Vengeance 4

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 8/03/2010 par Marc Paul

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Alain était soucieux, la partie fine organisée par Maryse, sa maîtresse, et Jean-Luc le mari de celle-ci, et avec une inconnue devait se dérouler ce samedi. Il avait imaginé de donner comme prétexte à Cécile un dîner d'affaire, mais il craignait sa réaction.

La semaine passée, après avoir fait l'amour avec Maryse pendant sa pause déjeuner, elle lui avait proposé d'organiser une partie à quatre. Alain connaissait Jean-Luc, le mari de Maryse. Elle et lui formaient un couple assez particulier où l'exclusivité sexuelle n'avait pas sa place. Maryse lui avait parlé de cette inconnue, faisant beaucoup de mystère, lui disant simplement que c'était une jeune femme du même age qu'eux, et que c'était la maîtresse du moment de son époux. Elle n'avait pas voulu en dire plus, ni la décrire, ni même donner son prénom. Il avait simplement put savoir que Maryse et Jean-Luc avaient baisé avec cette fille et que Maryse l'avait trouvée très sympathique et qu'elles s'étaient très bien entendues toutes les deux.

Alain avait été tout de suite emballé par cette proposition, non pas que sa maîtresse et sa femme ne suffisait pas à répondre à ces besoins sexuels mais participer à une partouze faisait partie depuis toujours de ses fantasmes. Il avait là l'occasion de vivre cela et ne voulait pas s'en priver.

Au milieu du repas, Alain se lança et déballa son gros mensonge à Cécile. Elle avait été prévenue par Jean-Luc qu'Alain avait accepté la proposition, et elle attendait quel prétexte il allait fournir pour sortir seul un samedi soir. Cécile rouspéta, reprocha à Alain la trop grosse emprise que son travail prenait. Elle aussi avait soigneusement préparé son numéro. Elle pleura même un peu. Mais Alain avait tenu bon, disant qu'il ne pouvait pas faire autrement et qu'après tout ce n'était pas si souvent que cela. Il avait même conseillé à Cécile, puisque leur fils était chez ses grands-parents, de sortir elle aussi de son coté avec des copines.

Le lendemain, Cécile lui annonça qu'elle sortirait ce soir là avec des amies, un cinéma d'abord, suivi d'un dîner au restaurant. Elle demanda à Alain de lui pardonner la scène de la veille et tout cela se termina au lit. Cécile nota même que son mari lui avait fait l'amour avec plus de tendresse, plus d'attention que d'habitude.

Alain était rassuré, Cécile avait fini par admettre de le laisser sortir seul et il s'était rendu compte en la baisant ce soir là, que Cécile s'était livrée plus volontiers que d'habitude à des pratiques que d'ordinaire elle appréciait peu. Sans doute pour se faire pardonner, elle l'avait sucé longuement et langoureusement, manquant de peu de le faire partir dans sa gorge. Elle n'avait pas plus repoussé sa main, pendant qu'elle le chevauchait, s'empalant sur sa queue, quand il lui avait mis un doigt dans son petit trou. Il lui sembla même que cette petite double pénétration avait provoqué son orgasme.

Cécile quitta le domicile conjugal vers dix-sept heures trente, et elle alla directement chez Maryse et Jean-Luc. Alain devait arriver vers dix-neuf heures.
Cécile aida Maryse à préparer le dîner, plus précisément à disposer dans les plats, les préparations que le traiteur venait de livrer.

Quand la sonnette d'entrée retentit, Cécile papotait avec Maryse dans le salon. Elle sentit son c'ur faire un bon dans sa poitrine, « la minute de vérité » pensa-t?elle.
Maryse se leva et alla ouvrir tandis que son mari fermait l'ordinateur sur lequel il jouait à un jeu vidéo. Cécile avait choisi un fauteuil dos à l'entrée, elle se trouvait ainsi hors de vue de tout arrivant.
Maryse ouvrit la porte à Alain qui portait un bouquet de fleurs. Après l'avoir embrassé, Maryse le débarrassa en disant :
- c'est gentil, mon chéri, merci pour les fleurs. Je ne te présente pas Jean-Luc, vous vous êtes déjà rencontrés.
- Salut Alain, ça va. Demanda Jean-Luc.
- Bien, merci toi aussi, je suis le premier ?
- Non, viens, je vais te présenter la charmante et belle jeune femme qui partagera notre soirée.
Il entraîna Alain vers le salon et Cécile se leva.

Alain cru que l'immeuble s'effondrait sur lui, la jeune femme qui venait de se lever était Cécile, sa tendre et chère épouse. Il n'en croyait pas ses yeux et resta deux secondes bouche bée avant de pouvoir balbutier :
- Cé..Cécile ! Toi? Toi? Mais' Mais'qu'est-ce que tu fiches ici ?
- La même chose que toi, mon chéri !
Cécile avait décidé de l'attaquer de front. De la jouer « je suis une salope et j'assume ».
- Mais' Mais enfin ! qu'est-ce que ça veut dire ? Tu' Tu couches avec ce..ce? Ce mec ?
- Tu couches bien avec Maryse, toi, non ?
- Non' Oui? Mais' Mais ça n'a rien à voir.
Jean-Luc et Maryse assistaient à la scène sans vraiment comprendre. La seule chose qu'ils comprenaient c'est que leurs amants respectifs se connaissaient bien.
Jean-Luc intervint :
- Vous vous connaissez ?
- Ho oui, Cécile est ma femme, espèce de salaud !
- Eh, là du calme, j'ignorais ça, sinon'
Jean-Luc et Maryse étaient atterrés. Cécile était l'épouse d'Alain et ils avaient organisé une partouze avec eux sans le savoir. Ils ne savaient pas quoi faire. Laisser ces tourtereaux s'expliquer, ou bien les mettre dehors pour qu'ils aillent régler leurs comptes ailleurs.
Cécile calma les esprits en proposant de tout expliquer. Alain, hors de lui, répliqua que cela ne concernait ni Jean-Luc, ni Maryse mais Cécile insista pour qu'ils restent et tout ce beau monde s'installa dans le salon.

Elle raconta dans le détail comment elle avait découvert par hasard, qu'Alain avait une maîtresse, comment elle s'y était prise pour entrer en contact avec le mari de celle-ci, avec beaucoup de chance, ajouta-t?elle, comment ils étaient devenus amants. Elle n'omettait aucuns détails, même les plus scabreux. Elle leur dévoila que son but était de tout dévoiler à Maryse pour la faire souffrir comme elle avait souffert elle-même. Mais quand Jean-Luc lui avait décrit comment fonctionnait le couple qu'ils formaient avec Maryse, elle s'était rendue compte que celle-ci ne ferait aucun cas de cela. Mais aussi, elle avoua qu'elle avait découvert avec Jean-Luc d'abord, puis avec Maryse, un plaisir sexuel intense et elle avait ensuite modifié son plan pour amener son mari à participer avec elle, à ces jeux intimes.
Cécile s'approcha d'Alain figé. Elle posa ses lèvres sur les siennes pour un tendre bisou. Elle lui chuchota à l'oreille :
- j'avais plein de tabous, de blocages avant. Je sais que tu souffrais de tout cela. c'est peut être pour cela que tu as rencontré et baisé Maryse. Mais tout ça m'a changé, c'est vraiment génial, ce que j'ai découvert, tout ce plaisir. Je t?aime et si tu veux bien, il faudrait que l'on rattrape le temps perdu.
- Je t?aime aussi, mon amour. Lui répondit Alain incrédule. Tu veux vraiment que?
- Oui, j'ai envie de baiser avec d'autres hommes que toi, ou des filles, que tu me regardes en train de le faire. Et j'ai envie que toi aussi tu baises avec d'autres filles et même d'autres hommes si tu veux. Tu veux ?
- Oh, oui, c'est un fantasme que j'ai depuis longtemps mais je croyais que ce ne serait jamais possible. Enfin, moi avec des hommes, je ne sais pas, je ne suis pas prêt encore, mais un jour?
Ils s'embrassèrent longuement, sous l'oeil attendrit de Maryse et Jean-Luc qui stoppa net ses effusions avec un trait d'humour :
- Eh, bien, moi qui croyais que seul mon charme avait agis quand j'ai rencontré Cécile, je me rends compte que cette petite salope avait tout manigancé. Ouups, excuses moi, Alain, j'aurais peut être pas du la traiter de salope.
- Oh si, tu peux la traiter de salope, car je crois bien que s'en est une, et j'espère bien qu'elle va rester comme ça. Répondit Alain en riant.
- Pour notre plus grand plaisir à tous. Si on passait à table maintenant. Conclut Maryse.

l'incident était clos et l'atmosphère se détendit peu à peu au cours de l'apéritif qui suivit. Maryse et Jean-Luc était un peu rassurés mais pas totalement. Ils avaient échangés quelques mots entre eux et craignaient l'un et l'autre la réaction de Alain, comme de Cécile quand ceux-ci seraient face à la réalité, celle de voir son conjoint faire l'amour avec un ou une autre. Ne sachant trop quoi faire pour améliorer cela, ils avaient décidé de laisser faire les choses et de voir venir.

Le dîner se passa dans une atmosphère amicale. Comme deux couples de vieux amis, les bavardages allaient bon train, les garçons parlaient sport, politique et travail, et les filles chiffons, coiffure et maquillage.

Le dîner terminé, tout le monde débarrassa la table et pendant que les filles terminaient de ranger la vaisselle dans le lave-vaisselle, Jean-Luc proposa un scotch à Alain. Ils s'installèrent cota à cote dans le canapé en poursuivant leur conversation un verre à la main. La radio réglée sur une station de jazz diffusant de la musique en continu créait le fond sonore.

Cécile et Maryse rejoignirent leurs hommes en se tenant par la taille. Arrivées en face des deux hommes qui bavardaient, elles s'arrêtèrent et s'embrassèrent longuement sur la bouche. l'effet fut immédiat, la conversation des deux mâles s'arrêta net. Cécile et Maryse s'embrassèrent longuement, s'écartant parfois légèrement pour bien dévoiler leurs langues entrelacées. Alain n'en croyait vraiment pas ses yeux, il avait tellement fantasmé de voir Cécile se donner à une autre femme, que le spectacle qui s'offrait à ses yeux, lui semblait irréel.

Puis toujours collées, l'une à l'autre, les deux filles commencèrent un strip-tease mutuel. Leurs mains couraient sur le corps de l'autre remontant sa jupe, dégrafant un bouton, caressant une fesse ou un sein. De minutes en minutes, les deux filles se retrouvèrent bientôt nues toutes les deux n'ayant gardé que leurs DIM-UP et leurs escarpins.

Une fois nues toutes les deux, les deux filles se déchainèrent encore plus. Cécile passa ses bras sous les aisselles de Maryse et faisait rebondir ses seins dans ses deux mains en coupe. Maryse s'accroupit devant Cécile et lui passait sa langue dans sa fente ou bien dans sa raie culière. Elles s'allongeaient sur le tapis pour de rapides 69 ou bien pour frotter leur chattes l'une contre l'autre avec leurs jambes en ciseaux imbriqués. Elles se doigtaient mutuellement le con ou le cul, puis suçaient leur doigt langoureusement. Elles faisaient tout cela en prenant soin que rien ne puisse échapper à la vision de leurs mâles assit sur le canapé.
Jean-Luc et Alain bandaient comme des ânes devant le spectacle offert par ces deux femelles en chaleur. Ils avaient commencé par ouvrir leur pantalon afin de laisser leurs queues s'épanouir mais ils avaient fini par se déshabiller complètement. Et c'est donc nus tous les deux qu'ils contemplaient les deux filles en se branlant doucement.

Excitées comme des chiennes, Maryse et Cécile se ruèrent comme des affamés sur ces deux bites gonflées, tendues, dressées vers le plafond. Maryse s'accroupit devant Alain et avala d'un seul coup son membre viril, Cécile fit de même avec Jean-Luc. Alain ressentit comme un petit pincement au c'ur de voir sa femme faire une pipe à un autre, comme une pointe de jalousie qui passa très vite et Alain appuya de sa main sur la tête de sa femme pour l'enfoncer sur le dard de son voisin. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Alain explosa dans la bouche de Maryse et Jean-Luc fit de même avec Cécile quelques secondes plus tard. Aussitôt les deux filles s'embrassèrent, mélangeant dans leur bouche la décharge de leurs mâles avant de se la partager et de l'avaler entièrement.

Quelques minutes de répit, un verre de scotch, une cigarette plus tard, Maryse s'allongea sur le tapis pendant que Cécile suçait Alain pour lui redonner de la vigueur. Quand sa queue eut repris toute sa rigidité, Cécile l'attira vers Maryse et le fit s'allonger sur elle, elle prit elle-même la queue de son mari pour la guider vers la chatte de Maryse dans un geste de tendresse et de complicité. Alain s'enfonça dans le con de Maryse en gémissant et aussitôt la baisa violemment sous les yeux de Jean-Luc et de Cécile qui s'embrassaient et caressait Maryse qui gémissait des caresses de son mari, de la bite de son amant dans son ventre et des doigts de la femme de son amant qui lui titillaient le clitoris. Alain excité à l'extrême par la réalisation de ses fantasmes les plus fous, se vida dans le ventre de Maryse qui hurla de plaisir.

Jean-Luc prit la place d'Alain sur sa femme, introduit sa queue dans son con rempli du sperme de son nouvel ami et commença à la baiser toujours secondé par Cécile qui continuait de branler Maryse. Jean-Luc fit jouir son épouse encore deux fois et finit par se vider dans son ventre. Maryse était complètement épuisée par ces orgasmes successifs, son con rempli de sperme suintait, sa chatte martyrisée par les assauts de ses deux mâles se refermait doucement. Elle n'avait plus la force d'aider Cécile, qui sans attendre suçait son mari et son amant alternativement, pour leur redonner la vigueur qu'elle attendait d'eux.

Jean-Luc étant toujours couché sur le dos, dès que sa bite retrouva une belle rigidité Cécile s'empala dessus. Elle s'allongea sur la poitrine de son amant et Alain la sodomisa. Cécile avait subi sa première double pénétration avec Maryse et Jean-Luc mais cette fois-ci elle avait deux queues de chair en elle, son mari lui dilatait le cul et son amant lui remplissait le con. Après quelques minutes et un premier orgasme de Cécile, les deux hommes changèrent de place. Alain lui prit le con et Jean-Luc le cul. Cécile dilatée de toute part, sentait ces deux chibres la perforer alternativement, la remplir complètement, elle jouissait en permanence maintenant jusqu'à ce que les deux mâles se vident en elle en poussant des râles de plaisir.


Les quatre amis récupérèrent de leurs ébats pendant une bonne heure en sirotant des boissons alcoolisées et en grignotant quelques petits fours. Ils échangèrent leurs impressions sur ce qui venait de se passer et se déclarèrent tous les quatre très satisfaits.
Jean-Luc et Maryse avaient vues leurs craintes disparaitre et Alain était ravi que sa chère épouse qu'il croyait trop coincée pour en arriver là, se donne sans retenue à d'autres hommes que lui. Et surtout qu'elle fasse l'amour avec une autre femme l'excitait au plus haut point. Lui qui se sentait coupable à chaque fois de l'avoir trompée, car Maryse n'était pas sa première relation extraconjugale, se félicitait de la tournure que prenait les évènements. Cécile avait découvert tout ce que son éducation bourgeoise lui avait interdit et elle était maintenant très à l'aise, totalement nue, devisant avec ses amis et son mari, parlant avec des mots crus et parfois ordurier de ce qu'ils avaient fait ensemble, ravie de s'entendre qualifier de belle salope.

A mesure que la soirée passait, les deux filles recommencèrent à se câliner tendrement, sous les yeux de leur amant et mari respectifs. Les garçons reprenaient de la vigueur et leurs queues ramollies qui pendaient entre leur cuisses commencèrent à se redresser devant le spectacle de leur femmes qui maintenant s'embrassaient à pleine bouche, se pelotaient mutuellement, introduisaient leurs doigts dans la chatte de l'autre pour les ressortir mouillés du mélange de leur mouille et de la semence de leur mâles.

Voyant ces deux belles queues dressées, prêtes à les satisfaire à nouveau, elles les pompèrent pendant quelques minutes avant que les mecs, tous les deux au bord de l'explosion ne les prennent en levrette. Les deux filles s'étaient agenouillées sur les canapés pendant que leurs amants les fourraient debout derrière elles. Les deux filles s'embrassaient langoureusement pendant que les mecs changeaient de fréquemment place. Cécile et Maryse ne savaient pas qui les baisaient, trop occupées à s'embrasser et à se caresser. d'ailleurs elles s'en fichaient, elles voulaient l'une et l'autre une queue dans leur chatte et les changements que leur imposaient les garçons augmentait encore leur excitation.

Leurs orgasmes arrivèrent presque en même temps. Alain et Jean-Luc se vidèrent une nouvelle fois et le hasard voulut qu'ils le fissent dans le con accueillant de leur femme légitime.

Cécile et Alain rentrèrent tard dans la nuit chez eux, comblés l'un et l'autre de ce qu'ils avaient découvert ensemble. Dans les mois qui suivirent, ils revirent fréquemment leurs nouveaux amis pour des parties à quatre chaque fois plus torrides. Leur fils leur fit même la remarque qu'ils sortaient fréquemment le samedi soir. Il est vrai que depuis qu'ils avaient découvert un club échangiste en compagnie de Maryse et Jean-Luc, ils s'y rendaient très souvent. Cécile se donnait sans retenue à de multiples mâles pendant qu'Alain la regardait en se faisant sucer.