En ce premier jour de printemps...

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Proposée le 12/03/2010 par hoelle

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21 mars, jour de printemps, mon horoscope me dit que je vais faire une agréable rencontre aujourd'hui. Je ne demande que ça, après deux ans de vie commune avec mon ex, j'en suis maintenant à sept mois de célibat. Rien, aucune relation même brève depuis tout ce temps.
Voyons, aujourd'hui j'ai rendez-vous ce matin avec une copine pour aller faire un footing et en début d'après-midi, chez l'ostéo. On verra bien.
Je suis chaude comme la braise quand je pars faire mon footing. Je ne sais pas si c'est un fait du cycle hormonal, un manque de sexe ou quelque chose de ce type mais dès qu'un beau mâle s'approche de moi, je sens que ma culotte devient de plus en plus mouillée, même si la transpiration doit y être pour quelque chose...
Mon footing terminé, je file chez moi et directement sous la douche. La fraîcheur de la douche n'apaise en rien ce qui se passe. Je mange sur le pouce avant de partir pour mon rendez-vous.
j'arrive un peu en avance, je déteste être en retard. De la fenêtre de la salle d'attente, on peut voir le parc voisin. Des amoureux se promènent, s'arrêtent presque sous la fenêtre et j'ai l'impression de voire leurs langues s'enrouler l'une autour de l'autre tellement leur baiser est passionné. Cela n'arrange en rien mon état. Quand l'ostéo ouvre sa porte, je lève les yeux sur cet Apollon grec et ma bouche s'assèche. Je repense au baiser que je viens de voir.
Je sers la main qu'il me tend, non sans ressentir un petit frisson d'excitation et file m'asseoir en face de son bureau. Il vient s'installer en face de moi et commence ce qui doit être le questionnaire habituel de tout nouveau patient mais je ne l'écoute qu'à moitié toute à mes idées fantasques. Je lui explique que j'ai très mal au dos et que cette douleur m'empêche de dormir.
- Très bien. Nous allons voir ça. Mettez-vous en sous vêtement.
Là c'est sûr, il va voir que ma petite culotte est trempée. En plus, j'ai choisi un de mes plus jolis ensembles, vert émeraude en soie et dentelle. De toutes façons, trop tard pour reculer.
Me voilà donc en sous vêtements, la culotte trempée devant un homme désirable au possible. Mes seins tendent leurs pointes comme un rappel de la luxure qui se déverse dans ma culotte. Après avoir palpé mon dos debout, il me fait m'allonger sur sa table. Ses mains douces me parcouraient le corps à la recherche des imperfections de mes articulations et autres en laissant derrière elles une empreinte de frisson. Je bouillais.
- Bon et bien, il y a du boulot. Heureusement, je n'ai pas de rendez-vous après. Je vais pouvoir prendre mon temps. Vous êtes vraiment très tendue.
Tu parles si j'étais tendue. j'étais prête à exploser ! Et il se mit à parler de tout et de rien, du temps qu'il faisait dehors, je me détendais sous ses doigts. Et bientôt, ses manipulations expertes me provoquèrent des gémissements de plaisir.
- Pardon, je vous ai fait mal ?
- Non, au contraire. Vous me faite beaucoup de bien.
- Nous allons passer aux muscles du diaphragme en ce cas. Je reviendrais à votre dos ensuite.
Je ne voyais pas son expression, sur son visage jusqu'alors. Mais pour les muscles du diaphragme, je l'aurais en pleine ligne de mir. Je fermais les yeux, juste assez pour voir son visage. Je sentais son souffle chaud sur ma peau et instinctivement, mes seins remontrèrent leur bout juste sous son nez. Je pouvais l'observer les mater sans retenue, se sentant protégé de par mes paupières closes.
- c'est très bien, aucun problème de ce côté. Y a-t-il autre chose avant que je ne revienne sur votre dos ?
- Euh, oui? j'ai une douleur là, qui ne veut pas passer.
Et j'écartais les jambes bien largement, lui indiquant les muscles de l'intérieur de mes cuisses. Je l'observais pendant qu'il prenait conscience de l'humidité importante de ma culotte, qui en était devenue noire de mouille.
Je fermais les yeux sous son regard, comme une incitation à le laisser regarder impudiquement, me laissant comme tout à l'heure la possibilité de le voir. Je voyais une bosse commencer à renfler son pantalon. Et il commença consciencieusement ses manipulations qui m'arrachaient maintenant de petits soupirs.
Mes mains, remontées sur ma poitrine, commencèrent à en caresser les tétons presque instinctivement. Je voyais derrière mes paupières, ses yeux qui suivaient mes mains tout en continuant ce qui s'apparentait plus maintenant à des caresses de l'intérieur de mes cuisses avec une main tandis que l'autre caressait son sexe par dessus son pantalon.
- Je suis désolé mais je vais devoir vous retirer votre culotte pour pouvoir continuer les manipulations. Cela ne vous gêne pas ?
- Et bien' Je suis pudique, mais vous êtes un professionnel.
Et il fit descendre ma culotte le long de mes jambes. Tout en s'assurant qu'il ne me faisait pas mal, il entreprit d'ausculter mon pubis puis mon clitoris et mon vagin. Il y avait selon lui un peu de travail sur tout cela. Et ses doigts partirent donc à la recherche des secrets de mon anatomie. Ses doigts longs et fin s'introduire en moi sans mal, pendant que son pouce vérifiait l'état de mon clitoris par un lent mouvement circulaire sur celui-ci. Son autre main dégrafait son pantalon et commençait à caresser une verge de belle dimension. Mes doigts eux, continuaient à jouer avec mes tétons.
Le travail devait en effet être long et pénible, parce qu'il avait du mal à ressortir de mon vagin. Quand il ressortit enfin ses doigts, mon bassins remuait de lui-même pour tenter d'aider mon ostéo à apaiser mes tensions. Il garda son pouce sur le clitoris, l'indexe dans le vagin et alla à la recherche de mon anus. Il devait lui aussi bien souffrir parce que quand son majeur s'y introduit, mon pouls se mit à accélérer et mon bassin augmenta sa cadence, j'étais complètement trempée.
- Je vais être obligé d'utiliser des ustensiles madame.
- Faites, c'est vous le professionnel. Et je sens que vous êtes presque arrivé à évacuer de moi cette tension.
Sans plus de discours, il retire ses doigts, me met au bord de la table et m'enfile sa longue verge d'un coup jusqu'à la garde.
- Je le sens, vous y êtes presque. Encore un peu, pas trop vite. Je pense que si vous refaisiez en même temps les manipulations sur mon petit trou. Oui, c'est ça, tout à fait, allez-y enfoncez. Oui c'est ça, plus vite? Ohhhh ouuuuiiii !!!!
Et il jouit presque aussitôt en moi.
Finalement, mon horoscope ne s'était pas trompé, en ce premier jour du printemps, mes tensions c'étaient enfin envolées.
Je repris rendez-vous dès le lendemain avec mon bel étalon afin qu'il continue le travail commencé.