Une femme frigide chapitre 1 : La révélation

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Proposée le 10/04/2010 par Marc Paul

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Marie-Claire vivait seule une semaine sur deux. Elle était divorcée depuis bientôt quatre ans et son ex-mari et elle avait convenu au moment de la séparation de pratiquer la garde alternée de leur fils. Ce week-end et toute la semaine qui suivait, elle était donc seule.

Son divorce l'avait beaucoup affectée, d'autant plus qu'elle se sentait coupable de l'échec de son couple. Marie-Claire avait été rapidement séduite par ce garçon simple et enjoué, son accent du midi et sa bonne humeur avait charmé la fille de l'Est de la France qu'elle était. Marie-Claire avait trouvé dans leur union le plaisir d'une vie simple même si, au lit, elle ne prenait pas vraiment de plaisir. Vierge quand elle avait rencontré Jérôme, Marie-Claire n'avait jamais connu le plaisir des sens, son éducation lui ayant interdit la masturbation et jamais au cours de leurs joutes amoureuses elle n'avait connu l'orgasme mais uniquement un plaisir fait de tendresse et de bien-être de se sentir désirée. Il est vrai aussi que Jérôme ne prêtait pas une grande attention au plaisir de son épouse. Au bout de quelques années, Jérôme avait commencé à se montrer soupçonneux quand à la fidélité de son épouse. Le peu d'entrain de sa femme au lit, son absence de plaisir quand il la baisait, le fait même qu'elle se refuse de plus en plus fréquemment l'avait conduit à penser que Marie-Claire le trompait. Leur divorce fut prononcé au bout de quelque mois.

Assise sur son canapé, Marie-Claire ne prêtait pas attention à la télé allumée. Elle se repassait le film de ce qui s'était passé cet après-midi, elle ne réalisait pas encore vraiment ce qui lui était arrivé. Les événements de l'après-midi lui avaient fait repenser à ce qu'avait été sa vie de couple et sa vie solitaire. Depuis qu'elle vivait seule, depuis quatre ans, elle n'avait pas eu de relation sexuelle. Cela ne lui avait pas réellement manqué car elle se croyait frigide et avait accepté cela comme une fatalité. Pas une seule fois elle n'avait accepté l'idée de la moindre aventure, même si plusieurs fois des collègues masculins avait tenté de la séduire, avec plus ou moins d'insistance.

Ce dimanche avait été une belle après-midi de fin de printemps. Chaude mais pas trop, le temps idéal pour une randonnée. Marie-Claire avait donc décidé d'aller marcher un peu l'après-midi. Elle avait garé sa voiture sur le parking désert un peu avant 15 heures. Elle connaissait bien cette randonnée balisée qui suivait une petite vallée au fond de laquelle coulait un petit ruisseau qui prenait des allures de torrent quand il serpentait entre de gros rochers ronds.

Vers le milieu de sa balade, Marie-Claire s'octroya une pause dans un espace aménagé de deux tables de pique-nique. Elle grignota une barre de céréale et but un peu d'eau. A cet endroit, le chemin était commun sur quelques centaines de mètres à deux randonnées qui se séparaient ensuite après avoir traversé le ruisseau.

Marie-Claire lézardait au soleil depuis quelques minutes quand un homme s'approcha et s'assit à coté d'elle. Tout en discutant, il tira de son sac quelques biscuits et but au goulot de sa gourde.

Marie-Claire et l'inconnu échangèrent des banalités pendant un quart d'heure. Marie-Claire en profita pour détailler l'homme qui bavardait. Il devait avoir la cinquantaine, dix ans de plus qu'elle, ses cheveux étaient presque uniformément blancs et ses yeux d'un bleu intense. Il était un peu plus grand qu'elle, pas spécialement musclé. Sa conversation était simple et intéressante. Il ne cherchait pas à la draguer mais elle remarquait quand même que son regard se posait sur son corps, en particulier sa poitrine. Elle avait l'habitude de ce regard des hommes sur cette partie de son anatomie. Il est vrai que ses seins tendaient le fin t-shirt qu'elle portait. Marie-Claire avait une belle poitrine, de jolis seins ronds et fermes et qui se tenait bien. Sa taille était fine et soulignait des hanches rondes et bien modelées.

Quand ils décidèrent l'un et l'autre de poursuivre leur chemin, ils se levèrent ensemble et le hasard fit qu'ils se retrouvèrent face à face, très proches, presque collés, leurs sacs à dos à la main. Leurs regards se croisèrent et ils virent l'un et l'autre un trouble profond dans les yeux de l'autre.

Marie-Claire se repassait le film de ce qui s'était produit à cet instant précis. Elle revivait comme au ralenti les évènements.

Pourquoi n'avait-elle pas repoussé la main que l'homme avait posé sur sa joue avant de saisir sa nuque ? Pourquoi avait-elle accepté cette caresse ? Pourquoi avait-elle ouvert ses lèvres quand il avait posé les siennes sur sa bouche ? Elle l'ignorait, elle ne comprenait pas son attitude.

Marie-Claire s'était donc retrouvée dans les bras de l'homme qui l'embrassait doucement. Elle l'avait laissé introduire sa langue dans sa bouche entr?ouverte, elle avait apprécié ce baiser tendre et le lui avait rendu, enlaçant sa langue à la sienne, lui mordillant les lèvres. Après ce premier baiser, ils avaient l'un et l'autre laissé tomber leurs sacs et s'étaient assis tout en continuant de s'embrasser.

Le film repassait toujours au ralenti dans le mémoire de Marie-Claire. Un fois assis, ils s'étaient encore embrassés longuement, langoureusement. l'homme avait glissé sa main sous le fin T-shirt, provoquant chez Marie-Claire un frisson très agréable, une éruption de chair de poule, un durcissement de ses tétons. Elle n'avait pas protesté quand il avait remonté le vêtement toujours en l'embrassant. Elle l'avait même aidé quand il avait lâché ses lèvres pour faire glisser son haut par-dessus sa tête et s'était cambrée pour lui permettre de dégrafer son soutien-gorge.

Marie-Claire ne comprenait pas comment, elle, d'habitude si pudique, avait pu accepter de se retrouver torse nu, en pleine nature et en présence d'un inconnu. l'homme lui caressait maintenant les seins, alternants les caresses légères, les effleurements à peine sensibles avec des prises en mains plus fortes et plus intenses. Quand il prit un de ses tétons durcis par le plaisir et le pinça fortement, Marie-Claire gémit de cette petite douleur à laquelle se mêlait une excitation inconnue pour elle. Elle ressentit une chaleur dans son bas ventre, son sexe palpitait comme animé d'un désir indépendant de sa volonté. Elle embrassa à nouveau cet inconnu qui l'entraînait sur des chemins qu'elle ne connaissait pas. Quand elle libéra sa bouche, il se pencha pour embrasser sa belle poitrine et lui attira d'abord un soupir d'aise quand il plaqua sa bouche sur ses larges aréoles suivi d'un petit cri de surprise quand il lui mordilla et aspira son téton durci. Marie-Claire sentait maintenant son sexe se gonfler et une douce chaleur humide envahissait son entrejambe. Elle maintenait la tête de l'homme sur ses seins de ses deux mains, les doigts fourrageant dans sa crinière argentée, la tête rejetée en arrière, le regard perdu vers la cime des arbres, sa bouche entr?ouverte laissait échapper des soupirs de plaisir.

Après quelques minutes, l'homme se releva et la fit s'asseoir sur la table de bois et la poussa en arrière pour qu'elle s'allonge sur le bois rugueux. Il ouvrit le jean de Marie-Claire qui ne protesta pas, en fit glisser le zip et le tira vers ses chevilles, lui quittant au passage ses baskets. Arrivée à ce moment de son souvenir, Marie-Claire se rappela nettement qu'elle avait elle-même soulevé ses fesses pour lui faciliter la tache. Le jean glissa sur ses jambes, entraînant avec lui sa petite culotte. l'homme passa ses deux mains sous le pli des ses genoux et lui remonta les jambes en les ouvrant. Il engouffra ensuite sa tête dans le V de ses cuisses avant de poser ses lèvres sur sa fente palpitante. Marie-Claire n'avait jamais vécu cela. La langue de l'inconnu glissait doucement sur ses petites lèvres gonflées de désir, les forçant à s'ouvrir, laissant échapper un peu plus sa liqueur gluante et chaude. Elle sentait la langue de l'individu parcourir sa fente, elle offrait son sexe détrempé à sa bouche avide. Quand sa langue atteint le petit renflement de chair en haut de son sexe, une décharge électrique parcourut son ventre au plus profond d'elle-même. Son bassin ondulait tout seul offrant son sexe à l'individu qui le suçait. Des ondes de plaisir parcouraient son corps qu'elle ne contrôlait plus. Sa bouche laissait échapper de petits cris. Marie-Claire se laissait submerger par ses vagues de plaisir, ses ondes de luxure qui la ravissaient. Sa dernière pensée consciente avant de sombrer dans l'orgasme fut de regretter la maladresse de son ex-mari qui n'avait jamais su lui donner cette extase. Elle jouit en criant, le corps agité de spasmes incontrôlables, ses mains appuyait sur la tête de l'individu, ses cuisses se resserraient sur ses joues, emprisonnant fortement sa tête comme pour l'obliger à la sucer encore et encore.

Elle avait à peine repris ses esprits que l'homme s'était agenouillé sur le banc. Il avait sortit son sexe de son pantalon et le guidait d'une main vers sa fente dégoulinante de bonheur et de désir. Marie-Claire sentit ce dard glisser entre ses petites lèvres gonflées et s'introduire à peine à l'entrée de sa grotte intime. Lâchant son chibre, il la prit par les hanches et commença à s'introduire en elle d'une longue poussée de ses reins. Marie-Claire accueillit son membre dans son ventre avec délice, sentant son sexe s'ouvrir sous la pression de cette queue, étonnée de se sentir aussi serrée, comme si c'était la première fois qu'elle se faisait baiser mais surprise aussi de la faculté de son con d'accepter ainsi cette bite conquérante après cette si longue abstinence.

l'homme se retira aussi doucement qu'il avait avancé, Marie-Claire noua ses jambes sur ses reins et l'attira au plus profond d'elle-même. l'inconnu commença un lent mouvement de va-et-vient, la pénétrant à chaque fois plus profondément mais toujours avec une grande douceur. Marie-Claire découvrit avec plaisir que les sensations qu'elle avait eu quelques instants plus tôt revenaient sous les coups de boutoir de son amant de passage. Le bois rugueux de la table lui piquait un peu le dos et les fesses mais cela ne faisait qu'augmenter son plaisir. Elle laissa son corps parler, elle ne retint pas son bassin quand celui-ci reprit les ondulations qu'elle avait connu juste avant. Tout son corps demandait son du, elle voulait cette queue en elle, plus profond, plus fort, encore et encore. l'homme avait lâché ses hanches et une de ses mains lui malaxait la poitrine pendant que l'autre caressait sa chatte. Marie-Claire partit dans un deuxième orgasme, encore plus fort que le premier qui lui arracha des cris de gorge et des râles de plaisir. l'homme n'avait pas cessé de la défoncer mais il avait augmenté sa cadence, allant lui aussi vers le plaisir. Marie-Claire, reprenant sa lucidité, eut juste le temps de voir son visage exprimer l'arrivée proche de son plaisir, elle sentit la queue qui la défonçait se gonfler dans son ventre. Ses coups de reins devinrent plus rapides, plus violents avant qu'il ne se vide en elle. Il jouit brutalement en soufflant et Marie-Claire sentit trois ou quatre jets de sperme dans son ventre avant qu'il ne s'écroule sur elle.

Il se releva aux bouts de quelques minutes, et toujours sans un mot se rhabilla. Effectivement, maintenant qu'elle y repensait, Marie-Claire constata avec étonnement que tout cela s'était passé sans qu'aucune parole ne soit échangée. Il aida ensuite Marie-Claire à se revêtir, récupérant et lui tendant ses vêtements qu'il avait éparpillé tout autour de la table de pique-nique.

Il reprirent ensuite le chemin en se tenant pas la main, et s'embrassèrent une dernière fois quand leur route se séparèrent juste après le petit pont sur le ruisseau. Sans se parler, ils s'embrassèrent tendrement. Marie-Claire lui dit simplement « merci » dans un sourire avant de s'éloigner de son coté. Juste avant le virage du sentier qui allait la cacher aux yeux de l'inconnu, elle se retourna, il n'avait pas bougé. Elle lui adressa un signe de la main et continua sa route.
Marie-Claire parcourut le chemin jusque à sa voiture dans un état second. Elle s'installa au volant et rentra à son appartement l'esprit vide sans parvenir à formuler des pensées cohérentes. Elle réussit quand même à se concentrer sur la conduite de sa voiture pour ne pas avoir un accident. Arrivée chez elle, elle alla directement dans la salle de bains, quitta ses vêtements, jeta un coup d'oeil sur sa petite culotte trempée de sa mouille et du sperme de l'inconnu qui suintait de sa chatte. Elle prit une douche chaude avant de s'allonger sur son canapé, seulement vêtue de son peignoir en éponge, où elle se repassa le film de l'après-midi.

l'aventure qu'elle venait de vivre lui avait révélé son erreur à propos de sa frigidité imaginaire. Elle, qui n'avait jamais connu de plaisir sexuel auparavant, venait d'avoir deux orgasmes successifs avec un inconnu qu'elle ne reverrait probablement jamais.

Le souvenir des heures précédentes provoquait en elle des sensations semblables à celle qu'elle avait eu quand l'inconnu l'avait embrassé et lui avait caressé les seins. Sa chatte se trouvait maintenant à nouveau gonflée au souvenir de ces instants merveilleux. Sans y penser, sans le vouloir de façon consciente, sa main droite se trouvait maintenant à l'intérieur de ses cuisses écartées. Marie-Claire se rendit compte qu'elle était en train de se caresser, qu'elle avait envie de jouir à nouveau. Son doigt glissa sur ses petites lèvres gonflées, les écarta doucement. Marie-Claire constata qu'elle était de nouveau trempée et mouilla son doigt avant de le faire glisser doucement sur toute la longueur de sa fente. Quand elle atteint son petit bourgeon de chair si sensible cela lui provoqua, comme cet après-midi, le même effet que la langue de l'inconnu.

Elle ouvrit largement les cuisses et comme une collégienne, elle découvrit les plaisirs de la masturbation. Elle se fit jouir d'abord très rapidement en se caressant le clitoris, puis après avoir dîné, elle repris ses caresses sur l'ensemble de son corps, cherchant les zones les plus sensibles de son anatomie. Elle se fit jouir encore une fois avant d'aller se coucher.

Le lendemain matin, Marie-Claire s'appliqua à se maquiller un peu plus que d'habitude et choisit avec soin sa tenue pour aller travailler. Elle avait envie maintenant de plaire, d'être jolie, d'attirer le regard des hommes.