout ça ne me dit pas ce que vous avez fait en m'attendant, relance Chantal.
- Ça ne te regarde pas, réplique sa marraine.
- Je parie Stéphane, que tu as fait l'amour à Olivia avec l'aide de Paul. c'était bien ? Je suis sûre qu'ils sont doués.
d'entendre la jeune fille parler ainsi le gêne. Il ne sait que répondre. Olivia s'en charge.
- Lève la table au lieu de proférer des énormités.
La jeune fille ravie de son effet ramasse les assiettes. En passant devant Stéphane elle fait mine d'accrocher son déshabillé qui s'ouvre sur son corps de sportive. Il rougit et avale sec sous le regard amusé de Paul que l'attitude de sa filleule ne semble pas choquer. Il est temps de partir décide-t-il. Avec cette gamine il n'est sûr de rien. Le comble serait qu'elle demande à Paul de l'aider à lui faire l'amour comme avec Olivia ? Elle en est capable ! Plutôt fuir. Il se lève, referme les pans de la robe de chambre qui s'étaient ouverts sur ses cuisses et déclare :
- Je vais vous quitter. Je vous remercie de l'excellente soirée mais je dois partir.
- Déjà ? se désole Chantal.
- Oui, veuillez m'excuser.
- c'est dommage, regrette Olivia, mais fais comme tu désires. Reviens vite nous voir.
- Je n'y manquerai pas.
Une fois habillé, il les embrasse tous les trois au salon. Olivia l'accompagne à la porte.
- Tu as aimé cet après-midi ?
- Oui, beaucoup ! c'est merveilleux de faire l'amour avec toi.
- On t?attend, ne nous fais pas languir.
Ils se séparent après un dernier baiser. Elle reste quelques secondes appuyée contre la porte qu'elle vient de refermer. Ces séances à trois sont une découverte. Il faut absolument les renouveler, quitte si Stéphane fait faux bond à embaucher un nouveau partenaire. Pour le moment ce n'est pas d'actualité, plus tard peut-être.
Stéphane est fébrile. Chantal doit passer le prendre. Que doit-il porter ? Un complet ? Une cravate ? Non, pas en accompagnateur d'une toute jeune fille. Mu par une intuition, il soigne ses dessous : Un boxer de soie et un nuage d'eau de toilette. Par-dessus, une tenue sobre mais décontractée. Il opte pour un polo de marque, un pantalon de flanelle et un blazer. Il est prêt. Un dernier coup d'oeil à la glace lui renvoie l'image d'un homme encore fringant. Le portefeuille ne déforme pas le blazer, c'est bon.
Il n'est pas tranquille. Quelle imprudence d'avoir accepté de servir de chaperon ! Que lui réserve cette soirée ? Il connaît assez la jeune fille pour redouter son imagination fertile. Redouter ? Jusqu'ici il n'a pas eu lieu de se plaindre. Un coup d'oeil à sa montre. Dix heures moins le quart. Il est en avance. Il se force à s'asseoir dans un fauteuil pour ne pas tourner en rond dans son salon.
Un coup de sonnette, il se précipite à la porte. Chantal entre. Elle approuve sa tenue.
- Très bien. On dirait que tu connais l'endroit. c'est exactement le genre de la maison.
- Je croyais que tu n'y étais jamais allée ?
- c'est pour ne pas leur faire de la peine, avoue-t-elle en s'asseyant.
Cela ne le rassure pas pour le déroulement de la soirée. La jeune fille s'étire. Les pointes des seins déforment le soutien-gorge sous le chemisier. Il a brusquement envie de la déshabiller.
- Tu ne veux plus y aller ? demande-t-il avec une nuance d'espoir.
- Si, mais il est inutile d'arriver trop tôt. Oh, puis, t?as raison ! Il n'est pas mauvais de venir en avance.
Stéphane ravale son envie et la suit comme un petit toutou'
A suivre?