le paysan et nous

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Proposée le 4/04/2010 par annelau

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Le paysan et ma femme


Cette histoire est tout à fait réelle, nous vous souhaitons bonne lecture !

Préparant le terrain au vu de la construction de notre maison, nous tombons sur un problème. Le terrain est très dur et il nous faudrait l'aide d'un paysan pour retourner la terre, ce que nous ne pouvons faire seuls étant donné la surface, près de 3000m2.
Nous entrons en contact avec l'un d'entre eux habitant pas loin de notre propriété.
Il vient voir sur place le travail à faire. Il accepte. Je lui demande alors combien il prendrait pour cela mais il répond que ça ira très bien avec seulement un apéritif lorsque nous pourrons habiter ici.
Je ne suis pas d'accord, tout travail mérite salaire.
Depuis environ 1 an, ma femme s'est bien libérée sexuellement au point où elle accepte volontiers quelques soirées torrides comme celle avec nos anciens voisins. Vous pouvez d'ailleurs retrouver sur le site cette histoire intitulée « les voisins »
La 1ère soirée chez ces fameux voisins aura été le déclic de cette libération sexuelle chez Anne (ma femme)

Revenons en à ce rendez-vous avec ce paysan.
l'homme a environ 65 ans, grand, bedonnant et trapu avec une moustache qui remonte sur les cotés et la roulée dans le coin de la bouche.
l'homme ne veut pas être payé. Nous en restons là, lui disant simplement qu'il aura quelque chose en retour. Il rit en disant que ce n'est pas nécessaire mais j'y tiens.
Quelques jours plus tard, ma femme et moi retournons sur le terrain pour y faire quelques travaux. Il fait chaud, très chaud. Elle qui travaillait toujours en survêtement a enfin décidé de s'acheter un petit short blanc.
Le paysan est de retour avec son tracteur et son appareil pour retourner la terre et commence le travail. Pendant ce temps, ma femme et moi continuons de couper les haies et rassemblons les branches dans un endroit où elles ne gênent pas.
Là, je m'aperçois d'un détail tout simplement superbe. Chaque fois qu'elle se baisse pour ramasser les branches, j'aperçois parfaitement la forme de son string. De suite une idée me vient en tête.
Au même moment, le paysan remonte du fond du terrain et stoppe son engin. Je me dirige vers lui pour le féliciter et le remercier. Lui offrant une bière, nous entamons une petite discussion jusqu'à en venir à mon but. Le récompenser pour son aide.
En dirigeant notre regard en direction de ma femme qui continue de ramasser les branches, je lui montre tout le travail qu'il nous reste à faire. Il me répond qu'il aurait pu aussi faire les haies avec son matériel agricole.
j'avais effectivement pensé à ça mais je lui explique que je ne voulais pas non plus lui demander sans arrêt son aide, s'étant déjà proposé gratuitement de labourer le terrain, se qui me gêne déjà terriblement.
Continuant notre conversation, je vois bien que, tout comme moi, son regard est plus fixé sur les fesses de ma femme que sur la haie coupée.
Mon sang ne faisant alors qu'un tour, je me lance discrètement.
- La vue est quand même mieux avec cette haie coupée !
- c'est sûr que la vue est belle ! me répond-toeil avec un sourire qui en dit long.
Cette réponse me fait parfaitement comprendre qu'il ne voulait pas parler de la haie en disant ça.
Je lui rétorque alors que ce short blanc met bien en valeur une certaine partie du corps de ma femme.
- Je ne vais pas te contredire (il me tutoie), et pour être franc, je ne pouvais pas regarder ailleurs !! dit-il toujours avec le même sourire.
- Je m'en excuse ! ajoute-toeil.
Je lui réponds qu'il n'y a pas de mal, que les yeux sont fait pour voir. Sans perdre plus de temps, je lui propose un moyen de le remercier.
- Ce short me donne une idée !
- Pour vous remercier, que pensez-vous de pouvoir voir de plus près ce que se trouve sous ce short charmant ?
Il se tourne alors vers moi en me regardant avec des yeux gros comme des pastèques, puis après un court instant sans savoir quoi me dire, il me demande si je suis sérieux, ajoutant qu'elle me tuerait si elle entendait ça.
l'homme semble ne pas oser parler, se sent gêné, je ne dois rien lâcher si je veux mener cette histoire à terme.
Je lui explique alors brièvement nos pratiques sexuelles, ce qui le laisse à nouveau sans voix.
- Alors, quand pensez-vous, vous seriez tenté d'aller voir sous ce short ?
- Heu ??., ben'?.., je ne sais pas quoi te dire ! me répond-il l'air gêné.
j'insiste un peu :
- Entre hommes, ne me dite pas qu'en regardant ses fesses, ça ne vous à pas donné des idées, des envies ?
- Je ne serais pas honnête avec toi si je te disais que je n'ai pas pensé à ça ! dit-il.
- Mais de là à penser que c'était réalisable !
Cette réponse me satisfait, il ne me reste plus qu'à le convaincre.
Pendant ce temps, imperturbable, elle continue de bosser. Elle coupe puis ramasse inlassablement les branches, sans même s'occuper de nous. Pour plus de discrétion, nous partons au fond du terrain.
- Bon allé, dites moi !
- Vous me dite que c'est tentant, moi je vous le propose pour vous remercier, qu'est-ce qu'on fait ?
- Personnellement, je vois bien que ça ne vous laisse pas sans effet.
Toujours gêné, il hésite à répondre.
Alors que je vois le plan tomber à l'eau, le paysan se lâche et m'avoue une chose qui, pour changer me laissa à mon tour sans voix.
- Je vais être franc avec toi, quand j'ai vu le cul de ta femme et aperçu son string, j'ai pensé qu'à une chose !
- Ça m'a donné envie !
- je vis seul depuis pas mal d'année et la branlette devant les photos sur le net, c'est tout ce qui me reste !
Ne s'arrêtant plus de parler, je me réjouis, ce qu'il ne tarde pas à remarquer. Puis il semble changer de dialogue, devient plus cochon, pervers. Le vrai mec en manque et qui ne demande que ça. Je le laisse continuer.
- Alors oui, si tu veux et si elle veut, je veux bien la baiser, enfin toucher un cul, des seins, pour de vrai !!!
Redescendant sur terre, il me demande s'il n'a pas été trop vulgaire, ajoutant que bien entendu il respecterait les limites et tenterait rien de plus que ce que ma femme accepte.
Je le félicite pour son franc parler, approuve sa façon de dire les choses et que concernant ce que fait ou pas ma femme, tout est possible, pénétration, sodomie, fellation. Je précise même qu'elle avale, qu'elle accepte et surtout privilégie les éjaculations internes. Le seul truc qu'on ne veut pas, c'est tout ce qui est crade. Je lui explique aussi que je serai présent, que nous faisons toujours comme ça, qu'elle ne fait aucune rencontre sans moi, le principe étant que je laisse toujours notre hôte commencer avant de participer aussi, ou pas.
Le paysan approuve.
Me retournant, je vois que ma femme vient vers nous. Je m'empresse alors de lui demander s'il peut nous recevoir aujourd'hui.
Il a juste le temps de me dire oui.
Elle est là et nous demande de quoi on parle.
Je lui réponds qu'on faisait le point sur le terrain puis :
- Nous avons trouvé comment récompenser monsieur pour son service !
- Ba c'est bien ! on était embêté quand vous aviez dit que vous ne demandiez rien ! dit-elle.
- Qu'est-ce que c'est ?
Le paysan et moi nous regardons avec un sourire discret puis :
- Hé bien, c'est toi qui va le récompenser !
- Hein, comment ça ! répond-elle sans s'imaginer quoi que ce soit.
- Monsieur est d'accord, je lui ai proposé de te baiser ! Aujourd'hui !
Complètement désabusée de cette nouvelle si inattendue, elle me regarde et :
- mais, et moi, si????
Je lui coupe la parole de suite.
- Et quoi ? Tu veux pas ?
- c'est l'occasion de faire un « extra » qui serait bien légitime cette fois.
- Aujourd'hui, se sera avec Monsieur !
Elle semble réellement surprise mais c'est vrai que d'habitude, c'était avec nos anciens voisins, qu'elle connaissait bien et surtout elle était naturellement au courant avant, pas par surprise comme aujourd'hui !
Le paysan semble gêné et se recule légèrement prétextant regarder la clôture de plus près.
Je demande à ma femme le motif de cette hésitation et lui demande si cela lui pose un problème. En effet même si elle a toujours accepté avec les voisins, je comprendrais un refus (qui tomberait certes mal) et surtout, je la respecte et jamais je ne la forcerais à faire quelque chose qu'elle ne souhaite pas.
Sa réponse me rassure alors.
- Non, je ne refuse pas mais j'avoue que je suis surprise, tu m'en parles toujours avant !
Je m'excuse de cette erreur puis prétextant la bonne raison de cette proposition au paysan elle ajoute :
- c'est sûr que c'est une bonne raison !
- Mais tu voudrais que ce soit pour aujourd'hui ? Mais quand, j'ai au moins le temps d'aller prendre une douche ? De me préparer ?
Le paysan ayant entendu la conversation revient près de nous puis nous propose d'aller chez lui pour une bonne douche.
j'ajoute qu'il semble rassuré suite aux paroles de ma femme. Je dirais même qu'il semble excité, voulant s'assurer que personne ne change d'avis.
Ma femme le remercie de cette proposition pour la douche mais ajoute :
- c'est gentil mais j'aurais bien voulu me changer aussi !
Je l'interrompe :
- A mon avis, je ne pense pas que ce soit nécessaire d'aller chercher des changes !
- Puis tu ne vas pas en avoir beaucoup besoin ! dis-je en riant et en regardant le paysan
l'homme se met à rire. Puis j'ajoute :
- Vu ce que je sais, sur?..
- Au fait, je ne sais même pas votre prénom !
Le paysan se présente alors :
- Moi, c'est Marc !
Puis, dans la foulée :
- Ma femme, Anne et moi Laurent !
Les présentations faites, je reprends la conversation :
- Je disais, vu ce que je sais, maintenant sur Marc, je peux te dire que tes fringues, tu vas pas les avoir longtemps sur toi !
Marc et moi se mettons à rire, puis j'ajoute :
- Pour tout te dire, ça fait des années qu'il n'a pas vu de femme !
- Je ne pense pas que ce soient tes fringues qui l'intéressent !
Marc ajoute qu'au pire, après la douche, il pourrait lui prêter un peignoir, certes certainement un peu grand pour elle puis confirme qu'effectivement, il ne pense pas qu'elle en aura besoins longtemps.
Cette conversation commence à m'exciter pas mal et je vois bien que je ne suis pas le seul dans ce cas.
Avant de décider de la suite de cette journée, je demande à Anne de nous donner une réponse.
- Alors, tu es d'accord pour récompenser Marc ?
Elle me regarde, regarde Marc puis répond :
- d'accord, c'est vrai qu'on lui doit bien ça ! Puis, que ce soit les voisins ou lui?..
Le paysan est définitivement soulagé et nous le fait savoir de suite.
En effet, dans le même instant que la réponse d'Anne, il lui empoigne fermement une fesse et la pelote virilement.
l'excitation redescendant pour un instant, nous rangeons le matériel puis près à partir, Marc nous demande une faveur.
Il souhaiterait emmener Anne avec son tracteur jusque chez lui. Cela ne me pose aucun problème. Au fond de notre terrain se trouve un portail qui sera supprimé par la suite et qui mène dans un de ses champs jusqu'à la cour de sa ferme sans passer par la route.
Il décide de passer par là pour plus de discrétion. Quand à moi, je n'ai d'autre choix que de prendre notre voiture pour les rejoindre par la route.
Tous deux montent à bord du tracteur, moi, je dois traverser notre terrain pour rejoindre ma voiture.
Me voilà parti. Logiquement ils seront chez Marc bien avant moi.
Entrant dans la cour, je ne vois personne. 10 minutes passent. Me dirigeant à l'endroit par lequel ils doivent arriver, je vois enfin le tracteur s'approcher.
Le paysan nous fait entrer chez lui. Une grande cuisine, très propre, bien rangée.
Puis, très gentiment, il propose à Anne d'aller se douche la 1ère. Elle accepte volontiers.
Durant ce temps, nous nous attablons.
Marc, dans un sérieux très intense tiens me donner quelques informations importantes.
- Je suis quelqu'un de très posé sur la propreté, que ce soit l'hygiène de ma maison comme de ma personne !
- Je fume, ne bois pas, à part une bière ou un apéro de temps en temps pour me rafraîchir et un verre de vin en mangeant !
- Coté santé, car je crois que c'est important vu la suite de la soirée, je suis en très bonne santé, pas de cholestérol, pas de diabète, pas de maladie quelconque, enfin rien à signaler !
- Enfin, je touche du bois, pourvu que ça dure !! dit oeil en touchant sa table.
- j'approuve son honnêteté, sa franchise et lui annonce que dans ce cas là, il a libre champ à ce qu'il compte faire avec Anne.
Anne étant sous la douche, je lui fait part d'un point important qu'il doit savoir. Même si Anne n'est pas à sa 1ère expérience, chaque fois que l'instant X arrive, le moment où son ou ses partenaires la prennent en main, Anne perd de sa confiance, devient gênée, timide. Cette situation dans laquelle ce stress la met la rend encore plus soumise et ça me plaît énormément.
Puis je lui raconte nos quelques soirées avec nos anciens voisins.
Après avoir raconté tout cela à Marc, l'excitation était revenue en lui. Peu de temps après cette conversation, Anne sortait de la salle de bain, vêtue d'un peignoir deux fois trop grand pour elle.
Marc lui proposa à boire puis partit à son tour se doucher. Mais juste avant cela, il dit un mot à l'oreille de ma femme.
Que pouvait-toeil lui dire ?
Marc parti, Anne s'installe face à moi.
- Que t?a-t-il dit à l'oreille ?
Elle se met à sourire.
- Il m'a dit qu'après sa douche il allait sérieusement s'occuper de moi ! Qu'il avait appris beaucoup de moi ! Que veut-il dire ?
Je lui explique que j'ai bien discuté avec lui et que je lui ai raconté comment nous en sommes venus là, tes expériences vécues.
- Je comprends mieux pourquoi il m'a dit ça maintenant ! dit-elle en riant.
- Au fait, tu sais ce qu'il m'a fait faire sur le tracteur ?
j'avais oublié ce détail. c'est vrai qu'ils étaient arrivés après moi alors que le chemin par les prés était bien plus court que le mien.
Je lui demande de bien vouloir m'expliquer.
- Hé bien, il a ouvert la fermeture de sa cote de travail !
(cote de travail ayant deux fermetures, une pour l'ôter et une pour le petits besoins urgent sans être obligé de tout poser !!)
- Il a pris ma main et la fait passée dedans ! il m'a demandé de le tripoter !
- Et alors ? lui demandai-je.
- Je l'ai tripoté sur son slip, il bandait comme un taureau !
Je voulais en savoir un peu plus.
- Et qu'est-ce que ça donne ? il est équipé le paysan ?
Voulant narguer ma curiosité, elle ajouta alors :
- Vu ce que je touchais, je crois bien qu'il est pas mal équipé !
Je me mis à rire. Mais le fait de simplement le tripoter n'aurait pas pris autant de temps. Que c'est il passé d'autre ? Je lui demande.
- Non, il a arrêté le tracteur un instant puis il m'a demandé de lever mon t-shirt pour me tripoter les seins !
- Et tu l'as fait ?
- Ben oui ! je l'ai laissé faire ! Mais il s'est pas arrêté là, ensuite il a détaché le noeud de mon short et à mit sa main entre mes cuisses !
- Ensuite il a juste écarté mon string puis ma caressé la chatte !
- Et c'est tout ? (moi)
Elle répond alors :
- j'ai cru et j'avais envie qu'il me mette un doigt, j'étais toute excitée !
- Du coup j'ai remis ma main dans sa cote de bleu puis je l'ai masturbé !
- Mais ensuite, il a préféré qu'on rentre à la ferme !

Elle m'excitait rien en me parlant de ça.
Je me dis qu'avec ce paysan seul depuis longtemps, amateur de vidéos pornos sur le net, qui s'empresse de la peloter à la moindre occasion, qui semblait impatient lorsque je lui racontais nos aventures sexuelles, me donne l'impression d'être un gros cochon pervers. Il porte même ce portrait sur son visage, son allure.

n'entendant plus la douche couler, Marc ne devrait plus tarder à nous rejoindre. Je demande à ma femme si tout va bien.
Elle aussi a compris que Marc avait fini de se laver et devrait bientôt nous rejoindre. Elle me répond que ça va avec la même angoisse qu'au début d'une soirée sexe avec d'autres partenaires.
Il arrive vers nous, vêtu lui aussi d'un peignoir.
Il semble plein d'entrain, excité et nous le fait bien savoir.
Marc s'installe en face d'Anne, la regarde. Je vois bien qu'il n'a qu'une envie, lui sauter dessus mais n'ose pas.
Ma présence semble le gêner. Je décide alors d'aller prendre une douche.
Dans la salle de bain, je ne pense qu'à une chose. Qu'est-il en train de se passer ? Ils sont toujours en train de se regarder ou est elle entre les mains de Marc ?
Je me fais des films, ayant hâte de sortir de cette douche voir ce qui se passe. En même temps, je me dis que leur laisser un peu de temps pourrait les décoincer.
j'ai fini. Je coupe l'eau. Seule une cloison sépare la salle de bain de la cuisine. Je m'approche de la porte et, sans faire de bruit, je l'entrouvre juste pour écouter.
Au même moment, j'entends :
- Vas-y, écartes bien les jambes !
- Oui, comme ça !!
- Ha putain que c'est bon !
Je n'en reviens pas, Marc est déjà entrain de sauter ma femme.
Je m'empresse de remettre mes vêtements puis entrouvre d'avantage la porte de façon à les voir.
Et là, une vue sublime, Anne est allongée sur la table les jambes tenues bien en arrières par le paysan qui, posté entre celles-ci et donne de grand coups de reins. j'entends maintenant ma femme gémir.
Je ne peux pas en rester là. Je m'approche en espérant que ma présence ne les stoppe pas.
Je suis repéré par Marc. Il me regarde, et me fait un sourire qui me rassure.
- Elle est trop bonne ta femme !
- Approche, viens voir ce que je lui mets !
Je suis surpris, l'homme qui hésitait à commencer en ma présence semble avoir bien pris confiance en lui.
Je m'empresse de m'approcher pour voir de plus près le sexe de Marc pénétrer ma femme.
Marc s'amuse alors à sortir complètement son sexe de celui d'Anne pour l'enfoncer de suite jusqu'au boules.
Le salopard à un sacré morceau, de longueur normal mais très large, avec un gland énorme, disproportionné par rapport au reste.
Je regarde Anne. Tout en gémissant timidement, elle me sourit, les yeux brillants. Elle a l'air d'adorer ça.
Subitement, Marc, rouge de chaleur se retire. Il demande à Anne de se relever puis de le sucer.
Elle s'accroupit devant lui et sans demander son reste, prend la queue de Marc en bouche. Lui pratiquant une fellation magnifique, le paysan se laisse faire un instant.
Brutalement, il la prend par la tête puis prend le contrôle des vas et vient que lui prodiguait Anne. Il accélère, lui enfonçant profondément son sexe dans la bouche.
Anne manque alors d'étouffer. Il se retire puis s'excuse. Rien de grave. Elle reprends d'elle-même la queue bien tendue devant elle puis se lance dans un rythme que je connais bien. Je devine ou elle veut en venir, et conseille Marc de se laisser faire. Après quelques va et viens divins, je vois l'homme raidir ses jambes, attraper la tête de ma femme. Elle accélère.
Le paysan se met subitement à donner des petits coups de reins saccadés tout en poussant un râle rauque.
Anne se met à gémir.
Il est entrain de jouir !
Un petit filet de sperme sort du coin de la bouche d'Anne qui ne lâche rien et continue de lui infliger un va et viens très lent, sur tout le long du sexe.
l'homme se relâche enfin.
- Ho que c'était bon, ça fait si longtemps !
- Elle est génial ! dit il en me regardant.
Anne le retient toujours en bouche. Marc à l'air d'apprécier. Je sais ce qu'elle est en train de lui faire. Marc ayant fini d'éjaculer, elle tourne sa langue sur le bout du gland après avoir bien tout avalé.
Tout le monde ayant repris ses esprits, Marc propose un café et des gâteaux.
Très bonne idée, même si je n'ai pas participé tout ceci m'a donné faim. Il est 17h00.

Marc décide de rester nu et demande à Anne d'en faire autant. Elle accepte en riant pour cette idée quelque peu farfelue.
Puis, discutant de tout et de rien, le paysan nous demande alors :
- Dites, est-ce qu'on doit en rester là ou est-ce que je peux vous demander une faveur ?
- Dites-nous !
- Ben'?. Je pensais que peut-être??.
- On pourrait passer le reste de la journée ici et?.
l'homme hésite puis :
- En fait, voilà, je voudrais bien que vous restiez encore !
- Pour être franc, si tu es d'accord Anne??.. Je voudrais pouvoir??
- Comment dire ?
- Oui, pouvoir jouir une fois dans ta chatte et?.
- Si tu accepte la sodomie, te jouir une fois dans le cul !
- Voilà c'est dit, je ne savais pas comment le dire !
Je prends la parole :
- Pas de problème !
- Jouis tant que tu veux, la soirée s'annonce sympa, on a le temps !
- Et pour l'enculer, tu peux sans problème, elle aime ça !
Dis-je en regardant Anne qui me répond en me tirant la langue d'un air amusée.
En donnant une tape sur les fesses de ma femme, je me permets de dire à Marc :
- c'est une vraie petite cochonne qui aime la bite !
- Alors, je vais te dire !
- Tu veux la retourner dans tous les sens, gêne toi pas !
Anne dit alors en riant fort:
- Comment tu y vas toi !
- Ben quoi, c'est vrai, t?aime bien te faire défoncer ton petit trou ! lui dis-je en la narguant
- Nananana !, répond-t?elle.
Une heure est passée, toutes ces boutades ont amusés Marc qui, à le voir faire, semble bien vouloir remettre ça mais il se fait prendre de vitesse.
Anne qui, à force de se faire charrier, décide de me défier :
Alors que nous sommes tous à table et au grand étonnement de Marc et moi, elle se lève monte sur la table et se couche sur celle-ci, de façon à offrir outrageusement son intimité à notre hôte. Elle écarte grand les jambes offrant ainsi une vue magnifique à Marc qui se trouve du coup face à la chatte de ma femme qui ne tarde pas à me rendre l'appareil de ce que je venais de lui dire.
- Allé Marc, mange moi, fais moi jouir !
La salope, je ne m'attendais pas à ça.
Marc, quand à lui, ne perd pas un instant, il se met à lui bouffer la chatte.
Je n'en reviens toujours pas.
Puis, le paysan se lève et la reprend sur la table. Elle jouit de plus en plus fort. Lui, devient de plus en plus pervers :
- Prends ça cochonne.
- Tu veux ma queue, tu vas l'avoir !
Au bout d'un moment, il se retire, puis, virilement, la fait descendre de la table.
Il paraît devenir complètement hystérique. Il la prend dans ses bras, que dis-je, la jette littéralement sur son épaule et la porte jusque dans sa chambre où je m'empresse de les suivre. j'adore ce moment.
Il l'installe virilement à quatre pattes sur le lit, lui écarte sans ménagement les fesses puis reprends ou il s'était arrêté. Il lui lime un moment la chatte et ressort. Il crache sur l'anus de ma femme puis y présente sa queue. Délicatement il y enfonce son gland, puis le reste, tout le reste !
Il se lance dans un va et viens lent très profond. Elle joui de plus en plus fort.
Je n'en peux plus, tout ça me donne envie. Je pose mon jean et slip puis me place devant elle. Présentant mon sexe à sa bouche, elle me dit :
- Ho oui, donne moi ta bite !
- Prenez moi !
Pendant qu'elle me faisait cette fellation dont elle seule en a le pouvoir, elle qui sait si bien vous faire jouir avec sa bouche en un temps record, Marc continuait de la sodomiser dans une ferveur hors du commun. Le paysan et moi qui à cet instant précis nous trouvions face à face, se faisions des signes.
Lui me faisais comprendre que c'était une super suceuse, ce que je savais depuis bien longtemps déjà.
Quand à moi, je l'encourageais en lui faisant signe de bien la bourrer, de bien lui écarter les fesses et de lui mettre des petites claques sur le cul, ce qu'il faisait déjà très bien. En effet, le bourreau du cul de ma femme n'hésitait pas à lui donner quelques fessées et jouait à retirer sa queue du cul d'Anne pour savourer la vue de son anus bien dilaté dans lequel il retournait sans aucun mal.
Je sens maintenant la sauce monter en moi, je ne tiens plus. La langue de ma femme ne cesse de passer sur mon gland tandis qu'elle accélère les vas et vient.
Je jouis ! Instant toujours aussi magique. j'adore, cette femme avec qui je vis depuis 17ans et qui me donne toujours ce même plaisir aussi intense qu'au premier jour. Chaque fois, je me dis la même chose. Quelle chance j'ai d'être avec cette magnifique créature, parfaire sur tous les points, que se soit de son courage, sa bonne humeur et cet engouement qu'elle a pour le sexe.
Je me retire, l'embrasse sur le front (ce qui l'a fait toujours rire) puis m'empresse de voir de plus près ce membre qui ne cesse de jouer avec l'anus de ma bien aimée. Le paysan est toujours en train de s'amuser à regarder se trou dilaté avec qui il trouve un malin plaisir à plonger dedans puis en ressortir.
Marc me fait rire, il est dans un état second, laisse sortir sa perversion. Ma femme qui s'était concentrée un instant sur mon sexe est à nouveau en plein plaisir.
Marc joue maintenant à mettre son sexe un coup dans le cul de ma femme, un coup dans sa chatte. Vu son état second, il devrait à priori jouir sans tarder. Le plus amusant c'est qu'on dirait qu'il hésite. Il semble ne pas savoir dans quel trou éjaculer.
Elle, elle n'en peut plus, et crie maintenant de plaisir, elle s'agrippe fortement au draps. Un orgasme. Elle tremble, jouit, crie, hurle même !
Le paysan, le plus elle crie, le plus il devient pervers. Il se retire, la retourne dans un mouvement brusque. Sans être pénétrée à cet instant précis, elle baisse d'un ton mais gémit encore. A peine mise sur le dos, Marc lui écarte les jambes, se met accroupi sur le lit puis d'un geste brusque plonge son sexe dans le cul de ma femme. Il lui relève les fesses au maximum. Elle se trouve maintenant les jambes posées de chaque coté de sa tête, les fesses complètement en l'air et le sexe de Marc est déjà retourné dans son anus. Le fou furieux qui l'a mise dans cette position accélère les mouvements. Son sexe entre et sort jusqu'à se taper les boules sur ses fesses.
Puis la parole saccadée, Marc me demande de maintenir les jambes d'Anne comme elles se trouvent. Les mains libérées, le paysan en profite alors pour écarter la chatte de ma femme pendant qu'il continue à la sodomiser.
Il se met à lui frotter rapidement le clito, à la doigter avec un puis deux doigts.
Anne replonge à nouveau dans un orgasme impressionnant.
d'un seul coup, Marc lui reprend les jambes puis :
- Haaaaa !!!, je vais jouir !
- Je vais te remplir le cul !
Comme lors de sa première éjaculation, il pousse son fameux râle. La queue enfoncée un maximum, il donne des coups de reins secs.
- Prends ça !
- Et encore ça !
A chaque coup de reins, il dit la même chose.
Il ralenti enfin, puis s'arrête mais toujours la queue bien au fond. Il est rouge, en sueur, éreinté. Il se retire enfin puis s'affale sur le coté, ravi mais achevé.
Quand à Anne, elle est dans le même état que lui. Elle n'a même plus le courage de déplier ses jambes que je maintiens de toute manière toujours en arrière.
Me concernant, en tant que voyeur, je vois l'instant que je préfère.
Le sperme de l'homme soulagé qui dégouline du cul de ma femme.
Marc se relève enfin. Anne se remet aussi de ses émotions puis part à la salle de bain.
Il est 19h00 et cela fait près de 3h00 que nous sommes chez Marc.
Tous rassemblés dans la salle à manger, Marc nous propose un petit encas et un apéritif.
Il nous remercie encore et encore puis nous parlons de notre future maison.
Complètement éreinté et surtout vidé, Marc, qui voulait absolument pouvoir jouir dans les « 3 orifices » d'Anne s'avoue vaincu pour aujourd'hui. Il n'en peut plus !
Ravis de cette nouvelle expérience, nous quittons Marc vers les 20h00, sûrs d'avoir trouvé un homme sur qui compter pour l'entretien de notre terrain, homme qui, sans surprise reste à notre disposition en cas de besoin.

Cette histoire devrait en toute logique avoir une suite sympathique et torride.
Anne a adoré et ne demande qu'une chose. Que la prochaine fois, on s'occupe d'elle à deux !