Une consultation médicale come on en aimerait plus souvent

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Proposée le 15/03/2010 par paloma

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Ce jour-là j'avais pris rendez-vous en urgence chez le médecin. Nouvellement arrivée en campagne pour le travail, j'avais choisi un numéro au hasard dans l'annuaire. La secrétaire avait justement réussi à trouver un créneau en fin de journée pour que je puisse avoir un rendez-vous le jour-même.

Je sors du travail à 18h30 et, le temps de trouver l'adresse exacte du cabinet et de me garer, j'arrive 10 minutes en retard. Je me sermonne intérieurement de n'être pas partie plus tôt du travail pour arriver à l'heure. « Déjà que je demande un rendez-vous de dernière minute !, je me permets en plus d'être en retard. »

Essoufflée, j'entre dans le cabinet et m'annonce. La secrétaire, la cinquantaine pimpante, me rassure d'un sourire, « le docteur S. n'a pas encore fini la consultation précédente ». j'ai à peine le temps de la remercier et de m'asseoir que la porte s'ouvre. j'entends, « à bientôt Mme Durand, reposez-vous et soignez-vous correctement ».
« Votre dernier rendez-vous Docteur » dit la secrétaire en me désignant du menton.
« Bonjour » me dit-il en me tendant la main puis il regarde sa montrer et rajoute à l'intention de sa secrétaire « Très bien, merci. Vous pouvez partir Christine, l'heure est bien dépassée, je débrouillerais avec les papiers. A demain. »
Sur un « merci monsieur », Christine rassemble ses affaires.

j'entre dans le cabinet, le docteur me cédant le passage. La trentaine, brun et plutôt grand, il est agréablement souriant et charmant. Très inattendu dans une petite bourgade rurale.



Je suis du regard la femme qui rentre dans le cabinet. Une belle brune, les cheveux bouclés, avec un joli sourire, un regard pétillant et? un beau cul je dois l'admettre. Marchant devant moi, j'ai eu l'occasion de contempler sa démarche et ses jolies fesses serrées dans un pantalon ajusté. Sans trop m'égarer, je lui fais signe de s'asseoir et prends place derrière le bureau.
« Je me présente, Docteur S., je remplace le Docteur N. qui a des soucis familiaux en ce moment. Vous avez sans doute vos habitudes avec lui mais je ferais de mon mieux pour le remplacer ».
Je ne peux m'empêcher de lui lancer un sourire charmeur pour aller avec ce commentaire un peu déplacé.



Je réponds à son sourire en disant : « oh ne vous inquiétez pas, c'est la première fois que je viens. En fait je suis nouvelle dans la région et je n'ai pas encore de médecin traitant. j'ai appelé pour prendre un rendez-vous de dernière minute ».
Il est vraiment craquant ce jeune médecin, j'en ferais bien mon casse-croûte. Privée de sexe depuis quelques mois, je ne connais personne dans cette région et les rencontres sont plutôt rares. Je rougis à cette pensée. « d'ailleurs, est-il possible de faire les formalités pour que vous soyez mon médecin traitant ? »



« Bien sûr, nous allons voir ça tout de suite » dis-je en attrapant une feuille pré-remplie pour l'occasion. j'ai bien cru la voir rougir, elle a dû relever ma remarque inappropriée. Il faut que je reprenne mes esprits. Une jolie fille qui rentre dans mon cabinet et je ne me reconnais plus. Effet secondaire imprévisible de la clientèle vieillissante de mon confrère.
Je lui demande sa carte vitale et répertorie sur la feuille, ses nom et prénom, vérifie son adresse et sa date de naissance. « Pas de maladies particulières ? Asthme, allergies, opérations chirurgicales ? ». Elle me répond « non, mis à part l'opération des amygdales, quand j'étais petite. Sinon, rien de particulier ». Je la questionne sur le tabagisme. Elle me répond fumer 2 à 3 cigarettes par jour. « OK si c'est à cette fréquence, rien de très dangereux ». j'appose alors mon cachet sur la feuille.

« Voilà qui est fait : je suis votre médecin traitant. Maintenant, dites-moi tout. Qu'est-ce qui vous amène ? Arthrite, col du fémur cassé, perte de mémoire?. Excusez-moi, tellement habitué de ces patients séniors »



Je souris, à la fois à l'aise mais aussi profondément gênée. « Et bien' en fait? » Pourquoi tant de réticences ? c'est un médecin comme les autres après tout. Ce n'est pas parce qu'il semble avoir ton âge et que tu le trouves craquant qu'il faut faire la timorée? « Et bien j'ai pris un RV d'urgence parce que ces derniers temps, j'ai des douleurs, comme des brûlures' euh au niveau du sexe. Enfin ce n'est pas à l'intérieur mais à la base des lèvres' j'ai eu du mal à repérer l'endroit exact? » Navrant ! Plus j'en dis plus je m'enfonce, il doit être mort de rire? autant finir de se ridiculiser en expliquant les positions prises devant la glace pour y voir mieux !

Professionnel, il me sort de ce mauvais pas.
« Très bien nous allons voir ça tout à l'heure, ne vous en faites pas »



Incroyable ! Cette fille me fait craquer depuis que je l'ai vue dans la salle d'attente et elle vient me voir pour? une douleur au sexe. Quel chanceux je fais, je vais la voir nue, je vais pouvoir contempler pour des raisons professionnelles la chatte de cette nana super bien roulée. c'est un signe, j'abandonne mes préceptes moraux et je vais me rincer l'oeil en faisant durer le plaisir? avec un peu de chance peut-être sera-t-elle sur la même longueur d'onde.



Ouf, il a écourté la conversation et s'approche de moi. Sa démarche est élégante. Il me demande d'enlever mon pull et s'approche de moi pour prendre ma tension. Il me prend délicatement le bras et le place contre lui puis fixe le brassard et commence la mesure. Je sens la chaleur de son corps, ce n'est pas désagréable. « 11, 6 : parfait. Veuillez enlever votre haut, je vais vous ausculter à présent ».

Ce que j'exécute prestement, troublée. j'ôte mon débardeur lentement, le rouge me monte aux joues. Cette situation est assez excitante et j'y prends malgré moi du plaisir. Instinctivement je rentre le ventre, me cambre légèrement pour mettre en avant ma poitrine, histoire de paraître à mon avantage. Réflexe ou tentative de séduction, qu'est-ce qui me prend ? ».

Il m'indique où m'asseoir. Le cuir est froid, je frissonne.



Elle s'installe du bout des fesses sur la table, apparemment mal à l'aise. Rougissante, elle n'est que plus belle. Elle baisse la tête et j'en profite pour la détailler : son cou fin, ses épaules délicates, ses petits seins bien hauts soutenus par un soutien-gorge en dentelle noire, la taille fine.
A mon grand étonnement, je me rends compte que j'aime le pouvoir intimidant que je détiens sur elle. Je suis le médecin et elle la patiente. Je lui demande d'ôter son T-shirt, de s'asseoir ici : elle exécute. Assez excitant. Et si je dépassais légèrement les bornes, s'en rendrait-elle compte ?



Il s'approche de moi en frottant le bout métallique du stéthoscope contre la paume de sa main, sans doute pour le réchauffer. Il m'avertit « attention, ça risque d'être froid » et le pose délicatement au dessus de mon sein gauche. Je frisonne et baisse la tête, regardant sa main.
Ses doigts, longs et fins, semblent agiles ; sa peau paraît douce. Il déplace le stéthoscope juste en dessous du sein, le frôlant légèrement au passage. Mon trouble s'accentue. j'ai subitement beaucoup plus chaud ! « Prenez de longues inspirations ». Cette remarque m'aide à réguler mon souffle, à paraître plus calme.



Je prends mon temps, appréciant cette agréable auscultation. Elle a baissé la tête et m'offre une belle vue sur sa nuque gracile, sa gorge et la naissance de ses seins. Sur la peau rebondie et irrésistiblement attirante, un petit grain de beauté me nargue. Je sens ses battements cardiaques s'accélérer, sa poitrine se soulève plus fortement. Je descends le stéthoscope vers le ventre, le ramène sur le flanc, le remonte sur le sein droit. l'air de rien, je tire de la main gauche le haut du soutien gorge pour placer le métal sur la chair palpitante. Elle trésaille légèrement mais ne dit rien. Ma main gauche reste en place, conservant un contact ténu avec le tissu chaud et bombé.

Pour m'apaiser un peu, j'ausculte à présent son dos, ayant soin de maintenir un silence troublant. Je tente de ramener ma respiration à un rythme normal malgré une belle vue sur sa chute de reins. Sa légère cambrure met en valeur ses fesses, fort appétissantes vues d'ici.



« Très bien ». Le son de sa voix me réveille de ma torpeur. Le docteur ôte son stéthoscope et le pose. Il me regarde aimablement, je remarque ses beaux yeux verts mis en valeur par de longs cils noirs.

« Si vous voulez enlever le bas, je vais vous peser et mesurer ». Je m'exécute, obéissante et de plus en plus troublée. Cette situation fait un peu strip-stease ! Ma foi, il est si bel homme qu'on pourrait aisément s'imaginer un tout autre scénario. Je dénoue ma ceinture, déboutonne lentement les boutons de mon pantalon, le baisse doucement le long de mes cuisses jusqu'à mes chevilles, révélant cette souplesse qui enchante souvent mes partenaires. j'ôte le pantalon et les chaussettes, me retrouvant ainsi en sous-vêtements.

Mais il y a comme un hic : en prenant le RV ce matin, je n'avais pas pensé que j'étais en string ! Autant je me félicite d'avoir choisi de mettre mon nouveau soutien-gorge noir qui, à mon goût, met parfaitement en valeur mes seins ; autant le string me met plutôt mal à l'aise : pourquoi ne pas avoir opté pour la culotte assortie, échancrée comme il faut sans trop de vulgarité ?
Je l'entends tousser et stoppe mes tergiversations : ce qui est fait est fait.



« Venez par ici » dis-je en lui montrant la toise. Elle s'approche doucement et se cale contre le mur en calant ses pieds. Sa poitrine haute attire mon regard mais je me retiens. Je lui touche les épaules pour la replacer correctement et lui lève la tête pour la mettre bien droite. Je croise son regard. Cette fois, elle ne le détourne pas et je lui adresse un sourire d'encouragement qu'elle me rend timidement.
Je descends la toise doucement appréciant la proximité de nos corps. Le sien paraît chaud et doux, surtout cette gorge irrésistible. « 1,68 mètre ».

Je lui indique ensuite la balance. Tandis qu'elle se décolle du mur et s'en approche, j'aperçois ses fesses rebondies dévoilées par un string noir. Bon sang, un string ! Moi qui avais réussi tant bien que mal à me contenir jusqu'à présent?.. c'est le comble ! Aïe, je crois qu'elle vient de remarquer mon regard vers son postérieur et je fais mine de regarder ailleurs.



Évidemment, il l'a vu. Que doit-il penser ? « quelle petite salope ! » certainement. Enfin c'est ce que je me dirais à sa place. j'improvise une bredouillante justification : « Excusez-moi, je n'avais pas prévu d'aller chez le médecin aujourd'hui et je n'ai pas vraiment? la tenue adaptée. » « Ne vous en faites pas, cela arrive. Et puis, vous êtes très à votre avantage ainsi » me répond-il en souriant. « La clientèle du Dr N. est plutôt? âgée et voir un corps jeune et svelte comme le vôtre est relativement rare dans ce cabinet. Mais agréable il le faut le dire. »



Décontenancée mais ravie de ce compliment, je monte sur la balance. Il évite soigneusement de mater mes fesses. « Votre poids est-il stable ? » me demande-t-il. Je réponds par l'affirmative. « Prenez-vous une pilule contraceptive ? Depuis combien de temps ? ». « Oui, depuis 10 à 12 ans maintenant ». « Cela ne fait pas très bon ménage avec la cigarette, enfin si vous ne consommez pas trop, ça va. Tout dépend également de vos antécédents familiaux. Y a-t-il eu dans votre famille des cancers du sein ou autre ? ». « Euh, oui ma tante a eu un cancer du sein il y a quelques années », répond-elle. « Pas de grosseur ou de douleur au niveau des seins ? ». « Non, a priori non. »
j'ose un « On va regarder ça tout de même. Si vous voulez bien enlever votre soutien-gorge ».



Je me sens déstabilisée. Ai-je bien entendu ? Excès de zèle de sa part ? Peut-être mais dans ce cas, profitons-en, je suis ravie de pouvoir dévoiler à ce charmant médecin mes seins que je trouve très beaux (c'est ce que je préfère chez moi).
Je glisse les mains dans mon dos, peine à trouver l'attache du soutien-gorge du fait de ma fébrilité et le dégrafe doucement avant de le poser sur le siège. Mes seins, compressés dans les balconnets, se déploient. Loin d'être gros (je fais un 90B), ils sont hauts et fermes, bien ronds. j'aperçois leurs pointes dressées, tant par la température ambiante plutôt fraîche que par l'excitation. Tant mieux, je pense qu'il le remarquera.



Comment ai-je pu oser ? Je m'étonne moi-même de mon indécence et de mon ? apparente ? désinvolture. Après tout, ce n'est qu'un remplacement. Je ne reverrais sans doute jamais cette jeune femme, alors' pourquoi hésiter ? Elle est majeure et vaccinée. Je verrais bien, en allant plus loin, si elle sera réceptive à mes avances ou non.



Il s'approche de moi et me demande de relever les bras en posant mes mains sur la nuque.
Je le vois alors approcher ses deux mains et, d'un geste à la fois timide et ferme me presser la poitrine, juste au-dessus du sein gauche. Il fait des petites pressions circulaires puis descend sous l'aisselle, sur le côté du sein, au niveau de la protubérance naissante. Ses doigts sont chauds et doux. Le toucher est sûr. j'ai dû fantasmer sur ses intentions du fait de mon attirance, il m'a l'air à présent tout à fait professionnel.

Pourtant, je ne peux m'empêcher de prendre du plaisir dans ces attouchements, très proches de la caresse. Il prend son temps, concentré sur mon sein, je sens son souffle dans mon cou. Il passe ensuite derrière moi pour se placer à ma droite et j'imagine son regard sur mon string. s'il osait poser une main sur mes fesses et la descendre en direction de mon sexe, il sentirait que je commence à m'humidifier sérieusement.



Cette situation m'excite de plus en plus. Osée, certes, mais tellement agréable ! En m'efforçant de garder mon sérieux, je palpe ces beaux seins vulnérables, offerts. Délicieux de la sentir à ma merci.
d'une voix basse et rauque, les lèvres proches de son oreille, je m'entends lui demander « Tout va bien ? ». Elle acquiesce sans un bruit. Serait-elle troublée ? Moi ce n'est rien de le dire. Mon sexe gonfle depuis un petit moment dans mon pantalon et j'ai peur qu'elle ne devine, à tout moment, cette protubérance gênante. Je passe derrière elle pour me pencher sur son sein droit. Le téton dressé semble me réclamer. Je profite de la situation pour admirer ses belles fesses et me place à sa droite. j'approche me main de son sein et poursuis avec délices mes pressions circulaires de plus en plus fortes.
Avant de quitter ses seins à regret, j'ai un dernier sursaut de culot. n'y tenant plus de « tourner autour du pot », j'empoigne entièrement son sein de ma main et y imprime des cercles appuyés. Un petit cri lui échappe. Ou bien un gémissement ? « Excusez-moi, je vous fais mal ? » « Non, non » se reprend-elle rapidement « au contraire? c'est, à vrai dire, très agréable ». Elle baisse la tête, honteuse de son aveu.
Ravi de ce retournement de situation qui fait à présent d'elle la cochonne je répond : « Poursuivons encore un peu alors ». j'appuie un peu plus mes pressions, sentant avec plaisir la pointe dure de son sein au centre de ma paume. « Détendez-vous » lui dis-je pour favoriser son laisser-aller tandis que je passe à nouveau derrière elle pour changer de sein. Je regarde ses fesses que j'aimerais palper sauvagement et la frôle insensiblement. Mon sexe, désormais bien tendu, est impossible à cacher, je reste donc suffisamment derrière elle. Je saisis son sein gauche fermement et le presse doucement d'abord puis sans ménagement. Elle ferme les yeux et prend une grande inspiration comme pour se contrôler. La tête légèrement penchée en arrière, elle pousse un petit soupir discret. Elle aime ça la belle ! Elle en redemande ! Tant mieux, je ne comptais pas m'arrêter en si bon chemin.



j'apprécie de plus en plus la tournure que prend cette consultation. Un beau et jeune médecin qui me palpe les seins en y prenant manifestement du plaisir ! j'ai bien cru sentir tout à l'heure, quand il est passé derrière moi, quelque chose de dur et chaud à une hauteur qui laisse peu de doutes. Je lui fait de l'effet c'est sûr. Il doit se rincer l'oeil en se moment sur mes fesses, ça ne doit pas arranger l'étroitesse de son pantalon. Et si je le provoquais encore plus ? Je pousse un autre petit soupir, plus sonore, et tortille légèrement les fesses pour qu'elles entrent à nouveau en contact avec sa queue.

Cette situation qui échappe à son contrôle semble le gêner. Il stoppe ses pressions et me glisse dans le creux de l'oreille « c'est parfait. Vous avez une magnifique poitrine, dépourvue d'une quelconque grosseur ». Il se dirige vers son bureau.



Je m'assoie rapidement pour masquer mon désir pour elle et boit un verre d'eau. Elle reste debout, un peu désemparée, ne sachant que faire. c'est moi qui tiens les rênes ma jolie? ne l'oublie pas. Si j'en crois son gémissement, elle doit être très excitée la salope, la dernière manche va probablement être plus facile que prévue.
Je résume mentalement la situation tant elle est incroyable : 19h40, la secrétaire est partie, une belle jeune femme se trouve dans mon cabinet, bientôt totalement à poil et moi je vais partir à la recherche d'une douleur au niveau du sexe après lui avoir longuement palpé les seins. Je suis en plein rêve !
Je ne la fais pas languir davantage : « si vous voulez bien ôter? ce qui reste et vous allonger ».



On y est. Je vais être entièrement nue devant un charmant inconnu qui va m'inspecter la chatte. j'ai tellement envie de baiser : la dernière fois remonte à s'y longtemps et puis je suis complètement excitée. Il faut que je la joue fine pour le faire succomber.

Sans dire un mot, je saisis les ficelles de mon string noir et le fais glisser lentement le long de mes cuisses en me penchant légèrement vers l'avant pour lui donner une vue imprenable sur ma poitrine. Arrivée au niveau de mes genoux, je lâche l'étoffe. Un pied après l'autre, je me déplace sur le côté et laisse volontairement le string par terre. s'il y voyait la tâche brillante ! Je ne pensais pas avoir autant mouillé?
Je me dirige vers la table en cuir noir et m'allonge sur le dos, le plus sensuellement possible. Je ne sais pas comment me positionner alors je garde les jambes repliées sur le côté comme par pudeur.
Il s'approche de moi et me demande de me détendre. Il saisit doucement mes jambes et les déplie. Au contact de ses mains, je frémis. « Très bien, mettez-vous à l'aise. Écartez légèrement vos jambes, voilà comme ça, et pliez-les un peu ». Il m'aide à faire le mouvement en touchant le derrière de ma cuisse. Cette position est très' gênante et je sens une chaleur humide gagner mon sexe. Mon Dieu ! Il va voir que je mouille un max?



« A présent je vais commencer mon examen. n'hésitez pas à m'interrompre si vous ressentez une douleur ou une gêne quelconque. » j'entends un timide « OK » de sa part.
Mes mains étant fraîches, je commence par les apposer à l'intérieur de sa cuisse droite, exerçant une légère pression. Je me déplace un peu en remontant sur le haut de sa cuisse puis en replongeant vers l'intérieur pour me rapprocher de ce sexe attirant. Sa toison brune est courte et soignée. Elle dévoile des grandes lèvres assez rouges. d'excitation ? Je passe à la cuisse gauche en frôlant intentionnellement son sexe. Elle frémit. Je poursuis mes pressions, l'air de rien. « Voilà, vous voyez j'y vais doucement, mes mains se sont réchauffées. Je vais maintenant les remonter. Mais pour cela, il faut basculer votre bassin vers l'avant, voilà en rétroversion ». Je saisis l'intérieur de sa cuisse pour lui montrer le mouvement.



Je remonte le bassin comme il me l'indique. Me voilà dans une posture bien équivoque. Oh la la j'ai chaud d'un seul coup, surtout à l'entrejambe. Ma respiration s'accélère imperceptiblement. Il approche ses doigts de mes grandes lèvres et y imprime une pression puis remonte sur le haut de ma toison et redescends de l'autre côté. « Voilà, très bien, continuez à vous détendre, c'est parfait ». Hmmmm que c'est bon ! Je ferme les yeux et sens battre le sang dans mon sexe, comme si mon c'ur y avait élu domicile. Si vraiment je m'écoutais, je pousserais un soupir de plaisir et d'encouragement. A cet instant, il écarte légèrement mes grandes lèvres et je reviens à la réalité, surprise. j'ai baissé mon bassin par réflexe.
Il intervient : « Ne vous inquiétez pas, je vais y aller doucement. Par contre il faut absolument relever votre bassin. Encore plus, comme si vous étiez irrésistiblement attirée vers ma main, comme si vous cherchiez son contact. » Lit-il dans mes pensées ? Mais la position ne lui semble pas satisfaisante puisqu'il joint le geste à la parole en s'emparant de mon sexe et le ramenant autoritairement vers le haut. Puis il maintient sa main en relâchant progressivement la pression. Divin!



Bon sang, je commence à devenir entreprenant et directif. Ca a l'air de lui plaire si j'en crois l'humidité de son sexe. Il dégouline presque de sécrétions. Cette petite cochonne me paraît chaude comme la braise.
Tant mieux j'ai très envie de continuer mon exploration, de caresser son sexe mouillé, de sentir son odeur. Rien que d'y penser je bande comme un fou. Heureusement qu'elle ne regarde pas sur le côté, j'y perdrais toute ma crédibilité. Mon sexe ne cesse de se durcir et commence à me faire mal.

Je continue mon examen en écartant d'une main les grandes lèvres. Avec l'index de l'autre main, j'explore lentement son sexe lubrifié. Une incroyable odeur musquée s'en dégage, j'ai envie de le goûter, de poursuivre cet examen avec ma langue pour lécher sa mouille appétissante.
d'un seul coup, elle sursaute. « Je vous ai fait mal ? » « Non, non tout va bien, c'est juste que... et bien' cet examen est étonnamment agréable et je me sens' toute chose. » Ravi intérieurement (et au niveau de mon caleçon), je fais mine d'être gêné pour elle : « Oui je comprends ce que vous voulez dire. Vous êtes très lubrifiée mais c'est un avantage : l'examen, déjà très particulier, est facilité. Comprenez que je suis obligé d'en passer par là pour localiser votre douleur. Détendez-vous et ? laissez votre corps s'exprimer si besoin est. c'est naturel après tout. Surtout prévenez-moi dès que je me rapproche de la zone douloureuse. Je crois que j'ai repéré une irritation plus bas, nous allons vérifier ça ».



Mmmm. Il me demande de détendre et de laisser mon corps s'exprimer. Tant mieux, je peine à me contrôler. Ses caresses sont tout simplement incroyables. j'ai envie de gémir de plaisir et d'onduler mon bassin pour accompagner ses gestes, le forcer à me pénétrer du doigt.

Il reprend son examen. Je ferme les yeux, décidée à suivre ses conseils. Je respire doucement et commence à bouger légèrement mon bassin au rythme de ses mouvements, à gauche à droite, en haut. Mon sexe, gourmand, cherche sa main. Ca y est je perds tout contrôle de moi-même et toute dignité. Je suis en train de prendre mon pied lors d'un examen médical ! Je pousse un petit gémissement significatif. Si avec ça il s'arrête en si bon chemin et n'en profite pas ! Je me sens capable de tout, de le violer même dans son cabinet s'il refuse de m'accorder ce que je cherche.



Une vraie chatte en chaleur, je rêve. A peine lui ai-je dit de se mettre à l'aise qu'elle commence à bouger et gémir. Putain, elle veut de la bite ! Je ne vais pas la décevoir. Je compte bien continuer cette petite mise en scène : finir rapidement cet examen et passer aux choses sérieuses. Cela fait 30 minutes qu'elle me provoque la salope. j'ai le pantalon qui va exploser, le sexe en feu, il va falloir que je la tronche.

Je rapproche le doigt de la zone irritée et elle m'indique par un petit cri que c'est l'endroit en question. Ca te fait mal salope ! « OK, j'ai localisée la zone. Ce n'est pas grand chose, une brûlure faite par frottement répété sans doute. Mais située à cet endroit ce doit être effectivement douloureux, surtout lorsque vous êtes sèche. La douleur doit être atténuée par la lubrification n'est-ce pas ? »



Je le regarde dans les yeux : « Oui, la douleur que je ressens en ce moment est atténuée par rapport à d'habitude. Je suis tellement mouillée ». j'insiste sur ce dernier mot, histoire de finir de l'allumer si le besoin s'en faisait encore ressentir.
Il répond, maître de lui-même « Effectivement, vous êtes actuellement abondamment lubrifiée. Mais je doute que ce soit le cas au quotidien. c'est pourquoi je vais vous donner un crème à appliquer 3 à 4 fois par jour de la zone douloureuse, en massant votre sexe pendant 1 minute et demie à chaque fois. Ce traitement devra être poursuivi 2 semaines ».
j'ajoute, coquine : « 4 fois par jour mais comment je vais faire ? Ce n'est pas pratique ». Il répond, amusé : « En effet, mais si vous voulez que la douleur disparaisse? Il faudra prendre le temps de le faire le matin au lever, le soir au coucher et au moins une fois au cours de la journée. Vous trouverez bien un endroit tranquille, votre bureau, les toilettes ou autre pour réaliser ce petit massage. Il y a plus désagréable comme traitement quand même ? ». « c'est sûr, un massage du sexe est toujours très agréable, surtout de la manière dont vous le pratiquez ».



On y est ma salope, tu en redemandes, hein ? Je l'interroge : « Voulez-vous que je vous montre comment procéder ? ». Elle acquiesce bien entendu. Quelle petite chienne. Elle n'en peut plus. Il faut qu'elle se fasse défoncée.
« Évidemment, là vous n'avez aucunement besoin de crème. Pour les mouvements, faites comme ceci ». Je saisis sa main et la guide vers son sexe en lui montrant le geste à exercer. « Oui je vois, c'est plus clair. Mmmmm c'est délicieux ». Elle se cambre, ondule le sexe, soupire. La garce ! Elle prend son pied alors que moi je ne peux pas me soulager. « Le massage buccal pourra également vous apaiser » et accompagne ma suggestion du geste. j'approche mes lèvres de son sexe odorant et du bout de la langue goûte sa mouille chaude et délicieuse. Je m'aventure doucement autour de la zone douloureuse puis m'en éloigne et lui embrasse carrément le sexe. Je le lèche, le suce, le titille, le bouffe. Elle s'agite et m'encourage de ses gémissements. Elle pose sa main sur ma tête et l'appuie avec insistance vers son sexe. Tandis que je la lèche avec délectation, elle s'enfonce deux doigts dans la chatte et commence des mouvements de va-et-vient.
Je m'interromps : « Tu n'attendais que ça, avoue, petite salope, ton sexe est brûlant ». « Et toi ? » me répond-elle en avançant la main vers mon pantalon. « Je crois bien que tu bandes depuis un bon moment, non ? Tu ne voudrais pas te mettre à l'aise ? j'ai aussi envie de te masser le sexe ».

Ni une ni deux, je déboutonne mon pantalon et peine à le retirer tellement mon sexe est énorme et durci. Le caleçon vient avec tant je suis à l'étroit. Elle descend de la table et m'aide à le baisser, enlever mes chaussettes puis ma chemise. Puis elle s'agenouille et prends mon sexe dans sa bouche. Elle le suce goulûment. d'abord avec des petits coups de langue sur le gland et la hampe puis elle l'avale complètement et me pompe comme une déesse. Tellement excité par cette consultation particulière, je me sens déjà au bord de défaillir.

Alors je la redresse face à moi, l'embrasse fougueusement. Ses seins s'écrasent contre mon torse. Depuis le temps que j'en rêvais. Je la saisis par les épaules et la retourne brutalement. Face à la table en cuir, je la force à se baisser. j'empoigne ses seins et commence à les labourer tandis que je la pénètre d'un seul coup. Elle pousse un fort gémissement. Je la tringle avec violence, rentrant et sortant mon sexe entier à chaque coup de boutoir. Elle hurle de plaisir et de douleur à la fois, me sommant de ne pas m'arrêter. Mes couilles claquent contre ses fesses collantes de mouille. Elle se cambre encore plus pour recevoir mes assauts comme il se doit. Une bonne petite chienne comme je le pressentais. Une plainte soudaine s'élève, je vois son corps trembler et je la regarde jouir sans stopper ma besogne. « Oh c'est trop bon, j'en peux plus. » lâche-t-elle. « Tu ne vas t?en tirer comme ça, tu m'allumes depuis 1 heure. Tu voulais te faire baiser, tu vas être gâtée ».



A peine ai-je eu le temps de souffler un peu que je le sens sortir son sexe raide et épais de mon vagin et l'appuyer contre mon anus. Sans préliminaires, il y enfonce sa bite une fois, deux fois, trois fois, m'arrachant des cris de douleur. A la quatrième, son sexe me pénètre en entier, je le sens remplir mon cul. Il commence ses va-et-vient et ma douleur se transforme en plaisir.
Je gémis, je me tortille, je l'encourage. « Vas-y défonce-moi le cul, encore !, tronche-moi comme une putain ! ». Ses coups de bite acharnés me font hurler. Perdue dans les vapes du plaisir, je reviens à la réalité quand je sens son sexe tressauter en moi puis lâcher trois jets de sperme dans mon corps. Il pousse un râle de bête, continue encore quelques va-et-vient puis se retire.
Je sens le sperme couler de mon anus et se répandre dans mon entrejambe, sur mes cuisses. Je me retourne et m'agenouille devant lui. j'entreprends de lui lécher le sexe pour le nettoyer et le remercier de tant d'ardeur. Je savoure son sperme au goût délicieux, le goût de l'interdit.

Je me relève et lui sourit. Contre toute attente, il prend un mouchoir et commence à m'essuyer avec délicatesse les cuisses collantes de sperme. Je m'empare de sa main souillée et la porte à mes lèvres. j'y lèche jusqu'à la dernière de sperme avec délectation. Il me relève le visage et m'embrasse doucement, chose inattendue après tant de violence physique. Mes mains s'attardent sur ses épaules, dans son dos et descendent vers de magnifiques petites fesses dont je n'ai pas eu le temps de profiter. Peut-être oserai-je l'appeler dans la semaine pour lui demander une nouvelle démonstration d'application de crème ?