Une femme frigide chapitre 2 : L'exploration

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Proposée le 11/04/2010 par Marc Paul

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Depuis son aventure pendant sa randonnée, Marie-Claire avait profondément changé. Elle, qui à quarante ans, n'avait jamais rencontré le plaisir des sens, s'était donnée sans retenue à un inconnu, avait jouit deux fois de ses caresses. Elle, qui ne s'était jamais caressée, s'était masturbée le soir même découvrant qu'elle pouvait trouver du plaisir à ses propres caresses.

Ces événements avaient fait d'elle une affamée du sexe et de ses plaisirs. Depuis ce jour, elle s'était caressée tous les jours, matin et soir. Elle avait acheté un vibromasseur profitant de la discrétion d'Internet. Trois jours après, elle avait trouvé dans sa boite à lettres, un petit paquet discret qui contenait le jouet qu'elle avait choisi. Étant seule, elle l'avait essayé immédiatement.

Allongée sur son canapé, elle s'était d'abord un peu caressée pour déclencher sa lubrification. Puis elle avait d'abord mis en route le vibromasseur pour en découvrir le fonctionnement, admirant les yeux gourmands, le mouvement circulaire de son extrémité, appréciant les douces vibrations qui chatouillaient la paume de sa main, souriant de la lumière aux couleurs changeantes qu'il produisait. Elle constata que toutes ses fonctions étaient activables indépendamment les une des autres à l'aide de petits boutons sur son extrémité. De même la vitesse de rotation et la puissance des vibrations étaient elle aussi réglables.

Elle était seulement un peu effrayée par la taille de l'objet. Elle avait cru bien faire en choisissant le plus gros mais, maintenant qu'elle l'avait en main, les quatre centimètres de diamètre de l'engin lui faisait un peu peur.
- Tu as eu les yeux plus grands que le ventre, ma vieille. Pensa-t-elle.

Quand Marie-Claire jugea qu'elle était assez mouillée, elle enfonça doucement le vibromasseur dans sa chatte. Elle fit tout cela en retenant sa respiration, essayant de se décontracter le plus possible. Elle ne ressentit aucune douleur et l'enfonça profondément jusqu'à ce qu'il bute au fond de son con. Elle resta ainsi quelques secondes, un peu contractée, surprise par le froid qui remplissait son ventre. La fraîcheur de l'appareil disparut très vite, ne lui laissant que le doux plaisir de se sentir dilatée, remplie.

Marie-Claire mis en route l'appareil en mode rotation à la vitesse la plus lente. Il ronronnait doucement, reproduisant à merveille le mouvement de son doigt dans son con mais le diamètre de l'appareil lui donnait des sensations beaucoup plus intenses. Marie-Claire resta comme cela de longues minutes, appréciant le lent mouvement de massage interne que lui donnait son nouveau jouet. Elle se caressa les seins, pendant que des ondes de plaisirs montaient de son ventre. Sa poitrine était maintenant tendue, gonflée de plaisir. Ses tétons durcis pointaient vers le plafond et elle les faisait rouler entre ses doigts.

Elle laissa passer un long moment comme cela, ne cherchant pas à se caresser son clitoris qui tendu à l'extrême, gorgé de sève, pointait légèrement à la commissure de ses petites lèvres. En quelques jours de plaisirs solitaires, elle avait appris à écouter et comprendre les réactions de son corps. Elle savait que les sensations de plaisir qui montait de son bas-ventre finiraient bientôt par la rendre folle de luxure. Gourmande, elle laissa passer encore quelques instants, laissant ses mains courir sur l'ensemble de son corps, sur l'intérieur de ses cuisses largement ouvertes, sur son ventre doucement martyrisé par le vibromasseur, sur sa belle poitrine dont elle avait découvert la sensibilité.

Puis, les sensations devenant de plus en plus fortes, elle ne résista plus à cette envie impérieuse que tout son corps demandait. Elle actionna le bouton qui mettait en marche les vibrations et tourna la petite molette en position maximale. Le résultat fut instantané. Des vibrations intenses envahirent son ventre, Marie-Claire se cambra, se tendit en arc, son corps ne reposait plus que par ses épaules et ses talons, ses mains crispées sur les coussins blanchirent sous l'effort. Une vague de plaisir déferla sur elle, la recouvrant entièrement, Marie-Claire hurla de plaisir, son corps fut pris de tremblements violents, son ventre se contracta autour du vibromasseur qui continua son ?uvre. A force de secousses, de contractions, son con éjecta le vibromasseur qui tomba sur le sol en continuant ses contorsions.

Marie-Claire s'écroula enfin, épuisée de cet orgasme intense, ravageur. Elle utilisa dorénavant son acquisition pour se faire jouir. Le matin, avant d'aller au travail, utilisant simultanément toutes ses fonctions et se caressant en plus le clitoris, elle obtenait un plaisir rapide. Le soir, plus lentement, cherchant beaucoup plus l'intensité du plaisir que la rapidité.

Dans les semaines suivantes, Marie-Claire s'inscrit sur un site de rencontres sur le net. Elle sélectionna un homme jeune parmi la dizaine de proposition qu'elle reçut. Il se prénommait Pierre et ne faisait pas mystère qu'il recherchait uniquement une rencontre à but sexuel. c'est cela qui plut à Marie-Claire qui ne recherchait rien d'autre pour l'instant et la franchise de Pierre lui fit lui donner sa préférence.

Après quelques jours d'échange par mail, Marie-Claire et Pierre convinrent d'un rendez-vous dans une ville éloignée d'une centaine de kilomètres à mi-chemin de leurs domiciles.

Marie-Claire prit une chambre le vendredi soir dans un hôtel discount. Elle apprécia la possibilité de prendre la chambre à un automate avec juste une carte bancaire et sans avoir à passer par la réception.

Le rendez-vous était prévu pour le samedi en début d'après-midi, Marie-Claire était à la fois un peu tendue de cette rencontre mais aussi terriblement excitée. Elle avait fait suivre son joujou et l'utilisa plusieurs fois le soir avant de s'endormir pour un sommeil peuplé de rêves tous plus érotiques les uns que les autres. Elle se réveilla encore plus excitée le lendemain matin et se fit jouir encore une fois.
- Tu deviens une vraie salope, ma vieille. Pensa-t-elle. Mais elle se justifia elle-même en se disant qu'elle avait une bonne vingtaine d'année d'absence de plaisir et cinq d'abstinence totale à rattraper.
Elle envoya un SMS à Pierre pour lui indiquer son hôtel et son numéro de chambre. Vers quatorze heures, Pierre frappait à sa porte. Elle lui ouvrit et après une seconde de gène, ils s'embrassèrent sur les joues.

Pierre correspondait à la description qu'il avait faite de lui-même. Trente ans, très athlétique, il dépassait Marie-Claire d'une bonne tête. Il avait des bras puissants et musclés qui encadraient un torse en V où ses pectoraux saillaient sous son T-Shirt. Son ventre était plat, et Marie-Claire devinait des abdominaux en tablette de chocolat.
- Exactement ce que j'espérais, j'espère maintenant qu'il saura me faire vibrer. Pensa Marie-Claire en détaillant celui à qui elle allait se donner.
De son coté, Pierre n'était pas déçu non plus de sa conquête. Marie-Claire avait beau accuser quarante et un ans, elle était très séduisante. Ses jolis seins attiraient son regard, comme sa taille fine, son ventre plat et ses hanches bien dessinées. Sa robe légère ne couvrait que jusqu'à mi-cuisses ses jambes parfaites sans aucune trace de cellulite. La coiffure qu'elle s'était fait faire la veille, ainsi que le maquillage que lui avait conseillé sa coiffeuse, lui donnait un charme indubitable et faisant ressortir le vert de ses yeux.
- Elle est vraiment canon. Pensa-t-il. Et en plus elle a l'air chaude. Car il venait de remarquer le vibromasseur posé sur une tablette à coté du lit.
Ils discutèrent pendant un bon quart d'heure, un peu gênés malgré tout. Après avoir échangé des banalités, Marie-Claire se leva de sa chaise pour fouiller dans son sac. Quand elle se retourna, Pierre tenait à la main deux pochettes de préservatifs. Elle éclata de rire en lui montrant ce qu'elle avait prit dans son sac : une boite entière de capote. Pierre éclata de rire aussi et cette franche gaîté les réunit enfin.

Pierre enlaça Marie-Claire et l'embrassa avant de lui quitter sa robe et son soutien-gorge. Il la souleva dans ses bras sans avoir l'air de peiner et la déposa doucement sur le lit. Alors qu'il posait son T-shirt près de la couche, Marie-Claire s'assit et ouvrit son pantalon. Elle introduisit sa main par l'ouverture et caressa son sexe déjà dur à travers son boxer. Pierre termina lui-même de poser son pantalon et ses chaussettes. Son boxer présentait une bosse de bon aloi, preuve de son excitation. Marie-Claire caressa à nouveau cette excroissance avant de rabattre le boxer sur les cuisses musclées de Pierre.

La queue gonflée était si tendue que le gland violacé était décalotté. Marie-Claire prit ce chibre puissant, presque aussi gros que son vibromasseur dans sa main qui en faisant à peine le tour. Elle le branla un peu avant de se pencher et d'approcher ses lèvres de ce fruit mur. Elle posa quelques bisous légers sur la pointe du gland, fit courir sa langue tout autour, puis elle l'avala. Avec son ex-mari, elle n'avait pas trouvé dans la fellation tout le charme qu'elle y trouvait maintenant, mais tant de choses avaient changé depuis qu'elle appréciait aujourd'hui cette bite qui s'engouffrait dans sa bouche au rythme des légers coups de reins que donnait Pierre.

Celui-ci l'interrompit assez rapidement. Pierre sentait bien que sa résistance arriverait à ses limites rapidement si Marie-Claire continuait à lui infliger ce traitement. Il la repoussa pour qu'elle s'allonge sur le lit et se baissa entre ses jambes grandes ouvertes. Sa culotte présentait une tache plus sombre à la pointe basse de son pubis. Marie-Claire mouillait tellement qu'elle avait inondé sa culotte. Pierre fit glisser sur ses jambes fuselées le petit morceau de dentelle et posa ses lèvres sur sa chatte totalement épilée. Marie-Claire gémit de plaisir de sentir à nouveau une langue parcourir sa fente, s'introduire dans son con brûlant, titiller son clitoris. Elle caressait ses seins gonflés de désir et torturait doucement ses tétons entre ses doigts. Son bassin ondulait, cherchant la bouche de Pierre, provoquant des contacts plus appuyés, plus intenses de sa langue sur son petit bourgeon. Le plaisir la submergea bientôt et elle s'y abandonna avec délice. Elle cria, encourageant son partenaire à la sucer encore et encore, jusqu'à ce que l'orage de ses sens s'apaise et la laisse alanguie sur le lit.

Pierre se saisit d'un préservatif et en coiffa sa queue. Il s'allongea sur Marie-Claire qui se saisit de cette grosse bite qu'elle désirait plus que tout et la guida vers l'antre de son plaisir. Pierre s'enfonça en elle d'un seul coup de reins, Marie-Claire sentit cette queue conquérante la dilater retrouvant les sensations que lui donnait son vibro mais avec la chaleur de ce chibre gorgé de sang en plus. Il la défonça comme cela, les jambes de Marie-Claire nouées sur ses fesses et qui donnait la cadence à ses coups de reins. Marie-Claire se conduisait comme une cavalière qui éperonne son étalon pour le faire avancer.

Après quelques minutes, Pierre marqua une pause. Il se retira et retourna Marie-Claire pour la pendre en levrette. Il profita de cette position pour lui caresser sa belle poitrine et son petit bourgeon de chair. Face au miroir de la chambre, Marie-Claire pouvait se voir et voir l'homme qui s'activait dans son sexe. Elle fut troublée de se regarder soumise au désir d'un homme, soumise à ses propres désirs. Elle vit tout le vice qu'exprimaient ses yeux chavirés. Cette vision de luxure, les caresses sur son corps, les coups de boutoir que lui imposait son amant, la firent jouir de nouveau. La sentant partir de nouveau, Pierre cramponna fermement sa partenaire par les hanches et l'empala violemment sur son dard. Insensible aux cris de Marie-Claire qui du plus profond de l'orgasme qui la ravageait demandait grâce, il continua jusqu'à ce que les jets puissants de sperme, témoins de son plaisir à lui, remplissent le préservatif. Assouvi il lâcha Marie-Claire qui s'effondra sur le lit. Pierre s'allongea à coté d'elle et la câlina tendrement pendant qu'elle récupérait.

Marie-Claire refit surface et embrassa son partenaire, reconnaissante de ses deux orgasmes successifs qu'il lui avait donné. Ils restèrent ainsi de longues minutes, Marie-Claire faisait courir ses doigts sur le corps ferme et musclé de Pierre. Sa main entra en contact avec sa queue qui avait perdue de sa belle rigidité. Détendue, la verge de Pierre se trouvait enduite de sa semence qui coulait du préservatif qu'il n'avait pas quitté. Marie-Claire l'en débarrassant et elle s'appliqua à débarrasser sa queue de cette liqueur grasse et salée qui la couvrait. Elle le suça avec application, goûtant avec délice cette saveur si particulière et nouvelle pour ses papilles qui n'avaient jamais connu cela.

Pierre l'arracha à sa douce besogne et montrant le vibromasseur sur la table de nuit, lui demanda :
- Tu me fais une démonstration ?
Marie-Claire prit l'appareil en souriant de gourmandise et lui en montra toutes les fonctions.
- Là, tu le mets en route. Là, tu choisis le mode.
- Le mode ?
- Oui, regardes, comme ça c'est « vibrations » !
- d'accord'
- Ici, c'est « rotation ». Le vibromasseur se tordit lentement.
- Génial !
- Et là, c'est les deux en même temps. Et ici tu règles la vitesse et là les vibrations.
- Super ! tu aimes t?en servir ?
- Oui, je prends des pieds grandioses avec ça.
Pierre lui prit le vibromasseur des mains et lui enfonça dans la chatte. Il joua avec les différents boutons pendant que Marie-Claire se tortillait de plaisir sur le lit. Au bout de quelques minutes, elle lui dit d'une voix cassée :
- Enlèves ça et viens, j'ai encore envie.
Pierre remit un préservatif neuf et repris Marie-Claire en levrette. Très vite elle se remit à gémir de plaisir et Pierre se retira de sa chatte et dirigea son gland vers son petit trou. Sa queue était bien lubrifiée, la rosette de Marie-Claire aussi car sa chatte coulait abondamment, et Marie-Claire était à un tel niveau d'excitation qu'il l'encula d'un seul coup sans qu'elle n'oppose la moindre résistance. Elle poussa juste un râle, plus de surprise que de douleur. c'était pourtant la première fois qu'elle se faisait sodomiser et quand elle comprit ce qui venait de lui arriver, elle ressentait déjà les délicieux effets de cette queue qui glissait sans effort dans son cul. Elle aima immédiatement être baisée comme cela. Quand Pierre se saisit du vibromasseur qui traînait à coté d'eux et qu'il l'enfonça dans sa chatte. Elle hurla de bonheur à cette double pénétration. Elle, qui aimait cette sensation d'être remplie, était comblée. Son troisième orgasme de l'après-midi fut encore plus violent que les autres et lui fit perdre connaissance quelques minutes.

Quand elle revint à elle, Pierre était allongé à coté d'elle et lui souriait tendrement.
- c'était bon, ma belle ?
- Génial, je n'ai jamais jouis comme ça. Vraiment, je ne dis pas ça pour flatter ton orgueil de mâle. c'était réellement super.

Marie-Claire débarrassa sa queue de sa protection et l'engloutit dans sa bouche. Se saisissant du vibromasseur, elle le mit en mode « Vibrations » et elle en promena le bout sur le sexe de son amant, sans cesser de le sucer. Elle alternait ses caresses mécaniques avec des caresses manuelles. Sa main glissait sur la grosse hampe, malaxait doucement les boules de ses testicules. Marie-Claire s'enhardit à faire glisser son doigt entre les fesses de Pierre. Il grogna de plaisir et écarta ses cuisses. Marie-Claire prit ceci comme une acceptation et tout en continuant de le sucer commença à caresser la rosette de son cul avec son doigt qu'elle mouillait à sa chatte. Petit à petit, elle enfonça d'abord une phalange puis le sodomisa complètement de son majeur. Le gros chibre de Pierre palpitait dans sa bouche.

Rapidement son doigt s'introduisait facilement dans les sphincters détendus de son amant. Son cul était bien lubrifié et Marie-Claire introduisit le vibromasseur qu'elle avait lubrifié également de sa mouille et encula Pierre profondément sans le mettre en marche. Pierre poussa un grognement de plaisir, qui se transforma en râle de bonheur quand Marie-Claire actionna les boutons qui mirent en route le mode « vibration ».

Se contentant juste de maintenir le vibromasseur bien planté dans les entrailles de son amant et se concentra sur la fellation. Elle laissa sa langue courir le long de la hampe qui palpitaient comme animée d'une vie propre, titillaient le gland violacé, gonflé et turgescent.

Pierre soufflait comme un phoque et gémissait en continu. Son sexe était tendu à lui faire mal. Sa dernière pensée cohérente avant de laisser libre court à son orgasme fut de se dire :
- Je suis tombé sur une véritable salope.
Il appuya fortement sur la tête de Marie-Claire et cria d'une voix que l'orgasme rendait rauque :
- Rahhh, suces moi, salope, encore, tu vas prendre mon jus dans ta bouche.
Et il libéra les forces qui comprimaient son ventre et le brulaient de l'intérieur.

Marie-Claire reçut les premiers jets de sperme au fond de sa gorge. Le liquide chaud et gluant lui provoqua un bref haut le c'ur et elle se retira un peu bien que la pression sur sa tête fut forte. Les autres giclées moins puissantes lui emplirent la bouche de leur saveur salée.

Elle avala tout le sperme chaud pendant que la bite de Pierre se dégonflait doucement dans sa bouche. Elle retira doucement le vibromasseur et l'arrêta.

Elle s'allongea ensuite sur le corps alangui de son amant et l'embrassa tendrement. Pierre la regarda en souriant :
- Excuses moi de t?avoir traitée de salope, dans ces moments là je ne sais plus vraiment ce que je dis.
- Pas de problème et puis...
- Et puis ?
- Et puis peut-être que tu as raison, je suis probablement une salope.
- Je ne sais pas, en tout cas, j'ai joui tellement fort que ça ne m'est pas arrivé si souvent.
- Tant mieux. c'est bien comme ça.
Ils se câlinèrent encore un peu avant de passer chacun leur tour sous la douche, celle-ci était trop exigüe pour les contenir ensemble.

Sur le parking de l'hôtel, Pierre lui demanda :
- On se reverra ?
- Je ne sais pas, peut-être. Je garde ton téléphone au cas où...

Marie-Claire ne revit pas Pierre mais dans les mois qui suivirent elle rencontra d'autres hommes et vibra dans leurs bras.