Mon mécano et moi, la suite !

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Proposée le 25/03/2010 par MeliMelo

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Cette histoire est la suite immédiate de "mon Mecano et moi", je vous invite donc à lire le premier opus avant de vous plonger dans celui-ci, sauf si vous voulez sauter dans le vif de l'action directement ;-)
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Je m'agenouillais devant lui, et saisis entre mes mains encore liées son sexe tendu, le caressant avec amour, la peau douce, souple, tendue à l'extrême. Il posa une main sur mes cheveux, arracha l'élastique qui les retenait et le jeta dans la voiture, puis imprima un léger mouvement de sa main à ma tête, exprimant sans équivoque qu'il en avait autant envie que moi. Je fis glisser mes mains sur la peau tendue, décalottant le gland. Il ne put retenir un gémissement, et j'en profitais pour le saisir délicatement entre mes lèvres. Je promenais avec délice ma langue sur la corolle du gland, tour à tour léchant amoureusement, puis suçant. Je léchais alors la longueur de la hampe, tenant fermement dans mes mains la base de son sexe érigé. Tout en savourant avec délectation son membre à l'odeur enivrante, je le regardais de sous mes cils. Il avait la tête rejetée en arrière, les yeux clos, la bouche entre-ouverte, il prenait un plaisir manifeste. Cela eut pour effet immédiat de me faire mouiller davantage, j'avais envie de lui à en être malade, j'avais envie de son sexe, j'avais envie qu'il me fasse l'amour, là tout de suite, comme je n'en avais jamais eu envie. Je cessais mes agaceries, embrassait son ventre parfait, plat, musclé, et remontait jusqu'à ses pectoraux au dessin parfait.

Il fondit sur ma bouche, la prenant avec ses lèvres comme s'il avait voulu en tirer toute la saveur. Il posa ses deux mains sur mon visage, m'embrassa sauvagement, puis, saisissant mes poignets toujours liés, il les passa autour de son cou, puis me souleva et me plaqua le long de la voiture. Le métal froid m'arracha un cri, mais je jetais mes jambes autour de ses hanches, et resserrais ma prise, son sexe tendu pris entre nos peaux, je bougeais lentement, il haletait, je devais avouer que sa résistance m'étonnait, je l'allumais sans vergogne, mes frottant contre lui, espérant qu'il me donnerait enfin ce que j'attendais, mais il profitait du moment, promenant ses mains sur mon corps, mon dos, mon cou, mes épaules, mes flancs, mes fesses'. Je sentis ses doigts glisser entre mes fesses, je gémis. Son visage enfoui dans mon cou, je le sentis sourire. l'animal, il en profitait et me faisait languir volontairement !
Assurant sa prise autour de mon corps, il entreprit se déplacer et de nous emmener sur la mezzanine dans le coin aménagé en salon/cuisine. La montée des marches fut quelque peu laborieuse, mais nous parvînmes en haut, essoufflés et encore plus avides. Il me déposa sur la table, meuble le plus proche, desserra la ceinture qui m'enserrait les poignets me libéra, et commença a m'embrasser, reprenant son exploration de mon corps. Avec douceur maintenant, il léchait chaques parties de mon corps, lentement et méthodiquement, m'affolant un petit plus a chaque seconde qui passait. Il descendait lentement mais surement, et ses lèvres finalement atteignirent mon sexe parfaitement épilé, il en apprécia la courbe pleine et la peau souple et douce du plat de sa main, avant de plonger son visage dans mon entrejambe. j'eus un sursaut, puis un cri m'échappa alors qu'il caressait du bout de la langue mon clitoris, faisant glisser un doigt, puis deux dans mon intimité dégoulinante?. Je criais sans retenue maintenant, c'était divin, je sentais le deuxième orgasme arriver, et lorsque je sentis ses doigts glisser lentement vers la raie de mes fesses, je ne pus le retenir plus longtemps, et je jouis à nouveau, la vague me submergea, une décharge électrique me parcourut alors qu'il continuait ses caresses impitoyables. Je n'en avais jamais connu de si long, et je m'aperçus, honteuse, que j'avais projeté sur lui un long jet de mouille?. Loin d'être choqué ou dégoutté, il sembla trouver cela encore plus excitant, puisque cette fois, il se redressa et rapprochant son corps du mien, il posa enfin son sexe à l'entrée de ma chatte, puis, avec douceur, il poussa, centimètre par centimètre, attentif à mes réactions. j'étais si excitée que la taille de son engin ne représentait pas un problème, bien au contraire, je l'appréciais, je me sentais toute remplie et j'aimais ça. Soudain, il perdit enfin son self-control si longtemps maitrisé et dans un râle viril, entreprit enfin de me faire l'amour avec force. Je me perdis dans le rythme qu'il m'imposait, le laissant diriger les opérations, c'était un tel délice, il utilisait son corps comme un outil qu'il connaissait parfaitement, et il était attentif à chacune de mes expression et à chacune de mes supplications.

En appui sur ses mains, le corps à demi-soulevé, une expression d'intense concentration sur le visage, il mettait autant de sérieux et d'ardeur à faire l'amour qu'à piloter son bolide sur le ring, et il me rendait folle. j'aimais la sensation de plénitude, de complétion, cette impression d'être en total accord et complètement faits l'un pour l'autre. j'avais appris à aimer chaque parcelle de sa personnalité, et j'apprenais à aimer son corps enfin découvert pour moi et sa façon de le bouger. A chaque coup de rein, une expression d'intense plaisir se peignait sur son visage, et aussi inexorable que les précédents, le vue de son plaisir, le déluge de sensation provoqué par son sexe dans le mien, par le contact brulant de sa peau, de son ventre sur le mien, le frottement de son épiderme sur mon clitoris excité, je sentis arriver le troisième orgasme. Il était le premier à parvenir à me procurer un tel plaisir, aussi intense et aussi long. Je gémissais de concert avec lui, le suppliant de continuer, de me faire faire l'amour, plus fort, encore ! Je me cambrais dans une contre lui, repoussant mon corps vers lui, avide de son contact, je voulais qu'il prenne mes seins dans ses mains, les pointes dures et tendues dans sa bouche, qu'il m'excite encore, j'aurais presque pu le supplier de me faire mal, tant la frontière entre plaisir et douleur était ténue. j'avais des vertiges, la nausée, mais j'en voulais plus, encore !

Je le repoussais, surpris, il recula ; puis je me redressais et le poussant à nouveau, il trébucha et chuta dans le canapé. Un sourire aguicheur aux lèvres, je me jetais littéralement sur lui, et me mit a dévorer sa peau : je le léchais, l'embrassais, le mordait presque, sa peau avait la saveur salée de la transpiration, son odeur, forte et suave me fit presque tourner la tête, mais j'avais trop envie de lui pour me laisser détourner de mon objectif : rendre cette première fois entre nous si inoubliable qu'il ne puisse plus se passer de moi. j'embrassais sa hanche, courbée en deux, les fesses en l'air, dans une attitude totalement indécente, puis saisis dans ma main sa verge turgescente, et la branlait doucement, puis de plus en plus vite. Je vis dans ses yeux devenus fous combien le désir le rendait malade, et j'eus envie de lui appartenir corps et âme. Quel plus beau don, d'une femme à un homme, que son cul ? Il n'avait pas encore calculé mes intentions. Bien qu'un peu craintive car je n'avais jamais pratiqué la sodomie avec un partenaire monté de la sorte, j'en avais tellement envie, que cela ne me sembla pas un obstacle. Je me caressais, indécente, glissant un doigt, puis deux dans mon anus, d'une main, tandis que je continuais à l'exciter encore de l'autre. Je ne me lassais pas de la vue de sa verge couleur chocolat, totalement imberbe, longue et régulière, j'aimais son odeur, son gout, bref, j'étais totalement accroc à cet homme.

Je le lâchais, me redressais, puis l'enfourchais, m'installant sur ses cuisses dures. Je posais mes mains sur sa poitrine, plongeais sur sa bouche. Il grogna. Le gardant prisonnier de mes lèvres, je me redressais, puis glissais ma main entre mes cuisses à la recherche de son vit, et je le saisis, le guidant doucement dans mon intimité. Il compris immédiatement, à l'angle de son sexe, que je m'apprêtais à lui offrir autre chose que ma chatte. Il répondit instantanément à mes baisers, glissa une main entre nos poitrines sur mon seins, pinça le téton érigé. Avide, il bougeait lentement son bassin, tentant de faciliter la pénétration. Je m'aperçus que mes craintes n'étaient pas justifiées : si la pénétration était lente, il était bien plus jouissive que douloureuse. Je lâchais son sexe, et m'empalais lentement sur son membre. Il commença à bouger lentement, je me laissais aller en arrière, lui offrant mes seins durcis, ma chatte béante, mon clitoris gonflé. Je voulais qu'il m'encule et me caresse, je voulais un quatrième orgasme, et je voulais le sentir jouir. Comprit-il mes envies ? Il continua sa caresse sur le sein qu'il tenait, puis glissa ses doigts dans ma chatte, frottant le plat de sa main sur mon clitoris. Il ne me fallut que quelques instants pour arriver à la jouissance, et cette fois, dans un râle libérateur, il jouit en même temps que moi, je sentis sa queue se gonfler puis le jet chaud de sperme se répandre dans mon corps, et le plaisir que nous prenions enfin ensemble dans un don de soi complet, nous emporta tel une déferlante sur une plage des Iles sandwich.

Nous restâmes longtemps dans les bras l'un de l'autre, repus, épuisés, comblés. Nous aurions tant de temps pour parler, faire des projets. Dans l'éblouissement, nous avions complètement oublié Benjamin, et nous n'avions pas davantage entendu sa M3 arriver puis repartir, pas plus que nous ne l'avions vu nous observer longuement dans l'ombre du pilier de l'escalier, une expression de résignation, d'envie, et de colère mêlés sur son visage.

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peut-être une fin... bientôt ;-)
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