Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Proposée le 21/03/2010 par bayand
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Laure, installée à la maison avait cherché du travail, mais sans trop forcer. C'était la fin de l'année et les fêtes approchant, tout le monde avait d'autres centres d'intérêt. Pour ma part je la présentais à tout mon entourage et à chaque fois ça faisait l'objet d'un resto ou d'un repas à la maison ou chez les copains.
Laure m'a mis plus d'une fois dans l'embarras avec ses caresses sous la table, décidément elle adorait ça. Tout le monde l'avait prise en sympathie, car elle savait se faire aimer. Son sourire et sa façon d'être mettaient les hommes à ses pieds. Pour les femmes c'était un peu plus compliqué, mais quand elle leur annonçait que j'étais l'amour de sa vie, elles étaient rassurées.
Elle était devenue très complice avec Hélène et ça me chagrinait un peu de les voir souvent ensemble. Ça me faisait remonter des souvenirs de mon ex, Lyse, qui avait fini dans le lit d'une autre femme.
Mais pour Laure la vie n'était qu'un jeu. Elle savourait tous les moments sans que ça prête à conséquence.
Je lui avais assez rapidement demandé de laisser repousser ses cheveux, qu'elle portait très courts depuis que je la connaissais. Elle m'avait avoué les avoir porté longs jusqu'à son viol, et les avoir coupés immédiatement après, peut être pour faire disparaître un peu de sa belle féminité. Ça m'avait beaucoup manqué dans nos moments d'amour, de ne pas avoir ses cheveux de femme glissant de ses épaules pour venir me caresser le visage. Laure avait accepté, et j'ai passé plus tard des heures le nez dans sa chevelure rousse, soyeuse et parfumée.
La maison que j'avais rachetée était située dans un lotissement et j'y avais fait pas mal de travaux, il en restait encore à faire. Dans une des pièces, une cloison en placo était à moitié finie et un jour, Laure un mètre à la main entreprît de me mesurer. Le lendemain, en rentrant à la maison je fus surpris par la lumière tamisée et une musique historiquement sensuelle, celle de 9 semaines et ½.
Laure était en train de me la jouer façon Kim Basinger. Cette folle avait fait des trous partout dans ma cloison.
Certains tous petits et quelques autres un peu plus grands.
« Approche mon amant, viens que je te fasse bander. Tu mates par les petits trous, mais il t'es interdit de regarder par le plus gros qui est bouché par la feuille »
Je ne pus m'empêcher de me frotter le sexe à travers mon pantalon, devinant que ça allait être férocement érotique. Je m'installais derrière la cloison. Par les trous je voyais des bouts de Laure, qui s'effeuillait en musique de l'autre côté. J'étais obligé de tordre la tête, les yeux, de changer de trou pour ne rien perdre du spectacle, et j'évitais malgré l'envie, de regarder par le gros. Laure avait dû prendre des cours de strip dance en cachette, car j'avais du mal à croire que c'était elle qui se déhanchait de cette façon, mais ce qui était sûr, c'est qu'elle m'avait mis une trique d'enfer.
J'évitais quand même de m'affoler dessus sinon je n'en avais pas pour longtemps. Le strip de Laure arrivait au moment où elle allait se séparer du minuscule triangle qui recouvrait son sexe. Le sang battait mes tempes, et quand elle fit glisser doucement son string, j'ai cru que j'allais jouir.
« J'espère que tu bandes bien maintenant, je ne voudrais pas avoir fait tout ça pour rien » dit-elle.
« Tu peux décoller la 1ere feuille maintenant. »
J'en suis tombé sur le cul en la décollant? la feuille !!
Laure s'était prise, nue, en photo. Elle s'était prise de dos, à genoux, les cuisses ouvertes. Elle avait même poussé l'excellence jusqu'à faire une fente à l'endroit de son sexe, et cette fente était située au centre du gros trou. Voilà pourquoi elle m'avait mesuré !!!
Incroyable Laure qui agitait son string dans l'encadrement de la porte, pour me pousser à bout.
J'ai déjà eu la pénétration rapide mais là, j'ai cru que j'allais défoncer la cloison. Derrière, il y avait la chatte de Laure, accueillante, chaude et vivante. J'étais accroché aux rails métalliques de la cloison et me laissais faire. La pénétration était bien moindre à cause de la séparation mais la caresse était incroyablement douce. Laure déployait tout son savoir pour me faire monter, serrait mon gland grâce à ses muscles intimes.
J'étais littéralement incrusté dans la plaque pour laisser à Laure le plus possible de moi. Elle se servait de tout, de son sexe, de sa main, de sa bouche. Au bout d'un moment honnêtement je n'ai plus su où j'étais, ni qui j'étais, ni avec qui j'étais.
Je n'avais devant moi que le gris de la plaque. Laure avait tout calculé. A la hauteur de mes yeux il y avait un trou qui me servait à voir ce qui se passait derrière. Mais pour regarder, j'étais obligé de me retirer, et si je poussais mon sexe au maximum dans le trou, je ne voyais plus rien !!
Pendant un moment je me suis dit qu'elles étaient peut-être deux ou plusieurs dans la pièce. Je laissais mon inconscient vagabonder. Les moments d'extases avec « toutes mes femmes » ont ressurgi. Toutes les meilleures caresses de chacune envahissaient mon esprit. J'étais en apnée complète. Loin très loin, j'entendis la voix de ma chérie.
« Je veux que tu éjacules le plus fort et le plus loin possible, imagine que tu n'as pas baisé depuis un an, que tes couilles sont au bord de l'explosion et que c'est Kim Basinger qui te caresse, tu aimes ??, dis moi que tu aimes !! »
« Putain, oh putain j'adore, et j'ai vraiment les couilles qui vont exploser, vas y chérie, branle moi plus fort, arrache moi la bite »
Des râles de plus en plus proches et rauques sortent de ma gorge. Ce sont les derniers sons que j'ai pu prononcer avant d'avoir une éjaculation dont je ne saurai jamais où elle a pu atterrir, mais je crois que c'est allé très loin ce jour là.
« Ne bouge pas, je viendrai te voir quand j'aurai fini, écoute moi jouir sans bouger, tu as pris ton pied, à moi maintenant »
J'entends sa voix qui me parvient étouffée, ma tête est prête à exploser tellement ça a été intense.
Reprenant petit à petit mes esprits, je comprends que Laure, de l'autre côté a mis en marche un objet dont je pense connaître le bruit. Je crois qu'elle est en train de prendre son pied avec un gode. Merveilleuse, elle est merveilleuse. Jamais je n'aurais osé le lui proposer. Je lui en avais parlé, sans plus.
Je suis déchiré par l'envie de pénétrer dans la pièce pour assister à ce spectacle, mais je respecte sa demande. Assis dans le couloir, la queue pendante entre mes jambes, je me concentre au maximum sur les gémissements de Laure et sur le bruit de sa bite en caoutchouc, essayant de savoir où elle la met, si elle est profondément enfoncée en elle, si elle est dans son sexe, son petit trou ou sa bouche.
Avec un peu d'angoisse, j'essaie d'imaginer qu'elle s'en sert comme s'il s'agissait de mon sexe et pas celui d'un autre. Laure gémit de plus en plus, dit des choses que j'essaie désespérément de comprendre.
A ce moment précis je suis un peu jaloux de ce bout de plastique qui fait prendre son pied à ma chérie, oubliant déjà qu'elle vient de m'en faire prendre un, magistral.
Ces sentiments mitigés n'ont malgré tout qu'une influence limitée sur mon sexe, qui vit sa vie. Je sens l'érection revenir.
Nous les hommes, avons bien deux cerveaux... Je me bouche les oreilles en l'entendant crier plus fort, mais ne puis m'empêcher d'écarter mes mains pour ne pas en perdre une miette.
« Viens Yann, viens maintenant. »
Je rentre dans la pièce, Laure est à genoux sur une couverture, le gode enfoncé dans la chatte presque jusqu'à la garde.
« Viens chéri, sodomise moi, je vous veux tous les deux, mais il me faut toi pour jouir. »
Je m'agenouille derrière elle, plonge mes doigts dans le pot de lubrifiant et me tartine le sexe. J'en recouvre mon pouce que j'introduis dans son anus, mais elle a déjà fait le travail. Je prends ma chérie par les hanches et m'aperçois qu'elle est ruisselante de sueur.
Jamais encore.... je ravale ma salive. Ce bout de caoutchouc lui a donné de telles sensations ??. J'écarte autant que possible son anus et la pénètre doucement. Je sens le gode à travers sa fine paroi. Je ne la pénètre pas complètement, le contact du gode sur mes boules me gêne, mais je ne laisse plus Laure respirer, d'une main elle imprime au gode les mêmes mouvements que mon sexe, elle ne crie plus, elle râle, ses mouvements sont désordonnés.
Elle a lâché le gode pour bien se caler, et pousse un cri qui me paralyse. Je ne reconnais pas les jouissances de ma compagne.
Je me retire et la laisse se tordre de plaisir sur la couverture. Sa jouissance me paraît interminable. Je ne supporte plus la vue du gode planté dans son sexe et veux le retirer. Laure attrape ma main et m'attire prés d'elle
« Je t'aime chéri, tu m'as fait jouir comme jamais. Tu as aimé toi ?? »
Devant tant d'amour dans ses yeux, je renonce à lui dire que connement j'ai été jaloux d'un bout de caoutchouc, mais lui dis que les moments qu'elle vient de nous faire passer sont parmi les meilleurs de notre relation, sinon les meilleurs.
« Ote le de moi. » me dit elle.
J'attrape le gode et le retire doucement de Laure. Je m'aperçois avec surprise qu'il est énorme. Elle n'y est pas allée de main morte, dans son choix.
Dans le jacuzzi, Laure s'est enfilée sur moi et son sexe masse doucement le mien, nous rions comme des gosses, je tête ses seins cherchant à faire grandir le plus possible ses tétons.
« Laure, la photo de toi nue, comment as tu fait ?? »
« Facile, avec mon appareil numérique, j'en ai pris 20 et ai gardé la meilleure »
« J'entends bien, mais pour la tirer en A3, tu es allée ou ?? »
« Hélène!! »
« Quoi Hélène, elle n'a pas d'imprimante A3 Hélène, que je sache !! »
« Elle non, mais Jean, si !! »
« Elle t'a emmenée chez Jean, pour imprimer une photo de toi à poil ?? »
« Ben oui, il est imprimeur »
« Arg !! et... Tous les deux t'ont vue nue... Dans cette position ?? »
« Oui, tu remarqueras qu'on ne voit pas ma tête. » ( rires de Laure )
« Non Yann je plaisante. J'ai dit à hélène que j'avais une photo un peu spéciale à imprimer, elle m'a emmenée chez Jean à qui j'ai expliqué le problème, il m'a expliqué et laissée seule faire mon impression »
« Et... Tu es sure que la photo n'est pas ou plus sur son ordinateur ?? »
« Euuuh ! Non, pas sure du tout. »
J'en débande à moitié.
Sûr, elle a laissé la photo de sa chatte en gros plan sur le PC de Jean... Seule consolation, on ne voit effectivement pas sa tête. S'il tombe dessus, c'est sûr qu'il va l'afficher comme un trophée dans son atelier, ce grand con. C'est un bon copain, mais un vrai obsédé. Il possède tous les calendriers de cul que l'imprimerie mondiale a pu éditer.
Pour détourner la conversation Laure dit :
« Tu as giclé loin tout à l'heure, il y a un mètre dans tes outils, j'ai mesuré, tu sais combien ?? »
« Non' »
« 1,80m, c'est beaucoup, non ?? »
« Euuh ! Je n'ai jamais fait de concours, je n'ai pas d'idée » dis-je en rigolant, « Mais il y a une chose de sure c'est que je t'aime comme un malade, ça, ca va être un record dur à battre. »
« Au fait chéri, tu sais combien tu mesures ?? »
« 1,78m, pourquoi ?? »
« Non, je voulais dire? »
Elle baisse pudiquement le regard vers son entrejambe. Sentant la situation un peu... molle, elle reprend son va et vient. Je ne peux décidément pas lui résister. Elle est trop belle, trop bonne, trop, trop... Il va falloir que j'invente des mots pour la qualifier, trop pour elle ce n'est pas encore assez.
« Attends je reviens. » dit-elle en sortant de l'eau.
Quand elle revient elle tient d'une main le mètre, et de l'autre, le gode.
« Yann, je veux tout savoir de toi, absolument tout, sors de là que je sache. »
Laure les yeux brillants me tète, me suce, mon sexe disparaît presque complètement dans sa bouche. La caresse combinée de sa main et de sa bouche font merveille une fois de plus, je bande comme un turc, Laure ferait bander un cheval de bois. Sentant qu'elle ne tirera pas plus de moi, elle prend le mètre et consciencieusement, genre géomètre elle mesure. Je n'ose pas regarder.
« Yann, combien à ton avis ?? »
« Ben je ne sais pas, 18 peut-être ?? »
« Non », dit elle, fière, plus !!»
« 23 ?? »
« Ah non !!, moins ! »
« 21 ?? »
« On y est presque, un tout petit peu moins encore ! »
« 20 ?? »
« Bravo, mon chéri tu as gagné le droit de faire de moi ce que tu veux ! »
« Viens là ma toute belle, accroche tes frêles bras à mon cou, escalade moi, et viens t'offrir à mes 20cm de chair qui vibrent pour toi. »
J'adore prendre Laure dans cette position. Sa bouche est alors à hauteur de la mienne, ses jambes accrochées à mes hanches contribuent à ouvrir son sexe. Elle connaît mon attirance pour cette position qui lui convient parfaitement aussi.
Laure s'accroche à mon cou, ses seins s'écrasent contre ma poitrine, son ventre palpite à quelques centimètres du mien. De mon bras gauche je la maintiens contre moi, ma main droite guide mon sexe vers le sien. Je fais toujours durer ce moment où je la sens s'écarter, ou mon sexe glisse entre ses lèvres jusqu'au moment ou mon gland cesse de glisser pour s'enfoncer dans son fruit juteux.
J'adore cet instant où Laure sentant la pénétration ferme doucement les yeux et se lèche les lèvres. J'attends ce court instant où elle pousse un soupir de contentement en cherchant à s'empaler plus sur moi.
Je peux maintenant honorer ses fesses et les pétrir, mes mains descendent dans sa raie, mes doigt frôlent son intimité, je me régale de les sentir glisser, humides, à la jonction de nos sexes et j'écarte le sien.
La tête dans le creux de mon épaule, elle gémit doucement et me mord, m'embrasse, ses baisers sont enveloppants et me font perdre la tête.
Ses ongles me griffent doucement le dos. Ils remontent le long de ma colonne vertébrale parcourue de frissons. Je dis à Laure que je l'aime, qu'avant elle le soleil ne faisait que se lever mais que depuis elle il est toujours au zénith.
Je récolte un peu de son nectar que je dépose sur sa langue et la lui tète, elle adore ça, la tête renversée en arrière, ma femelle jouit, son sexe palpite sur le mien, je la regarde jouir, et me déverse en elle dans un dernier coup de reins.
Je reste en elle le plus longtemps possible, profitant de ses derniers mouvements de bassin, elle se détend doucement, s'incruste contre moi, je suis bien, la vie est belle.
Je la dépose dans le jacuzzi et la rejoins. Laure veut encore jouir et se caresse, une de ses mains caresse ses seins, et l'autre masse son sexe, je la regarde, attendri. Je ne l'aide pas, sachant qu'elle aime parfois jouir sans aide, mais elle adore que je la regarde. Laure a une capacité à jouir qui m'étonne. Il m'arrive de penser que si je ne pouvais plus la satisfaire ou incomplètement, je ne sais pas si malgré l'amour qu'elle me porte, elle ne serait pas tentée d'aller voir ailleurs.
Laure jouit encore une fois aujourd'hui. Elle connait son corps sur le bout des doigts et n'a pas d'inhibition. Elle jouit parce qu'elle aime la vie, qu'elle aime l'amour, qu'elle aime l'autre.
« Yann, tu sais quoi ?? »
« Non, Laure, quoi ??? »
« On n'a pas fini les mesures !! »
« Aïe !, je sens la compète qui recommence... »
Laure me regarde et le regard grave me dit:
« Il faut qu'on sache Yann, il faut qu'on sache »
« Vas y mesure la ta bite en plastique, de toutes façons j'ai perdu. »
Laure prend son temps pour attraper le mètre et le « machin ».
« Yann... J'ai une mauvaise nouvelle ! »
« Oui Laure, dis moi. »
« Yann... tu as perdu. »
« De? beaucoup ?? »
« Non pas trop, mais perdu. »
« Bon vas y accouche !! »
« Yann, ne me brusque pas... c'est grave. »
« Je t'en supplie, Laure, ne me fais plus attendre, c'est trop dur. » ( rires )
« Bon j'y vais, j'annonce, tu ne craques pas, d'accord ? »
« d'accord Laure je serai fort, vas y. » ( je fais la moue )
« 2 cm, il est plus grand de 2 cm, mais il y a une bonne nouvelle quand même. C'est ton sexe que je préfère, et de loin. » ( ouf de soulagement )
« Et tu l'as eu ou, ton gode, c'est encore Hélène ?? »
« Non ce n'est pas Hélène »
« Qui alors ?? »
Laure sourit de toutes ses dents
« Une commande sur internet, imbécile !!!! »
« Mais pourquoi un gode si gros ?? »
« Pour la taille ? dit ma chérie ? je me suis trompée, pour moi 20 ou 25 cm de long ne veulent rien dire et le diamètre non plus, mais je voulais essayer, avec toi. J'avais bien compris dans nos discussions que tu n'étais pas contre. »
« Et tu as pris du plaisir avec ça ?? tu étais ruisselante de sueur tout à l'heure. »
« Oui » dit-elle « Mais même si c'est agréable et que le remplissage est conséquent, ce n'est jamais qu'un bout de plastique, et sans toi je n'y serais pas arrivée, jaloux va. Par contre, lui et toi ensembles, je veux bien recommencer !!. J'ai eu une sensation nouvelle de remplissage total, il m'en aurait fallu un deuxième. »
Laure plante ses yeux verts dans les miens et dit:
« Yann, ne te fâche pas, promis ?? »
« Qu'est ce qu'elle va me sortir, encore ?? »
« Yann... Si on faisait ça à plusieurs ?? »
Je n'ai toujours pas mis de cierge à l'église, elle va me faire mourir. Pour qu'elle arrête de dire des âneries, je l'attrape par les pieds et la soulève. La tête de Laure disparaît sous l'eau. Je continue de la soulever et quand son sexe arrive à la hauteur de ma bouche, je le mords... amoureusement.
Épicurienne je veux bien, mais pas trop quand même !!!!!!!!!!!!!
Ah oui, il faudrait quand même que je sorte Laure de l'eau, elle n'a pas l'air contente.
On a passé l'hiver et le printemps à faire du ski, du parapente, des randos, mes gamins ont fait sa connaissance à Pâques, et sont repartis enchantés. Laure a été adorable avec eux, ils le lui ont bien rendu. On a retrouvé mon petit coin de montagne favori, l'auberge et? Mathilde.
Laure m'a rappelé ma promesse. Mathilde, un an de plus s'est transformée en joli papillon. J'ai eu l'occasion de discuter avec elle. Avec la fougue et l'innocence de sa jeunesse, elle m'a avoué être amoureuse de moi, Laure ne s'était donc pas trompée.
J'ai essayé de rester neutre avec elle et de lui expliquer que moi aussi j'étais amoureux, mais de Laure. Mathilde du haut de ses 18 ans, pensait qu'on pouvait être amoureux de plusieurs personne sans que ça porte préjudice, qu'il fallait essayer, pour pouvoir choisir.
Laure dans ces moments de discussions... intimes, n'était jamais très loin, complice mais pas folle, on ne sait jamais. Je dois avouer que Mathilde avait beaucoup de charme et qu'avec un peu d'expérience elle allait savoir s'en servir.
Mathilde m'avoua que l'année précédente, pendant les moments passés devant la porte de notre chambre à nous écouter faire l'amour, elle aurait voulu mourir, et que ça avait mis du temps à passer. Qu'elle avait imaginé sa 1ere fois avec moi.
Ce fut finalement Léo, le frère de Laure, venu pour les vacances, qui nous tira d'affaire. Léo avait le même genre de charisme que Laure, et Mathilde fut vite sous le charme. Un soir ou nous avions mangé à l'auberge, nous décidâmes que cette fois on avait droit à notre bain de minuit dans la piscine du village. Mathilde mise au courant était d'accord pour se joindre à nous. Elle alla piquer les clefs à ses parents, ce qui nous évita d'escalader le grillage.
Elle connaissait l'installation et à notre demande, éteignit les projecteurs. Nos vêtements furent vite par terre. Mathilde avait des réticences évidentes à se mettre nue, Laure alla vers elle dans le plus simple appareil, pour lui parler et la rassurer. Elle savait décider son monde et l'aida a se déshabiller. Mathilde fut bientôt débarrassée de ses vêtements, la vue de Laure nue avait fini de la décider.
Merci la lune, d'éclairer cette scène. Cette fille un peu potelée l'an dernier était devenue superbe, toute en longueur, avec de grandes jambes fines. Elle était de dos par rapport à moi, j'essayais d'imaginer ses fesses. Léo, dans l'eau lui, l'attendait déjà comme un cadeau. L'eau était bonne, Laure et moi nagions dans un angle, en ne perdant rien de ce qui se passait dans l'autre, ou Léo et Mathilde avaient entamé leur parade amoureuse.
Au bout d'un moment Laure et moi décidâmes de les laisser seuls, et partîmes nous promener. Après un long câlin avec Laure, et constatant que la piscine était vide, nous reprîmes le chemin de l'auberge pour récupérer Léo et la voiture.
Il y avait un papier sur le pare brise comportant ces simples mots
« Je reste avec Mathilde »
Laure et moi avons eu la même idée au même moment. La lumière de la chambre de Mathilde venait de s'éteindre. Je savais où était la clef de secours de l'auberge. Nous nous sommes retrouvés dans l'escalier, poussés par je ne sais quel voyeurisme, en faisant extrêmement attention à ne pas faire craquer les marches. Assis sur le palier, priant pour que personne ne sorte des chambres, nous écoutions les bruits. Des soupirs finirent par se faire entendre, puis des petits cris, mais de douleur nous sembla-t'il, arrivèrent à nos oreilles. Laure fit la grimace, et m'attrapa par le bras.
Mathilde, jeune fille il y a encore quelques instants, était en train de devenir femme. Laure me dit :
« Viens, partons, elle est entre de bonnes mains, Léo est gentil. »
La rue était en pente, j'ai laissé la voiture descendre moteur arrêté, pour ne faire aucun bruit qui auraient pu les déranger.
Laure à côté de moi soupira d'aise. Elle n'avait plus de rivale...