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Proposée le 6/04/2010 par Bengu
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PARTIE DE SKI, PARTIE EXQUISE
1ère partie : randonnée en sous-bois.
l'hiver est une saison particulièrement agréable dans les Alpes du Sud. Le temps y est sec et ensoleillé. La neige tombe en abondance pendant de courtes périodes, ce qui laisse beaucoup de temps pour en profiter. Les nuits sont froides et les journées sont douces dans les vallées.
A côté des stations de ski alpin, beaucoup de communes ont développé une activité de ski nordique et proposent des pistes de fond, souvent bien entretenues.
Les amateurs achètent généralement un forfait annuel qui leur autorise un accès permanent à toutes les pistes pendant toute la saison.
Nous faisons partie de ceux là.
Tu es Claire, mon épouse, et tu as soixante ans.
Tu es mince et dynamique. Ton fessier est ferme et rebondi. Tu as la poitrine menue et tu laisses souvent tes seins libres sous tes vêtements car ils n'ont pas besoin de support pour bien se tenir.
Ton visage a conservé une partie de sa jeunesse, certainement grâce à tes yeux noisette qui sont très mobiles et qui semblent curieux de tout.
Je m'appelle Armand et j'ai un an de plus que toi.
Je suis de taille moyenne, trapu, avec un torse large et des épaules musclées.
Tu me reproches quelques kilos excédentaires mais j'ai du mal à refréner ma gourmandise?
Je suis à la retraite depuis presque un an et j'ai enfin du temps libre.
Nous passons donc beaucoup de temps ensemble et profitons plus facilement d'activités communes, en particulier la randonnée et le ski de fond.
Sans être des champions, nous nous débrouillons et nous sortons les skis dès que les conditions le permettent pour des ballades de 10 à 20 km que nous effectuons à notre rythme.
Nous emmenons de quoi boire et manger dans nos sacs à dos, ainsi que des vêtements chauds qui peuvent être bien utiles quand nous nous arrêtons ou lorsque la bise se lève.
Nous apprécions particulièrement les pistes tracées sous les mélèzes. Les arbres dénudés en hiver laissent passer le soleil et découvrent les paysages sublimes qu'elles traversent.
Elles sont très fréquentées le mercredi par les scolaires et le dimanche par les familles, mais sont désertes le reste du temps et il est rare d'y croiser autre chose qu'un skieur isolé attentif à son chronomètre.
Nous choisissons avec soin notre circuit et nous tenons compte de sa difficulté et des possibilités d'évasion qu'il peut offrir.
En effet, nous promener ensemble réactive toujours notre libido. Le soleil et les frottements du pas alternatif stimulent également notre appétit sexuel.
Les randonnées à skis nous servent donc souvent de prétexte pour nous offrir quelques gâteries dans la nature? et plus si le terrain et la fréquentation le permettent.
Nous nous éloignons généralement de la piste tracée pour trouver une tache de soleil dans un endroit à peu près plat au milieu des mélèzes.
Je me méfie plus que toi de la survenue d'un improbable passant.
Peut-être même la possibilité d'être surprise t?excite-t-elle davantage.
Nous déchaussons les skis pour monter dans la forêt lorsque nous pensons avoir trouvé l'endroit adéquat, de préférence en surplomb de la piste, et nous les emmenons avec nous pour ne pas signaler notre présence d'une manière trop évidente.
Il est souvent difficile de nous éloigner beaucoup car la progression est pénible dans la neige profonde et nous jetons notre dévolu sur le premier endroit à peu près plat, non visible de la piste.
Nous ressentons rapidement le froid et nous allons donc vite à l'essentiel ? Autant dire que l'heure n'est pas à un excès de romantisme et que les préambules sont réduits ou inexistants.
Tu te déshabilles le moins possible et ne retires que le strict nécessaire. Puis tu prends une position confortable pour toi comme pour moi et tu te tiens souvent à un arbre pour ne pas risquer une chute.
j'envoie ma bouche en éclaireur car cette caresse est celle qui te met le plus rapidement en transe ; je ne m'estime satisfait que lorsque j'entends les gémissements annonciateurs de ton plaisir et lorsque je suis certain que tu ne peux plus retenir ton désir de me sentir en toi.
Je me relève alors et te trouve cambrée, jambes écartées, solidement arrimée à un arbuste.
Mon sexe glisse facilement dans ton sexe qui lui tourne le dos et s'y love un moment sans parvenir à s'y faire oublier.
Mes mains passent sous ton pull en veillant à ne pas laisser entrer trop d'air glacé. Elles cherchent la douceur de tes seins et en trouvent les pointes durcies par l'attente. Mes doigts rencontrent les mamelons qui frémissent d'impatience sous leur caresse.
Nos sexes sont brulants malgré le liquide qui les baigne.
Tu aimes que je glisse lentement sans à-coups, que je repose un instant au fond de toi et qu'enfin je ressorte complètement, puis que ce cycle se renouvelle jusqu'au moment où tu sens monter le plaisir.
Seulement alors, je peux laisser aller ma fougue, changer de rythme ou cogner au plus profond.
Ce court intermède nous donne un plaisir puissant et brutal, mais te laisse sur ta faim car tu souhaiterais qu'il se renouvelle sans délai. Ce serait compter sans le froid qui nous gagne et nous oblige à nous rhabiller et à reprendre les skis.
Ton sexe reste sollicité par les frottements de la marche ; il garde le souvenir de notre étreinte pendant toute la suite de la ballade et conserve l'espoir d'une nouvelle délivrance jusqu'à l'arrivée.
Nous avons parfois la chance de rejoindre un chalet ouvert librement aux skieurs et aux randonneurs et d'y trouver un certain confort qui nous permet alors de mieux prendre nos aises.
Malheureusement ces abris sont trop rares à proximité des pistes.
Tout en bois, ils sont construits sur le même modèle : une pièce unique équipée d'un poêle, d'une table et de deux bancs. Une étagère et quelques ustensiles de cuisine complètent ce mobilier sommaire.
Il y a généralement un étage auquel on accède par une échelle extérieure, une soupente qui ne permet rien d'autre que le repos tellement elle est basse de plafond.
En ce vendredi du mois de mars, nous avons décidé d'investir un chalet repéré lors d'une précédente randonnée.
Bien qu'il fasse jour jusqu'à plus de sept heures, le froid arrive encore très tôt à cette époque et même les skieurs aguerris s'arrangent pour avoir terminé vers quatre heures au plus tard.
Aussi avons-nous décidé d'attendre le soleil de l'après-midi pour chausser les skis et ne pas arriver trop tôt.
Le parking est presque désert et les tables réservées au pique-nique sont toutes disponibles.
Plutôt que de porter le repas, nous décidons de grignoter les sandwiches et un fruit avant de démarrer.
Nous avons choisi une piste rouge parfaitement entretenue. Tous les 250 mètres, un panneau indique la distance parcourue et celle restant à parcourir.
Les rails sont bien marqués sur les portions les moins pentues et la neige n'a pas été labourée dans les montées et les descentes, ce qui démontre une faible fréquentation.
Le chalet est à huit kilomètres, et il restera quatre kilomètres supplémentaires pour rejoindre la voiture.
Comme toujours, notre rythme est différent, mais nous nous attendons régulièrement pour rester le plus possible ensemble. Je suis plus rapide dans les montées et dois attendre quelques minutes à chaque sommet. Tu es plus à l'aise dans les descentes, surtout lorsqu'elles se terminent par un virage un peu serré.
La piste est facile et la neige excellente ; nous n'avons pas à nous presser si nous ne voulons pas arriver trop tôt au chalet. Nous skions sans forcer, le même ski avançant au même moment dans une parfaite coordination, et nous nous arrêtons régulièrement pour profiter du paysage.
Le soleil printanier brille magnifiquement en ce début d'après-midi.
Le silence est presque absolu. Le seul bruit est celui, très doux, du glissement des skis sur la neige gelée.
Nous nous sommes déshabillés peu après le départ et avons rangé les vêtements chauds au fond des sacs à dos, un pantalon fin et une polaire légère suffisant à assurer un excellent confort.
Sur le plat, je skie avec les yeux fixés sur tes rondeurs qui me précèdent. Ta combinaison moulante les met particulièrement bien en valeur et ne cache rien du travail de tes muscles.
Notre esprit est dans le chalet bien avant qu'on y arrive et pourtant nous manquons de passer à côté sans le voir, caché par un bosquet de sapins à une trentaine de mètres de la piste.
Il n'est pas étonnant que la plupart des randonneurs ignorent sa présence, ainsi que le montrent les traces des rares curieux à s'en être approchés.
Vue l'heure tardive, il ne doit plus y avoir de skieurs et nous sommes donc presque certains de ne pas être dérangés.
Au pire, nous aurions le temps de nous rajuster si quelqu'un approchait.
Tranquilles, nous ne cherchons pas à hâter notre plaisir et nous prenons tout notre temps.
j'allume un feu de bois et la petite pièce se réchauffe pendant que nous buvons un café.
La promenade dans la forêt nous a détendus sans vraiment nous fatiguer et nous savourons cet instant de calme qui précède le plaisir que nous allons bientôt nous donner.
A califourchon sur un banc, tu te loves le dos contre ma poitrine pendant que je te serre dans mes bras.
Mes mains s'emparent de tes seins sous le léger pull de polaire.
Ils sont fermes et menus, et mes paumes les effleurent et s'affolent de leur douceur qui contraste avec la dureté des tétons. Ils excitent mon appétit et je voudrais m'en remplir la bouche.
Tu aimes ces caresses qui t?amènent lentement au bord de l'extase.
Je survole longuement ton sexe à travers le nylon détrempé, puis je passe une main entre la chair et la culotte. Je te caresse les fesses avec l'autre main. Mon index trouve petit à petit le chemin de l'anus, l'effleure, le contourne pour finir par le masser et le pénétrer légèrement.
Tu n'es pas indifférente à cette intrusion et ton corps se tortille pour m'en convaincre.
Et puisque mes mains sont occupées, ce sont les tiennes qui glissent le long de ton ventre jusqu'à ton pubis, remontent doucement jusqu'à ta poitrine et s'emparent de tes mamelons. Tu les roules entre le pouce et l'index et, contrôlant mieux la limite entre ta douleur et ton plaisir, tu pinces plus fort que je n'oserais le faire.
Le froid ne nous gêne plus depuis longtemps déjà et je finis de te déshabiller tout en poursuivant mes caresses.
Le banc sur lequel tu t?allonges est étroit. Pour ne pas tomber, tu s'y tiens bras levés derrière la tête et pieds posés au sol.
Je prends le temps de t?admirer : dans cette position, tes seins paraissent plus volumineux et ta taille plus fine.
Après mes yeux, mes mains glissent sur ton corps immobile. Elles s'attardent sous les bras, à l'intérieur des cuisses, le long de l'abdomen' là où la peau est la plus fine.
Elles prennent le temps de visiter au passage les recoins qu'elles rencontrent.
Mais elles ne cherchent pas encore à s'infiltrer dans la féminité que découvrent tes jambes écartées et qui palpite et s'entrouvre comme si elle respirait par elle-même.
Je lèche doucement les lèvres qui se languissent du contact de ma langue. Je commence loin à l'extérieur avant de me rapprocher de l'antre où se tapit le désir.
Il y a maintenant là une fontaine ouverte et, juste au dessus, se dresse le centre du monde.
j'aime te prodiguer cette caresse, surtout lorsque tu es épilée et que je te sens particulièrement réceptive ; je serais alors capable de la prolonger pendant des heures et de m'en satisfaire sans éprouver pour moi-même le besoin de conclure.
Tu gémis et tu te tords tellement que je suis parfois obligé d'arrêter quand la pression des cuisses sur ma tête devient trop forte et m'empêche de respirer.
Plusieurs fois tu cries et tu cherches à m'attirer en toi.
Tes mouvements se font brusques et le banc finirait par tomber s'il n'était pas solidement fixé au sol.
Tu me supplies mais je refuse d'aller plus avant malgré l'excitation qui devient chaque fois plus exigeante et qui m'a aussi gagné depuis longtemps.
Au contraire, je t?abandonne et je reviens aux mamelons.
Puis je m'abreuve de nouveau à la fontaine qui laisse toujours échapper son liquide et ma bouche dévore les chairs qui l'entourent.
Ton besoin d'être comblée est maintenant impératif et tes demandes sont de plus en plus pressantes.
Je me déshabille à mon tour. Mon sexe est dur et me fait mal tellement sa tension est forte. Le fruit qui le termine est charnu, gros et doux comme une pêche de vigne. Une goutte perle à son extrémité comme après une rosée matinale.
Tu essaies de t?en emparer mais je réussis à t?esquiver car je connais trop bien les conséquences d'une caresse directe quand je suis dans cet état d'excitation.
Je retourne entre tes cuisses qui tremblent convulsivement et qui s'offrent toujours plus largement.
Puis je décide de ne plus te faire attendre et je me redresse pendant que tu te relèves et t?accotes à la table.
Tu connais mes faiblesses et tu sais que c'est une de mes positions préférées. Une des plus commodes également dans ces circonstances.
Toi aussi tu adores te faire prendre de cette manière qui te donne l'impression d'être plus complètement remplie.
Tu t?abandonnes à mon désir. Je te tiens par les hanches et te pénètre avec lenteur.
Le fourreau dans lequel je m'introduis est durci par la tension à laquelle il résiste depuis trop longtemps et presque fermé par une série d'ondulations.
Il m'en faut forcer l'entrée et tout de suite je retrouve les sensations qui dénoncent ton désir lorsqu'il est particulièrement fort et qui annoncent le plaisir à venir quant il sera exceptionnellement violent.
Ma verge est comme aspirée par tes pulsations et poursuit sa progression jusqu'à trouver la zone la plus sensible.
Le centre du monde s'est déplacé à l'intérieur de ton ventre, mais l'ancien pôle reste avide des attentions que mes mains peuvent encore lui accorder.
Je dois me concentrer sur ton plaisir pour éviter à mon sexe de se réjouir trop vite.
Nous n'avons plus conscience de nos corps qui n'existent plus qu'au travers de ce qui les relie.
Je ferme les yeux et sens monter l'orgasme?
? à suivre? deuxième partie : rencontre entre sportifs.