Laure veut faire l' amour à trois

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Proposée le 1/04/2010 par bayand

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Laure en boite



Laure, débarrassée de Mathilde, mais moi, pas débarrassé d'Hélène. Laure est de plus en plus souvent avec elle, et ça m'énerve un peu.
Elle a beau expliquer que ne travaillant pas il faut qu'elle s'occupe, je lui rétorque que si elle veut du boulot, je peux la faire bosser dans ma boîte ou chez une de mes relations. Elle me répond qu'elle se sent bien dans le magasin d'Hélène, que c'est un milieu qui lui convient, qu'elle a affaire quelques fois à de jolies filles ou femmes et que les aider à choisir un joli soutien gorge est un acte plutôt plaisant, et que c'est mieux que d'aligner des chiffres à longueur de journée, puisque c'est à peu prés tout ce qu'elle sait faire professionnellement.

« Ok, OK tu as raison, n'empêche que ça me gonfle un peu que tu sois si souvent avec elle »


De rage, Laure sort du jacuzzi, entoure sa taille d'une serviette et s'en va, râleuse.

Ce n'est pas la première fois qu'on s'accroche sur ce sujet et je suis très mitigé sur ce que je dois en penser. Je suis à peu prés sûr qu'elle ne me ferait pas un coup dans le dos, mais ça ne m'empêche pas d'être anxieux à l'idée que la proximité d'Hélène...

Merde, j'ai foiré la soirée, il faut que je récupère le coup. C'est vendredi soir, je propose à Laure une sortie en boîte avec les amis qu'on pourra trouver.
« La boîte je veux bien, mais que nous deux » Répond ma chérie d'un air revanchard, qui cherche dans l'armoire le minimum à se mettre.
Le minimum, pour elle ça sera ce qu'elle appelle un redresse seins ( qui n'en ont d'ailleurs pas besoin ), en clair un minuscule bout de soutien gorge noir qui mérite vraiment de s'appeler comme ça, puisqu'il ne fait que soutenir ses seins. Évidemment, le string noir qui va avec. Par dessus tout ça, un haut en soie noir qui ne cache pas la moitié de sa poitrine et laisse voir jusqu'à son nombril dés qu'elle se penche, mais ouf, elle met quand même un jean, moulant comme une deuxième peau. J'avais peur qu'elle ne parte en minijupe.

La dernière fois qu'elle est sortie « déshabillée » comme ça, il a fallu que je fasse une opération commando avec les potes pour la dégager des trois blaireaux qui envisageaient de la prendre sans vraiment s'occuper de son avis, et du nôtre par la même occasion. Il faut dire qu'avec sa façon de danser, elle leur avait bien « allumé la chaudière ».
Sur les trois, deux ont fini par s'excuser mais le troisième voulait sa part du butin, à tel point qu'il a fallu qu'on tape un peu dessus pour le calmer, et qu'on se barre en courant pour éviter de se faire massacrer.

Ca va, ce soir elle a fait un peu plus attention. On saute dans la voiture. Pendant le trajet les souvenirs de cette soirée me reviennent, et je lui demande une fois de plus ou elle a appris à danser de la sorte. Cette fois elle veut bien me répondre, et me dit que quand elle était étudiante, pour faire de l'argent elle avait dansé quelques temps dans une boite de striptease. L'ayant vu danser dans des soirées précédentes, le patron lui avait proposé le job, et pour les cours de danse, c'était à la barre avec les autres filles, autrement dit, sur le tas. Je n'ai jamais osé lui demander de quoi le tas était fait !!.
C'est à la fin d'une de ces soirées bandantes, que son abruti de copain qui l'avait raccompagnée chez elle l'avait violée.
Je fais promettre à Laure de ne pas provoquer d'émeute ce soir, car tout seul je ne pourrai pas faire le coup de poing longtemps si besoin était.



Laure qui caresse ma jambe me dit :
« Moi aussi, je vais passer les vitesses !! »
Sa main remonte doucement jusqu'à mon entrejambe et dose la pression.
Je sens que je vais conduire au radar dans un moment.
« Finalement j'aurais dû mettre la minijupe » dit ma chérie en se trémoussant pour quitter son jean qui résiste.
Jugeant qu'elle va mettre trop de temps, elle s'attaque à ma braguette, plonge la main dedans et son contact chaud finit de parfaire mon érection. Laure dégage mon sexe et l'avale goulument. N'importe ou ailleurs, je ferme les yeux et me laisse faire, mais en roulant il faut que je me concentre à mort pour rester sur la route.

« Tu aimes, mon chéri ??, c'est bon ?? » dit Laure entre deux tétées, et reprend sa caresse. Sa bouche et ses deux doigts en cercle font merveille sur mon gland congestionné. Laure a depuis le temps qu'elle est avec moi appris à doser et mesurer ses caresses pour me faire durer, et j'arrive à avaler les Km finalement assez lucidement.
En fine stratège elle attend qu'on soit sur la longue ligne droite pour accélérer et quand je la sens passer la vitesse supérieure je ralentis pour ne pas aller encadrer un arbre. Laure crache dans sa main et me branle en me disant des mots cochons, elle sait qu'en plus de la caresse ça me met en transe. Elle me dit qu'elle voudrait avoir une s'ur jumelle avec qui elle pourrait s'occuper de moi jusqu'à me faire mourir de plaisir.

« A défaut de s'ur jumelle, on pourrait faire ça avec Olivia » dis-je déjà parti.
« Salaud, tu voudrais baiser ma petite s'ur ?? »
« Tu m'as bien proposé de faire ça à plusieurs, non ?? Et elle te ressemble tellement qu'elle pourrait passer pour ta s'ur jumelle !! »
« Tu es dégueulasse, je ne te suffis pas ?? »
Pour que j'arrête de dire des âneries, Laure accélère le mouvement, sa bouche finit le travail. Je sens la pression augmenter et Laure reçoit les giclées au fond de la gorge.
Comme à son habitude elle en garde un peu dans la bouche et m'embrasse, me rendant un peu du sperme que je lui ai fait avaler.

« Tiens, ça reconstitueras un peu tes réserves pour plus tard » Dit Laure.
« Sérieusement, tu coucherais avec Olivia ?? » dit-elle un peu angoissée.
« Physiquement elle te ressemble beaucoup... Et elle est plus jeune !! »
Pas contente du tout Laure me met une tarte.
« T'es pas sympa ce soir, Yann. Attends qu'on soit en boîte, si je trouve un mec qui te ressemble, je te jure que je me jette dessus, et tant pis pour la suite. »




Ouh là là là là !! ça se gate !!

Je me gare sur le parking. Laure saute de la voiture et le temps que je paye, elle a disparu dans l'immense salle.
J'ai le c'ur qui monte dans les tours, mais d'inquiétude. Je parcours la pénombre des yeux, sans la voir. Je suis con avec mes idées sur Olivia, j'ai foutu le bordel...
Je ne sais pas pendant combien de temps je tourne dans la salle disant bonjour à quelques connaissances, avant de l'apercevoir dansant avec un mec, brun comme moi, qui pourrait être moi, même corpulence, à peu prés la même taille. Je m'approche, stoppé net par un geste péremptoire de Laure, qui a décidé de faire sans moi.

A ce moment je suis envahi par des sentiments qui jettent le trouble en moi. Je me sens honteux comme un gamin qui a fait une connerie, furieux de voir ma nana se frotter contre un autre mec, et jaloux comme un amoureux. J'ai envie de mettre des pains à tout le monde. Je suis partagé entre l'envie de lui rentrer dedans à lui, et celle de partir en laissant Laure se démerder, mais la raison l'emportant je me calme et décide de rester pour veiller au grain.

Une fille brune hirsute ( elle a dû se faire exploser un pétard dans les cheveux ), me voyant planté là m'aborde et me prenant par la main me hurle à l'oreille:

« Viens danser. »

Hypnotisé par Laure je la suis, en ne perdant pas de vue ma chérie. La brune se déhanche tant qu'elle peut, et elle fait ça relativement bien, pourtant elle a l'air d'avoir déjà bien carburé, à mon avis si elle tombe en panne d'essence en rentrant, elle peut pisser dans son réservoir, la voiture devrait marcher.
Tandis que j'essaie tant bien que mal de suivre le rythme, Laure a pris le mec par la taille et a enfourché sa jambe, et l'autre qui n'en demandait pas tant pose la main sur ses fesses et l'attire vers lui.

« Putain, encore dix secondes et je le massacre ».

Laure se dégage un peu, allongeant ainsi son espérance de vie. Ma cavalière qui a remarqué le manège me sort une phrase à la con du genre:

« Laisse la s'amuser, et puis une de perdue, dix de retrouvées, je te plais pas, moi ?? »

« Ok Laure, tu veux t'amuser, on va s'amuser »

Et j'attrape à pleines mains les fesses de ma brune, qui laisse faire, vu que visiblement elle était à la recherche d'un peu de piquant ce soir.

« Fuuuuu, t'as le feu, toi, comment tu t'appelles ?? », dit la brune
« Yann, et toi, c'est comment ?? »
« Moi Marianne, arrête un peu de me peloter les fesses et regarde moi plutôt, j'ai des yeux aussi »

Obéissant, je lâche ses fesses et fais un peu le tour du propriétaire. Oui finalement elle n'est pas mal, la fille, pas bourrée elle doit être agréable.

« Marianne, j'ai un gros service à te demander. Tu vois la fille rousse, à côté ?? est ce que tu peux aller lui dire que si elle n'est pas sur le parking dans 5 mn, Yann rentre à la maison sans elle ?? »

« Et pourquoi je ferais ça ??»

« Parce que le mec avec qui elle danse n'est pas mal non plus, tu le dragues un peu, tu le récupères pour toi, moi je rentre avec ma nana et tout le monde est content, c'est pas une bonne idée ?? »

« Pour toi, oui, pour moi, non. J'ai déjà baisé avec lui ce soir. Ce soir je veux baiser avec tous les mecs qui me plaisent »
« ... Et c'était pas bien, avec lui ?? »
« Si, mais trop vite fait, dans les toilettes »
« Justement, maintenant qu'il est purgé, ça devrait mieux se passer, parole d'homme »
« Euh ! Oui... Tu as peut être raison »

Il me faudra encore cinq bonnes minutes pour que Marianne acquiesce. Après avoir jaugé du regard la tête de n'ud qui danse avec Laure, elle décide qu'il lui plait encore. Elle se détache de moi en disant:

« Toi, tu es amoureux !! »
« Tu as tout compris Marianne, merci, amusez vous bien. »

Et je file vers la sortie, sans me retourner, mais en espérant qu'elle saura être convaincante. Appuyé contre la voiture j'attends un moment qui me paraît interminable et soudain, vois arriver ma superbe Laure, qui se jette dans mes bras

« Plus jamais tu ne parles d'Olivia comme tout à l'heure, promis. »
« Juré, chérie, juré, excuse moi mais tu me fais perdre la tête quand tu me caresses comme ça. »
« Viens on rentre, à force de me frotter contre le mec avec qui je dansais, j'ai un peu l'eau à la bouche, tu es un peu jaloux quand même ?? »
« Encore 5 mn et je vous étranglais tous les deux, heureusement que Marianne a su te convaincre. »
« Imbécile, tu crois que j'avais besoin d'elle pour me convaincre. En fait j'ai tout expliqué à mon cavalier, en lui demandant d'en rajouter un peu et de surveiller tes réactions. C'est lui qui m'a dit que l'attaque était imminente, et j'ai décidé que ça suffisait. Ta poule est arrivée et je les ai laissés ensembles. »

« Ne me fais plus des coups comme ça Laure, je préfère qu'on s'engueule une bonne fois, mais ça c'est insupportable pour moi. Te voir te frotter sur lui ça m'a rendu malade. »
« Viens dans la voiture, on va arranger ça. » dit ma malicieuse Laure, « Non pas devant, derrière ».

La voiture est dans un coin sombre, mais malgré tout sur le parking d'une boîte.
En deux temps trois mouvements Laure s'est débarrassée de son jean, moi de mon futal, et je m'installe les fesses posées sur le bord du siège arrière. Laure se positionne en levrette, j'écarte la ficelle du string. Elle mouille comme j'aime, je plonge la main dans son jean et constate qu'elle a bien pris du plaisir à me torturer. A moins que ce ne soit le mec avec qui elle dansait qui l'ait mise dans cet état...

Mais la vue des ses fesses me fait oublier les moments sombres de la soirée. Laure accrochée aux sièges de devant approche sa chatte de moi et je la gobe avec autant d'envie que si c'était la première fois. Elle passe la main entre ses cuisses et prend mon sexe pour le guider vers son puit de plaisir. Elle joue avec moi. Mon gland disparaît en elle, elle me dit que je ne la mérite pas, que j'ai été méchant avec elle, qu'elle aurait dû rester avec son cavalier et faire l'amour avec lui, que je ne dois plus parler d'Olivia comme je l'ai fait.
Et plus elle me fait culpabiliser, plus je bande. Plus rien n'existe qu'elle et moi. Les noceurs qui passent à proximité et qui profitent du spectacle ne font pas retomber la pression.
Je fais monter et descendre le vagin de Laure sur ma bite en feu, car Laure n'est plus à ce moment là qu'un vagin. Je la pénètre le plus loin possible pour me libérer de la tension de cette soirée. Laure se masturbe et me griffe les boules. J'attrape ses mains et les maintiens dans son dos pour la posséder complètement.

« Barrez vous, barrez vous », crie Laure. Trois jeunes sont appuyés sur le capot de la voiture et nous matent. Laure dans cette position leur offre une vue imprenable sur ses seins, ils ont l'air d'apprécier, mais elle ne s'arrête pas. Elle s'empale sur moi de plus belle et les mouvements de son bassin me font comprendre qu'elle va jouir. Je lâche ses mains, et accrochée aux sièges elle jouit en criant comme une folle. Les 3 voyeurs doivent imaginer une fille comme Laure dans leur lit. L'un d'eux se lèche les lèvres, l'autre applaudit, et le 3ème tape contre le pare brise en disant :
« Laisse la moi, laisse la moi »

On s'en va, tous les deux à moitié à poil, il faut qu'on se sorte de ce parking au plus vite les 3 mateurs ont rameuté du monde. Laure rit, moi je fais craquer les vitesses du break, et on va se rhabiller un peu plus loin, en espérant qu'il n'y ait pas une ronde de flics...
Sur le chemin du retour, Laure aborde subtilement à nouveau le sujet un peu tabou pour moi, de faire l'amour à plusieurs.

« Comment as-tu connu Hélène ?? » demande t'elle
« Quand je suis arrivé dans cette ville, et que je cherchais ou acheter des fringues, un jour je suis tombé sur son magasin. Elle était en train de refaire sa vitrine, et je t'avoue que je suis rentré dans le magasin plus pour elle que pour ce qu'elle vendait. »
« Mais il n'y a pas de fringues pour hommes chez elle !! »
« A l'époque, si. Mais elle a arrêté parce qu'elle n'en vendait pas assez »
« Et alors, raconte, comment ça s'est passé avec Hélène ?? »

Bon allez c'est l'heure des confessions, Laure est décidément curieuse de tout.

« Hélène dans sa vitrine n'était pas particulièrement sexy, mais il y avait je ne sais quoi dans ses yeux, qui m'a décidé à entrer ».
J'essaie de me rappeler exactement ces moments.
« Son sourire n'était pas complètement commerçant, je ne sais pas comment dire... Peut-être en attente de plus qu'une discussion de vendeuse à client ». Laure recroquevillée sur son siège, est accrochée à mon bras et attend la suite.
« En fait je crois que j'ai trouvé dans son regard la même chose que dans le tien, de la spontanéité, de l'écoute, de l'attention... »
« Enfin, je suis rentré, elle est venue vers moi, ma première impression a été que c'était une jolie nana, qui portait bien les vêtements qu'elle vendait. Pas jeune, pas vieille, je lui donnais 35 ans à peu prés. »
Laure fait le calcul vite fait et dit :
« C'était en quelle année ?? » et après ma réponse annonce « Elle avait 32 ans »
« Comme elle avait des bagues à tous les doigts, impossible de dire si elle était mariée. Je me souviens qu'elle portait un parfum très, très heu... enivrant ! »
« Après lui avoir annoncé mes goûts, elle a déballé un tas de fringues et m'a conduit à une cabine. »
« Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas, appelez moi. »
« Et bien sur, j'ai eu besoin d'elle,? Madame, s'il vous plait ! »
Hélène s'approche, je la regarde par l'interstice du rideau et la trouve vraiment pas mal du tout. Brune autant que Laure est rousse, de grands yeux noirs, très fine sans être maigre et pratiquement aussi grande que moi.
« La chemise est sympa, mais les boutons sont un peu raide à boutonner ! »

Elle rit.
« Tous les mêmes ces hommes, des vainqueurs en puissance, mais ça a du mal pour fermer trois boutons » Dit-elle en me regardant droit dans les yeux.
Mais elle aussi a du mal pour fermer les dits boutons, et ses mains s'attardent sur mon ventre et ma poitrine.
« Vos clients hommes doivent être ravis du service, si vous le poussez jusque là » dis-je un peu narquois.
« Pas pour tous, pas pour tous, il y en a qui sont plus agréables que d'autres... »
Ravi de la réponse, je vais encore me faire couillonner en lui achetant un tas de fringues, et continue la discussion pendant qu'elle emballe tout ça. Je lui dis entre autres que ça ne fait pas longtemps que je suis dans cette ville, ce n'est pas vrai, mais pas grave, que je ne connais pas beaucoup de monde, ça c'est vrai, à part une autochtone qui a bien voulu partager ma vie pendant quelques temps et que j'ai larguée parce qu'elle était très instable, et avait trop souvent mal à la tête à mon goût !!, mais ça je ne lui dis pas !!. Sinon, des relations de boulot, pour certaines amicales, et pour les autres, juste commerciales.

« Et vous ravissante commerçante, comment vous appelez vous ?? »
« Hélène, et vous même Monsieur l'indiscret ?? »
« Yann pour vous servir, si vous ne savez pas quoi faire ce soir, ou un autre. »
« Ce soir non, mais demain ? peut-être !!! »
« Hélène je ne sais pas coudre, et les ourlets... »
« Ah bien sur mais il faut que je les ébauche sur vous »

Me revoilà en slip à essayer les pantalons, pour le premier je me change dans la cabine, pour les suivants, Hélène me dit que ça serait plus simple de faire ça devant elle, si ça ne me gêne pas. Et me voilà à peine habillé devant une nana que je connais depuis ½ heure à peine. Elle a l'air d'apprécier ce qu'elle voit, et moi j'apprécie la réaction.
« Laure, tu dors ?? »
« Non j'écoute, écarte un peu ton siège, que je pose la tête sur tes genoux. »
Ma main s'égare sur ses seins, elle déboutonne son jean, qu'elle arrive à défaire.
« Continue à me raconter ta rencontre, ne t'occupe pas de moi. »
Je vois ses mains caresser son ventre à la limite du string et l'envie d'elle me reprend. Laure qui sent ma bosse appuie sa joue dessus par à coups pour me faire bien bander.
Tant bien que mal je continue mon histoire en lui disant qu'Hélène me plante là pour aller s'occuper d'une cliente, vite expédiée puisqu'elle ne trouvera pas ce qu'elle cherche.
« Bon, je m'occupe de vous. » Elle met des aiguilles pour délimiter les ourlets et s'écarte de temps en temps pour voir le résultat. Tout le temps qu'elle est penchée j'en profite pour la détailler, et j'ai de plus en plus envie qu'il se passe quelque chose

« Vous êtes mariée charmante dame ?? »
Elle se relève et me regarde, l'air de dire: « Il est gonflé lui !! » mais répond quand-même.
« Non, mais ça vous intéresse tant que ça ?? »
Question purement féminine car si je n'étais pas intéressé, je n'aurais pas posé la question.
Laure a fermé les yeux et une de ses mains a disparu entre ses jambes. L'autre me caresse le bras.

« Hélène, je ne vais pas vous cacher que je vous trouve charmante, et si vous ne changez pas d'avis, il me tarde d'être à demain soir. »
Ma chérie soulève son bassin et se débarrasse de son string en gémissant.
« Continue, raconte, je veux savoir ». Laure que mon histoire excite visiblement me met son string sous le nez.
« Regarde comme je mouille, raconte, raconte. » dit-elle en reprenant l'exploration de son corps. Je vois son doigt entrer et sortir de son vagin. Son bout de tissu est trempé par sa liqueur.

Je fais des efforts de concentration pour, me souvenir, conduire et ne pas perdre une miette du plaisir solitaire de ma délicieuse compagne qui en plus essaye de me faire décharger dans mon pantalon, simplement par la caresse de sa joue sur mon sexe qui commence vraiment à se sentir à l'étroit.

« Hélène garde les pantalons et me dit de venir les récupérer le lendemain soir vers 19h00, sans me dire si elle accepte l'invitation. Tu penses bien que je n'aurais pas été en retard, tu me connais. »

Le lendemain à l'heure dite, je déboule dans le magasin, Hélène est habillée comme une écolière, pas un bout de peau ne dépasse.

« Bonjour Yann, vos pantalons sont faits, je ferme dans 10 mn, et je vous emmène dans un petit resto à quelques rues d'ici, ça vous va, on fera plus ample connaissance ?? »

En fait de quelques rues, elle m'a fait faire 3 Km à pieds, pendant lesquels on a discuté d'elle de moi de la vie, de tout. Au bout d'un moment elle a glissé son bras sous le mien et c'est ainsi que nous sommes arrivés au resto où, surprise, des copains à elle l'attendaient, dont Jean l'imprimeur, et un autre couple. J'ai profité de la soirée pour me faire de nouveaux copains, Hélène a eu l'air d'apprécier que je sois aussi à l'aise avec des inconnus. Et sur le trottoir, avant de monter dans la voiture de ses amis, m'a déposé un baiser furtif au coin des lèvres en disant:

« Nous avons passé une bonne soirée, si tu veux, passe demain soir au magasin, bonne nuit ». Et je me retrouve là, planté sur le trottoir

« Tu crois qu'elle avait déjà pris la décision de coucher avec toi ? » dit Laure.
« Je ne sais pas, peut être, à cause du baiser ». Laure a écarté ses lèvres et titille son clitoris de ses doigts pleins de mouille.
« Le lendemain, Hélène n'a plus rien à voir avec la gentille fille sage de la veille. Son chemisier est déboutonné sur un soutien gorge de la même couleur, elle porte une jupe assez courte qui dévoile la finesse de ses jambes, et des escarpins à talons hauts, qui galbent ses mollets. »

Décidément jolie, la dame !!

« Yann, je vais voir un film, tu viens avec moi ?? »
Et je me retrouve dans une salle, presque vide car le film est loin d'avoir eu un oscar. Le spectacle est plutôt du côté d'Hélène, dont la jupe a décidé de se transformer en ceinturon !! Au bout d'un moment, je me hasarde à frôler son genou. Lors de ces premiers contacts, je m'attends toujours à prendre une tarte, et guette prudemment la réaction.

Très longtemps avant, un de mes amis m'avait dit:
« Tu ne risques rien à essayer, au pire tu prends une mandale, et tu t'entends dire non, alors vas y, fonce !! »
Hélène ne bronche pas, ne tourne pas la tête, ne dit pas un mot. Grand moment de solitude pour moi?

« Hélène, sympa le film, mais pas très... »

Elle me regarde, regarde ses jambes, me regarde, et les approche un peu plus de moi.
Ouf, le signe. Je vais passer le reste de la séance à les caresser, sans dépasser le stade de la bienséance. Hélène restera de marbre, les yeux fixés sur l'écran.

« Ahhh », gémit Laure, « Un truc de nana pour te faire douter de toi, et prendre l'ascendant ».
La mienne de nana aussi est en train de prendre l'ascendant. Elle se masturbe comme une folle et m'arrache la peau du bras. Il va falloir que je me décide à lui arracher les ongles avant de faire partie des grands mutilés. Depuis que je la connais, je suis balafré de partout, pas un cm² n'y a échappé.

« La suite, la suite » gémit Laure, « j'ai envie... de savoir. »
La séance finie, Hélène me dit avoir passé une soirée agréable, mais qu'il lui faut un peu de temps.
« Pas ce soir Yann, j'ai besoin de réfléchir. »
Et de me distribuer un nouveau mais un peu plus appuyé baiser au coin des lèvres. Bon ben les gars, moi je vais aller finir à la main.

Quelques jours plus tard, après la fermeture de son magasin, j'attire doucement Hélène dans une de ses cabines d'essayage. Elle se laisse faire pour une séance de baisers enflammés et un semblant de déshabillage, mais résiste à mon assaut. Je pensais avoir une compensation pour mon assiduité mais elle me repousse gentiment.

« Bientôt, Yann, bientôt, tout vient à point à qui sait attendre », me dit elle le regard dans le vague... et la main sur ma bosse !!
« Et calme toi avant de sortir, tu n'es pas... présentable ». Tout cela dit avec un sourire énigmatique.

C'est en fait à la cinquième rencontre que je vais décider pour nous deux. C'est relâche pour Hélène, on se promène en ville et on passe devant un hôtel à la façade restaurée.
Elle m'explique qu'il s'agit du plus vieil hôtel de la ville, qu'il paraît que la déco est superbe, et que les chambres sont classes mais qu'elle n'a jamais eu l'occasion de les voir.
Je saute sur l'occasion, à moins qu'elle ne m'ait tendu la perche, je ne saurai jamais...

« Et si je te proposais d'aller en visiter une ?? » dis-je. Hélène me regarde un long moment, et sans mot dire traverse la rue, je lui emboîte le pas.

Elle traverse le hall tête baissée comme si elle avait peur qu'on la reconnaisse, je passe par la case réception et la rejoins devant l'ascenseur. La porte s'ouvre, on s'engouffre dedans et la température commence à monter. Le premier geste d'Hélène est de libérer ses longs cheveux noirs en secouant la tête, et de me regarder intensément à travers la crinière qui lui dégouline sur le visage.

Je tâte discrètement ma poche pour vérifier que les capotes sont bien là. J'attire alors Hélène de dos contre moi. Ses fesses s'incrustent instantanément sur ma bite, mes mains englobent ses seins, mais ça n'ira pas plus loin car la porte s'ouvre.

« la 302, la 302, ah!! la voilà, la 302 »

Nous nous jetons dans la chambre, Hélène devant moi me dit:
« Attends, je visite d'abord, t'as vu les rideaux, oh, le beau plafond, et la salle de bains, t'as vu les robinets », puis c'est au tour du lit. En même temps qu'elle admire, elle s'effeuille. Pendant qu'elle admire le décor, je l'admire, elle. Cette fille est toute en finesse.
« Ah, oh, oh là là, c'est beau, c'est doux », dit-elle.
Tout ça prend un temps qui me paraît interminable. Hélène n'est plus vêtue que de sa jupe, et de ce qui paraît être un string.
Là j'en ai marre, je déboucle ma ceinture, vire mon pantalon et couche Hélène sur le lit. Sa jupe ne va pas gêner beaucoup, et son petit bout de lingerie intime en dentelle rouge ne la protège plus beaucoup.

« Yann, Yann, prends-moi ». ? Mais !!? Ce n'est pas Hélène, mais Laure qui vient de me sortir de ce souvenir intense, ma Laure qui est encore montée d'un cran.
« Je ne veux plus que tu racontes mais que tu me fasses exactement ce que tu lui as fait à elle ».
Je mets un grand coup de volant pour rentrer sur le parking au bord de la route, arrête la voiture et sors. Laure qui a remis son string me rejoint et répète:
« Fais moi exactement comme à elle, souviens toi bien comment c'était ».

Laure me tend une capote qu'elle a pris dans la boite à gants.
Je couche Laure sur le capot chaud de la voiture, ôte mon pantalon et met la capote. J'ai la bite au bord de l'explosion.
« Pareil Yann, pareil », dit Laure.
« Hélène, j'ai envie de toi, depuis le ciné et la cabine d'essayage, je ne pense qu'à ça ».
Laure va me faire devenir fou, c'est sûr et certain, à force de faire des trucs pareils car ce n'est pas la première fois.

Hélène ne bouge pas et m'attend. Je me penche sur elle, attrape son string et le fait glisser sur ses hanches. Elle serre les jambes et soulève son bassin pour faciliter le déshabillage.

« Hélène, j'ai trop envie de toi, je vais te prendre tout de suite, comme tu es là. »
Laure me regarde fixement et attend.
J'écarte les jambes d'Hélène, sépare ses lèvres avec mon pouce, et l'introduis en elle. Elle est humide sans plus, je vais certainement lui faire un peu mal. Je presse ma tige à l'entrée de son vagin que j'écarte avec mes pouces.

« Viens... », dit-elle, « Viens... »
Sans la lâcher des yeux, je la pénètre en plusieurs poussées.

Hélène regarde mon sexe et dit simplement en faisant une petite grimace :
« Pas plus loin, tu es au bout ».

« Yann, pourquoi tu t'arrêtes, ça ne va pas ?? ».
Oh putain, c'est Laure qui me questionne, moi qui étais dans Hélène.

« Doucement Yann, doucement, je suis longue à venir, prends ton temps, fais ça bien. »
Bien décidé à faire jouir Hélène, je me concentre au maximum et je la baise avec soin sans aller trop loin pour ne pas lui faire mal. Mon pouce excite son clitoris et Hélène se laisse faire, ses petits mouvements de bassin m'encouragent, mais pas un son ne sort de sa bouche. Comment on fait avec une femme qui ne s'exprime pas ??.

Je retourne Laure sur le capot et la prend en levrette. Elle non plus ne dit rien, c'est quoi ?? qu'est ce qui se passe ce soir ??, j'ai rien bu pourtant.

« Hélène, ma belle, tourne toi » dis-je à? oui, à Hélène
Elle s'exécute et je la prends par derrière. D'une main je la tiens par les hanches et de l'autre je caresse son sexe ou subsiste une petite toison soyeuse. Et soudain, oh miracle, j'entends des soupirs, suivis de gémissements.

« Yann, je suis clitoridienne » dit Hélène, « Oui comme ça, flatte mon petit bouton, oui, tu fais ça bien, continue, ça vient. »
J'avais eu des copines longues à démarrer, mais Hélène avait gagné le 1er prix. Il allait falloir que je soigne les préliminaires avec elle, s'il y avait une suite.
Les gémissements et les halètements de Laure m'indiquaient que le plaisir était proche, mais il manquait quelque chose.

« Oui baise moi comme ça, pas trop loin tu me fais mal, ton doigt sers toi de ton doigt, mon clito aime ça, oui, comme ça !! »
C'est Laure qui prononce ces mots, ceux là même qu'Hélène disait au moment de la jouissance. Ca sent l'arnaque tout ça. Je termine Laure qui crie elle aussi.
« Oui Yann, oui mon chéri, oh oui, oui, oui. »

J'ai assez joué, je me retire arrache la capote et finis à la main. Les giclées arrosent le dos de Laure, la raie de ses fesses et avant de débander, je la sodomise sans ménagements, mon sperme servant de lubrifiant

« Yannnnnnnnnnn, tu n'as pas fait ça à Hélène, je t'avais dit pareil. »

Ah les garces. Je comprends maintenant.

« Laure, tu as fait raconter à Hélène sa première fois avec moi, avoue », et je la cloue contre la voiture.
« Je te préviens, si tu n'avoues pas, tu rentres à pieds, et encore je suis bon prince, je te laisse tes fringues » et je la fesse comme jamais, j'en ai mal aux mains.

« Chéri, Yann, aïïïïïeeeee, tu me fais mal. Oui elle m'a raconté, mais c'est elle qui m'a raconté, ce n'est pas moi qui le lui ai demandé, promis juré, arrête, aïïïïïeeee. »
« et sors toi de moi, tu es tout mou. »

Laure se retourne, frotte ses fesses endolories. Elle grimace un peu, puis son visage s'éclaire, un immense sourire éclate et elle me dit:

« Tu vois, on vient de faire l'amour à trois, facile, non. »

Complètement dément le truc. Elle va vraiment me faire devenir fada !!

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Mais là vont s'arrêter nos histoires, Laure est rentrée un soir en m'annonçant

" Yann tu sais quand un préservatif a craqué il y a quelques mois..."

"...???..."

" De toutes façons je le garde."

"...???..."

" Tu gardes quoi ???"

" Tu n'as toujours pas compris ??"

" Heu... Tu es en train de me dire que !!"

" Ouiiiiiiiiiiiiiii, je suis enceinte."

" Viens dans mes bras, ma Belle, bien sûr qu'on le garde !!!"

La suite ne concerne bien sûr plus les lecteurs de ce site, mais c'est avec regrets que nous vous disons.

" Au revoir à tous."

Laure et Yann