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Proposée le 17/03/2010 par hoelle
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Ça y est je rentre enfin chez moi !!! Après une journée bien remplie? il est 22h quand j'arrive devant la porte. Personne ne m'attend ce soir, mes enfants sont chez mes beaux-parents et mon mari est au travail jusqu'à demain.
Une bonne petite soirée télé ou bouquin m'attend, je ne suis pas encore bien sûre de moi. j'en suis encore à poser les pours et les contres quand j'ouvre ma porte. Il fait nuit noire, alors j'allume la lumière, du moins j'essaye mais ça ne fonctionne pas. Ça a encore sauté, pensais-je. Il me faut trouver la lampe de poche pour aller remettre tout ça en état de marche, sinon ma soirée en fortement compromise.
Une main gantée vient alors violemment se plaquer contre ma bouche. Je n'arrive même pas à crier, je suis tétanisée. Le temps de reprendre mes esprits et je commence à me débattre, il n'est pas question de me laisser faire par un vulgaire voleur. Je m'apprête à lui donner un bon coup dans sa virilité quand je sens dans mon dos ce qui semble être une arme à feu. Ce n'est pas possible, que ce passe-t-il, je dois faire un cauchemar sans aucun doute.
l'homme a toujours sa main plaquée fermement sur ma bouche, le cuir de son gant me fait mal et l'arme se fait lourde contre mon dos. Je le sens me pousser vers le salon.
- Je n'ai pas de coffre et les bijoux sont dans ma chambre, ah et tenez mon sac prenez ce que vous voulez mais je vous en supplie ne me faites pas de mal.
Je suis complètement affolée. Mon agresseur ne desserre pas les dents. Il me tend alors cette sorte de masque qu'on met pour dormir sans être incommodé par la lumière. Je le mets, toujours la peur au ventre, le c'ur qui bat la chamade. Il relâche alors ma bouche brusquement pour m'attraper le bras. Je comprends à ses gestes qu'il m'ordonne d'avancer. Je ne fais plus de tentative pour me dérober, je me soumets à mon agresseur.
Je comprends qu'il m'emmène vers la chambre, il veut les bijoux sans aucun doute. Il me retourne alors si violemment que je manque de tomber. Je m'agrippe à lui et le griffe sur les avants bras. Je l'entends gémir de douleur. Il me jette sur le lit. Je ne sais plus ce qui se passe. Il me tombe dessus, je sens son sexe contre moi, on dirait une matraque énorme, je suis affolée et je commence à crier. j'essaye de le frapper mais rien n'y fait, il m'attrape les poignets' et me menotte aux barreaux du lit !
Je dois me faire une raison, cet homme va me violer dans mon propre lit et je ne pourrais rien y faire. Il entreprend alors de me déshabiller. Fait sauter les boutons de mon jean et le fait descendre, sans même toucher à mon string. Il ouvre ensuite ma chemise. Les larmes coulent sous le masque de tissu. j'entends des bruits de vêtements qui tombent, il doit être nu.
Il vient sur le lit et entreprend de me caresser, du bout des doigts. Il commence par le pied et remonte lentement jusqu'au genou.
- Non, laissez-moi, je vous en prie. Faites ce que vous avez à faire et partez.
Il me fait taire d'un baiser. Et reprend sa douce torture, je sens que malgré moi, mon sexe commence à chauffer. Il remonte aux cuisses, l'intérieur est en feu, je me tortille dans tous les sens.
- Vas-y, fais le maintenant, arrête de me torturer comme ça !
Il pose délicatement un doigt sur mes lèvres pour me faire taire et commence à me caresser les lèvres, rentre ses doigts dans ma bouche. Je commence à lécher ses doigts. Son autre main reprend son ascension, passe sur mes hanches, puis à côté de mon string sans même y toucher et vient me caresser le ventre. Mes seins sont tendus à me faire mal. Je commence à gémir de plaisir.
Une main sous mon dos, il me fait sauter le soutien gorge et commence à me masser les deux seins, il est à califourchon sur moi maintenant et je sens son renflement énorme doux et fort se frotter contre mon petit bout de tissus qui est alors complètement trempé. Je voudrais l'attraper, le toucher? Comment en suis-je arrivée là ? Pas le temps de me poser de question qu'il commence à me gober l'un de mes tétons, j'explose, je jouis littéralement, je brûle. Pendant que ses dents titillent mes seins, ses doigts commencent à chercher le chemin de ma chatte. Je l'entends gémir en sentant toute l'humidité qui s'en dégage.
d'un seul coup, il s'écarte, m'arrache le string, m'écarte les jambes et jette sa bouche sur mon triangle noir. Il me boit, aspire tout ce qu'il peut puis commence à me donner de savants petits coups de langue. Mon clitoris, gonflé de désir est prêt à exploser, il le tête, le mord. c'est si bon que j'en pleure. Il va alors fouiller mon vagin et y introduit un doigt puis, sous mes gémissements incessants, en introduit un deuxième puis un troisième. Je l'entends gémir lui aussi, il prend son pied on dirait ! Quand son pouce cherche et fouille mon anus, j'ai l'impression que je vais m'évanouir, et je jouis, je sens mon vagin, mon anus et mon clitoris se tendre, et se contracter autour de ses doigts et sous ses lèvres.
Il m'abandonne encore une fois et reviens. Il me pénètre d'un seul coup, m'arrachant un cri de surprise et commence un lent va et vient. Puis, il accélère le mouvement et devient presque violent. Il me pénètre entièrement avec de grands coups de reins, je halète, je suis épuisée et je joui encore une fois, quelques derniers coups de reins et il jouit, il crie et s'affale sur moi. Il reste en moi et commence à m'embrasser, sa langue fouille ma bouche. Et il s'effondre. Je suis toujours attachée au lit et nous nous endormons comme ça, toujours soudés.
Quand je me réveille, il est déjà 8 heures. Je ne suis plus attachée et je suis seule. Ais-je rêvée ? j'allume la lampe de chevet, tout est rangé, on ne dirait pas qu'un voleur est venu hier. Mais je sens encore mon sexe tendu du plaisir que j'ai pris cette nuit et il ruisselle encore. Je suis encore en train de me demander ce qui s'est passé cette nuit et d'essayer de remettre mes idées en ordre quand mon mari arrive. Il semble épuisé. Je me sens tellement honteuse de cette nuit, d'avoir pris un tel plaisir avec un inconnu que je n'arrive pas à le regarder dans les yeux.
Il se déshabille et vient me rejoindre dans le lit. s'installe et me prend dans ses bras pour me donner un tendre baiser. Je me laisse aller contre lui et je l'entends pousser un cri de douleur.
- Pardon je t?ai fait mal, je suis désolée.
- Ce n'est pas ta faute, je me suis battu avec une tigresse cette nuit.
Et il me montre ses avant bras, sur lesquels se trouvent des traces de griffures'