Histoire Erotique (Archive)

Un grand frère attentionné 2

Proposée le 30/03/2010 par paloma

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Lire le premier chapitre de l'histoire Un grand frère attentionné


Je m'appelle Bertille et j'ai 15 ans. Je suis physiquement plutôt en avance par rapport à mes camarades de classe, plus jeunes. Avec des petits seins déjà ronds et fermes, de longues jambes. Mon frère Flo a 2 ans de plus que moi. Il grand, beau et très attentionné à mon égard.

Depuis cet été, nos rapports ont évolué. Son regard sur moi a changé et nous nous sommes laissés aller à quelques attouchements. j'ai découvert seule les plaisirs de la masturbation en pensant à mon cher grand frère. Et puis un soir, après une chaude journée autour de la piscine et une soirée animée avec nos cousins, il est venu me rejoindre dans ma chambre sous prétexte d'enduire de crème après-soleil mon corps rougi par une séance de bronzage prolongée. De massages et caresses, il a découvert mon entrejambe mouillée et m'a alors touchée pour la première fois. Il a introduit plusieurs doigts dans ma chatte humide et ce fut pour moi une révélation. j'aimais mon frère passionnément !



Depuis ce jour-là, nous avons beaucoup de mal à réfréner notre envie pour le corps de l'autre. Je sens toute la journée son regard glisser sur moi, sur mes seins qui se développent, sur mes fesses et ma chatte. Ce n'est que le soir que nous pouvons nous retrouver à l'abri des autres (les parents, les cousins venus en vacances chez nous). Il me rejoint en général dans ma chambre et me caresse doucement.

Ce soir-là, il vint comme d'habitude sans faire de bruit. Tandis qu'il me caresse doucement les seins, je lui demande : « Flo, tu aimes mon corps ? ». « Oui ma chérie, je l'adore. Tu es fine et belle, avec un petit cul superbe et une chatte ravissante ». Un peu jalouse de ses conquêtes, je rétorque : « Oui mais je ne te plais pas autant que tes copines ! » Il répond « Détrompe-toi Berti, tu es beaucoup plus jolie qu'elles. Ton petit corps de femme m'excite beaucoup. Mais ça doit toujours rester entre nous. j'aime te regarder, te toucher et caresser ta petite chatte. ».

Mon sexe encore très peu poilu lui plaît beaucoup, c'est vrai. Habitué aux caresses de ses doigts, il s'enhardit et en demande toujours plus, comme ce soir. « Vas-y Flo, caresse moi la chatte. Elle est tellement chaude et mouillée? »

« Laisse-moi voir? ». Il ôte mon slip et découvre mon sexe. Il passe doucement la paume de sa main dessus, puis descend un doigt le long de ma fente, effectivement très humide. « Humm, tu aimes ça de plus en plus, non ? ». « Oui, je ne peux me passer de tes caresses. Parfois le matin, je suis encore toute chaude et je me masturbe avant de me lever. Comme si ça ne m'avait pas suffit que tu me touches la veille ».

« c'est vrai ça ? ». Je vois les fentes de ses yeux se rétrécir, cet aveu a dû lui plaire. Je constate également une bosse sur son boxer, ce qui m'intrigue de plus en plus. Il m'embrasse le front, la tempe, le cou puis descend sur mon sein, mon ventre puis mon sexe. « Tu aimes mes baisers ? ». « Oui? Flo, oui ne t?arrête pas » dis-je en tendant mon bassin avide vers le haut. Alors, il pose pour la première fois ses lèvres sur mon sexe. La caresse est exquise, sa bouche chaude et douce. Il souffle un air brûlant en direction de ma chatte. Je tressaille. « Embrasse-moi encore, s'il te plaît ». Il succombe à ma demande et presse cette fois longuement ses lèvres contre mon sexe. Sa langue sort et lèche doucement mes lèvres intimes. Il les écarte avec ses doigts et introduit sa langue agile. Je me cambre sous ce plaisir inconnu. Voyant l'effet produit, il poursuit son inspection. Sa langue me lèche avidement, découvre mon clitoris, descend jusqu'à mon anus et remonte sans fin. j'ondule mon bassin, le lève en direction de sa tête pour encourager ses mouvements et écarte les jambes. Sa langue n'en finit pas de me découvrir. Un tremblement me prend de l'intérieur, je ne sais pas ce qui m'arrive. j'halète de plus belle et gémis ouvertement tandis qu'il continue.

Puis mon corps s'écroule sur le lit, vidé. « Oh, Flo? qu'est-ce qui m'arrive ? ». « Et bien, tu a pris beaucoup de plaisir on dirait. Moi aussi ça m'a beaucoup plu. » Il me prend alors dans ses bras et je me refugies contre ce corps puissant et sécurisant. Ma tête dans le creux de son cou, je resserre encore mon étreinte. Je sens quelque chose de dur contre mon ventre et baisse les yeux. Le boxer de mon frère est tout déformé et humide.

« Toi aussi tu mouilles entre les jambes ? ». Mon interrogation le fais rougir, il bredouille : « Oui, Bertille, on peut dire ça comme ça. » « Laisse-moi voir », dis-je en agrippant son boxer. « Euh, je ne sais pas si c'est une bonne idée? ». « Oh s'il te plaît??.. ». Mon air implorant et ma moue ont raison de lui, il me laisse glisser son caleçon vers le bas. Le spectacle me laisse bouche bée. Son sexe vient de surgir. Il est long et pointe vers le haut. A son somment, une chose rouge et mouillée se redresse.

Hypnotisée, j'approche ma main. Lorsque je touche du bout des doigts cette belle verge, elle s'agite et j'entends Flo gémir doucement. Quelle est douce ! et chaude ! et dure ! Je la caresse lentement de haut en bas, me concentrant sur mon ressenti ainsi que les réactions de mon frère. j'ai peur de lui faire mal. Je remonte au somment et passe mon index sur le gland (je ne savais pas alors que ça s'appelait ainsi) : à sa base, sur la partie charnue et finalement sur le petit trou en haut. Flo lâche un râle de plaisir. « Ca te fait du bien ? ». « Oh oui Bert, bien sûr que ça me fait du bien ! Continue, c'est bon. Tu vois, quand mon sexe grossit, c'est signe qu'il aime ».

Je poursuis mes caresses par de petits cercles autour du trou puis redescends ma main autour de la verge. Je l'enserre et remonte. La respiration de mon frère s'accélère, ce doit être bon signe. Je reviens vers le gland et vois luire une petite goutte. Je la prends sur mon doigt et la porte à mes lèvres. Quel délice de goûter le jus de mon frère ! j'approche alors ma bouche et lape une autre goutte. j'y mets de petits coups de langue, comme lorsque je lèche une glace. Mais la chaleur et son sexe rend les sensations bien différentes' Ma langue se fait plus invasive et explore de nouvelles régions. En remontant, je ne peux m'empêcher d'enfermer son gland dans ma bouche, comme un gros bonbon. « Ahhhhh, Bertille, qu'est-ce que tu fais ?! » Je relâche le gland, une interrogation dans les yeux : « c'est douloureux ? ». « Euh? non... non, c'est tellement bon, je ne m'y attendais pas' » « Oh ! Je suis contente de te faire du bien Flo » et je retourne aussitôt où j'en étais. Flo voudrait m'en empêcher mais gémit à nouveau. Son plaisir l'emporte. Sa bite s'agite et gonfle dans ma bouche. Je resserre mes joues autour et la goûte avec ma langue. j'aime cette sensation et je me sens mouiller entre les jambes. « Arrête, arrête, Berti? je ne peux plus me contrôler?. » Je ne cède pas à ses exclamations, je sais qu'il aime ça.

Il repousse alors brutalement ma tête pour en extirper son sexe. Ce dernier expulse un liquide épais blanchâtre qui macule mon ventre et les cuisses. Abasourdie, je ne sais pas quoi dire ni faire. « Excuse-moi Bert mais c'était trop bon, je n'ai pas pu m'empêcher? » Je recueille un peu de liquide sur un doigt « c'est quoi ? ». Flo est plutôt gêné : « Et bien'. c'est mon sperme. Quand on éprouve trop de plaisir, on jouit. Et là? j'ai? comment dire éjaculer. j'ai lâché du sperme quoi ».

« Ohh. Et ça t?a fait du bien ? ». « Oui beaucoup. c'est toujours très bon quand on jouit. Comme toi tout à l'heure. » Je hoche la tête et approche mon doigt de mes lèvres. Je lèche un peu de sperme sous le regard mi-paniqué mi-curieux de mon frère. « Pas mal ! » dis-je en souriant. Flo me prend dans ses bras et je m'y blottis. Je murmure, comblée « c'était formidable Flo, j'ai aimé te donner du plaisir. Tu me laisseras recommencer dis ? ». « On verra » répond-il tout bas, comme troublé.



Depuis, mon corps n'arrête pas de réclamer les attouchements de mon frère. Je ne sais pas si c'est l'été, la chaleur, mon corps qui change ou mes récentes découvertes hédoniques mais je suis comme en ébullition. Flo évite que nos rendez-vous à deux se répètent trop souvent mais je sens à son regard qu'il désire mon corps comme moi le sien.

j'aime quand il me lèche la chatte, l'embrasse et y insère un ou plusieurs doigts. Cette intrusion est tellement bonne ! j'aimerais qu'il enfonce sa main encore plus loin, je dois être folle. j'apprécie également lui donner du plaisir. Après quelques séances supplémentaires, je suis plus à mon aise avec son engin. Il est si doux que c'est agréable de le caresser et de le lécher. j'aime le voir se réveiller et se durcir, c'est un peu comme un petit animal dont il faut prendre soin'



Ce soir, les parents sont partis dîner au restaurant, nous laissant seuls à partir de 19h30. Quel soulagement ! Enfin une soirée où nous pourrons laisser libre court à nos envies sans surveiller le moindre bruit dans la maison.

Lorsqu'ils partent, je suis seule à la maison, Flo étant parti faire un footing dans le quartier. Il revient peu après, applique un baiser sonore sur mon front. Je m'exclame : « Ahhh, t?es tout collant ! ». Il répond « Oui, je file à la douche, je dégouline? ». j'entends ses pas dans l'escalier, la porte de la douche qui claque puis, quelques secondes plus tard, l'eau qui commence à couler. l'imaginer nu sous le jet d'eau chaude m'émoustille. Je pense à ses larges épaules, son ventre plat, ses fesses fermes et? son sexe tendu ! Une main au niveau de ma culotte me renseigne largement sur mon état d'excitation. Et si je le surprenais dans la douche ?

Ne pouvant résister, je monte l'escalier à pas de loup. Arrivée devant la porte de la salle de bain, je prends une longue inspiration. j'ôte fébrilement mes vêtements et les laisse dans le couloir. Puis je profite du bruit de l'eau persistant pour ouvrir le plus silencieusement possible la porte. Je rentre dans la pièce déjà embuée. Une chaude humidité m'enveloppe et accroît mon excitation. Le jet d'eau s'arrête. j'ose à peine respirer. j'entends un bruit de savon glissant entre deux mains, suivi de lents mouvements de frottements. j'ose un coup d'oeil à travers la paroi de la douche. Mon frère, dos à moi, se savonne le torse puis descend vers son entrejambe. Mes seins sont douloureux et mon sexe s'humidifie encore?

Prenant mon courage à deux mains, je pousse la porte de la douche. Flo se retourne vivement : « Berti !!! Qu'est-ce que tu fais ici ! Tu m'as fait une peur bleue ! ». « Je voulais prendre une douche moi aussi. Je me sens toute sale?. » « Vraiment ? », répond mon frère moqueur, « approche que je te savonne ». Ravie, j'avance vers lui. Il s'empare de la savonnette et commence à me la passer sur le buste puis la repose. Très doucement, il entreprend d'étaler cette mousse sur mes seins. Mes tétons se redressent sous le contact de ses doigts. Il me nettoie les épaules, le cou, revient longuement sur mes seins. Je suis bien. Il me place dos à lui et poursuit par mon dos et mes fesses. Mmmmmm. Je me retourne et souhaite lui rendre la pareille. Il a comprit et s'arrête.

j'étale la mousse sur son torse, ses épaules et ses bras, lave consciencieusement ses aisselles, progresse sur les flans et le ventre. Plus je descends, plus les poils sont denses. Je nettoie cette toison de petits mouvements circulaires, atteins la base de son sexe. Ce dernier, déjà légèrement raide, se durcit et se relève un peu. Je souris et m'agenouille. Je poursuis mon nettoyage par ses couilles. Je les masse une à une dans le creux de ma main droite, elles sont dures et bien remplies. Je lève les yeux vers mon frère. Il me contemple le caresser, l'envie se lit dans son regard. Cette position, moi à genoux devant lui m'excite au plus haut point. Je me sens soumise à son bon vouloir?. En contrepartie, le plaisir que je lui donne est une force. Il reste passif et me laisse faire. j'insère ma main plus loin dans son entrejambe et frotte l'intérieur de ses cuisses et la raie de ses fesses. Puis je reviens m'occuper de sa verge. Fièrement dressée, elle est irrésistible. Je la caresse doucement puis la prends en main et l'astique avec application. Elle ne fait que grossir et rougir ! Le gland est entièrement décalotté. Flo soupire et m'empoigne les bras pour me relever. Il s'excuse : « Arrête Berti, je suis à deux doigts de jouir. j'ai envie de m'occuper de toi? ».

Mon frère reprend son nettoyage où il l'avait laissé. Face à moi, il s'occupe de mon ventre et de mes hanches puis s'approche de moi pour frotter mon dos et mes fesses. Je sens sa verge chaude contre mon ventre, comme c'est bon ! Elle est dure comme un bâton. Je me presse contre lui pour la sentir davantage.

Il s'agenouille devant moi et me nettoie les jambes, évitant soigneusement mon sexe. Il prend soin de mes cuisses, mes mollets et mes pieds. Ses mains remontent ensuite à l'intérieur et mes jambes et touchent enfin ma chatte. Je frémis de la tête aux pieds. Il savonne d'abord ma toison puis s'immisce dans mon sexe. Il me regarde en souriant : « Comme elle est sale cette petite chatte ! Il faut la nettoyer à fond, sans oublier un seul recoin ! ». Ses doigts lavent longuement mes lèvres, mon clitoris, effleurent mon vagin, remontent à l'arrière sur mon périnée et nettoient aussi mon petit trou. Les cercles autour de mon anus me font gémir malgré moi. j'ai un peu honte qu'il me touche à cet endroit-là mais je ne pensais pas que ça puisse procurer un tel plaisir. Devant ma réaction, il poursuit cette caresse tandis que l'autre main s'occupe de mon clitoris. Submergée par le bien-être, je ferme les yeux et penche la tête en arrière.

A ma déception, Flo se relève doucement, son corps collé contre le mien. Alors qu'il caresse mes seins et excite mes tétons, je sens son sexe butter au niveau de mon entrejambe. La chaleur et la dureté de sa verge finissent d'enflammer ma chatte. Malgré le savon, je la sens mouiller abondamment. Je serre les cuisses pour amplifier les sensations. Flo saisit le pommeau de douche et commence à nous rincer. l'eau chaude ne fait qu'accentuer mon trouble. j'ignore s'il le remarque mais il dirige le pommeau vers nos entrejambes. Ma chatte est brûlante. Il me rince ensuite le dos.

j'en profite pour passer une main entre nos deux corps. Je saisis la verge de mon frère pour me caresser le sexe avec son gland. Le plaisir est immédiat ! Flo stoppe ses mouvements et s'apprête à protester lorsque ses yeux rencontrent les miens. Il doit lire sur mon visage le désir, l'extase, si bien qu'il se ravise. Je gémis de plus en plus fort, étonnée de ces sensations inconnues. Mes tétons sont durs, je demande à Flo de les pincer. Cette requête le surprend. Jamais je ne lui avais demandé un attouchement précis. Cela semble l'exciter : il se jette sur mes seins, les pétrit fermement et triture mes tétons dressés. Je remonte un genou le long du corps de mon frère pour mieux accéder à ma chatte. Sous la pression de ma main, le sexe de mon frère s'y frotte de haut en bas. Je le presse tellement que, subitement, son gland pénètre un peu à l'intérieur de moi. d'instinct, les parois de mon vagin se resserrent autour ce cet intrus, ce qui nous fait, mon frère et moi, crier de plaisir. Nous n'osons plus bouger, interdits. Tandis que je m'habitue à cette divine sensation, Flo me regarde et demande : « Tu aimes ça ma chérie ? ». Je hoche la tête, incapable de dire quoi que ce soit.

Alors il m'embrasse tendrement et m'enlace. Je sens son gland faire d'imperceptibles mouvements à l'intérieur de moi. « Ohhhh, ohhhh », je gémis sans cesse. Flo m'embrasse la nuque, l'oreille, les cheveux en poursuivant ses légers va-et-vient. Ses mains descendent le long de ma colonne vertébrale et me pose sur mes fesses. Il les empoigne et les presse pour accompagner ses mouvements de bassin. Le plaisir s'intensifie à mesure que les vas-et-vient progressent. Puis une douleur soudaine m'envahit. Je pousse un cri strident. Flo me serre de plus belle contre lui, me chuchotant à l'oreille : « Ca va aller, détends-toi, ça va passer ». Sa douce voix me berce et je me force à négliger cette douleur. d'ailleurs, au fur et à mesure que le sexe de Flo s'insère plus loin dans le mien, elle s'estompe et laisse place au plaisir. Flo sent mon corps son détendre et me murmure son amour à mon oreille. Je sens à présent son sexe me remplir le vagin, mes parois l'emprisonnent un peu plus.

Il me saisit par les fesses et me soulève avec facilité. Je m'accroche à son cou et replie mes jambes autour de lui. Il me place dos contre le mur de la douche. Je frissonne à son contact froid et ne tarde pas à gémir de plaisir en sentant mon corps s'empaler sur la verge dressée. Me maintenant de ses bras puissants contre le mur, Flo introduit son sexe en moi par à coups lents et tendres, attentif à mes réactions : « Tu aimes ça Berti ? ». Entre deux gémissements, je réponds : « Oui, Flo, ne t?arrête pas, encore, encore ! j'aime ça quand tu vas loin' ». Encouragé, il amplifie encore ses mouvements. Plus rapides et plus brusques, ils m'arrachent des cris de plaisir. Le sexe de mon frère me remplit le ventre, ses couilles battent contre moi. Je sens des fourmis dans mon ventre, du coton dans ma tête, je ne sais plus où je suis. Je reviens à moi en entendant mon frère pousser un long cri en me plaquant contre le mur, collé à moi. Je sens mon intérieur envahi de liquide chaud.

Après quelques secondes d'immobilité, Flo me repose au sol, visiblement exténué. Son sperme coule à l'intérieur de mes cuisses. Il a éjaculé en moi ! Devant la fatigue de mon frère, j'entreprends de le délasser en l'aspergeant d'eau chaude. Je rince son sexe, ses cuisses puis me rince à mon tour.

Nous sortons pantelants et émus de la douche. Nous nous frictionnons mutuellement avec les serviettes comme pour prolonger ce moment intense puis tombons l'un dans les bras de l'autre. Jamais je n'avais ressenti autant de plaisir !