Un grand frère attentionné

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 29/03/2010 par paloma

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Toute cette histoire s'est déroulée l'été dernier.


c'était le début de l'été. l'année de cinquième venait de s'achever. j'étais à la fois soulagée de l'arrêt des cours et des devoirs mais triste de me séparer de mes copines qui partaient en vacances avec leurs parents. Les nôtres avaient prévu un voyage dans le Sud, vers Collioure mais seulement au mois d'août. Un mois à attendre ! Ce n'était pas facile. Heureusement qu'à la maison, nous avions une piscine dans le jardin pour se rafraîchir et s'amuser. Et surtout que mon grand frère était là. Faute d'économies suffisantes, il n'avait pas pu partir comme l'année dernière avec des ses amis sur la côté bretonne.

Mon frère s'appelle Florian. Il a 17 ans et il est, si l'on peut dire, mon idole. Sérieux en cours (toujours de bonnes notes !) comme dans la vie quotidienne, rassurant et attentionné, c'est le grand frère idéal. Je l'adore ! Il a toujours pris son statut d'aîné très au sérieux. Il se veut à la fois mon conseiller et mon protecteur. Mes parents ont entièrement confiance en lui, le laissant me garder depuis 2 ans lorsqu'ils sortent en amoureux au restaurant ou au cinéma. Il rentre l'année prochaine en terminale. Ca ne rigole pas, c'est la dernière année de lycée et je suis très impressionnée par son expérience.

Pour ma part, je m'appelle Bertille. Je suis châtain, les yeux verts avec des tâches de rousseur. j'ai 15 ans. Avec quelques 2 années de retard au niveau scolaire, certes ! Nous avons passé plusieurs années à l'étranger (Suède puis Portugal puis Autriche) avec les parents si bien que les changements de lieux et de langues m'ont grandement perturbés durant l'école primaire? A présent que nous sommes fixés en France depuis le collège, tout va mieux pour moi.

Du coup, je suis très en avance d'un point de vue physique par rapport à mes camarades. Avec mon 1,69 je suis la plus grande de ma classe et ça me gêne beaucoup. j'ai grandis d'un seul coup il y a 3 ans, en prenant 125cm à peu près. Pourtant je n'ai pas trop grossi et, du coup, j'ai les jambes comme des brindilles' Ma taille me dérange parfois, surtout pour la photo de classe. Je suis la seule fille dans le « rang des grands » comme dit le photographe, ceux qui sont debout comme des idiots ! Enfin c'est un détail. Il y a pire : j'ai les seins qui poussent et j'en suis assez embarrassée (j'essaie de le cacher) car mes copines de classe sont toutes plus petites et encore plates. Ma mère m'a acheté un soutien gorge il y a quelques mois. En coton beige, tout simple. « Ton premier soutien-gorge », a-t-elle fait avec un sourire rêveur. Moi, ça me fait bizarre. Me trouver dans cette boutique avec des clientes de l'âge de ma mère et la vendeuse qui me suit jusque dans la cabine? Elle m'a reluquée et m'a touchée pour voir si la taille correspondait. Une expérience vraiment gênante. En plus, ce soutien-gorge se voit sous certains de mes hauts, je sens parfois les regards des garçons de ma classe et parfois les plus âgés dans la rue ou dans le bus.

Je ne suis pas intéressée par eux pour autant. j'ai toujours été timide avec les garçons contrairement à mes amies qui ont des petits copains depuis l'année dernière. Ils s'affichent ensemble dans la cours du collège et s'embrasent avec la langue lors des booms. Moi je trouve ça un peu dégoutant. Les garçons ne m'accostent pas car je reste distante et froide. Ca ne me dérange pas, au contraire. Au fond de moi, je suis toujours une « petite fille » qui a besoin de se faire rassurer et chérir. j'ai toujours été proche de mes parents et très câline. Je suis en quelque sorte le « bébé » de la famille. Mon père me chouchoute, ma mère prend soin de moi et mon frère me surprotège. Je n'ai surtout pas envie de quitter ce cocon familial si sécurisant pour devenir une « jeune fille » comme dit ma mère.



Mois de juillet : mes parents sont partis 10 jours en Corse tous les deux. Ils aiment faire des escapades comme ça, le temps d'un we prolongé ou, comme cette fois-ci de vacances. Comme mon frère est grand, ils ont décidé cette année de nous laisser tous seuls. Notre Grand-Mère passe tous les jours en fin d'après-midi, voir si tout va bien et dîner avec nous. Grand-Père est mort il y a 5 ans de ça et elle s'est encore plus rapprochée de nous. Chaque jour, elle prépare le dîner et nous mangeons tous les 3. j'aime bien ma Grand-Mère, elle est rigolote et nous raconte plein d'histoires qu'elle a vécu. Elle repart le soir quand nous nous sommes mis en pyjama et nous autorise à veiller un peu devant un film : « Ca reste un secret entre nous » qu'elle dit.

Le reste de la journée, nous nous débrouillons tous seuls. Avec mon frère, nous nous levons tard, vers 9 ou 10 heures. Puis nous rangeons notre chambre ou vaquons à nos occupations. Moi j'aime bien lire et dessiner. Parfois je fais quelques devoirs de vacances pour faire plaisir aux parents. Lui, il s'entraîne à la guitare, il joue aux jeux vidéos. Moi je n'aime pas ça.

Le midi, on mange sur le pouce les restes de la veille ou on se fait un sandwich. l'après midi, on joue au ballon dans la piscine, on se fait bronzer. Flo m'aide à faire des mots croisés. Parfois je lui demande de me lire un magazine ou un livre comme lorsqu'on était petits et que je venais dans sa chambre sans faire de bruit quand je n'arrivais pas à dormir. En fait, ce que je voulais à cette époque, c'était tout simplement être près de lui. Il ouvrait la couette pour me faire une place dans son lit, me racontait des histoires drôles. Puis je m'allongeais et il me racontait une histoire pour m'endormir. Souvent, il devait me porter dans ses bras pour me ramener dans mon lit. Mes parents n'ont jamais rien dit mais je suis sûre qu'ils nous entendaient. Nous rigolions tellement fort parfois !



Tout ça c'était il y a 1 ou 2 ans. Cela fait quelques temps que Flo est plus distant et ça me rend triste. Même s'il est toujours un super grand frère, j'ai l'impression qu'il évite que je le rejoigne dans sa chambre le soir, comme avant. Une fois que je n'arrivais pas à dormir, j'ai frappé à sa porte, sans réponse. j'ai ouvert doucement et là j'ai vu son lit vide. Sa fenêtre était ouverte et j'en ai déduit qu'il avait sauté du 1er étage. Je supposais alors qu'il avait rejoint des copains sans le dire aux parents. Des copains ou peut être une copine?

Il s'est mis depuis quelques temps à sortir avec des filles. Je ne sais pas pourquoi mais ça m'énerve. Elles sont venues quelques fois à la maison et ma mère ne les trouve pas à son goût. Elle dit qu'elle font vulgaires, surtout la dernière en date mais mon père ça le fait rire : il dit que c'est de son âge. Sa dernière copine, je ne l'aime pas trop. Elle a les cheveux noirs et longs, elle porte souvent des jupes courtes et des hauts très moulants. Ca lui serre les seins qu'elle a très gros je trouve. Je ne sais pas quelle taille de soutien-gorge elle prend, mais ils sont très gros. Comme ceux de maman voire plus. j'ai l'impression que ça plaît à mon frère. Il n'arrête pas de regarder ces seins et je ne peux pas m'empêcher d'être jalouse, c'est bizarre.

La nuit où mon frère a découché, je n'ai rien dit mais je lui ai fait la tête toute la journée suivante. Il a essayé de se faire pardonner en me faisant des petits câlins comme avant et du coup je n'étais plus du tout fâchée.



Mais je suis trop bavarde, revenons à mon histoire. Je trouve ça important de raconter comment est ma vie mais peut être que je vous ennuie. Mon frère dit que je suis une vraie pipelette mais c'est seulement avec lui car sinon je suis plutôt timide et je ne parle pas trop. Quand on est tous les 2, je lui demande toujours de me raconter les trucs qui se passent dans sa classe pour savoir comment c'est quand on est plus grand. Il me raconte pleins d'anecdotes sur ses amis mais quand je lui pose des questions sur lui, il me dit souvent « oh tu sais, pas grand chose » et je sens qu'il évite le sujet.

Donc nous sommes début juillet et les parents sont partis. Nous sommes tous les 2 à la maison et ça se passe très bien.

Un après-midi, nous étions dans le jardin, à bronzer sur des serviettes pas loin de la piscine. j'étais allongée sur le dos et mon frère lisait sur le ventre. Il me dit à un moment : « Berti, tu es en train d'attraper un coup de soleil. Tu ferais mieux de te mettre de la crème ou d'aller dans l'eau ». Je suis assez mate de peau, comme mon frère, mais aujourd'hui c'est que le soleil tape et je ne m'en rends pas compte. Je somnole à moitié et je n'ai envie de bouger. « Berti, tu m'entends ? »

« Oui oui mais j'ai la flegme ». « Mets-toi de la crème solaire s'il te plaît, je ne veux pas que Mamie me reproche ce soir que tu aies pris un coup de soleil ». Je bougonne et lui demande de m'en mettre s'il a vraiment peur que je rougisse comme une écrevisse.

Il se relève en grognant un peu, pour la forme, mais je sais qu'il est content de jouer son rôle de grand frère. Il s'approche de moi avec le flacon de crème et en dépose dans le creux de sa main. j'ouvre à peine les paupières pour l'observer. Il a chaud et la sueur luit sur son visage.

Qu'il est beau mon frère ! Je suis super fière d'avoir un frangin comme lui. Toutes mes copines sont jalouses : elles n'ont pas de frère aussi mignon et populaire que le mien. d'ailleurs les professeurs me disent souvent à la rentrée « Ah ! Vous la s'ur de Florian D. Quel bon élève ! j'espère que vous serez aussi attentive que lui » (ce que je m'efforce de faire bien entendu).

Il commence à me passer la crème sur le ventre, très doucement. Il masse pour la faire pénétrer dans la peau. j'aime bien quand il me met de la crème : c'est comme un massage tout doux. Il l'étale sur le ventre, autour du nombril et descend sur les flans. Ses mains sont fines et je sens qu'il s'applique. Elles s'approchent de mon bas de maillot de bain lorsqu'il me dit « tu commences à être rouge à la marque du maillot ». Alors il glisse délicatement ses doigts sous mon maillot et applique la crème à la délimitation juste au dessus du nombril et sur les hanches. Il passe ensuite à mes cuisses et y met une grosse noix de crème. Il l'étale en faisant des cercles sur le dessus de la cuisse droite, descend sur le côté vers le genou puis revient à l'intérieur des cuisses en les écartant un peu. Il remonte doucement vers mon entrejambe pour en mettre partout. c'est tellement bon ! j'adore quand mon frère prend soin de moi comme ça. j'ai l'impression d'être la seule personne qui compte à ses yeux, comme avant. Il passe à la jambe gauche et fait comme précédemment, extérieur puis intérieur. Il descend le long de mon tibia jusqu'à mes pieds. « Ca va Bertille ? » je réponds « oui, oui, très bien. Tu fais ça mieux que moi tu sais ».

Il continue alors, plaçant une noix de crème dans sa main et se rapprochant de ma tête. Il étale la crème sur mon buste et mon cou, masse doucement et descend vers le haut de mon maillot de bain. Je le sens un peu hésitant. Il baisse un peu le triangle de mon maillot sur mes minuscules seins pour y appliquer la crème du côté gauche. Ses doigts sont chauds et c'est très agréable. Ils se dirigent vers le creux entre mes seins, passent sous la lanière du haut puis me remontent en direction du sein droit. Je voudrais que ça ne s'arrête pas mais mes seins sont tous petits et il n'y a pas une grande surface ! Alors il finit par le visage, toujours aussi délicatement.

« Voilà, tu es toute badigeonnée de crème maintenant. Tu ne crains plus rien ». j'ouvre les yeux et lui souris reconnaissante. Il me rend mon sourire et m'embrasse sur le front puis retourne à sa serviette.

Je suis un peu déçue qu'il s'en aille et me sens toute bizarre. c'était tellement bon qu'il s'occupe de moi ! Ses mains sur mon corps m'ont donné encore plus chaud. Mes jambes sont notamment toutes flageolantes, avec une chaleur entre les cuisses. Vraiment bizarre? mais agréable.

10 à ou 15 minutes plus tard, le soleil chauffe de plus belle. Je me relève sur les coudes et demande à Flo « Ca te dit d'aller un peu dans l'eau ? ». « Oui si tu veux, c'est vrai qu'il fait très chaud cet après-midi ».

Nous nous dirigeons donc vers la piscine. Je monte la première les 3 marches de l'escalier qui conduit à la piscine. Je replace mon maillot de bain qui me rentre dans les fesses. c'est vrai qu'il est devenu un peu petit, preuve que j'ai beaucoup grandi ces derniers temps. l'année dernière, le haut baillait un peu et quand nous prenions des vagues sur les plages landaises (c'est là que sommes partis en vacances en famille l'an passé), les triangles avaient tendance à bouger. Cette année, je le remplis bien, les triangles ne sont plus assez larges pour recouvrir mes seins et se décalent sur les côtés, laissant entrevoir au centre leur naissance. Tant pis ! j'en achèterais un neuf l'année prochaine? Celui-là je l'aime trop ! Pour une fois que Maman accepte de m'acheter quelque de chose qui me plaît. Je l'ai choisi noir uni, ça me change des imprimés à motifs qui font trop « gamine ».

Je rentre dans l'eau avec délice. En ce début d'été, elle est encore fraîche et le soulagement est immédiat. Flo rentre à son tour et fait quelques brasses. La piscine n'est pas grande mais suffisante pour notre usage. Je fais l' « étoile de mer », paressant sur le dos, le visage vers le soleil quand soudain je me sens attirée vers le fond. Florian essaie de me couler ! Je me redresse sur les pieds et nage vers lui pour le rendre la pareille. s'en suit une belle bagarre sous marine dont il sort, bien entendu, vainqueur. Sans avoir trop abusé de sa force, il a fini par me couler réellement et je ressors la tête de l'eau, cherchant l'air. Je repends ma respiration quelques secondes puis je me jette sur mon frère qui me tourne le dos. j'accroche mes bras à son cou et saute sur son dos. Surpris, il se retourne et passe les bras derrière son dos pour soulager mes fesses. « Alors, on revient à la vie ? » Je ris doucement et cale ma tête sur sa nuque. Il part alors en courant dans l'eau, moi à califourchon sur son dos. l'eau l'empêche d'avancer trop vite et il s'arrête au bout de 2 tours de piscine, essoufflé. Il me passe alors de son dos vers son ventre, mes jambes toujours agrippées à sa taille et me sourit : « Un goûter ça te dis ? j'ai un creux ! » Je réponds par l'affirmative et l'embrasse sur la tempe, non sans rougir car j'ai senti mes seins pressés contre son menton. Sans me lâcher, il progresse vers l'échelle, la gravit puis la descend avant de me poser au sol. Je me sens comme une reine dans ses bras et je profite de cet instant de complicité, devenu si rare aujourd'hui.

Arrivés dans la cuisine, nous préparons des tartines de confiture puis les dégustons, assis à la table avec du lait. Il fait frais à l'intérieur et je sens mes poils se hérisser sur mes bras. Je vais chercher mon gilet sur le canapé. Je me retourne à mi-chemin et surprend le regard bienveillant de Flo sur moi. Qu'il est bon d'être en vacances ! Plus de copines, de sorties pour mon frère : il est de nouveau comme avant, attentif à mes besoins ! Ca me fait chaud au c'ur et ramène quelques années en arrière. Je me hisse à nouveau sur le tabouret de bar de la cuisine. Le cuir est froid sous mes fesses mais je n'ai plus la chair de poule grâce à mon gilet. Je ramène cependant les pans sur ma poitrine pour la réchauffer car je sens avec embarras mes tétons durcir.

Au bout de quelques minutes de silence dégustatif, Flo me demande : « Tu es bien sérieuse, à quoi tu penses ? » Baissant la tête, je réponds « et bien' je suis contente d'être en vacances' avec toi. » Il enchaîne, n'ayant probablement pas saisi le sens de ma remarque : « Moi aussi, il me tardait de finir les cours mais nous passons chaque année les vacances ensemble ». « c'est sûr, mais cette fois-ci, nous sommes ensemble pendant 10 jours, avec Mamie aussi, et ça me fait plaisir de passer du temps avec mon grand frère. Ce n'est si plus souvent? »

Il se lève et s'approche de moi puis me lisse les cheveux mouillés. « Tu es chou » Au fond de moi je pense : tu es chou, je m'en fiche d'être chou. Je voudrais que tu passes plus de temps avec moi. Je fais la moue, cette moue de bébé qui le fait craquer et je réponds : « Tu sais, ça me manque d'être avec toi, comme avant. Tu es tellement occupé toute l'année ! ». Il me regarde avec amour « Hé oui, entre les cours, le sport et les amis c'est vrai que je te délaisse un peu. Ne toeinquiète pas, je vais me rattraper pendant ces vacances d'été. Mais, n'oublie jamais, tu es toujours ma petite s'ur chérie ». Je sens mon c'ur se gonfler de joie. « c'est vrai ? ». Il souris à pleines dents : « Bien sûr ! Comment pourrais-je ne pas aimer une s'ur adorable comme toi ? ». Et il m'embrasse sur la joue, serrant ses bras autour de ma taille. Je me sens légère, apaisée. Je dépose un bisou dans son cou, heureuse, et le serre de plus belle. Je sens nos souffles mêlés, nos respirations en cadence. Je regarde les quelques gouttes qui finissent de s'évaporer sur ses épaules musclées. « Flo ? » « Oui ? », répond-il en se décollant de moi. « Est-ce qu'on pourrait louer un DVD ce soir, quand Mamie sera partie ? Tu me laisserais choisir ? » Et comme il hoche de la tête en signe d'assentiment, « Est-ce que tu pourras m'accompagner au lit, comme tu le faisais avant quand j'étais plus petite ? ». Un peu embarrassé, il dit « Tu veux que je te borde, comme un petit bébé ? » « Oh oui s'il te plaît ! ». Je ne sais pas si c'est mon sourire enjôleur ou ma voix enfantine qui l'a fait craquer mais il répond « d'accord pour cette fois ».

Nous nous séparons gaiement et il se met à ranger le goûter. Je l'aide descend du tabouret pour l'aider, nous nous heurtons et rions.

l'après-midi se déroule tranquillement, lui à sa guitare, assis sur le canapé du salon, et moi à mes livres, étendue à même le sol. j'ai revêtu une jupe par dessus mon bas de maillot de bain à présent sec. Tout comme ce dernier, elle est devenue un peu courte. Allongée sur le ventre, le nez dans mon bouquin, je la sens me recouvrir à peine, découvrant largement le haut de mes cuisses et même les rondeurs naissantes de mes fesses. Qu'importe ! La fraîcheur de la pièce me fait du bien et apaise mes coups de soleil.

Flo me demande d'écouter de temps en temps un morceau. Je pose alors mon livre et met mon menton entre mes mains, attentive. Je lui donne mon avis. Je pense qu'il me demande conseille pour me faire plaisir car je n'y connais pas grand chose en musique. Quand il joue, il est souvent concentré sur ses mains qui pincent les cordes de la guitare. Parfois, il relève les yeux et me souris, parcourant mon corps du regard. Je me sens alors comblée, une sorte de frisson de bien-être me parcourt.

Toujours ponctuelle, Mamie arrive vers 18 heures. Nous papotons tous les 3 de choses et d'autres. Puis Flo part à la douche et je reste seule avec elle, l'aidant à préparer le dîner. « Ce soir : repas de fête ! On va préparer un poulet au curry et un gâteau' » Nous nous affairons en cuisine, découpant les légumes et le poulet, battant les ?ufs en neige pour le dessert.

Lorsque j'entends les pas de Flo à l'étage, je m'éclipse à mon tour dans la salle de bain. Après la douche bienfaisante, je laisse de côté mon pyjama, laissé ce matin dans la salle de bain et décide de m'habiller correctement pour ce « repas de fête ».

Je me dirige alors vers ma chambre, une petite serviette entourée autour de mon corps. Je croise mon frère dans le couloir et pique aussitôt un fard : la serviette, minuscule, descend à peine au ras de mes fesses ! Je me précipite dans ma chambre tandis que Flo me siffle pour accentuer ma honte. Il sait que je n'aime pas les regards et les remarques insistants des garçons et me taquine.

Arrivée dans ma chambre, je laisse tomber la serviette à mes pieds et choisis de quoi me vêtir. n'ayant plus grand chose de propre dans mon armoire, je remets ma jupe et opte pour un débardeur blanc à fines bretelles. Ce n'est pas le genre de haut que je mets tous les jours mais je l'aime bien : c'est ma cousine qui me l'a donné l'année dernière car il était trop petit pour elle. j'évite de mettre mon soutien-gorge en dessous, tant pour mes coups de soleil que du fait de la transparence du haut.

Je me regarde dans la glace et me reconnaît à peine. La jupe bleue s'arrête à mi-cuisses et dévoilent de longues jambes fines et frêles. Le débardeur met en valeur ma poitrine naissante, sans trop. Je brosse mes longs cheveux châtains puis enfile mes sandales.

Arrivée en bas des escaliers, je vois Flo disposer les couverts sur la table en chantonnant. Mamie me dit que le repas est prêt. Nous dînons joyeusement et ne voyons pas le temps passer. Il est bientôt 21 heures et Mamie s'apprête à partir. Nous lui assurons pouvoir nous charger de débarrasser la table et faire la vaisselle. Elle s'en va donc guillerette et nous souhaite une bonne nuit.

Après avoir tout rangé, nous décidons de nous mettre en route pour la location du DVD. Le local se situe tout près de la maison, au bout de la rue. Nous marchons mon frère et moi côte à côte en discutant vivement. Arrivée au local, il me laisse faire. Je choisis un film sorti un an plus tôt au cinéma. Les parents ne m'avaient alors pas autorisée à aller le voir avec les copines. Je profite donc de leur absence pour le louer. Flo se place derrière moi pour suivre mes gestes, je sens son corps robuste contre mon dos.

Aussitôt rentrés à la maison, Flo met de lecteur en route tandis que je m'installe sur le canapé. Il vient me rejoindre. Le film commence et je me blottis contre lui, heureuse. l'intrigue débute lentement. Flo me fait remarquer que mes épaules sont bouillantes et me fait remarquer que la crème solaire n'était pas inutile cette après-midi. Il me propose de me passer un peu de lait pour apaiser mes coups de soleil. j'accepte et me cale tout contre lui. Il commence donc à me passer consciencieusement la lotion sur le haut du dos et je me détends comme un petit chat sous les caresses. Ses mains passent sous les brettelles de mon débardeur et descendent sur mes épaules et mes bras. Puis il me penche doucement vers l'avant et me masse le bas du dos, relevant légèrement le débardeur. Je propose alors de m'allonger sur le canapé pour qu'il puisse s'occuper de mes jambes. Sur le ventre, un coussin sous la tête, je regarde tranquillement le film tandis qu'il commence à me masser les chevilles puis les mollets et remontent doucement sur mes cuisses. Comme cet après-midi, je sens une chaleur réconfortante me gagner. Je me laisser aller à la douceur de ses gestes. Quel délice ! Ces mains massent le derrière de mes cuisses, puis les côtés et se dirigent ensuite vers le rebond de mes fesses que ma jupe recouvre à peine. Ses gestes sont à présent plus lents.

« Comme tu es belle », dit-il. Je me redresse et me retourne pour le regarder. Son regard est brillant, ses joues colorées. Mon frère est vraiment très beau et je rosis de plaisir sous le compliment. « Pas aussi belle que tes copines' ». « Et bien, c'est différent, on ne peut pas comparer? Tu es belle à ta manière et tu es si jeune ! En grandissant, tu ne va pas arrêter de t?embellir ». « Tu crois ? Moi je ne me trouve pas si jolie que ça. Qu'est-ce que tu trouves beau chez moi ? ». Il a l'air embarrassé mais ne fuit pas la question « Tu as de très jolies jambes d'abord, fines et musclées. Ta peau est si douce aussi, comme la peau d'un bébé, que c'est très agréable de la caresser. » Je le sens se troubler. « Et puis tu as un très beau visage avec des yeux magnifiques ». « Normal, j'ai les mêmes que toi ! ». Nous rions tous les deux.

Je poursuis : « Il y a quand-même quelque chose qui me tracasse. » « Ah oui et quoi ? » remarque-t-il. Je rougis et réponds « Et bien ce sont mes seins ! j'espère qu'ils ne vont pas rester si petits' ». Ma remarque le fait partir d'un éclat de rire. « Pourquoi te moques-tu me moi, c'est pas drôle ! » « Je ne me moque pas de toi Berti ! Mais tu as 15 ans, c'est normal. Ils vont grossir ». Il pose alors le regard sur les deux petites bosses qui tendent mon débardeur. Mes tétons sont pointus et on voit, à travers le tissu, leur couleur brune. Ne percevant pas le trouble de mon frère, j'enchaîne : « j'aimerais bien avoir des seins comme ceux de Maman, ils sont si beaux ! Ou plutôt comme ceux de ta copine Alex », dis-je en accentuant la fin de ma phrase pour faire comprendre mon antipathie pour cette fille. « Les hommes n'arrêtent pas de les regarder, toi le premier ! » Et devant sa mine étonnée je rajoute « Si tu crois que je ne l'ai pas vu. Quand vous êtes ensemble, tu n'arrêtes pas de descendre les yeux vers sa poitrine. » Pour couper court à ce sujet embarrassant, il répond « Ne toeinquiète pas Berti, je suis sûr que tes seins vont très vite grossir, plus vite que tu ne le penses et ils seront aussi beaux que ceux d'Alex ou de Maman ». « j'espère que tu as raison... », dis-je boudeuse.

Sur ces mots, nous nous reconcentrons sur le film délaissé. Je suis finalement contente de mon choix. l'histoire me plaît même si 2 ou 3 scènes sont un peu « olé olé » comme dirait Papa. Lorsque je les vois, je sens mes joues chauffer et mes cuisses frémir mais j'essaie de cacher cette réaction douteuse du mieux que je peux.

Lorsque le film s'achève, il est près de minuit. Flo me propose d'aller me coucher pendant qu'il ramène le DVD et promet de passer dans ma chambre me border « comme un gros bébé ». Je monte dans ma chambre et quitte mes vêtements pour un petit short et un vieux marcel étriqué. Il est élimé tant je l'ai porté mais reste si doux que c'est mon pyjama préféré. Je me glisse sous les draps quand j'entends la porte d'entrée claquer puis des pas dans l'escalier.

Flo pousse ma porte doucement : « Encore éveillée ? ». Je réponds dans un bâillement « Oui ». Il s'approche du lit et dépose un baiser sur mon front puis dans mon cou, ce qui me chatouille. Je gigote. Il s'assoit par terre, la tête au niveau de mon visage tourné vers lui.

« Berti, pour tout à l'heure, excuse moi. Je n'ai pas été très diplomate. c'est normal de se poser ce genre de questions à ton âge. Mais rassure-toi, tu auras bientôt les plus beaux seins du monde ! Qu'ils soient gros ou petits » et sur cette phrase il passe doucement sa main sur ma poitrine, par dessus le pyjama. Je souffle un timide « merci » et ouvre les draps pour lui proposer de s'allonger à côté de moi.

Il enlève ses chaussures et s'engouffre dans le lit. Je pose la tête sur son torse et ferme les yeux tandis qu'il me caresse les cheveux. Sa main descend le long de mon dos, frôle mes fesses. Une bouffée de chaleur m'envahit. Je soupire de bien-être et me laisse aller, tendant insensiblement les fesses à la recherche de sa main. Je fais mine de m'endormir tout en caressant son ventre, afin de cacher mon trouble grandissant. Sa main se dépose à nouveau sur mes fesses, cette fois-ci plus distinctement. Elle glisse imperceptiblement en dessous mon short pour caresser ma peau nue. Un frisson m'envahit et j'ai du mal à le cacher. Je sens une chaleur inconnue entre mes cuisses, j'ai envie d'y mettre la main mais n'ose pas, de peur de briser ce moment magique.

c'est Flo qui y coupe court subitement. Il se redresse et part se coucher, prétextant la fatigue. Il dépose un dernier baiser sur mon front et s'en va promptement. Déçue et perplexe de ce revirement, je tourne et retourne dans mon lit à la recherche du sommeil. Lorsqu'il arrive enfin, j'ai en tête les douces mains de mon frère sur mon corps.



Le lendemain se déroule comme les autres jours, pas un mot sur la soirée de la veille. Tant mieux, je suis un peu gênée. Nous vaquons à nos occupations respectives et nous retrouvons pour le repas.

Puis nous nous préparons pour un bain de soleil, comme hier.

Flo me propose immédiatement de me mettre de la crème. j'accepte, ravie de sa gentillesse. Je m'installe à plat ventre sur ma serviette pour ne pas exposer la même face aux rayons du soleil. Je le sens s'agenouiller sur mes cuisses. Il commence à appliquer la crème d'abord sur les épaules puis sur le dos en insistant sur les flancs et les limites du maillot. Je me laisse aller à la chaleur de ses mains et de ses cuisses. Il insiste ensuite sur les fesses, décalant l'échancrure du maillot pour y passer les mains. Ces caresses sont merveilleuses et je ressens comme hier soir une chaleur diffuse entre mes jambes. Je les écarte bien involontairement pour me mettre à l'aise. Mon frère soulève son bassin pour me laisser faire et, y voyant sans doute comme une demande, commence à appliquer le crème à l'intérieur de mes cuisses. Est-ce la fraîcheur de la lotion sur ma peau ou le délice de l'application ? Je suis transportée de plaisir.

Je me cambre doucement, creusant mon dos et faisant ressortir mes fesses. Il y passe les mains sur le dessus puis rapidement au niveau de l'entrejambe avant de descendre à nouveau sur les cuisses. Je sens une légère humidité dans mon maillot. Est-ce la transpiration ou autre chose ? Mon corps fourmille de plaisir. Flo achève son application et pose des baisers sur mes mollets, mes cuisses, mon dos et ma nuque. Je me retourne et lui souris.

« A moi maintenant ! ». Il m'aide à me relever et je chavire contre lui. Le bref moment de ce contact, je sens quelque chose de dur et de chaud contre mon ventre. Il ne me laisse pas le temps d'assouvir ma curiosité et s'allonge sur le ventre. Je saisis le tube de crème et me place tout contre lui, à califourchon sur ses cuisses. j'ai une vue imprenable sur son large dos, ses bras musclés repliés sous sa tête, ses fesses rebondies sous le short de bain. Je commence mon massage et m'applique à lui donner autant de plaisir qu'il l'a fait.

Pour atteindre ses épaules, je suis obligée de remonter sur ses fesses et me pencher vers l'avant. Mes cheveux dénoués et mes seins effleurent son corps. Je sens l'humidité entre mes jambes s'accentuer et j'espère qu'il ne va pas le sentir à travers le maillot.

Après 10 minutes de massages, je lâche un « Voilà ! » de satisfaction. Je m'allonge à ses côtés, sur la même serviette et tourne mon visage vers le sien. Ses grands yeux verts me contemplent et je me sens bien. j'entame une petite sieste tout contre lui.

Ce soir-là, après le départ de Mamie, nous regardons distraitement une émission à la télévision quand il reçoit un appel sur son téléphone. Il déplace dans la cuisine mais je comprends bien vite qu'il s'agit d'Alex, sa copine. Lorsqu'il revient, je lui demande s'ils vont se voir dans la semaine. « Peut-être » me répond-il évasivement. « Ca te dérangerait ? ». « Non, tu fais ce que tu veux. Ca ne me dérange pas que tu me laisse seule un après-midi, je n'ai pas besoin de toi pour me garder et je ne le dirais pas aux parents. A condition que tu me racontes ce que vous aurez fait ». « Berti, écoute je ne peux pas te raconter tout ce que je fais dans ma vie. Et puis ce n'est pas très original tu sais. On ira sans doute au ciné ou faire les boutiques. » dit-il l'air de rien.

« La dernière fois qu'elle est venue à la maison, vous avez fait autre chose ». Il me regarde étonné. « Je suis revenue plus tôt que prévu de la danse ce jour-là et vous ne m'avez même pas entendu rentrer. Elle faisait tellement de bruit? » Flo, soudain curieux et anxieux : « Qu'est-ce que tu as vu ? ». « Et bien, j'entendais crier Alex, hurler très fort. c'était comme si on lui faisait du mal et du bien en même temps. Alors, je suis montée à l'étage et je vous ai vus dans le couloir. Vous étiez à moitié nus. Elle était penchée en avant contre le mur, la jupe relevée et toi derrière elle. » Flo rétorque sans trop de conviction : « Arrête Berti, tu veux? ». Et moi, je ne peux pas m'arrêter sur ma lancée, le c'ur serré à ce souvenir. Ma voix se met à chevroter : « Et toi, tu lui rentrais dedans. Et ses gros seins qui pendaient, tu les serrais très fort dans tes mains. Et elle hurlait : Oui, encore ! Et toi tu lui a crié qu'elle était une salope ! ». Je hoquette et me mets à sangloter : « Pourquoi tu lui disais des méchancetés comme ça? ? »

Flo me prend alors dans ses bras et me berce de sa voix douce. « Ne toeinquiète pas Bert, je vais t?expliquer. Il ne s'est rien passé de mal. Rassure-toi ». Tandis que mes pleurs cessent, il commence à raconter : « Tu sais Berti, quand on sort avec une fille, on ne fait pas forcément que s'embrasser sur la bouche. On se fait aussi des caresses, on se dit des mots doux. En général, quand on aime très fort quelqu'un ça se passe tout en douceur. Avec Alex, c'est comment dire? bizarre. Elle est assez agressive et provocante? Ce n'est pas une fille douce. » Il s'empêtre lentement dans un gentil mensonge : « Elle n'a pas eu un grand frère pour s'occuper d'elle, pour la protéger et l'empêcher de faire des bêtises' Si bien qu'elle est devenue brutale. Quand on fait? euh... l'amour? elle veut que ce soit violent. Elle aime hurler et qu'on lui dise des... méchancetés. Je te le répète : elle est très' bizarre. »

« Mais alors pourquoi tu restes avec une fille comme elle ? ». Flo ne sait plus quoi répondre. Il bredouille : « Et bien je ne l'aime pas, tu sais, mais je crois que.. enfin' Au début, je la trouvais jolie physiquement et elle voulait qu'on fasse l'amour.. alors j'ai dit oui. Et puis, petit à petit elle est devenue? comme ça. Tu vois c'est pas de l'amour ça. c'est? un peu comme la chienne du voisin quand elle est en chaleur, tu vois ? » Je répond « Oui, et alors ? ». « Et bien, quand elle est en chaleur, elle fait tout se faire prendre tu sais bien' Elle gémit, elle hurle? Alex elle est un peu comme ça si on peut dire ».

Bien que mon frère s'enlisait dans son explication, je lui étais reconnaissante de ne pas avoir éviter le sujet. Il ne me prenais plus vraiment pour un bébé et acceptait de me parler de choses sérieuses. j'avais bien l'impression qu'il n'avait pas dit l'exacte vérité mais peu importait. Cela me suffisait.

Il le vit et me fit un gros câlin me chuchotant au creux de l'oreille : « Je prendrais toujours soin de toi Berti. Je te montrerais la douceur et l'amour. c'est rôle d'un grand frère. » Ces mots me remplissaient de plaisir.



Les vacances à deux passèrent très vite et nous n'avions pas abordé de nouveau cette conversation. Je ne sais pas s'il revit Alex, en tout cas, il prit soin de ne rien me dire. Le temps se gâta rapidement et les bains de soleil n'étaient plus possibles. Finis les massages à la crème solaire. j'en étais déçue.

Parfois, le soir, dans mon lit, je me remémorais ces moments si plaisants et il arrivait que je ressente une légère humidité entre mes jambes. Moins forte que les fois précédentes mais tout de même. Dans ces conditions, je pus assouvir ma curiosité. Je passai la main dans mon short à la recherche de cette zone mouillée et compris peu à peu que le jus venait de mon sexe. La zone était chaude et j'aimais la caresser. Je m'enduisais les doigts de jus puis les portais à mon nez, à ma bouche. j'aimais ce goût. Je pris l'habitude de me caresser ainsi doucement, cela me donnait chaud partout. c'est lorsque je pensais à mon frère, à ses mains sur mon dos, mes cuisses, à ses gestes timides qu'il a eu sur les seins ou mes fesses que je mouillais le plus.

Une fois, la sensation de plaisir était tellement forte que j'enfonçais un doigt dans mon sexe, timidement d'abord puis entièrement. Une vague de plaisir m'envahit, je sentais mes muscles se contracter autour de mon doigt inquisiteur, comme pour l'empêcher de sortir. Ce délice me fit pousser des petits cris. Je me mis à le faire souvent, quasiment tous les soirs.

Enthousiasmé par ses sensations, mon corps en redemandait. j'étais curieuse de tester de nouvelles sensations. Ce que je fis par exemple, un matin, sous la douche. Stimulée par la chaleur, je dirigeai le pommeau à mon entrejambe. Le jet d'eau chaude puissant me fit découvrir d'autres plaisirs. Je sentais mon corps palpiter. Je me caressais comme je le faisais sous les draps. La moiteur du lieu ajoutait à mon trouble et j'en ressortais pantelante.



l'été passait et mon corps changeait. Je pris encore quelques cm. Devant mon miroir, j'avais l'impression que mes seins avaient grossi. Naïve, j'associais ces changements à mes attouchements de plus en plus fréquents. Ce qui m'encourageait à les poursuivre.

Bien que mon frère gardait des distances respectueuses envers moi, je sentais parfois son regard accru sur ma poitrine. j'en éprouvais des bouffées de chaleur.

Des cousins virent passer une semaine de vacances à la maison. Les après-midi de jeux autour de la piscine reprirent. Un jour particulièrement chaud, essoufflée par une partie de ballon dans l'eau, je m'allongeais sur ma serviette, un livre dans les mains. La douce caresse du soleil sur mon dos, mes fesses, était un délice. Cambrant le dos, le frottement de la serviette sur mon sexe rajouta à mon trouble. Je fermais les yeux de plaisir tandis que je sentais mon entrejambe s'humidifier à nouveau.

Flo, assis sur un transat se reposait également. Je tournai la tête vers lui et surpris un regard appuyé. Se rendait-il compte de mon émoi ? Je l'espérais secrètement et le redoutais à la fois. Toute à mes pensées, je me détendais. Je me retournais sur le dos et fis une petite sieste. Lorsque je me réveillais 1 heure plus tard, je sentis ma peau rougie me picoter. j'avais attrapé un sacré coup de soleil ! Je me relevais et fis un plongeon dans la piscine pour me rafraîchir.

Le soir venu, le dîner était animé. Les plus grands (Mamie, Flo et mon cousin Arthur) avaient bu du vin. Mamie avait autorisé mon petit cousin (10 ans) et moi à en boire un petit verre au dessert. Que d'excès ! Jamais nous n'aurions pu avec nos parents. Mais tant mieux, c'était les vacances et Mamie n'arrêtait pas de dire : « Motus et bouche cousue » avec de gros clins d'oeil. Sentant la fatigue me peser, je décidais de ne pas veiller trop tard. Le soleil de cette journée m'avait assommé.

Arrivée dans ma chambre, je me déshabillais et passai un simple T-shirt au dessus de ma culotte pour éviter trop de frottements de tissu sur mon corps brûlé. Dans la pénombre de ma chambre, allongée sur mon lit, je commençais à me caresser comme à l'accoutumée. Je repensais au regard de Flo sur mon corps et me demandais à quoi il avait pensé à ce moment-là. Ma main progressait sur mon bas-ventre. Les frissons m'envahirent.

j'entendis alors un grincement. Ma porte s'entrouvrait ! Je cessais mes explorations et me relevais sur les coudes. Je vis Flo apparaître dans l'encadrement de la porte. « Je te dérange ? » demanda-t-il. « Non, non pas du tout, entre ». j'essayais de cacher ma surprise. Et s'il avait vu quelque chose ? Il s'approcha de mon lit et s'assit sur le bord. Nous nous miment à parler de la journée passé, ses fous rire avec les cousins et du reste de leur séjour chez nous. Il me demanda des nouvelles de mes coups de soleil. « Ca va » dis-je gênée. « Ca me brûle un peu mais je crois que ce n'est pas trop grave.

« Laisse moi te passer de la crème apaisante » me dit-il doucement. d'autorité, il s'empara du flacon laissé dans un coin de ma chambre. « Assieds-toi dos à moi ». Je m'exécutais. Il souleva alors doucement mon T-shirt et commença à m'enduire les épaules de crème. Cela me faisait un bien fou ! Je me relaxais sous ses caresses, heureuse. « Allonge-toi sur le dos » dit-il en relâchant mon T-shirt et en tirant les draps au pied du lit. Je m'étendis, impatiente, les jambes tenues. Il commença à les enduire de crème avec de lents mouvements. Il remontait petit à petit vers le haut des cuisses. Je sentais la chaleur envahir à nouveau mon sexe et la confusion me prendre. Il repoussa mon T-shirt vers ma poitrine et me massa le ventre. Il insista sur la délimitation de ma petite culotte, là où la rougeur était prononcée. « Tu ne t?es pas loupée. Ca va te brûler quelques temps si tu ne t?hydrates pas régulièrement. Enlève-le complètement » dit-il en désignant mon haut. « Mais Flo? » protestai-je timidement. Il ne m'écouta pas et entreprit de retirer lui-même mon T-shirt. Je sentais son corps tout près du mien et sa chaude respiration. Je le laissais faire, interdite. Il se mit à rire « Un vrai petit cochon grillé ! ». Cela me détendit. Mais je sentais son regard sur ma poitrine. « Tes seins ont poussé on dirait ». « Euh? Oui j'ai l'impression qu'ils sont plus gros ». « Tu vois, je te l'avais dit. Cela ne sert à rien de s'impatienter. Ils sont très beaux? tu es très belle? » murmura-t-il avec une voix plus grave que d'habitude.

Pour clore cette discussion embarrassante, je m'allongeais à nouveau sur le dos. Il comprit le message et déposer une noix de crème dans le creux de sa main puis commença à masser mon cou, mon buste, en descendant vers le creux de mes seins. Il s'occupait de la délimitation très visible de mon maillot, deux triangles blancs au milieu de la peau rougie. Il délaissa le creux de mes seins pour le haut de chacun d'entre eux, puis le côté extérieur. Ses doigts palpaient ma poitrine avec insistance, ravivant la chaleur au niveau de mon sexe. Je soupirais. « Ca te fait du bien ? » demanda-t-il. « Oui je? je crois ». Je baissais les yeux et vis mes deux tétons redressés. j'avais la chair de poule. La chaleur de ses mains contrastait avec la fraîcheur de la pièce et me faisait frissonner.

« Ta poitrine devient vraiment belle. Tu avais raison, je prends de plus en plus de plaisir à la regarder. Et ses petits tétons sont tellement jolis. On a envie de les toucher? Je peux ? » Sans attendre ma réponse, ses doigts s'emparèrent de mon mamelon gauche, le pinçant légèrement. « Tu aimes ça, hein ? ». Ce n'était pas vraiment une question. Je répondis en soupirant à nouveau. « l'autre est jaloux on dirait » dit-il en approchant du sein droit. « Il est tellement beau que ça me donne envie de redevenir un bébé ». Il approcha alors son visage de ma poitrine et prit alors mon téton dans ses lèvres. Il passa un coup de langue dessus, m'arrachant un petit cri. Puis ses dents l'enserrèrent, sa bouche l'aspira doucement. Cela durant une longue minute. Je mouillais de plus en plus et me cambrai légèrement. « c'est si bon ! » dit-il

Il se releva et me caressa lentement entre les deux seins, descendit tout droit sur mon ventre et acheva sa caresse au milieu de ma culotte. Sa main dégageait énormément de chaleur ! « Mais tu es mouillée ! » dit-il. « Euh, où ça ? » répondis-je confuse. « Ici » dit-il en posant ses doigts sur mon sexe enflammé. « Qu'est-ce qui t?arrives ? ». « Je? je ne sais pas », bredouillai-je, « Ca m'arrive de temps en temps en ce moment ». « Ah oui ? et quand ? » « Et bien, c'est souvent le soir, quand je suis dans mon lit? ».

« Je vois que tu grandis vraiment très vite. Tu sais Berti, ton corps a besoin qu'on s'occupe de lui. Il a envie qu'on le touche, qu'on le caresse. » « Je? je le fais parfois. Euh? je touche entre les jambes, ça me fait du bien. Et je crois que ça me fait pousser les seins aussi ». Flo sourit : « Oui tu as raison, ça les aide ». Il touche à nouveau ma culotte trempée, la frottant légèrement. « Détends-toi Berti. Mets-toi à l'aise. Ca te fait du bien ».

Je repose la tête sur l'oreiller, obéissante. Il accentue sa caresse. Je soupire de plaisir. c'est encore meilleur que lorsque je le fais moi-même. Ses doigts glissent sur le côté et passent rapidement sous l'étoffe de ma culotte. Je tressaute. Ils rencontrent mes poils humides et descendent à la rencontre de mon sexe. c'est divin ! « Comme tu es mouillée Berti, c'est tout chaud et tout doux ». Je sens ses doigts écarter ma peau et rentrer au contact direct de mon sexe. Ma respiration s'accélérait. Je gémis.

« Ca va Bert ? Tu veux que j'arrête ? Ca te fait mal ? » Je répond tout bas : « Non, non, tu ne me fais pas mal. Je crois que? j'aime beaucoup ». Alors, mon frère écarte ma culotte et recommence ses caresses sur le dessus de mon sexe. Ses doigts descendent, puis remontent, écartent ma peau et s'immiscent plus à l'intérieur. Je lâche, troublée : « c'est si bon quand tu me touche Flo ! ».

« Ta petite chatte est si belle Berti? Elle sent bon. Elle est gourmande, on dirait qu'elle veut téter mon doigt, comme si elle avait faim ». Sur ces paroles, il introduit doucement un doigt dans mon petit trou humide et avide que j'avais découvert quelques jours plus tôt. Il y reste un court instant puis s'enfonce. Je soupire d'aise. Son doigt ressort légèrement et s'enfonce encore, accompagné d'un deuxième. c'est encore meilleur ! Je ressers mon corps autour de ces doigts bienfaisants et ondule légèrement le bassin. Ces sensations nouvelles m'envahissent. « Oh oui Flo, encore, encore. » murmurai-je. Mon frère amplifie son mouvement. Il insère un troisième doigt. Je pousse un gémissement rauque de plaisir. Il enfonce ses doigts de plus en plus. « Cette petite chatte a vraiment très faim. Elle a besoin que je m'occupe d'elle ».

Mon bassin se soulève, remue. Mon corps ne m'obéis plus. Je sens le sang battre dans mon sexe, mes parois se resserrer autour des doigts et les aspirer. « Flo, Flo? je? ohhhh c'est si bon' » Ma tête bascule en arrière, je me cambre, ferme les yeux, resserre encore mes cuisses. Je vois des milliers d'étoiles. Flo laisse ses doigts emprisonnés dans mon corps jusqu'à l'apaisement de mes mouvements.

Lorsque j'ouvre mes yeux, il me sourit tendrement. « Ma petite s'ur?» souffle dit-il entre ses lèvres. Il y porte ses doigts, les lèche doucement. Mon c'ur se gonfle, je ne sais pas pourquoi. Comme je l'aime mon frère ! Comme il prend soin de moi ! Il se penche vers moi et m'embrasse aux commissures de mes lèvres. Les siennes, chaudes et humides, impriment un long baiser sur ma peau. Je sens mon odeur sur elles. l'odeur de ma petite chatte comme il dit. Ma petite chatte avec ses poils noirs lisses et légèrement bouclés. j'aimerais tant qu'il en fasse son petit animal' Qu'il le caresse et le dorlote souvent ainsi.