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Proposée le 4/04/2010 par maza13
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Maitresse Claudia.
J'étais seul chez moi ce jour là, lorsque la nouvelle femme de ménage se présenta. J'eus tout de suite un choc. Elle était splendide. Grande, mince avec des magnifiques yeux noirs. De longs cheveux brun ornaient un visage merveilleux. Elle était simplement vêtue d'une blouse très courte et très fine.
"Bonjour,je suis Claudia. J'ai été envoyée ici par l'agence pour faire le ménage."
Quelle voix sensuelle ! Pensait-je. Puis je bredouillais: "Je vous en prie".
Alors que je retournais à mon bureau pour continuer mon travail je me rendis compte que je n'arrivais pas à détacher mes yeux de cette femme sublime. Je remarquais que sa blouse se relevait quand elle levait les bras pour frotter le haut des vitres, dévoilant ainsi des jambes superbes et un corps parfait par transparence. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder aller et venir.
Elle était si sexy dans sa blouse ! Soudain, elle se mit face à moi et me demanda d'un air coquin en quoi consistait mon travail. En se penchant face à mon bureau, elle me laissait entrevoir son vertigineux décolleté. Deux seins pulpeux étaient à quelques centimètres de mes yeux écarquillés. Totalement hypnotisé, je ne pouvais en détacher mon regard. En rougissant, je bafouillais une banalité. Elle glissa un doigt dans son décolleté en souriant, satisfaite de constater le trouble qu'elle avait provoqué en moi. Elle s'éloigna en se déhanchant certaine que je fixaient ses fesses intensément. Puis elle se pencha pour ramasser un papier par terre. Mon dieu! Je pouvais contempler maintenant ses cuisses fermes et galbées ainsi que le début de ses fesses magnifiques. Mon coeur battait à 200 à l'heure. J'étais écarlate, à la limite de l'évanouissement. J'essayais en vain de penser à autre chose. Quelle femme! Tout en elle est sensualité, tentation et... provocation. Elle allait, venait, tournait tel un squale autour de sa proie. La regarder était pour moi le plus beau des spectacles.
Soudain, elle se rapprocha de moi en ondulant son corps, s'arrêta devant la corbeille à papier, me tourna le dos et se pencha en avant, exhibant devant mes yeux ébahis ses fesses sublimes à peine recouvertes d'un string noir. N'en pouvant plus, au comble de l'excitation et de la tentation ma main attirée tel un aimant caressa timidement le plus beau cul que je n'avais jamais vu. Immédiatement, elle se redressa, pivota et m'infligea une gifle cinglante.
"Qu'est-ce qui te prends, tu te rends compte de ce que tu as fait." s'écria-t'elle furieuse.
"Excusez moi" bredouillais-je. "Je ne sais pas ce qui m'a pris"
"Pour qui te prends tu, salop!" continua-t'elle.
Paniqué, je ne savais plus que dire.
"J'en ai rien à faire de tes excuses. Aucun homme ne me manque de respect, c'est intolérable!"
A nouveau, elle me gifla, encore plus fort que précédemment. Je baissais les yeux.
"Pour que j'accepte tes excuses, il faudrait d'abord que tu me les présentes à genou! ordonna-t'elle.
Elle croisa les bras puis me tourna le dos. Je ne savais que faire.
"Je n'attendrai pas deux heures" rajouta-t'elle d'un ton autoritaire.
Sans réfléchir, je m'agenouillais devant elle. J'étais à ses pieds. Penaud, je répétais au bord des larmes.
"Pardon, Madame, je ne sais pas ce qui m'a prit."
Elle se retourna lentement, eut un léger sourire de satisfaction en me voyant ainsi humilié devant elle. Une nouvelle gifle me brula la joue. Je baissais les yeux. Elle m'observa quelques secondes puis tourna autour de moi avec ses hauts talons en me disant:
"Je ne tolèrerai plus ce manque de respect, j'ai tous les hommes que je veux et tous m'obéissent au doigt et à l'oeil. Un prince s'est prosterné devant moi lorsque je le lui ai ordonné. J'ai humilié un PDG devant ses employés car il avait osé regarder une autre femme que moi. Une star de cinéma s'est tailladé" les veines à ma demande. J'ai ri au nez d'un millionnaire qui voulait déposer toute sa fortune à mes pieds car il était fou de désir. il a fini ruiné, d'ailleurs. Et toi tu me dis simplement excusez moi Madame!"
"Mais je ne sais pas quoi faire d'autre" implorais-je.
Elle posa, alors, un pied sur ma chaise en dévoilant ses longues jambes.
"Baise mon pied doucement" ordonna-t'elle.
Sans réfléchir, j'entrepris de faire de mon mieux pour la satisfaire. Je couvris son pied d'une douzaine de baisers plus doux les uns que les autres. Je constatais que sa peau était d'une douceur exceptionnelle.
"C'est assez" s'écria-t'elle.
Puis, elle se pencha et chuchota à mon oreille:
"A partir de maintenant, tu vas te mettre à genou et tu me baisera les pieds à chaque fois pour me dire bonjour et tu feras de même pour me dire au revoir!".
Totalement conquis, je m'entendais lui répondre:
"Oui Maitresse"
"Dés demain, nous commencerons ton éducation!" me dit-elle en s'éloignant.
A suivre