Partie de ski, partie exquise 2

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Proposée le 6/04/2010 par Bengu

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PARTIE DE SKI, PARTIE EXQUISE

2ème partie : rencontre entre sportifs.


Nous ne les avions pas entendus et ne savons pas quand ils sont arrivés.
Les trois inconnus qui nous entourent sont attentifs et paraissent subjugués par le spectacle auquel ils assistent.
Ils sourient et ne semblent pas vouloir s'imposer ni profiter de la situation.
l'effet de surprise est réel et je ne peux retenir une certaine inquiétude. Je n'ai pas eu mon plaisir mais mon excitation retombe d'un coup.
Tu ne parais pas inquiète et tu mets plus de temps à revenir à la réalité. Ton corps te pousse à terminer ce qui a été si bien commencé et reste agité de tressautements incontrôlés.
Tu commences à ressentir le froid et tu te blottis contre moi.
Nous ne cherchons pourtant pas à nous rhabiller tout de suite et nous posons simplement nos anoraks sur nos épaules.
Tu t?assieds dos au poêle, le buste bien droit et les mains posées sur les cuisses.
Je me place à ta gauche et pose une main sur ton sexe comme pour le protéger ; je sens sous ma paume les spasmes de frustration qui me reprochent d'avoir interrompu le plaisir annoncé.
Nous restons silencieux et examinons attentivement les trois intrus qui ne disent mot mais ne paraissent pas menaçants.
Ils ont retiré leurs anoraks et leurs bonnets et ont plutôt belle allure dans leurs combinaisons adaptées à la pratique du ski de fond. Ce sont des vêtements techniques de belle qualité, qui ne cachent pratiquement rien de leurs corps de sportifs.
Le plus jeune, trente ans environ, recharge le feu qui menaçait de s'éteindre. Il est grand et bâti en athlète, avec des épaules larges et des membres puissants. Les muscles de ses bras et de ses jambes sont visibles sous sa combinaison et roulent à chacun de ses mouvements.
Il a le crane totalement rasé. Ses yeux bleus sont magnifiques et mettent bien son bronzage en valeur. Ils ne parviennent pas à se détacher de ton corps qu'ils détaillent et trouvent visiblement à leur goût.
Le deuxième a une soixantaine d'années. Il garde un aspect sympathique, malgré un visage taillé à la serpe et des traits relativement grossiers. Il est aussi grand, mais beaucoup plus trapu que ses deux amis et dégage une impression de force brute, accentuée par la dimension et l'épaisseur inhabituelles de ses mains et de son cou. Tu l'as examiné avec une attention particulière et ton intérêt s'est arrêté à une protubérance qui laisse supposer une virilité assez spectaculaire.
Le dernier doit avoir cinquante ans. Grand, d'allure sportive, les membres fins, il parait solide et sûr de lui. Il porte également une combinaison. Le matériau fin et très moulant met en évidence son sexe et la rondeur de ses fesses. Il a des traits réguliers et une épaisse chevelure blanche coupée court. Sa bouche et ses yeux sourient en permanence et donnent à son visage une expression sympathique.
c'est lui qui a pris l'initiative de dire bonjour, lui encore qui le premier décide de s'asseoir.
Il se place à ta droite sur le banc.
Ses compagnons s'installent en face de nous, de l'autre côté de la table ; ils ne te quittent pas des yeux et sont comme hypnotisés par l'anorak ouvert et ce qu'il dévoile de ta nudité.
Il s'est bien passé cinq minutes depuis l'arrivée des inconnus et, à part le bonjour du début, personne n'a encore prononcé une parole.
La situation est surréaliste, mais personne n'en dénonce l'incongruité.
Aucun malaise n'est perceptible et chacun semble trouver naturel que, maintenant réchauffés, nous reposions nos anoraks et nous montrions totalement nus devant les trois skieurs qui sont toujours habillés.
Enfin, ton voisin rompt le silence et présente ses deux amis Alex et Gérard.
Lui-même se prénomme Jean-Claude.
Il s'exprime calmement d'une voix chaude et agréable.
Pendant qu'il parle, sa main rejoint la mienne.
Nos doigts s'emmêlent, glissent sur ta peau satinée et s'agacent à la fourche de tes cuisses qui s'ouvrent largement. Tu rosis et ta respiration s'accélère. Ton corps tout entier tremble sous la double caresse.
Jean-Claude est le seul à parler.
Il explique : « mes deux amis et moi-même sommes mariés et heureux dans nos ménages. Mais nous avons constaté que, si une femme peut sans problème donner du plaisir souvent et à plusieurs hommes, un homme ne réussit pas toujours à pleinement satisfaire ne serait-ce qu'une seule femme.
Nous nous sommes donc organisés en une sorte d'association pour donner un maximum de plaisir à nos épouses. Pour cela nous nous retrouvons tous les dimanches pour un après-midi et une soirée consacrés au sexe. Chaque semaine, une des femmes tient le rôle principal et les autres ? hommes et femmes ? cherchent à lui procurer un maximum de plaisir. l'héroïne - c'est ainsi que nous la désignons - choisit une situation. Les autres participants se réunissent le lundi soir en son absence pour déterminer des accessoires ou un scénario qui seront autant de surprises auxquelles elle devra s'adapter.
Tout est permis si cela respecte la situation choisie et si cela est librement accepté.
Rien ne peut être imposé, ni physiquement, ni moralement.
Nous n'oublions jamais que notre but est la jouissance de l'héroïne ; les autres femmes et nous les hommes ne trouvons notre satisfaction que dans le plaisir que nous lui donnons.
En particulier, nous retenons notre orgasme au cours de ces séances et, sauf demande expresse de l'héroïne, nous réservons notre semence à nos épouses respectives lorsque nous les retrouvons dans l'intimité.
Nous sommes actuellement quatre couples, ce qui pose problème lorsque plusieurs sont absents. Nous serions heureux que vous nous rejoigniez, si vous le souhaitez et si le reste de notre groupe vous accepte également.
Je vous propose de réfléchir calmement à cette proposition lorsque vous vous retrouverez seuls tous les deux et de nous retrouver lundi soir. Nous nous rendrons ensuite chez Alex où votre candidature sera examinée.
Si vous êtes acceptés comme nous l'espérons, nous organiserons immédiatement une séance spéciale pour votre intronisation dans le groupe. Je dois vous prévenir que vous devrez nous dévoiler avec franchise de nombreux détails concernant votre intimité et que nous serons amenés à faire beaucoup l'amour lors de cette réunion. »
Personne ne semble surpris ni choqué par ce discours.
Les participants sont immobiles et paraissent attentifs.
Sous la table, tes mains rejoignent parfois les nôtres, les encouragent, s'en séparent, reviennent, s'impatientent,? Elles finissent par glisser vers mes cuisses et vers celles de Jean-Claude. Tes doigts saisissent ma verge et se réjouissent de sa taille et de sa dureté. Ils la parcourent lentement sur toute sa longueur avant de se concentrer sur le bourrelet du gland.
Ta main droite se pose sur le renflement qui déforme le pantalon de ton autre voisin. Elle cherche un passage par lequel elle pourrait s'introduire. Elle n'en trouve pas et flatte l'animal qui palpite à travers le tissu. Elle en profite pour estimer son volume qui parait te satisfaire.
Notre calme n'est qu'apparent et nous ne pouvons pas te cacher notre excitation.
Avec douceur mais fermeté, j'écarte ta main indiscrète et la pose sur la table ; je constate que Jean-Claude en fait autant.
Tu trembles de te sentir injustement frustrée d'un plaisir que tu attends plus complet et tu caches la colère qui monte en toi.
Sur ton ventre, nos mains reprennent leur manège un instant interrompu. Tu es incapable d'identifier les doigts qui torturent délicieusement ton clitoris ou ceux qui s'introduisent dans ta fente trempée de désir.
Ton sexe brûle sous cette double caresse.
Tu regardes fixement Alex et Gérard sans jamais baisser les yeux et tu ne manifestes aucune émotion malgré les doigts qui te fouillent. La colère ne te lâche pas et tu t?efforces de rester impassible, les mains posées bien à plat sur la table.
Tu te concentres sur les mots que tu entends mais dont tu ne comprends le sens qu'avec un certain retard.
Alex et Gérard ne te quittent également pas du regard.
Ils ne semblent pas remarquer ce qui leur est caché, ni l'odeur qui monte de la table, ni les gémissements, ni les spasmes qui pourtant ne laissent aucun doute sur le plaisir que tu reçois.
Tu perds progressivement tout lien avec la réalité.
Tu ne penses plus qu'au feu qui te brule le ventre.
Tu n'as plus qu'une certitude : il faut que quelqu'un éteigne cet incendie ! Et vite ! Tu ne te poses pas la question du qui ni du comment et tu ne sais pas vraiment ce que tu souhaites : que ce temps n'arrête jamais ou que les mains soient remplacées par quelque chose de plus consistant, qu'un seul ou que tous les quatre te prennent là tout de suite?
Jean-Claude a terminé son discours ; tu l'entends dire que la nuit va tomber et qu'il faudra bientôt penser à partir.
Ton corps inassouvi ne s'attendait pas à cette déception supplémentaire ; il se révolte, puis reprend espoir lorsque Jean-Claude te tient la main et t?aide à grimper sur la table.
Tu es heureuse d'obéir et de te montrer quand il te prend par la taille et te fait lentement tourner sur toi-même.
Tu ne sais que faire de tes bras et tu les lèves au dessus de ta tête, à la manière d'une danseuse étoile.
Pendant plusieurs minutes, le silence est total.
Tu tiens le rôle principal dans ce ballet qui se joue sans musique. Nous ne savons plus, ou pas encore, si nous sommes également acteurs ou simples spectateurs.
Pour l'instant, nous nous contentons de t?admirer et nos mains frôlent et dessinent ton corps qui se soumet à leur convoitise.
Ta peau est soyeuse et douce au toucher. La fermeté de tes seins est accentuée par les tétons que l'excitation a rendus plus durs encore. Tes fesses rebondies appellent la fessée et les caresses. Tes cuisses sont maculées du liquide nacré qui s'écoule de leur fourche.
Ton sexe est animé de palpitations et nos yeux dévorent ce que dévoilent les lèvres gonflées et entr?ouvertes.
Tu ressens avec bonheur la brulure de nos regards sur ton corps tandis que nous ne nous rassasions pas de ton spectacle et de l'odeur d'amour qui l'accompagne.
Jean-Claude te prend fermement les fesses et les malaxe tout en essuyant tes cuisses avec sa langue.
Il aime ton odeur, sucrée et iodée à la fois.
Tu fléchis et écartes légèrement les jambes pour lui permettre d'accéder plus facilement à ton sexe qui te fait mal à force de frustration. Ton corps tremble violemment et tu parviens difficilement à maintenir ton équilibre.
Tu voudrais qu'il te prenne là, tout de suite, et qu'importe les autres ! Tu t?accroches à lui et tu essaies de l'attirer. Il fait durer cette caresse aussi longtemps que tu parais la supporter mais l'interrompt juste avant que la jouissance s'empare totalement de toi.
Il s'éloigne alors et te force à t?accroupir.
Il te porte par les chevilles et te soulève doucement.
Tu ignores ce qu'il veut, mais tu te laisses aller avec confiance, le corps soutenu confortablement dans ses bras, ta tête reposant sur son épaule.
Ainsi portée, ta vulve trouve la bouche d'Alex. Il déguste lentement le sexe que tu lui présentes et boit directement à la source d'amour. Dans un premier temps, le changement de partenaire et la nature de la caresse semblent avoir eu un effet apaisant. Mais le feu se réactive encore plus fort et t?amène rapidement au bord de l'orgasme.
Jean-Claude t?éloigne avant que tu y parviennes et t?offre à Gérard. Tu ne l'imaginais pas capable d'une telle douceur. Il pince ton clitoris entre ses lèvres et l'aspire délicatement. La sensation provoquée par cette fellation est délicieuse et tu voudrais qu'elle se prolonge indéfiniment. Mais, encore une fois, Jean-Claude te retire juste avant que tu exploses de plaisir.
Il te tourne alors vers moi. Mon membre est gonflé comme il l'a rarement été et je te pénètre d'une seule poussée.
Je reste en toi sans bouger pour permettre à nos deux sexes de se reconnaître et d'apprécier leur étreinte. Nous sentons tous les deux ton c'ur qui bat au fond de ton ventre et le mien qui palpite au bout de mon membre.
La sensation est si puissante que je voudrais en profiter longtemps.
Mais ton corps est plus impatient que le mien et c'est lui qui donne le signal.
Je me fais violence pour répondre à son appel.
Je vais et viens en toi le plus lentement possible.
Tes chairs me ressentent sur toute leur surface comme si quelque chose d'énorme avait envahi ton ventre. Tu cries immédiatement ton plaisir de façon continue sans pouvoir toeinterrompre.
Pour ma part, j'ai l'impression que toute mon énergie est concentrée dans mon sexe, qu'il est devenu incroyablement lourd et qu'il ne pourra plus jamais quitter le piège qui le retient prisonnier.
Régulièrement, il réussit à s'extraire de sa prison mais à chaque fois tu l'avales à nouveau.
Tes gémissements répondent aux miens et nous encouragent à prendre le chemin du plaisir.
Notre jouissance emprunte bientôt une large allée qui nous laisse entrevoir à l'avance le monument de sa libération.
Le spasme attendu nous secoue avec une violence exceptionnelle et nous laisse pantelants et désorientés.
Nous restons en place, immobiles, jusqu'à ce que nous reprenions nos esprits. Puis tu t?accroches à mon cou et je t?emporte vers la table où je te dépose à plat dos.
Je reste fiché en toi tandis que nous te contemplons et que nos huit mains t?expriment également leur reconnaissance et leur admiration dans une caresse qui, bizarrement, n'a pas vraiment de caractère sexuel.
Alex est allé chercher un broc d'eau tiédie sur le poêle.
Nos trois amis ne peuvent pas cacher le désir qui leur tend le ventre et les tient au bord de l'explosion. A mains nues, avec beaucoup de douceur, ils entreprennent de te laver longuement et entièrement. Ils s'attardent sur tes mains et tes orteils. Ta poitrine est également l'objet de toutes leurs attentions.
j'écarte mon sexe toujours raide lorsqu'ils nettoient ta vulve qui dégouline encore de ma semence.
Insensiblement, ton corps se réveille et ton désir retrouve toute sa puissance. Mais, fidèles à leur charte, ils finissent de te sécher et te remettent tes vêtements.
Nous reprenons les skis dès que nous sommes prêts.
Le jour est en train de décliner et la piste est encore longue? Il nous faut plus d'une demi-heure pour rejoindre les véhicules.
Les moteurs mis en marche, tu toeinstalles dans la voiture.
Ta colère n'est pas encore retombée malgré le puissant orgasme qui t?a terrassée et ta faim pour les sexes entraperçus n'est pas satisfaite. Loin de t?avoir calmée, ton habillage et le trajet de retour l'ont au contraire exacerbée.
Tu restes sans rien dire tandis que je discute avec nos compagnons pour la première fois depuis notre rencontre.
Jean-Claude me rappelle le rendez-vous du lundi soir.
Ils me serrent la main et t?embrassent légèrement sur la bouche, comme pour un au-revoir entre vieux camarades.
Gérard tient dans sa main des boules de geishas qu'il a prises dans sa voiture. Il te les offre et te propose de les installer. Souriante, tu baisses ton pantalon et tu soulèves ton bassin.
Dans la lumière du plafonnier, Gérard contemple ta vulve gonflée de désir.
Tu lui guides la main jusqu'à ce que les boules, agréablement chaudes, soient facilement absorbées par les parois humides et tu ne peux retenir un fort tremblement.
Tu connais bien ces objets que tu utilises fréquemment lors de nos voyages en automobile. Ils provoquent une sensation encore plus forte que d'habitude. Leur présence se fait sentir dès que la voiture roule. Je conduis lentement pour que tu profites mieux et plus longtemps de leurs vibrations lorsqu'elles s'entrechoquent au fond de ton ventre.
Sur la route du retour, perdus dans nos pensées, nous ne discutons pas immédiatement de la suite que nous donnerons à cette rencontre.
Puis nous nous questionnons l'un l'autre pour mieux savoir comment nous avons vécu cette expérience inattendue.
Parfois, tu es obligée de te taire. Tu serres les lèvres lorsque le plaisir devient intense.
Tu m'avoues que la soirée avait déjà bien commencé lorsque nous étions encore seuls dans le chalet. Tu avais joui plusieurs fois lorsque les skieurs sont arrivés.
Tu t?es sentie frustrée à cause de cette intrusion car tu étais sur le point de prendre à nouveau ton plaisir et qu'il s'annonçait exceptionnellement fort.
Tu ne sais pas expliquer pourquoi, mais tu t?es tout de suite trouvée en confiance et tu n'as pas éprouvé d'appréhension.
Pourtant jamais avant aujourd'hui, sauf au cours de certains rêves érotiques, tu n'aurais imaginé te laisser ainsi caresser et prendre du plaisir avec des inconnus.
La masturbation à laquelle Jean-Claude et moi t?avons soumise t?a donné plusieurs orgasmes' peut-être parce que nous étions deux à te caresser ensemble et que tu ne pouvais pas savoir qui était responsable de quoi,? surement aussi parce que cela se passait sous les yeux attentifs de tes vis-à-vis qui faisaient semblant de ne rien remarquer.
Tu étais tellement excitée que tu aurais tout accepté.
A certains moments, ton corps exigeait de se faire posséder par qui le voulait. Tu avais même failli en prendre l'initiative. Maintenant, tu es contente de ne pas avoir fait l'amour avec nos nouveaux amis.
Pour ma part, j'ai découvert que le plaisir de te voir jouir par quelqu'un d'autre est presque aussi fort que celui d'être moi-même responsable de ta jouissance.
j'étais d'ailleurs très excité moi aussi par cette situation et je ne regrette pas ce qui s'est passé.
Les cinquante kilomètres jusqu'à notre domicile, pourtant à petite vitesse, paraissent rapidement effectués. Agréablement aussi car l'évocation des souvenirs récents nourrit nos fantasmes.
Les billes d'acier mènent une vie indépendante et te réchauffent d'un plaisir continu, parfois entrecoupé de spasmes. Tes mains se portent alors à ton ventre, comme si elles voulaient arrêter cette jouissance. En réalité elles y participent.
A l'arrivée, tu es épuisée et je te porte jusqu'à notre chambre.
Je te dépose sur le lit et je retire délicatement les boules de geishas.
Puis je te fais l'amour avec tendresse ; tu jouis avant moi, et ton râle dure un temps inhabituel.
Nous nous endormons sans même nous en rendre compte.


? à suivre? Troisième partie : préparatifs et début de soirée