De vrais amis -3-

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Proposée le 15/04/2010 par Cidoux

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CHANTAL PARLE TROP

Le soleil a disparu derrière les arbres des alentours. Olivia repose son verre en frissonnant.
- Couvrons-nous, il ne fait plus chaud, déclare Paul.
Ils enfilent leur robe de chambre. Stéphane sourit. Le déshabillé qui enveloppe Olivia est léger, très léger et laisse deviner par transparence les formes de la jeune femme.
- Je pense que nous devrions rentrer, dit-il, le vêtement d'Olivia n'est pas adapté.
- Qu'est-ce qu'il a mon vêtement ? Il ne te plaît pas ?
- Oh si ! Il est adorable. Mais je doute qu'il soit assez douillet.
Elle réprime un frisson.
- Tu as raison rentrons !
Ils tombent sur Chantal qui dépose sa veste dans l'entrée.
- Tiens ? s'étonne Olivia, tu rentres déjà ? Nous t?attendions plus tard.
La jeune fille n'a pas l'air de bonne humeur et néglige de répondre à sa marraine.
- Bonsoir Stéphane.
- Bonsoir.
- Tu ne m'embrasses pas ?
- Euh? Si, si !
Il la reçoit dans les bras. Elle tend les lèvres qu'il ne prend qu'après avoir été encouragé du regard par Olivia. La jeune fille ne se contente pas du baiser et fouille sous la robe de chambre.
- Oh dis donc ! Paul et Olivia t?ont converti au naturisme on dirait !
- Oui, ils me l'ont fait découvrir.
- Et alors ? Ça t?a plu ?
- Oui, c'est très agréable.
- Puis ça rend les caresses plus faciles, n'est-ce pas ? insiste-t-elle en manipulant la verge souple.
- Laisse Stéphane tranquille et raconte-nous plutôt ton après-midi, la gourmande Paul.
Chantal consent à prendre place sur le canapé entre ses parents. Stéphane, honteux d'avoir toléré la caresse devant le couple, referme sa robe de chambre et s'installe sur un fauteuil.
- Il n'y a rien à dire, déclare la jeune fille d'un ton rogue, parlez-moi de vous, j'espère que vous vous êtes bien amusés ?
- Oui Chantal, merci de ta sollicitude, se moque Paul.
- As-tu baisé ma marraine, Stéphane ?
- Voyons ma chérie, intervient Olivia, tu vois pas que tu le gênes ?
- Alors réponds-moi toi !
- Oui, il m'a baisé.
- Tout seul ?
- Non, ton parrain m'a aidé.
- Tu tenais le godemiché Paul ? Quel effet ça fait ?
- Qui te parle de godemiché ? grommèle-t-il.
- Oh ! Tu t?es fait enculer par parrain, Stéphane ? c'était bien ?
- Voyons Chantal, rouspète Olivia, ne sois pas grossière.
- Note que ça n'a pas du te déplaire Paul. Un petit dédommagement, n'est-ce pas ? Comme par le passé.
- Que veux-tu dire par le passé ? interroge Stéphane.
- Ils te l'ont pas dit ? Ta femme venait souvent rendre visite à Parrain.
Il est abasourdi par la nouvelle. Il s'adresse à Paul.
- Jeannette et toi, vous'
Il ne peut achever.
- Euh? Oui, admet Paul.
- Et tu étais au courant, Olivia ?
- Euh? Oui. Ça a même commencé avant nous. Pour tout dire, c'est Jeannette qui a insisté pour que je te fasse du rentre dedans.
- Oh !
- Oui, elle voulait t?offrir une compensation.
Stéphane est atterré.
- Ce n'est pas possible !
- Ne lui en veux pas, il y a prescription maintenant.
- Ce n'est pas ça ! Moi qui m'efforçais de vous mettre en contact. Pourquoi refusait-elle ?
- Elle disait qu'elle ne voulait pas te faire de la peine.
- Et crois-tu que cela ne me faisait pas de la peine de faire l'amour avec toi en cachette, ne pas lui offrir de compensation ? Quel gâchis !
Le pauvre Stéphane reste prostré sur son fauteuil.
- Quand je pense que nous vous fréquentions chacun de notre coté sans le savoir, j'en suis malade. Pourquoi ne m'en a-t-elle rien dit ?
Olivia se précipite à ses genoux.
- Calme-toi. Cela ne sert à rien de remuer le passé.
- Nous aurions été si bien ensemble?
- Hé, hé ! Serais-tu adepte des parties carrées ? sourit Paul.
- Quel mal y aurait-il eu ?
Il soupire. Rien ne sert de remuer les souvenirs comme vient de lui rappeler Olivia. Il se lève en serrant contre lui les pans de la robe de chambre.
- Je vais vous quitter.
- Tu ne veux pas rester pour la soirée, demande Paul.
- Non, je suis fatigué, puis vous avez à parler entre vous.
- Tu ne nous déranges pas.
- Pour tout dire j'ai besoin d'être seul.
Ils n'insistent pas. Stéphane revient habillé quelques minutes plus tard.
- j'ai laissé la robe de chambre sur le lit.
- Tu as bien fait, approuve Olivia.
- Bon, ben, bonsoir. Je vous remercie pour le merveilleux après-midi? Si, si je vous assure.
- Tu reviendras alors ? interroge Paul.
- Avec plaisir.
- Ne sois pas trop long !
Il les embrasse tous les trois. Chantal se dresse sur les pieds.
- Je t?accompagne.
Dans le vestibule, elle s'excuse.
- Je te demande pardon, je ne voulais pas te faire de la peine.
- Ce n'est rien, j'ai été surpris d'accord mais en y réfléchissant, je suis content de la révélation. Je n'aurai plus de remords rétrospectifs.
- A bientôt alors ?
- Si tu veux.
- Je te téléphone.
Elle dépose un baiser léger sur la joue râpeuse.

Stéphane rentre chez lui plus soulagé que perturbé d'avoir appris à retardement l'infidélité de son épouse. Il n'a plus à éprouver le remord lancinant de l'avoir trompé. Quand il pense que cela a assombri leurs dernières années de vie commune ! Et voilà qu'aujourd'hui, il découvre que sa femme était au courant de sa liaison, pire qu'elle l'avait provoquée. s'il ne lui en veut pas d'être l'amante de Paul, il regrette amèrement qu'elle en lui en ait rien laissé paraître. Un simple mot de sa part et leurs relations avec le couple ami auraient été éclaircies. Mon dieu qu'ils se connaissaient mal ! Comment ont-ils pu vivre et s'aimer, car ils s'aimaient, il en est persuadé et ce malgré leurs escapades, de si longues années sans aborder le sujet et déceler ce que le conjoint cachait pour ne pas faire de mal à l'autre ?
Il rêve de ce qui aurait pu être leur vie s'il avait su ? Quels bons moments ils auraient passé ensembles tous les quatre, lui, Jeannette, Olivia et Paul à faire l'amour sans honte ! l'auraient-ils fait séparément ou en commun ? Hommes et femmes mélangés ? Femmes entre-elles ? Et entre hommes aussi ? Après ce qui s'est passé dans l'après-midi il ne peut en éliminer l'éventualité.
Il se verse un verre de cognac. Il ne sert à rien de ressasser le passé. Il s'estime satisfait qu'Olivia et Paul l'acceptent dans leur intimité et décide de profiter de leur invitation. Le seul regret est de ne pouvoir offrir à Paul que la dérisoire compensation de ses fesses et pour Olivia, l'obligation de mêler le mari à leurs étreintes.

Stéphane est fébrile. Chantal doit passer. Que lui veut-elle après la révélation de la veille ? s'excuser ? Cela ne lui ressemblerait pas ! Il regarde l'heure à l'horloge sur le manteau de la cheminée. La jeune fille n'arrivera que dans une quarantaine de minutes.
Il s'assied dans un fauteuil face au canapé. Il sourit. Il s'en est passé des choses sur ce canapé entre Chantal qu'il aidait à réviser pour le bac, ses deux compagnons, Pascal et Marc et lui. Son imagination remonte le temps. Il se revoit faisant l'amour à la jeune fille pendant que dans son dos Pascal perfore son cul d'un sexe impérieux. La première fois qu'il se fait enculer? Une obligation. Une autre image surgit. Chantal et lui à quatre pattes sur le tapis cote à cote, lui chevauché par Pascal, elle par Marc. Bonne trouvaille ces exercices en début des cours. c'est Chantal qui a eu l'idée de la récompense. c'est grâce à elle qu'il a découvert qu'il avait besoin d'être sodomisé pour refaire l'amour.
De son salon, son esprit vogue au domicile de ses amis Paul et Olivia, les parents de Chantal. Il s'en souviendra de leurs remerciements pour avoir contribué à la réussite au bac de leur enfant ! d'abord la marraine qui lui a fait l'amour avec l'aide de sa filleule et d'un godemiché. Ensuite c'est Paul le mari qui l'a enculé pour qu'il puisse baiser Olivia. Quelle jouissance il a éprouvé entre ses deux amis. Plus forte si cela était possible que dans le souvenir des cinq à sept d'antan'
Et voilà que Chantal, cette petite peste, lui révèle que Jeannette était la maîtresse de Paul avant même sa liaison avec Olivia ! Est-ce que cela va changer les relations avec le couple de Paul et Olivia ? Il espère que non. Il a trop besoin d'eux qui lui ont redonné le goût à l'amour. Tout à coup il frémit. Et si la jeune fille venait lui annoncer qu'il doit cesser toutes relations ? Non, ce serait trop horrible.

Elle sonne à la porte. Stéphane s'empresse d'ouvrir.
- Je viens pour m'excuser de mon attitude d'hier.
- Ce n'était pas la peine. Pour moi c'est déjà oublié.
Il n'ose l'inviter à entrer.
- On dirait que cela ne te fait pas plaisir de me voir ?
- Si, si ! Tu es le soleil qui illumine ma modeste demeure.
- n'en fais pas trop je t?en prie ! Je peux entrer ?
Il s'efface et referme la porte derrière la jeune fille.
- Alors ? Tu ne m'embrasses pas ?
Il distribue deux baisers sur les joues.
- c'est tout ? Ce n'est pas un baiser ça !
Elle prend ses lèvres d'une bouche avide. Stéphane se laisse emporter par l'enthousiasme de sa visiteuse. Ils se dénouent au bout d'une longue minute passée à inspecter de la langue le palais et les dents adverses.
- Ah ! j'aime mieux ça ! j'ai failli croire que tu étais fâché.
- Mais non quelle idée !
Pour bien montrer qu'elle se trompait, il l'enlace pour un nouveau ballet des langues. Leurs mains ne restent pas inactives. Stéphane éprouve la rondeur d'un sein pendant que Chantal explore le bas ventre. Ses doigts habiles attrapent la glissière de la braguette et la descendent. Encouragé, il tire le chemisier hors du jean et passe la paume sous le tissu' Les doigts fouillent dans son slip et découvrent la queue qui grossit? La paume remonte vers la poitrine pour envelopper un mamelon libre de tout soutien-gorge?
La jeune fille s'écarte.
- Aah ! Je suis rassurée.
Elle retient Stéphane qui veut se rajuster.
- Inutile, je veux te montrer quelque chose.
Elle fouille dans son sac et sort triomphalement un godemiché.
- j'ai bien vu comment Olivia a procédé l'autre jour. Je suis sûre d'y arriver.
Il sourit devant sa détermination.
- Cela ne te gêne pas de faire l'amour à un vieux comme moi ?
- Dis pas de bêtises, t?es pas vieux.
Si, il est vieux. Jamais il ne l'avait ressenti comme en cet instant où une toute jeune fille lui offre sa beauté, sa jeunesse, sa fougue. Il soupire.
- Qu'est-ce que tu attends pour te déshabiller !
- Tu es si pressée ?
- Oui, je dois encore passer chez Marc tout à l'heure.
- c'est que, même si tu dis que je ne suis pas vieux, je ne démarre plus au quart de tour.
Elle le dévisage étonnée. Qu'a-t-il voulu dire ?
- Ah !
Son visage s'éclaire.
- Viens ici mon gros, c'est moi qui vais te dévêtir. Et je te promets de te faire de gros câlins en même temps. Ça ira ?? Non, tout à l'heure, dit-elle en s'échappant des mains avides qui voulaient l'enlacer.
Elle ôte le t-shirt. Stéphane docile lève les bras au ciel. Elle finit d'ouvrir la ceinture du pantalon et le fait descendre sous les genoux entraînant le slip. Elle s'accroupit, désentrave les jambes, et attrape la tige souple d'une main et les bourses de l'autre.
- Aah !
Elle porte le gland en bouche et s'amuse à le sucer tout en regardant Stéphane d'un oeil facétieux.
- Aah !
Il se laisse envahir par la douceur de la caresse. La montée du plaisir l'alerte.
- Arrête ! Je vais jouir ! Ce n'est pas ce que tu désires tout de suite, n'est-ce pas ?
Elle se redresse un peu déçue.
- Non.
- Laisse-moi te déshabiller à mon tour.
Il termine d'ôter le chemisier et s'amuse à embrasser et patouiller les seins. Au bout d'une minute, elle se dérobe.
- Je ne suis pas là que pour ça n'oublie pas.
- Excuse-moi. Que veux-tu, ajoute-t-il en descendant le jean et le slip, tu as une si jolie poitrine !
- c'est tout ce que j'ai de bien ?
- Non !
Il applique la bouche sur les poils du pubis cherchant à attraper le petit clitoris des lèvres.
- Aah !
Elle se laisse caresser quelques instants puis reprend l'initiative.
- Va t?asseoir sur le canapé? oui? avance-toi jusqu'au bord' bien.
Armée du sexe artificiel, elle l'enjambe en lui tournant le dos, les genoux sur le siège.
- Écarte les cuisses' encore ! Je vois pas bien ton trou du cul' Ah ça y est !
Elle présente le bout face à l'anus.
- Mon dieu j'oubliais ! T?as de la margarine ?
- Non' Si, dans le frigo tu trouveras du beurre.
Les préparatifs l'avaient excité à un tel point qu'il aurait accepté l'introduction à sec. Chantal se lève.
- Oh ! Une idée ! Pas la peine de beurre.
Elle écarte les jambes, présente le godemiché devant son sexe et l'introduit plusieurs fois. Elle inspecte la tige luisante.
- Ça devrait suffire? écarte les cuisses' Oh ! Attends !
Elle enfonce le doigt dans son vagin et l'essuie autour de l'anus de Stéphane.
- Bon, on peut y aller.
d'une main elle positionne le godemiché, de l'autre elle éprouve la raideur, pas encore satisfaisante de la verge. Elle pousse l'engin.
- Aah !
- c'est bon ?
- Ou' oui !
Après trois manipulations elle s'exclame :
- Oui, tu bandes ! Continue !
Comme sa marraine trois jours auparavant, elle place son vagin au-dessus du gland violacé et s'abaisse. La hampe fléchit. Deux allers et retours du godemiché dans le cul de Stéphane rétablissent la situation.
- Aah ! Que c'est bon une queue en cet endroit !
Elle danse sur les cuisses de Stéphane sans oublier d'agiter le sexe artificiel. Il veut participer et tente de rapprocher le torse pour caresser la poitrine de Chantal.
- Non ! Penche-toi en arrière ! j'arrive plus à enfoncer l'engin dans ton cul !
Il s'appuie contre le dossier un peu gêné que la jeune fille fasse tout le travail. Ce n'est pas lui qui la baise mais le contraire. Cela le déconcentre. Il ne peut retenir la montée de la sève et éjacule en deux ou trois sursauts de sa verge.
- Aaah !
Immédiatement la queue fléchit et sort de son logement.
- Oh !
Chantal pistonne le cul de son partenaire. Sans succès.
- Arrête s'il te plaît, implore-t-il. c'est inutile. Excuse ma faiblesse mais pour moi c'est terminé et bien terminé.
Elle descend du canapé et vient lui donner un baiser sur la joue.
- Tu sais, c'était bien quand-même.
- Tu ne dis pas ça par pitié ?
- Non, je t?assure, j'ai beaucoup aimé. On le refera n'est-ce pas ? ajoute-t-elle en se dirigeant vers la salle de bain.
Il ne sait pas s'il le désire. Il regrette l'absence d'une tierce personne qui en s'occupant de son cul avec une vraie queue bien vivante, lui aurait permis de tenir à bras le corps la jeune fille. Il est persuadé que dans ce cas il l'aurait transporté au septième ciel.

Chantal revient au salon. Elle s'essuie l'entrejambe et dépose la serviette sur le dossier d'une chaise.
- Je dois partir, tu m'en veux pas ?
- T'en vouloir ? La plus jolie fille du Lycée m'offre des moments inoubliables et tu voudrais que je lui en veuille ?
- Non, de partir tout de suite.
- Tu n'as pas de comptes à me rendre. d'ailleurs, tu m'avais prévenu.
Pendant qu'elle s'habille, il nettoie le godemiché et le tend à Chantal. Elle le range dans son sac avec un sourire.
- A bientôt.
Stéphane la regarde descendre les marches. Elle va retrouver Marc qui saura, lui, la faire jouir. c'est dur de vieillir !
- Sois sans crainte, lui lance-t-elle avant de disparaître au tournant de la cage d'escalier, on trouvera une solution !
Pour ça il lui fait confiance?

A suivre?